Il est vrai que cette nouvelle année s’annonce pleine d’incertitudes et d’inquiétudes… d’aucuns redoutent non pas la fin de l’Histoire, non pas la fin de la civilisation mais carrément la fin de l’humanité… ce serait bien triste, car après des siècles et des millénaires de quête philosophique, poétique, artistique…, les hommes et les femmes n’ont toujours pas élucidé ce que pouvait bien être l’humanité, et il serait tragique que l’humanité disparaisse sans qu’elle ait pu élucider sa nature et accomplir son destin.
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Dmitri Medvedev, vice-président du Conseil de sécurité de la Russie, a émis plusieurs hypothèses futuristes sur ce qui pourrait se passer dans le monde en 2023. Il l’a écrit sur son canal officiel Telegram.
Selon Medvedev, l’année prochaine, le prix du pétrole pourrait passer à 150 dollars le baril, et celui du gaz à 5000 dollars les mille mètres cubes. Il a également envisagé que la Grande-Bretagne revienne dans l’Union européenne. Toutefois, un tel scénario pourrait conduire à la dissolution de l’organisation et à l’abolition de l’euro en tant que monnaie de l’ancienne UE.
« La prise de possession par la Pologne et la Hongrie des régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Création d’un Quatrième Reich à partir de l’Allemagne et de ses satellites. Guerre entre la France et le Quatrième Reich. Le partage de l’Europe, y compris une nouvelle division de la Pologne », a ajouté Medvedev dans le cadre de son hypothèse.
Il a prévu la séparation de l’Irlande du Nord de la Grande-Bretagne, ainsi que l’adhésion à la République d’Irlande. Le vice-premier ministre a envisagé une éventuelle guerre civile aux États-Unis, la séparation de la Californie et du Texas en pays indépendants et la victoire de l’homme d’affaires Elon Musk aux prochaines élections présidentielles.
Medvedev a également évoqué la possible délocalisation de toutes les principales bourses et activités financières des États-Unis et de l’Europe vers l’Asie, la chute du système financier de Bretton Woods, y compris le FMI et la Banque mondiale. En outre, il a suggéré l’abandon de l’euro et du dollar comme monnaies de réserve mondiales et un retour à l’étalon-or.
La pauvre Greta va rentrer dans sa chambre, les -55° de la tempête polaire qui frappe les USA auraient fait désordre avec ses balivernes d’ado. La Suédoise haineuse, bien emmitouflée dans son manteau en renard polaire argenté (mais bio), devra attendre le redoux pour replacer sa légende du réchauffement climatique aux jeunes bobos occidentaux. Décidément, dame Nature n’arrive pas à obéir aux injonctions du GIEC.
Chez nous, de l’autre coté de l’Atlantique, point de tempête polaire, mais des températures printanières qui contrarient un gouvernement qui s’appuie sur la guerre en Ukraine pour priver les Français d’électricité. Du coup, les coupures de courant de janvier, cette répression électrique bornsteinienne, est remise en question. Les ingénieurs sociaux du mondialisme se prennent les pieds dans leur propre tapis de mensonges, on dirait.
La semaine dernière, le FBI a décrit Lee Fang, Michael Shellenberger et moi-même comme des « théoriciens de la conspiration » dont le « seul but » est de discréditer l’agence. Cette déclaration va bientôt paraître ironique, car nous avons passé une bonne partie de la semaine à apprendre l’existence d’autres agences et organisations qui peuvent désormais être également discréditées grâce à ces fichiers. Par égoïsme, il se peut que je divulgue certaines de ces informations dans la matinée, afin d’en finir et de pouvoir être un père pleinement présent le jour de la fête.
Cette question n’est pas une hyperbole. Je dirais même que c’est la grande question pour au moins tout l’hémisphère nord.
Je préviens que la Russie se prépare à une guerre totale depuis au moins 2014. C’est exactement ce que Poutine a dit dans son récent discours devant le conseil du ministère russe de la Défense. Si vous n’avez pas vu cette vidéo, vous devriez vraiment la regarder, elle vous donnera un aperçu direct de la façon dont le Kremlin pense et de ce à quoi il se prépare.
Voici à nouveau cette vidéo ...
« Des responsables anonymes du Pentagone ont en fait menacé de mener une « frappe de décapitation » sur le Kremlin… Ce dont nous parlons, c’est de la menace de l’élimination physique du chef de l’État russe, (…) Si de telles idées sont effectivement nourries par quelqu’un, cette personne devrait réfléchir très attentivement aux conséquences possibles de tels plans. »
Tous trois sont parvenus à faire des principaux médias des soutiens de leur idéologie commune. En deux décennies, la presse a fermé les yeux sur tout ce qui contredit les discours officiels de Washington et s’est convertie à ses inepties. Le jacksonien Donald Trump a fait du rétablissement de la liberté d’expression l’axe de sa campagne de 2024. Il est pour le moment le seul candidat à se positionner ainsi.
Le candidat Donald Trump a prononcé, jeudi 15 décembre 2022, son premier discours électoral. Il a désigné comme sa priorité le rétablissement de la liberté d’expression aux États-Unis alors que les révélations d’Elon Musk (Twitter Files) et celles de l’America First Legal Foundation attestent que toute l’information est manipulée.
