Le Sénat français est-il à l’origine du mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale contre Vladimir Poutine ?
Le mandat d’arrêt contre le président de la Fédération de Russie émis par la CPI pour trafic d’enfants est-il la conséquence d’une demande de parlementaires français ? J’ai trouvé cette proposition de résolution européenne “dénonçant les transferts forcés massifs d’enfants ukrainiens” sur le site du Sénat, enregistrée par l’institution le 10 février dernier.
Un texte qui réclame notamment “à l’Union européenne et ses États membres de mettre en œuvre tous les moyens techniques et humains à leur disposition, en coopération avec les autorités ukrainiennes pour identifier, documenter et recenser tous les cas de transferts forcés et de déportation engagés par la Fédération de Russie depuis le début du conflit et d’identifier les responsables de ces actes afin d’engager des sanctions immédiates et d’ouvrir la voie à des poursuites judiciaires ultérieures”.
Cette Suisso-camerounaise est l’une des influenceuses les plus suivies en Afrique francophone. Native de La Chaux-de-Fonds, elle attire l’attention de Washington et de Paris depuis quelques mois. Ses contenus se rapprochent en effet de plus en plus de la propagande prorusse, comme le montre un article publié ce mercredi dans la Tribune de Genève.
Son discours fait froid dans le dos. Elle qualifie l’invasion russe de « guerre OTAN-Russie », déclenchée par « les agressions répétées des Américains et des Européens […] contre le peuple russe ». En mai 2022, elle a aussi traité les Ukrainiens de « gangrenés par les néonazis ». Deux affirmations fausses. Enfin, elle a loué pas plus tard que cette semaine « la mort inéluctable de l’hégémonie occidentale » sur un plateau moscovite.
D’après les informations de la Tribune de Genève, la France serait « intervenue formellement auprès de Berne pour s’émouvoir de son militantisme ». Ce qui ne l’empêche pas de poursuivre sa propagande depuis la Suisse. Elle réside désormais à Zoug. Après avoir été expulsée de Côte d’Ivoire en 2020, elle affirme toutefois qu’elle n’a « pas du tout l’intention de [s]’éterniser » dans notre pays. Elle y a co-fondé un parti d’opposition en 2011.
À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure comme d’habitude extrêmement rapide, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées. Pour cela, il a usé de stratégies, de mensonges et de récits fictifs, pour que jamais ne soient sérieusement et concrètement discutés le fonctionnement technique de ces outils et leurs conséquences politiques et juridiques en termes de surveillance de masse. Grâce à une majorité totalement désinvestie et au soutien total de l’extrême droite, la VSA a donc pu être légalisée sur la base de mensonges sapant toujours un peu plus le jeu démocratique.
Une situation « extrêmement inquiétante » pour La Ligue des droits de l’Homme et les syndicats.
« Un retour à la doctrine de maintien de l’ordre de [l’ex-préfet] Didier Lallement, qui paraissait pourtant avoir été abandonnée par le pouvoir. » Patrick Baudouin, président de La Ligue des droits de l’Homme (LDH), s’alarme auprès de Reporterre d’un « climat extrêmement délétère et inquiétant » ces jours-ci en France. En cause : la répression du mouvement social contre la réforme des retraites. Alors que l’exécutif a utilisé le 49.3 le 16 mars afin de passer en force cette loi rejetée par 80 % des Français, les manifestations spontanées se multiplient dans le pays. Depuis, on ne compte plus les témoignages dénonçant des violences policières et autres interpellations abusives (dont parfois des journalistes).
Le 16 mars, 292 personnes qui manifestaient place de la Concorde, à Paris, ont par exemple été placées en garde à vue… pour finalement 283 classements sans suite. Le 20 mars, le syndicat de la magistrature a ainsi dénoncé « le détournement de la procédure pénale au profit du maintien de l’ordre ». Le 17 mars, comme l’a révélé Mediapart, quatre jeunes femmes ont déposé plainte à Nantes pour « violences sexuelles par dépositaire de l’autorité publique » alors qu’elles étaient nassées par la police, le 14 mars.
Toute personne normale ou naïve n’a jamais entendu parler de ce machin, ce qui est tout à fait logique.
