J’avais 8 ans lorsque JFK a été assassiné. Ce n’est que vers la trentaine que j’y ai réfléchi (enfin, peut-être une « première réflexion » une dizaine d’années avant toute considération sérieuse). J’avais 9 jours avant d’avoir 14 ans lorsque l’homme a prétendument fait un pas de géant sur la Lune — je n’y ai pas réfléchi une seconde — c’était vrai, bien sûr.
J’ai failli être appelé sous les drapeaux pour participer à la « juste » guerre du Viêt Nam et j’ai vécu d’innombrables événements mondiaux dont je n’étais même pas conscient. Des événements qui impliquaient des faux drapeaux, des manipulations de la CIA et Dieu sait quoi d’autre. J’ai vécu tout cela sans même y prêter attention : c’était tout ce qu’on m’avait dit, rien de plus. C’était comme d’habitude. La plupart des choses, sinon toutes, ne m’affectaient pas directement, ni ma capacité à manger, à travailler, à jouer et à vivre ma vie dans un confort relatif.
J’ai finalement reçu le grand coup de pied aux fesses lorsque le Covid est arrivé, et alors que je me réveillais lentement, j’ai réalisé que tout ce qui m’avait échappé dans ma vie et que j’avais tenté de croire normal était tout sauf normal. Ne vous méprenez pas, je pense que j’ai toujours été un tout petit peu éveillé. Je me suis souvent gratté la tête et j’ai toujours été intéressée par la vision alternative des choses.
Mais ces compréhensions ont toujours été périphériques pour moi. L’essentiel de la vie était généralement bon, les gens étaient dignes de confiance, le gouvernement était parfois loufoque, mais il était en général bienveillant et s’efforçait d’être décent. Les choses hideuses, bizarres ou trompeuses étaient des anomalies, pas la norme.
Je pense que le 11 septembre m’a fait toucher le fond, mais je n’avais pas encore perdu la foi dans les fondements de la « justesse » du monde. Mais tout s’est effondré lorsque le Covid a commencé son déchaînement de rhétorique fallacieuse et de mensonges trompeurs. Aujourd’hui, j’ai bouclé la boucle et je n’ai plus confiance en rien, tout est mauvais, laid et maléfique. Il est difficile de me convaincre qu’il y a ne serait-ce qu’une seule personne décente au pouvoir dans le monde.
Où cela me (nous) mène-t-il ? Il est difficile de répondre à cette question. Je sais que nous sommes plutôt bien lotis dans l’opulent Occident, l’Amérique du Nord « libre et courageuse ». C’est ainsi depuis un certain temps, et si vous n’êtes pas trop regardant, vous pouvez vivre une vie assez insouciante même si les asticots sont juste en dessous de la surface en train de ronger.
Bien sûr, vous serez confronté aux problèmes habituels (perte d’emploi, maladie, enfants turbulents), c’est une évidence, mais pour l’essentiel, si vous jouez bien vos cartes et suivez les règles, vous pouvez vous en sortir. À moins, bien sûr, d’être socialement marginalisé. Mais même dans ce cas, la situation est bien meilleure que par le passé et certainement meilleure que dans la plupart des autres régions du monde.
L’essentiel est donc d’ignorer les zones d’ombre (voir mon article « It’s All About the Story »), de se conformer à tout ce que « l’Homme » vous demande, et vous serez en sécurité. Lorsque vous aurez traversé la tempête (quelle qu’elle soit), vous pourrez reprendre votre vie agréable. Du plaisir, des jeux, de la nourriture, des voitures, des choses — beaucoup de choses. Le bonheur. Jusqu’à ce que, bien sûr, vous réalisiez que vous n’êtes pas vraiment heureux. Vous savez que vous devriez être heureux, mais vous ne l’êtes pas.
Inutile de dire que la vie heureuse est éphémère. Beaucoup d’entre nous ne le savent pas, pas encore, mais cela ne va pas durer longtemps. Il y a des dragons sur les bords, et nous nous dirigeons lentement vers le bord. Bien sûr, les dragons dont on nous dit qu’ils sont là (comme le changement climatique, la surpopulation, les pénuries de carburant, les pandémies, les vaches en trop grand nombre, etc.) ne sont pas les vrais dragons. Ce sont les dragons que l’agenda nous présente, et ils présentent ces dragons particuliers parce qu’ils les ont créés, et qu’ils ont donc une solution pour y faire face. Très fondamentalement, toutes les solutions qu’ils proposent se résument à créer un monde avec « moins de nous ».
Lorsque nous commencerons à mourir en masse (déjà des millions de morts en trop depuis 2020, et ce n’est pas à cause de la maladie qu’ils appellent Covid), ils nous diront qu’il y a une lueur d’espoir : moins de gens, c’est moins de dragons. Nous avons déjà été convaincus que nous sommes un cancer pour la planète. Et que nous devrions vraiment être éradiqués. Seuls les plus méritants devraient vivre. Ceux qui sont suffisamment riches pour obtenir les implants, les organes artificiels, la vie prolongée — les riches sont l’élite, la classe dirigeante. Les autres sont des mangeurs inutiles. Ils garderont quelques-uns d’entre nous pendant un certain temps parce que c’est probablement plus avantageux pour eux. Mais ceux d’entre nous qu’ils garderont seront au mieux des serfs, au pire des esclaves. Mais ces personnes seront prises en charge et seront heureuses.