On peut penser ce que l’on veut de M. Trump, d’autant qu’il fait l’objet d’une campagne mondiale de diffamation depuis son élection en 2016 nous empêchant d’évaluer correctement son action, mais force est de constater que, depuis le 11 septembre 2001, il pose les bonnes questions.
C’est le champ de bataille visant à se rendre maître de l’opinion publique. Les documents de l’OTAN parlent de « guerre cognitive » – de guerre mentale. Dans quelle mesure le projet est-il concret, quelles mesures ont été prises jusqu’à présent et à qui s’adresse-t-il ?
Pour être victorieux à la guerre, il faut aussi gagner la bataille de l’opinion publique. Cela se fait depuis plus de 100 ans avec des outils de plus en plus modernes, les techniques dites de soft power. Ceux-ci décrivent tous les outils psychologiques d’influence avec lesquels les gens peuvent être guidés de telle manière qu’ils ne sont pas eux-mêmes conscients de ce contrôle. Le politologue américain Joseph Nye définit ainsi le soft power comme « la capacité de persuader les autres de faire ce que vous voulez sans utiliser la violence ou la coercition »1.
Dans un récent épisode de CHD.TV intitulé « Good Morning CHD », trois médecins canadiens – les docteurs Charles Hoffe et Stephen Malthouse et Chris Shaw, Ph. – ont discuté de la normalisation inquiétante au Canada, depuis 2016, de l’ « assistance médicale à mourir » (« AMM ») et de l’approbation peut-être imminente par leur gouvernement de cette pratique pour les « mineurs matures » qui demandent la mort sans que les parents soient informés ou consentants.
« Le suicide assisté par un médecin », « le suicide assisté », « l’aide à mourir » et l’euthanasie – chacun ayant des connotations juridiques légèrement différentes – font tous référence à des interventions médicales visant à accélérer la mort, la principale distinction étant « qui accomplit l’acte final et fatal ».
L’exception française, autrefois synonyme de raffinement esthétique et de finesse d’esprit, de galanterie pleine de truculence et de respect pour l’Éternel féminin, ne s’applique plus aujourd’hui qu’à signaler des monstruosités dont plus aucun pays au monde n’oserait prétendre qu’elle font sens.
Entendre l’Académie de médecine (prostituée et corrompue), le Ministre (du naufrage) de la santé prétendre que la-dite suspension se justifie « par des motifs scientifiques et éthiques » donne franchement la nausée. Sans parler du toupet obscène en ce sens d’énergumènes comme le « Pr » Philippe Juvin, lequel avait, souvenons-nous en, bruyamment loué l’étude Surgsiphere contre l’hydroxychloroquine montée par une actrice porno et associés avant d’être piteusement rétractée…
La posture française sur cette question est à la science ce que le fascisme est au respect des droits humains, le viol à l’amour ou la pédophilie à l’éducation…
L’Autriche a été projetée au premier plan des médias cette semaine, alors qu’elle se transforme en ce qui est devenu un État policier enveloppé dans une crise humanitaire. La société autrichienne est divisée en deux : les citoyens sont séparés et discriminés selon qu’ils ont subi ou non un traitement médical.
Les vaccinés sont autorisés à jouir de leurs droits tandis que les non-vaccinés sont confinés chez eux, ne pouvant sortir qu’avec la permission de la classe dirigeante. À partir de lundi, l’Autriche a placé en confinement des millions de citoyens non entièrement vaccinés. Un tiers de la population entière est désormais confiné chez lui et ne peut sortir que dans des cas particuliers.
Comme on pouvait s’y attendre, le confinement des personnes vaccinées n’a pas permis de freiner l’augmentation du nombre de cas et le chancelier autrichien Alexander Schallenberg envisage maintenant un confinement de tout le pays – de tout le monde.
Naturellement, ce n’est pas Schallenberg et le reste de ses ministres du cabinet exécutif qui feront appliquer ces mesures de confinement et ces mandats. Ce sera la classe des exécutants – la police et l’armée – autrement connue sous le nom de « suiveurs d’ordre ».
La décision avait été prise il y a quelques mois : les Français réfractaires à l’installation de leur compteur Linky devront payer une somme allouée à compter de ce 1er janvier 2023.
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D’après les chiffres, près de 10 % des compteurs en France ne seraient pas des Linky, soit environ 3,8 millions d’anciens compteurs toujours en fonction.
Parmi ces 10 %, il faut distinguer ceux qui le refusent délibérément et qui devront payer et ceux pour qui il n’a pas encore été possible de le poser.
Pour ceux qui ont refusé le compteur, Enedis va facturer les relevés opérés par des techniciens, pour un montant annuel de 61 euros, ce qui équivaut à environ 5 euros par mois [...].
Un autorelevé possible jusqu’en 2025
Cependant ceux qui refusent le compteur Linky, pourront s’abstenir de payer ce coût, seulement pendant deux ans.
Il leur suffira de relever eux-mêmes leur compteur et de le communiquer à Enedis. Résultat aucun technicien ne se déplacera et donc aucun frais ne sera imputé.
Mais cette méthode ne fonctionnera que jusqu’à fin 2024. Dès janvier 2025, il faudra choisir : le compteur Linky ou la facture.
La connexion continue peut être fatigante et entraîner des sentiments d’anxiété et de peur de manquer. Pour se déconnecter, certains jeunes ont décidé de se mettre au tricot ou adoptent les téléphones à clapet des années 2000. D’autres encore n’hésitent pas à se réclamer du luddisme.