Moi, pourtant complotiste diplômé, en avais entendu parler, mais je n’avais pas enquêté profondément.
TPMP1
Si je vous en parle aujourd’hui c’est suite à un invité sur TPMP dont l’intervention a fait grand bruit.
Celui-ci a non seulement affirmé que le « produit » ne relevait pas du mythe, mais qu’il était utilisé par des « grands » de ce monde. Cyril Hanouna a bien entendu mis fin extrêmement vite à l’émission lorsque le nom de Macron a été prononcé. Il y a depuis un tollé médiatique général pour dénoncer ces propos « complotistes et délirants » tenus à une heure de grande écoute sur une chaîne de la TNT.
Un produit chimique sans histoire !
Selon Wikipédia2, l’adrénochrome est un produit issu de l’oxydation de l’adrénaline. Point.
Je n’ai pas cherché à savoir ni pourquoi ni comment, cela n’étant pas le sujet du jour.
Un mythe ?
Le mythe voudrait que des satanistes (célébrités, maîtres du monde et autres détraqués), boivent du sang de glande pinéale de bébés préalablement longuement torturés avant d’être mis à mort. Le produit permettrait de rajeunir, mais serait aussi une puissante drogue extrêmement addictive au point que celui qui aurait goûté une fois au « nectar » ne pourrait plus s’en passer.
Ceci est totalement nié par toutes les publications mainstream et a fait l’objet d’un article sur factuel de l’AFP3. Note humoristique, ceux-ci ont affiché un énorme FAUX… en rouge sang.
Autre site faisant un fact-checking, mais en anglais (voir le lien4).
Mythe dont la genèse serait le film « Las Vegas parano » !
Selon la version officielle, les complotistes auraient fait de ce « délire » une « vérité » issue d’une scène du film. Dans cette scène, un des protagonistes prend de l’adrénochrome. Il n’est nullement question d’adrénaline oxydée comme c’est clairement dit dans le film. Nous pouvons entendre dans la version française :
« Glande provenant d’une opération sur un humain encore vivant. »
ou
« Il m’a proposé du sang humain disant que ce serait la plus grande défonce de ma vie. »
« Je lui ai dit que je préférais quelques centilitres d’adrénochrome pur. »
« Ce gars (qui a fourni la drogue) a été coincé pour viol sur mineurs. »
Vous pouvez voir la scène5 en question si vous le désirez.
La Russie est la première destination des réfugiés ukrainiens en 2023
Près de 2,9 millions de réfugiés Ukrainiens en raison de l’invasion russe, ont été enregistrés en Russie au 3 octobre 2022. De plus, environ 1,6 million auraient fui vers la Pologne au 14 février 2023.
Au total, plus de huit millions de réfugiés ukrainiens ont été enregistrés dans toute l’Europe. La plupart d’entre eux ont fui le pays en traversant la frontière avec la Pologne.
Des messages WhatsApp privés publiés ces derniers jours montrent comment des responsables britanniques de la santé, dont l’ancien ministre de la santé Matt Hancock, ont pris des décisions concernant la COVID-19 en se fondant sur l’opportunisme politique plutôt que sur la science, comme l’ont prétendu publiquement les responsables de la santé.
Les messages « soulèvent de nouvelles questions vitales sur la gestion de la pandémie à l’approche d’une enquête publique sur la réponse à la COVID-19 »et révèlent « des détails dévastateurs sur la réponse à la pandémie qui étaient restés secrets jusqu’à présent », selon The Telegraph, qui a obtenu l’archive de plus de 100 000 messages de – surnommés« The Lockdown Files » [Les dossiers de confinement]– de la journaliste Isabel Oakeshott..
Mme Oakeshott est coauteure du livre de M. Hancock intitulé « Pandemic Diaries: The Inside Story of Britain’s Battle Against COVID ».
M. Hancock a été le premier membre du gouvernement britannique à annoncer un confinement, dans des déclarations faites le 16 mars 2020, sur la base des conseils du groupe consultatif scientifique pour les situations d’urgence [Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE)]. Le confinement a officiellement commencé une semaine plus tard.