La seule chose, c’est qu’elles ne seront pas heureuses. Les forces d’élite qui sont derrière tout cela ont avalé leur propre pilule. Elles pensent que tout ce qui rend un être humain heureux, c’est la richesse matérielle, la nourriture, le sexe, le divertissement, des objets, la santé et l’absence de souffrance. Elles ne pensent pas à l’âme et à ce dont l’âme a besoin pour être satisfaite et épanouie. Cela ne leur vient jamais à l’esprit. Selon eux, nous sommes des machines, et nous sommes des machines qui ne font l’expérience de la vie qu’à travers les sens. L’idée d’une âme est un mythe (voir les travaux de Noah Harari). Si nous gardons nos sens heureux et satisfaits, rien d’autre n’a vraiment d’importance. Lisez Le meilleur des mondes de Huxley pour en savoir plus à ce sujet… une vision brillante datant d’il y a près de 100 ans.
Ils vont donc nous installer dans des villes intelligentes, limiter nos déplacements, nos libertés et nos ressources, nous interdire de posséder quoi que ce soit et nous inonder de « choses » qu’ils nous loueront. Jeux, holodecks, drogues, sexe (porno — pas de sexe avec de vraies personnes, bien sûr, car nous pourrions confondre le sexe avec l’amour, et nous ne pouvons pas avoir cela, bien sûr) — tout cela sera abondant. Ils diront : « Vivez pleinement votre vie », « Soyez heureux ». Mais ils limiteront nos contacts avec les autres humains que nous aimons, ils limiteront nos sources de vénération, ils limiteront ou détruiront notre communauté, ils tenteront de détruire la nature. Mais ils penseront que rien de tout cela n’a d’importance.
Je suis presque certain que leur plan échouera. Qu’en pensez-vous ? Nous (ou je devrais dire beaucoup d’entre nous, si ce n’est la plupart — à l’exception de la plupart d’entre vous qui lisez ceci) jouerons le jeu pendant très longtemps. Comme nous le faisons manifestement en ce moment. Titiller les sens fonctionne toujours pendant un certain temps.
Les toxicomanes sont heureux au début, puis ils se ratatinent et meurent. Inévitablement, la satisfaction des sens matériels finit par se retourner contre eux. Mais malheureusement, beaucoup de gens souffriront avant de se rendre compte qu’ils se sont fait avoir. C’est alors qu’ils s’en rendront compte. Et lorsqu’ils le feront, la grande expérience de Dieu reprendra, cette fois avec une compréhension plus claire de ce qui donne un sens à la vie.
Todd Hayen PhD
Si cette nouvelle technologie nous est présentée comme un moyen de lutter contre le fléau des morts sur la route, la réalité semble toute autre. Imposée par les institutions européennes, cette nouvelle mesure semble être une volonté bien éloignée des simples questions sécuritaires.
Surveillance et contrôles renforcés
L’intégration de la reconnaissance faciale dans les véhicules ouvre la porte à une surveillance accrue des conducteurs. En reliant cette technologie aux systèmes de contrôle routier, l’État ou les entreprises privées pourraient avoir accès à des informations précises sur les déplacements de chaque individu.
Ce système pourrait être utilisé pour :
Traquer les habitudes de conduite : Chaque fois que vous montez dans votre véhicule, vos trajets seraient potentiellement suivis, enregistrés et analysés, créant un profil de vos comportements. Cette collecte de données soulève des questions sur leur exploitation à des fins commerciales ou gouvernementales.
Amendes automatiques : Si la reconnaissance faciale est couplée à un système de contrôle automatisé des infractions, cela pourrait mener à une gestion stricte et inflexible des infractions (excès de vitesse, utilisation du téléphone, etc.). Chaque comportement répréhensible pourrait être immédiatement enregistré et sanctionné, sans intervention humaine.
Criminalisation des comportements : Certains comportements bénins ou les oublis mineurs, comme le fait de ne pas attacher sa ceinture immédiatement, pourraient entraîner des amendes automatiques, exacerbant une logique de « zéro tolérance ». Ce type de contrôle rigide limite la flexibilité des interactions humaines.
Quel impact sur vos assurances ?
L’obligation de reconnaissance faciale pourrait transformer radicalement le secteur des assurances automobiles.
En effet, cette technologie permettrait aux compagnies d’assurance d’accéder à des données très fines sur votre conduite, modifiant ainsi la manière dont les contrats sont établis et les primes calculées.
Les conséquences possibles incluent :
- Tarification en fonction du comportement : En analysant en temps réel votre manière de conduire (vitesse, vigilance, respect du code de la route), les assureurs pourraient ajuster vos primes en fonction de votre « risque » estimé. Cela créerait une forme de discrimination algorithmique, où les conducteurs seraient pénalisés financièrement pour des comportements jugés « à risque ».
- Exclusions ou restrictions de couverture : Si le système identifie des comportements dangereux ou des infractions récurrentes, l’assureur pourrait choisir de restreindre votre couverture ou même de refuser de vous assurer. Les conducteurs n’auraient plus seulement à répondre de leurs accidents, mais également de leurs habitudes quotidiennes de conduite.
- Délégitimation de la vie privée : En collectant des données personnelles, comme l’état de fatigue ou la fréquence d’utilisation du véhicule, les compagnies d’assurance pourraient évaluer des éléments qui relèvent normalement de la sphère privée. Cela soulève des questions éthiques quant à la légitimité de cette intrusion dans la vie des assurés.
Risque de dérives autoritaires
En reliant cette technologie à d’autres bases de données (étatiques, fiscales, médicales), il deviendrait possible de croiser les informations sur les citoyens, facilitant le contrôle social.
