C’est le champ de bataille visant à se rendre maître de l’opinion publique. Les documents de l’OTAN parlent de « guerre cognitive » – de guerre mentale. Dans quelle mesure le projet est-il concret, quelles mesures ont été prises jusqu’à présent et à qui s’adresse-t-il ?
Pour être victorieux à la guerre, il faut aussi gagner la bataille de l’opinion publique. Cela se fait depuis plus de 100 ans avec des outils de plus en plus modernes, les techniques dites de soft power. Ceux-ci décrivent tous les outils psychologiques d’influence avec lesquels les gens peuvent être guidés de telle manière qu’ils ne sont pas eux-mêmes conscients de ce contrôle. Le politologue américain Joseph Nye définit ainsi le soft power comme « la capacité de persuader les autres de faire ce que vous voulez sans utiliser la violence ou la coercition »1.
Dans un récent épisode de CHD.TV intitulé « Good Morning CHD », trois médecins canadiens – les docteurs Charles Hoffe et Stephen Malthouse et Chris Shaw, Ph. – ont discuté de la normalisation inquiétante au Canada, depuis 2016, de l’ « assistance médicale à mourir » (« AMM ») et de l’approbation peut-être imminente par leur gouvernement de cette pratique pour les « mineurs matures » qui demandent la mort sans que les parents soient informés ou consentants.
« Le suicide assisté par un médecin », « le suicide assisté », « l’aide à mourir » et l’euthanasie – chacun ayant des connotations juridiques légèrement différentes – font tous référence à des interventions médicales visant à accélérer la mort, la principale distinction étant « qui accomplit l’acte final et fatal ».
L’exception française, autrefois synonyme de raffinement esthétique et de finesse d’esprit, de galanterie pleine de truculence et de respect pour l’Éternel féminin, ne s’applique plus aujourd’hui qu’à signaler des monstruosités dont plus aucun pays au monde n’oserait prétendre qu’elle font sens.
Entendre l’Académie de médecine (prostituée et corrompue), le Ministre (du naufrage) de la santé prétendre que la-dite suspension se justifie « par des motifs scientifiques et éthiques » donne franchement la nausée. Sans parler du toupet obscène en ce sens d’énergumènes comme le « Pr » Philippe Juvin, lequel avait, souvenons-nous en, bruyamment loué l’étude Surgsiphere contre l’hydroxychloroquine montée par une actrice porno et associés avant d’être piteusement rétractée…
La posture française sur cette question est à la science ce que le fascisme est au respect des droits humains, le viol à l’amour ou la pédophilie à l’éducation…
L’Autriche a été projetée au premier plan des médias cette semaine, alors qu’elle se transforme en ce qui est devenu un État policier enveloppé dans une crise humanitaire. La société autrichienne est divisée en deux : les citoyens sont séparés et discriminés selon qu’ils ont subi ou non un traitement médical.
Les vaccinés sont autorisés à jouir de leurs droits tandis que les non-vaccinés sont confinés chez eux, ne pouvant sortir qu’avec la permission de la classe dirigeante. À partir de lundi, l’Autriche a placé en confinement des millions de citoyens non entièrement vaccinés. Un tiers de la population entière est désormais confiné chez lui et ne peut sortir que dans des cas particuliers.
Comme on pouvait s’y attendre, le confinement des personnes vaccinées n’a pas permis de freiner l’augmentation du nombre de cas et le chancelier autrichien Alexander Schallenberg envisage maintenant un confinement de tout le pays – de tout le monde.
Naturellement, ce n’est pas Schallenberg et le reste de ses ministres du cabinet exécutif qui feront appliquer ces mesures de confinement et ces mandats. Ce sera la classe des exécutants – la police et l’armée – autrement connue sous le nom de « suiveurs d’ordre ».
La décision avait été prise il y a quelques mois : les Français réfractaires à l’installation de leur compteur Linky devront payer une somme allouée à compter de ce 1er janvier 2023.
[...]
D’après les chiffres, près de 10 % des compteurs en France ne seraient pas des Linky, soit environ 3,8 millions d’anciens compteurs toujours en fonction.
Parmi ces 10 %, il faut distinguer ceux qui le refusent délibérément et qui devront payer et ceux pour qui il n’a pas encore été possible de le poser.
Pour ceux qui ont refusé le compteur, Enedis va facturer les relevés opérés par des techniciens, pour un montant annuel de 61 euros, ce qui équivaut à environ 5 euros par mois [...].
Un autorelevé possible jusqu’en 2025
Cependant ceux qui refusent le compteur Linky, pourront s’abstenir de payer ce coût, seulement pendant deux ans.
Il leur suffira de relever eux-mêmes leur compteur et de le communiquer à Enedis. Résultat aucun technicien ne se déplacera et donc aucun frais ne sera imputé.
Mais cette méthode ne fonctionnera que jusqu’à fin 2024. Dès janvier 2025, il faudra choisir : le compteur Linky ou la facture.
La connexion continue peut être fatigante et entraîner des sentiments d’anxiété et de peur de manquer. Pour se déconnecter, certains jeunes ont décidé de se mettre au tricot ou adoptent les téléphones à clapet des années 2000. D’autres encore n’hésitent pas à se réclamer du luddisme.