Les messages révèlent comment les fonctionnaires ont pris de manière informelle des décisions concernant les confinements, les mandats de port de masques, la distanciation sociale et l’isolement, les quarantaines, la distribution de vaccins et une foule d’autres questions liées à la COVID-19, et comment ces décisions ont été motivées par des considérations politiques.
Même si le gouvernement américain aide à financer le programme chinois d’avortement, de stérilisation et d’infanticide forcés, ainsi que le « programme de planification familiale » des Nations unies, la plupart des gens trouvent impossible de croire que ces programmes font réellement partie d’un plan plus vaste visant à éliminer de larges segments de la population mondiale.
« Comment pouvez-vous croire cela ? » me demande-t-on souvent. La réponse est très simple : j’ai lu les écrits de ceux qui ont l’intention de dépeupler de grandes parties de la Terre et je les crois. Ils ont écrit sur la nécessité de réduire — par la force si nécessaire — la population mondiale.
Malgré leur pouvoir informationnel jamais égalé, les réseaux sociaux restent pourtant amplement façonnés par les intérêts financiers de sociétés monopolistiques. Dans son ouvrage Algocratie, vivre libre à l’heure des algorithmes publié aux éditions Actes Sud, Arthur Grimonpont dresse avec rigueur et pédagogie le tableau dantesque de l’impact des réseaux sociaux sur l’ensemble de la société du XXIème siècle. Afin d’associer intelligence artificielle et enjeux actuels, Arthur Grimonpont plaide pour une véritable révolution de l’attention.
Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressemblerait notre vie sans les réseaux sociaux ? Que se passerait-il si, le premier réflexe d’une majorité d’individus au saut du lit n’était pas de consulter leur smartphone ? S’ils ne pouvaient pas se contenter d’admirer les dernières photos de vacances de leurs proches pour considérer « avoir pris de leurs nouvelles » ? Si la moitié de notre garde-robe ne leur avait pas été directement recommandée par les publicités ciblées de Facebook ou leur influenceur préféré ? Si leur source d’information principale ne se déclinait pas sous forme de feed, de post et de short ?
La technologie de surveillance, fournie par une société appelée Dynamic Crowd Measurement, peut mesurer la densité de la foule en comptant les fréquences des téléphones portables dans une zone spécifique. Les caméras sont également équipées de la capacité de suivre l’humeur de la foule.
Auparavant, cette technologie avait été déployée lors des célébrations du Nouvel An à Sydney.
Un porte-parole du défilé a déclaré que les caméras étaient uniquement utilisées pour « diriger les gens vers des zones moins fréquentées si les zones deviennent trop pleines ».
« La technologie aide à gérer la sécurité de la foule en mesurant les capacités, ce qui permet aux opérations de se concentrer sur une zone qui nécessite une réponse immédiate ou de planifier à l’avance les zones où la foule augmente », a ajouté le porte-parole de Mardi Gras.
« Il n’y a pas de suivi de reconnaissance faciale et il ne peut pas suivre les gens d’un endroit à l’autre. Il fournit des mesures en temps réel qui donnent un instantané de la foule sur l’ensemble du parcours à n’importe quel moment afin d’informer les décisions proactives de gestion de la foule. »
Ils ont également déclaré que les données ont été traitées par les organisateurs du défilé, qui ont alimenté des « métriques spécifiques » aux forces de l’ordre sur le terrain pour diriger les participants. Ils ont insisté sur le fait qu’aucune autre donnée n’a été partagée avec les forces de l’ordre.
Le Média en 4-4-2 vous présente à travers sa série « Artistes à contre-courant » des personnalités qui choisissent de sortir des sentiers battus malgré les défis qui en découlent. Pour le cinquième épisode, nous recevons l’illustrateur et auteur René Bickel. Cet autodidacte est un dessinateur engagé, écologiste dans l’âme qui a choisi une arme redoutable pour faire passer ses messages : l’humour. Il dépeint une société dont le « progrès » réside avant tout dans la mise en place d’un ordre mondial dont il s’attache à démontrer les buts premiers et inavoués de la domination et de l’exploitation des individus.
« Tout est planifié pour empêcher l’individu de se construire et de chercher sa réalité propre. »