Par exemple, des citoyens déjà fichés pour des opinions dissidentes ou critiques envers le gouvernement pourraient être davantage surveillés.
Les implications politiques incluent :
- Limitation des déplacements : En cas de non-respect de certaines réglementations (impôts, comportements « déviants », etc.), les autorités pourraient restreindre ou surveiller vos déplacements. Un système pourrait être mis en place pour vous empêcher de conduire (empêcher le véhicule de démarrer) ou limiter l’accès à certaines zones.
- Répression des opinions dissidentes : Tout comme pour les réseaux sociaux, où les comportements « non conformes » peuvent entraîner des sanctions (comme la suppression de comptes), la reconnaissance faciale dans les véhicules pourrait servir à réprimer les citoyens jugés indésirables, en leur imposant des restrictions de déplacement ou en multipliant les amendes pour des infractions mineures.
Conclusion
La reconnaissance faciale obligatoire dans les véhicules neufs pose donc des problèmes majeurs en termes de libertés individuelles.
Si elle continue à évoluer, cette technologie pourrait instaurer une forme de contrôle social sur le même modèle que la Chine, et une surveillance massive, bien au-delà de la simple sécurité routière. Étant donné que les médias nous vendent cette technologie comme quelque chose de bien, permettant d’éviter des morts sur les routes, beaucoup n’y voient aucun mal et sont même d’accord.
Mais comme on a pu le voir durant la crise sanitaire, notre santé est le cadet de leurs soucis !
L’acteur populaire de la série des L’Arme fatale aura beaucoup de mal à boucler son budget (30 millions de dollars), et les grands pontes d’Hollywood – dont le puissant Harvey Weinstein – lui firent des misères : il a été accusé d’antisémitisme – alors que Mel adore Jésus, un juif –, d’alcoolisme et autres fadaises. C’est vrai que Mel picole un peu, et quand il est pété, raconte des méchancetés sur les magnats du cinoche, ce qui n’arrange pas les choses. Mais c’est un cœur pur, et surtout il a les moyens de dire shit à ceux qui veulent le censurer.
Comme le héros de Braveheart est têtu, et combatif, il remet une pièce dans la machine et prépare la suite de la Passion, qui avait été un succès planétaire (le film rapportera vingt fois son budget : les magnats des studios auraient dû miser dessus !). Ce sera Résurrection et le tournage commencera en 2025. Connaissant un peu Gibson et son cinéma, Jésus ne va pas revenir pour buter un à un ceux qui l’ont persécuté et mis en croix. Ce ne serait pas fidèle aux Évangiles, et puis le Dieu du Christ est un Dieu de pardon, pas comme l’autre. Ah, Mel est un catho tradi, plus ou moins pratiquant.
On ne verra donc pas Jésus éliminer un à un tous les salauds, comme Mel dans Payback (1999), ou comme Rudy Youngblood dans le magnifique Apocalypto, un film plein de sous-entendus sorti deux ans après La Passion, à lire bien entre les images.
2004, le dernier sursaut catho à la télé
La polémique autour de la sortie du film en France avait donné lieu à des séquences savoureuses. Ardisson avait donc balancé Weinstein, ce chantre de toutes les libertés qui voulait censurer Gibson, mais sur les autres plateaux, c’est la tendance antichrétienne qui l’emportait. Les envoyés de l’Église ne faisaient pas le poids face à des médiateurs bien en place, et très solidaires...
Dans Culture et Dépendances, Franz-Olivier Giesbert résumait le Gibson : « Ce film est l’histoire de quelqu’un qui se fait tabasser pendant deux heures, c’est du Tarantino quoi, c’est du Tarantino sans le sourire. »
Dans la même émission, le père Jean Charles-Roux, qui a fait la messe à Mel, envoyait une pique à Éliette Abécassis : « Vous prenez la communion souvent ? »
Dans Piques et polémiques, l’abbé de La Morandais tentait une révolte molle : « Cathophobe c’est à la mode, alors les cathos, ils commencent à en avoir marre. »
Vingt ans plus tard, il n’y a plus trace de catholicisme à la télé, hormis Le Jour du Seigneur, l’émission du dimanche matin, suivie de la messe sur France 2. Elle rassemble 600 000 téléspectateurs, et quatre fois plus le dimanche de Pâques. Un léger remords ?
Une étude de l’université de Princeton menée par Gilens et Page a effectué une analyse de régression sur plus d’un millier de décisions de politique publique, et a déterminé que l’effet de l’opinion publique sur la politique publique est nul. C’est exact, nul. La façon dont vous votez n’a pas d’importance, elle n’affecte pas le résultat de façon mesurable. Par extension, cela vaut également pour les manifestations, l’organisation, le fait de s’asperger d’essence et de s’immoler par le feu sur les marches du Sénat américain, ou toute autre activité que vous pourriez entreprendre. Cela n’influencera en rien les détenteurs du pouvoir.
Mon billet précédent a donné lieu à plusieurs versions de la même question : Mais qui est vraiment aux commandes ? Qui sont les marionnettistes ? Ce billet a été publié pour la première fois le mardi 13 mai 2014 sur https://cluborlov.blogspot.com. Il devrait répondre à cette question. Les marionnettistes ne sont pas des humains mais des sacs d’argent.
Voici le graphique qui illustre cette relation : le soutien du public à une question donnée peut varier de 0 % à 100 % ; la probabilité que la politique publique suive reste bloquée à 30 %. Peu importe que vous votiez ou non, vous gaspillez votre vote de toute façon. Ou, si cela vous rassure, il est gaspillé pour vous.