L’administration indienne de l’impôt sur le revenu a averti les citoyens qu’ils devaient relier leur numéro de compte permanent (PAN) à leur numéro d’identification biométrique Aadhaar avant le 1er avril 2023, sous peine de voir leur PAN devenir non opérationnel.
En Inde, le PAN est nécessaire pour effectuer de multiples activités financières telles que la création de comptes bancaires, le dépôt d’argent, le négoce d’actions et l’achat ou la vente de biens immobiliers. Les Indiens peuvent relier leur PAN à Aadhaar sur le site Web du service des impôts après avoir payé 1 000 roupies (12 dollars).
C’est ne pas avoir réalisé son coup de force de juillet, à la faveur de la guerre. Il a fait interdire tous les partis politiques qui s’opposaient à lui ; assassiner les personnalités qui lui résistaient ; contrôler tous les médias, écrits, audiovisuels et internet ; interdire la langue russe ; détruire 100 millions de livres ; confisquer de nombreux biens des oligarques, y compris de celui qui l’a personnellement financé ; nationaliser les biens des investisseurs et sociétés russes ; et enfin interdit l’Église orthodoxe.
Ce faisant, il se conforme à l’objectif énoncé en 1996 dans la Constitution (art. 16) par les « nationalistes intégraux » : « préserver le patrimoine génétique du peuple ukrainien » (sic). C’est l’ethnopolitique, c’est-à-dire une politique reconnaissant les droits des individus, mais fondée sur l’ethnie ukrainienne.
Aurélie Moy est jeune ingénieure polytechnicienne spécialisée en développement durable. Elle a eu cette idée de village de Tiny Houses en 2018 alors qu’elle concevait sa propre Tiny House SuSy (diminutif de Sustainable Systems – Systèmes Durables en anglais). Disposant d’un grand terrain familial de 3500m² près du centre-ville de Saint-Brieuc, la jeune femme a décidé de créer le premier village de Tiny Houses afin de promouvoir ce mode de vie plus respectueux de l’environnement.
En effet, vivre en Tiny House c’est faire le choix du minimalisme, vivre avec moins de possessions matérielles pour vivre heureux.
Les maisonnettes du Ty village sont construites en ossature en bois et fabriquées avec des matériaux principalement naturels, renouvelables et locaux. Elles sont bien isolées pour permettre aux habitants d’y vivre à l’année.
Ce mode de vie minimaliste s’accompagne bien trop souvent de difficultés administratives. Même si, depuis la loi ALUR, les Tiny Houses sont reconnues comme des habitats légers, les propriétaires de Tiny Houses ont toujours du mal à obtenir les autorisations pour s’installer.
En créant ce village, Aurelie a souhaité rendre ce mode de vie accessible à ceux qui souhaitent expérimenter la vie en Tiny House. Après avoir bataillé avec la mairie pour obtenir le permis d’aménager, Ty village a pu accueillir ses 5 premières Tiny Houses en 2019. Aujourd’hui, il y en a une vingtaine. Les Tiny Houses sur le terrain sont actuellement en location pendant la période scolaire pour les étudiants. En été, elles sont disponibles à la semaine ou à la nuit pour les touristes et les curieux qui souhaitent tester la vie en Tiny House. En plus de ces locations de Tiny Houses, Ty Village souhaite aussi proposer des terrains à la location pour les propriétaires qui veulent s’installer sur un terrain. Des emplacements sont ainsi disponibles pour accueillir des propriétaires et leur tiny.
Mais grâce à la valeureuse police allemande, au renseignement intérieur et à la vigilance civique toujours en éveil, notre ami Olaf va pouvoir rester chancelier et notre autre grande amie, Annalena, continuer à pouvoir apprendre l'histoire militaire et la géographie de l'Europe et du monde pour faire son job de ministresse des Affaires Etrangères. Le fascisme est toujours renaissant mais les femmes et les hommes de progrès veillent: no pasaran! Une fois qu'on a ri un bon coup, on comprend cependant que, derrière le scénario farcesque, qui consiste à prendre les citoyens allemands pour des imbéciles, se profile une intimidation d'envergure contre tous ceux qui critiquent l'incompétence du gouvernement allemand et son aliénation à Washington, Davos et Pékin.
Le coup d’Etat était presque parfait
A vrai dire, la seule chose hilarante dans le scénario proposé, c’est que les ingrédients attendus y sont. Je ne résiste pas au plaisir de citer le copié-collé du très macroniste Figaro, sous le titre “L’Allemagne déjoue un complot d’extrême-droite” – rien que ça ! Accrochez-vous à la table, fou-rire assuré.
Aujourd’hui, rachetée de nombreuses fois et reprise en main par différents directeurs artistiques, chaque fois moins talentueux que les précédents, comme le veut notre époque chaque jour un peu plus médiocre, la société Balenciaga est au centre d’un énième scandale.
Ce n’est pas la première fois que l’on relie élite, personnel politique ou people à la pédocriminalité. Que l’on se rappelle les affaires Podesta/Clinton, le Pizzagate, les affaires Epstein ou encore – géographiquement plus proche de nous – les enfants du juge Roche, l’affaire Luc Ferry, ou les mœurs douteuses d’un Frédéric Mitterrand ou d’un Pierre Bergé.