Et qui sont les personnes au pouvoir ? Ce sont les oligarques, bien sûr, ceux qui possèdent à peu près tout, y compris votre bonne personne. Gilens et Page ont déterminé que les opinions de l’élite économique et des groupes d’entreprises ont un effet profond sur les politiques publiques. Si ce groupe est fermement opposé à une politique, celle-ci ne sera pas adoptée : 0 % de soutien de la part de ce groupe signifie qu’il n’y a aucune chance que la politique soit adoptée. En revanche, si ce groupe soutient une politique à 100 %, les chances qu’elle soit adoptée montent en flèche, jusqu’à 70 %. En résumé, si le fait de voter pour ou contre une question n’a pas la moindre importance, le fait de consacrer beaucoup d’argent à l’un ou l’autre côté d’une question en a beaucoup. Les partis politiques, les campagnes, les élections et toutes ces absurdités ne sont qu’un spectacle. Le véritable pouvoir réside ailleurs.
Alors, que faites-vous lorsque, le jour des élections, vous entrez fièrement dans l’isoloir et tirez sur un levier ou touchez l’écran tactile d’une machine à voter ? Vous ne prenez certainement pas de décision, cela a déjà été prouvé. Mais vous faites tout de même quelque chose : vous votez pour soutenir vos propriétaires, ceux qui prennent les décisions de politique publique en votre nom. Si vous votez, c’est que vous approuvez ce qu’ils font.
Et que font-ils ? Pour eux, la première chose à faire semble être de s’assurer que les riches continuent à s’enrichir tandis que les pauvres s’appauvrissent et que la classe moyenne soit… eh bien… renvoyée de sa classe. Si ce type de politique publique vous semble autodestructeur, c’est probablement parce qu’il l’est. Chaque fois qu’on la laisse suivre son cours, les résultats sont épouvantables – surtout pour les riches qui ont continué à s’enrichir, dont les cadavres finissent par festonner les lampadaires et dont le jet artériel ajoute une touche de couleur aux places de la ville.
Après le National, le Conseil des États a approuvé à son tour un projet de e-ID du Conseil fédéral. La nouvelle e-ID sera entièrement aux mains de l'État et "permettra aux titulaires de garder le contrôle de leurs données". Cependant, il est à noter que ces données pourraient être partagées avec des partenaires américains et chinois, tels qu'Alibaba, Amazon, IBM, Microsoft, et Oracle, qui gèrent déjà les données publiques depuis 2021. Cela signifie que ces entreprises pourraient avoir accès à vos activités en ligne et potentiellement vous bloquer si nécessaire.
Pour obtenir cette e-ID, il suffira de scanner sa carte d’identité dans une application de la Confédération. Les Suisses auront accès dès 2026 à une e-ID émise par la Confédération. Au début, l’e-ID sera facultative.
Après le National, le Conseil des États a approuvé quasi à l’unanimité le projet d’identité numérique du Conseil fédéral. La e-ID permettra de prouver son identité dans le monde virtuel, de manière similaire à la carte d’identité ou au passeport dans le monde physique, sans toutefois les remplacer.
L’objectif du projet est « de permettre aux citoyens de s’identifier de manière sûre et simple dans le monde virtuel dès 2026 ». Par exemple, lors de la demande d’une attestation de domicile à la commune, de l’achat d’un permis de conduire électronique, ou lors d’un achat sur Internet exigeant une limite d’âge.
Le ministre de la Justice, Beat Jans, a plaidé que l’e-ID doit « faciliter » la vie et faire gagner du temps et de l’argent. Cependant, cela pourrait également faciliter le travail des forces armées de l’État pour identifier les citoyens dont les activités en ligne vont à l’encontre des souhaits du gouvernement.
L’Office fédéral de l’informatique se chargera de l’infrastructure nécessaire à l’e-ID, tandis que l’Office fédéral de la police (Fedpol) sera responsable de l’émission de l’identité numérique. Concrètement, il suffira de scanner sa carte d’identité, son passeport ou son titre de séjour dans une application dédiée, suivi d’une vérification filmée via un selfie. Fedpol émettra ensuite l’e-ID en quelques minutes.
Les fournisseurs privés de telles applications seront en principe admis pour la conservation et la présentation de l’e-ID à l’avenir, mais ils devront respecter les règles strictes du Conseil fédéral. Cela signifie que les fournisseurs privés pourraient potentiellement avoir accès à toutes nos données.
Pour rappel, un précédent projet de e-ID avait été rejeté à 64% par le peuple en mars 2021. La mise en place et la gestion de l’identité numérique par des privés avaient largement cristallisé la fronde contre cette réforme.
Cette fois, la sécurité des données est garantie, selon le rapporteur de commission Matthias Michel (PLR/ZG). La nouvelle e-ID sera entièrement en mains publiques et permettra aux titulaires de « garder le contrôle de leurs données ». Les coûts de mise en œuvre jusqu’en 2028 seront de 182 millions de francs suisses. Les frais d’exploitation, à partir de 2029, sont estimés à 25 millions.
Les experts en maladies infectieuses sont contrariés par le fait que, quatre ans après la pandémie de coronavirus, le public n'écoute plus leurs « recommandations » concernant les vaccins et les autres méthodes de prévention supposées contre le COVID-19.
Selon un rapport du journal de gauche The Guardian , les experts en maladies infectieuses se plaignent que le COVID-19 constitue toujours une menace massive pour le public et que les gens doivent continuer à recevoir des vaccins de rappel à chaque fois qu'ils en ont l'occasion.
Le rapport indique ce qui suit :
Les experts en maladies infectieuses affirment que de nombreuses personnes ne prennent pas suffisamment au sérieux la dernière vague de Covid-19 aux États-Unis et ne se font pas vacciner ou n'utilisent pas de médicaments antiviraux lorsqu'elles sont malades, malgré une vague estivale plus importante et plus précoce que prévu.
Selon les épidémiologistes, même si les symptômes de cette vague sont plus légers que ceux des souches précédentes, le virus reste une menace, en particulier pour les personnes âgées et les personnes souffrant de problèmes de santé sous-jacents.
En conséquence, les responsables de la santé publique invitent les gens à faire un rappel dès maintenant - à moins qu'ils n'aient récemment reçu le Covid, auquel cas ils doivent attendre trois ou quatre mois - et à faire un test rapide lorsqu'ils sont malades. Et s'ils ont contracté le Covid, ils doivent demander à leur médecin de leur prescrire un traitement antiviral.
L'article cite ensuite plusieurs experts en maladies infectieuses, dont Jennifer Nuzzo, épidémiologiste et directrice du Pandemic Center de la Brown University School of Public Health, Justin Lessler, professeur d'épidémiologie à l'université de Caroline du Nord, et Bill Hanage, épidémiologiste à la Harvard TH Chan School of Public Health.
Ces experts, dont beaucoup ont faussement vanté les mérites du port du masque et nié que les injections de COVID-19 aient des effets secondaires graves, invitent les gens à prendre le virus plus au sérieux.
Alors que The Guardian encourage les gens à continuer à prendre les vaccins COVID, le journal de centre-droit The Telegraph a récemment admis que « les vaccins COVID pourraient avoir contribué à alimenter l'augmentation de la surmortalité ».
De tels titres donnent raison aux nombreux reportages de The Gateway Pundit, qui a exposé à maintes reprises les effets secondaires potentiels et le manque d'efficacité des vaccins COVID, ainsi que les méthodes totalitaires utilisées par le régime Biden et les fonctionnaires démocrates pour tenter d'imposer ces vaccins au peuple américain.
Il a placé deux agneaux en bonne santé dans des cages séparées, mais seul l’un d’eux pouvait voir un loup dans une troisième cage à proximité. Les résultats de cette expérience étaient tout simplement stupéfiants.
Les deux agneaux recevaient la même nourriture, et leur poids de départ était identique. Cependant, après plusieurs mois, l’agneau qui pouvait voir le loup est devenu irritable, agité et faible, montrant une perte de poids significative et des signes de mauvais développement.
L’agneau soumis à un stress chronique, constamment exposé au danger perçu, a finalement succombé. En réalité, le loup ne représentait aucune menace réelle, mais cela dépassait la compréhension de l’agneau.
Cette expérience a démontré que des niveaux élevés de cortisol, l’hormone du stress, impactent négativement le métabolisme des mammifères.
Mille ans plus tard, nous nous retrouvons dans une situation similaire, mais cette fois-ci, nous sommes pleinement conscients des effets nocifs du stress.
Réfléchissez à ceci : au cours des quatre dernières années, nous avons été bombardés par les médias et la propagande gouvernementale au sujet d’un virus similaire à un rhume commun qui ne présentait que peu de risques pour la majorité des gens. Pourtant, des mesures extrêmes à l’échelle mondiale ont été prises en réponse.
Nous avons été témoins de certaines des mesures les plus sévères jamais prises à une si grande échelle : confinements forcés, fermeture de toutes les installations sportives, destruction des moyens de subsistance, conduisant à des avenirs incertains, déploiement précipité de vaccins insuffisamment testés.
Presque tout le monde sur cette planète vivait dans un état de peur constante. L’anxiété et le tourment intérieur étaient devenus les émotions dominantes, alimentées par des médias qui ne cessaient d’amplifier leurs tactiques de peur et de manipulation.
Combien de personnes sont mortes en raison du stress chronique et de l’isolement social, surtout parmi les personnes âgées ?
Quatre années de propagande incessante et de dramatisation ont profondément influencé le comportement et les perceptions des gens, démontrant à quel point la peur est un outil puissant utilisé par les élites pour contrôler les masses. Avec le recul, la meilleure précaution aurait été de jeter votre téléviseur.
Cette arrestation ne fait pas suite à la participation de ce dernier à des actions illicites, ou à de la fraude fiscale ; pas plus que parce qu’il se livrerait à du trafic de drogue ou d’êtres humains. Non, on l’a arrêté parce qu’il est pour la liberté d’expression. On l’a arrêté pour faire pression sur lui pour qu’il accepte que le gouvernement français ait accès aux échanges publiés sur Telegram.
La seule véritable raison de cette arrestation c’est le refus de Pavel Durov de donner un accès aux informations échangées sur son réseau aux services secrets, à la police, etc.
Cette arrestation a révélé qu’il était inqualifiable, insupportable, pour une certaine classe politique que l’on puisse laisser les gens discuter entre eux, sans aucun contrôle sur leurs paroles et leurs pensées.
La version officielle qui est dévoilée au public présente une arrestation d’un homme soi-disant fiché au FPR (fichier des personnes recherchées), avec au-dessus de la tête un mandat de recherche français émis par l’Office mineurs (OFMIN) de la direction nationale de la police judiciaire française, sur la base d’une enquête préliminaire. Une version à peine crédible dans la mesure où Pavel Durov n’est pas suffisamment stupide pour se poser sur le territoire d’un pays où il sait pertinemment faire l’objet d’un mandat d’amener. Il est par conséquent beaucoup plus crédible de croire ce que l’on cache soigneusement sous le tapis, à savoir que ce fameux «mandat» aurait été émis quelques minutes seulement avant que son avion ne se pose, ce qui aurait évité qu’il n’en soit averti et qu’il ne puisse aussitôt quitter l’espace aérien français.
L’arrestation aurait été menée par les agents de la gendarmerie des transports aériens (GTA), du commandement de la gendarmerie dans le cyberespace (COMCyberGEND), de l’Office national antifraude (ONAF) ainsi qu’un équipage de la police aux frontières (PAF). Tout ça pour un seul homme non armé, qui vient sur le sol français accompagné de sa petite amie et de son garde du corps et qui ne représente aucun danger pour personne. Mais il est vrai qu’au pays du totalitarisme nous n’en sommes plus à ça près.
Ce qu’il y a de plus choquant dans cette arrestation c’est que les médias et une classe politique qui devraient se soulever en masse contre ça, non seulement l’acceptent mais l’encouragent. Même des Français écrivent sur la propre chaîne de l’un d’eux, bien connu pour être installé en Russie et naturalisé russe, que « Depuis le début de l’opération spéciale (SMO), par exemple, Telegram joue un rôle central dans la diffusion d’informations sur le conflit, avec des groupes et des canaux diffusant des images et des nouvelles exclusives que les médias traditionnels ne peuvent égaler ni en quantité ni en rapidité. L’information circule ainsi librement, mais sans contrôle. Elle est diffusée brute, nécessitant de la part des utilisateurs un recul critique pour distinguer le vrai du faux. C’est là que réside le problème fondamental : un public peu informé ou candide peut facilement être manipulé et, par conséquent, propager involontairement de fausses informations selon le principe des cercles concentriques tels que ceux créés par un caillou jeté à l’eau. Par ailleurs, se pose la question de la violence des images, des propos, du harcèlement en ligne, ainsi que des activités délictueuses telles que la pédo-criminalité, la vente de drogues ou d’armes via ces réseaux. Doit-on, au nom de la liberté d’expression, accepter que de telles choses soient possibles et visibles par tous ?
Doit-on accepter que nos enfants, parce qu’ils sont jeunes et vulnérables, puissent être exposés à de tels dangers ?
Dans ce contexte, le gouvernement français joue pleinement son rôle en cherchant à protéger ses concitoyens ».
Ce que ce «Français», désormais nationalisé russe laisse publier sur sa chaîne et oublie de préciser c’est que justement l’arrestation de Pavel Durov n’a strictement rien à voir avec la protection des enfants. Le croire relève de la naïveté, pour ne pas dire de la stupidité, la plus profonde.
Pas de doute les Français vivent désormais au cœur de 1984. La liberté d’expression, qui devrait être un droit garanti devient de plus en plus restreinte. L’arrestation de Pavel Durov auquel on reproche «le manque de modération de sa plateforme» prouve bien que la seule véritable raison masquée derrière cette détention est le fait que les «services» ne peuvent pas accéder aux conversations privées de Telegram. Certes on ne pouvait pas arrêter Pavel Durov sous le simple motif qu’il permettait à tout un chacun d’avoir des échanges privés, donc les motifs «officiels» de son arrestation si l’on en croit le communiqué de la procureur Laure Beccuau sont :
Complicité – Administration d’une plateforme en ligne pour permettre une transaction illicite en bande organisée,
Refus de communiquer, sur demandes des autorités habilitées, les informations ou documents nécessaires pour la réalisation et l’exploitation des interceptions autorisées par la loi,
Complicité – Détention de l’image d’un mineur présentant un caractère pédo pornographique,
Complicité – Diffusion, offre ou mise à disposition en bande organisée d’image de mineur présentant un caractère pornographique,
Complicité – Acquisition, transport, détention, offre ou cession de produits stupéfiants,
Complicité – Offre, cession ou mise à disposition sans motif légitime d’un équipement, un instrument un programme ou donnée conçu ou adapté pour une atteinte et un accès au fonctionnement d’un système de traitement automatisé de données,
Complicité – Escroquerie en bande organisée,
Association de malfaiteurs en vue de commettre un crime ou un délit puni de 5 ans au moins d’emprisonnement,
– Blanchiment de crimes ou délits en bande organisée,
– Fourniture de prestations de cryptologie visant à assurer des fonctions de confidentialité sans déclaration conforme,
– Fourniture d’un moyen de cryptologie n’assurant pas exclusivement des fonctions d’authentification ou de contrôle d’intégrité sans déclaration préalable,
– Importation d’un moyen de cryptologie n’assurant pas exclusivement des fonctions d’authentification ou de contrôle d’intégrité sans déclaration préalable.
Mais dans tout ça la seule raison qui ressort reste incontestablement «Refus de communiquer, sur demandes des autorités habilitées, les informations ou documents nécessaires pour la réalisation et l’exploitation des interceptions autorisées par la loi».
Donc, refus de trahir les échanges privés de ses abonnés en se livrant à une délation de style hitlérien. C’est de la même eau que si l’on vous avait demandé durant la dernière guerre de devenir un délateur et de «vendre les juifs». En osant s’attaquer de front à la liberté d’expression à travers l’arrestation du PDG de Telegram la France ne relève pas le niveau.
Le 25 août, des responsables de Telegram ont publié : «Telegram respecte les lois de l’Union européenne, y compris la loi sur les services numériques (Digital Services Act) — sa modération est conforme aux normes de l’industrie et s’améliore constamment».
Malgré cela, depuis samedi, les «services» français mettent une totale pression sur Pavel Durov pour l’obliger à ouvrir sa plateforme afin que la «police» de l’État français ainsi que la Commission européenne, représentée par le «champion de la liberté d’expression» Thierry Breton, puissent surveiller l’intégralité de nos échanges.
Or, la liberté d’expression est un droit absolument fondamental ! Si les médias français réalisaient leur travail ils devraient être unanimement vent debout contre cette arrestation. Et que constate-t-on ? Qu’ils ne songent en fait qu’à flinguer la vérité. Car c’est ça l’information en France. Des médias à la solde de la bien-pensance, à la solde des gouvernements, et qui veulent absolument détruire toutes ces plateformes internet pour éviter toute concurrence, pour éviter toute dissonance cognitive, pour que nous soyons obligés de n’écoutez qu’eux, parce que les plateformes comme Telegram offrent un autre son de cloche, et montrent d’autres images que celles que les médias officiels censures. L’information sur Telegram ne peut être contrôlée, elle est libre, et ça c’est inacceptable pour la France et l’UE.
Si la classe politique de gauche – qui n’arrête pas de nous bassiner avec la liberté – était réellement libre et sincère, elle devrait s’élever contre cette arrestation. Mais bien au contraire cette gauche se réjouit de l’arrestation de Pavel Durov avec en tête une Sandrine Rousseau, dotée de l’ineffable intelligence que nous lui connaissons, qui déclarait : «cette arrestation est une bonne nouvelle pour les Droits humains !» Il est vrai que «l’ignorance c’est la force» écrivait George Orwell. Donc pouvoir échanger sans être espionné par un état est une mauvaise nouvelle pour les droits humains !
Un tel niveau de bêtise mérite pour le moins un oscar. Comment peut-on se réjouir de l’arrestation d’un homme sur le simple prétexte qu’il laisse les gens s’exprimer en toute liberté ?
George Orwell peut être fier de son roman. La France a réalisé ce miracle de transformer 1984 en une dystopie quotidienne : contrôle de la pensée, réécriture de l’Histoire, censure omniprésente… Bienvenu dans le monde du cauchemar.
L’arrestation de Pavel Durov a néanmoins soulevé des protestations au niveau mondial. D’autant que les «services» français ont refusé aux services consulaires de l’Ambassade de la Fédération de Russie tout accès à leur compatriote, prétextant que celui-ci était devenu français en 2021. L’affaire a pris de telles proportions que des parlementaires russes dont Leonid Edouardovitch Sloutski député à la Douma au sein du Parti libéral-démocrate en tête, et des députés français, envisagent de créer un comité de soutien à Durov s’il n’était pas libéré dans les 48 heures après son arrestation. Sans compter le commentaire de Medvedev qui affirmait de son côté : «Le président français Emmanuel Macron doit quitter le pays de toute urgence, car une armée de ses partisans vient le chercher après que les forces de l’ordre françaises ont arrêté le fondateur de la messagerie Telegram, Pavel Durov».
À leur tour les Émirats arabes unis ont exhortés la France à fournir une assistance consulaire à Pavel Durov. Aux USA, Edward Snowden, ancien employé de l’Agence de sécurité nationale des États-Unis, a déclaré que l’arrestation et la détention du fondateur de Telegram constituent une violation des droits fondamentaux de l’homme et de la liberté d’expression. Elon Musk a également exprimé sa désapprobation des autorités européennes, décrivant cette arrestation comme une attaque contre la liberté d’expression. Dans plusieurs postes, Elon Musk a exigé justice pour Durov. Un message de l’entrepreneur américain Vivek Ramaswamy affirme que «C’est Telegram aujourd’hui. Ce sera X demain». Nous ne pouvons que lui donner raison.
Avec cette arrestation plus que controversée, Emmanuel Macron frise le ridicule le plus absolu et poursuivre la détention de Pavel Durov ne fait que renforcer cette image.
Des sources russes fiables laissaient entendre que Pavel Durov pourrait être libéré aujourd’hui. Notons que nos multiples demandes auprès des services de Mme la procureur Laura Beccuau pour obtenir des informations avérées, sont demeurées sans réponse. Le «service» ne répondant ni aux appels téléphoniques ni aux mails. Cela semble prouver que les Français non seulement «ont les fesses sales» mais surtout qu’ils n’obtiennent rien malgré une prise d’otage dont ils espéraient emporter l’accès à des correspondances privées. Une fois de plus la France se ridiculise, mais il est vrai qu’elle n’en est plus à ça près.
Avec la hausse du mercure, les menaces pleuvent et les balles sifflent. Une étude menée par le Dr Vivian Lyons, de l’université de Washington aux États-Unis, révèle qu’entre 2015 et 2020, environ 8 000 fusillades auraient pu être évitées dans 100 grandes villes américaines si les températures n’avaient pas été anormalement élevées. Ce constat n’est pas isolé : une vaste littérature scientifique établit un lien entre les chaleurs extrêmes, dopées par le changement climatique, et les comportements violents.
En 2013, déjà, une analyse de chercheurs des universités de Berkeley et Princeton (États-Unis) montrait qu’à travers le monde, une simple hausse de 1 °C par rapport à la normale saisonnière suffisait pour que le nombre de violences — telles que les violences conjugales, meurtres, viols — augmente de 4 %.
Ces conclusions ont été, depuis, corroborées par des recherches récentes conduites à Los Angeles et Séoul (Corée du Sud), où chaque degré supplémentaire voit les crimes s’intensifier. Une analyse en Espagne a également mis en lumière une corrélation entre températures élevées et l’augmentation des appels à des services d’urgence pour violences domestiques.
L’agressivité augmentée par la chaleur
Deux grandes hypothèses peuvent expliquer cette corrélation. D’un point de vue physiologique, l’exposition à des chaleurs croissantes entraîne une accélération de notre rythme cardiaque, une augmentation de notre pression artérielle et une hausse des niveaux de cortisol — l’hormone du stress.
Ces effets sont susceptibles de rendre les individus plus irritables, altérer le contrôle de soi et les processus décisionnels, et diminuer la tolérance à la frustration. Les difficultés à trouver le sommeil, exacerbées par la chaleur, contribuent également à une détérioration de la santé mentale et une augmentation de l’agressivité.
Sur le plan social, les violences corrélées à la hausse du mercure mettent en évidence l’impréparation de certaines zones aux effets du changement climatique. La plupart des études montrent que le fardeau de la criminalité est encore plus critique dans les quartiers défavorisés. Dans ces zones, la promiscuité dans les logements, souvent dépourvus de climatisation, et le manque d’espaces verts pour respirer, exacerbent les tensions et les frustrations.
À Los Angeles, par exemple, les scientifiques ont observé une augmentation de 2,54 à 4,45 % de la criminalité dans les quartiers où la population vit sous du seuil de pauvreté, lors des fortes chaleurs, contre seulement 0,29 à 1,03 % dans les zones plus aisées.
Ces données soulignent que si la chaleur est un facteur de risque, elle n’est pas le seul déterminant de l’augmentation des violences. Les effets délétères du changement climatique sur les comportements humains sont exacerbés par les inégalités sociales. Ces conséquences, de mieux en mieux documentées, pourraient être largement atténuées avec des politiques de répartition des richesses, l’amélioration de l’isolation des logements et la création d’espaces verts dans les zones urbaines défavorisées.
Pourtant, la France a un incroyable vivier de talents, on le voit partout avec l’émergence, dans de mauvaises conditions, de champions hors normes. Mais ces talents se font tout seuls et sont généralement mal exploités. La faute à une politique sportive lamentable à l’école, qui est pourtant le lieu numéro un de la détection : tout le monde n’est pas bon en maths, il y en a qui sont meilleurs en basket, et ne nous faites pas dire ce qu’on n’a pas dit, genre les Noirs au ballon, les Blancs à l’équation.
Ceux qui pratiquent assidument un ou plusieurs sports savent la vétusté et la pauvreté des infrastructures nationales. Or, la jeunesse a besoin de se dépenser, de développer son corps, de se sentir bien dedans, et le sport contribue à cela mentalement et physiquement, pas besoin d’un dessin ou d’une démonstration. Malgré cette déficience structurelle, des talents naturels traversent le plafond et émergent médiatiquement.
Le cas des frères Lebrun est exemplaire : c’est le père, pongiste lui-même, qui les a formés, eux et leurs sœurs, sur le modèle des filles Polgar. Si c’est possible à l’échelon familial, ça le serait d’autant plus à l’échelon scolaire.
Oui mais voilà, les tables sont rares en ville ou à la campagne, à moins de s’en acheter une et d’avoir la place. Même topo pour les nageurs : hors scolaire, c’est cher, et minable. Les pistoches de 25 mètres sont prises d’assaut par des assoces dont les membres payent cher à l’année. Là encore, si vous avez une piscine individuelle ou un lac à côté... Combien de talents sont perdus à cause du manque d’installations ? Idem pour le foot, malgré la poussée post-1998 qui a vu les inscriptions d’enfants exploser.
Et c’est pas avec la Macronie, qui ne rime pas avec service public et grands travaux, que ça va changer. La France est condamnée à des one shot, des stars d’un jour ou d’une saison, qui auront du mal à tenir face à des pays ultra organisés comme l’Australie ou les USA. L’idéal, ce serait 5 heures de cours le matin, 2 heures de sport l’après-midi, et pas 2 heures par semaine.
Allez, on arrête de chialer sur la situation, et on en arrive au paradoxe et à la politique : la France, ce pays – volontairement – fracturé par ses dirigeants politiques, qui a tant de mal avec les sports individuels (personne n’a repris la barre de Lavillenie, par exemple), cartonne en sports collectifs. On suit le foot, le volley, le basket, le hand et le rugby depuis des années, et on est franchement dans une Trente Glorieuses. Si l’équipe masculine de hand a loupé les demies pour un point et une couille à la fin, elle mérite le dernier carré ou la finale. Le rugby à 7, c’est l’or, les handballeuses, l’argent ; le foot, l’argent pour les hommes de Titi Henry ; et le volley, c’est double médaille d’or après Tokyo 2021. Pourtant, il y a encore 10 ou 15 ans, le volley français était écrasé par les Brésiliens, les Polonais, les Russes et autres Américains. La génération dorée saura-t-elle faire des petits ?
Une étude a démontré que des nanoparticules (nanomatériaux) modulées par des champs magnétiques (neuromodulation magnétique) peuvent affecter le cerveau des souris et modifier leur comportement et leur appétit.
Nous présentons ici une boîte à outils magnétogénétique à base de nanomatériaux, associée à la technologie Cre-loxP, pour activer sélectivement les canaux ioniques Piezo1 codés génétiquement dans des populations neuronales ciblées via le couple généré par les actionneurs nanomagnétiques in vitro et in vivo », indique l’étude dans la section « Résumé ». « Nous démontrons que cette approche magnétique ciblant un type de cellule permet un contrôle précis à distance et spatio-temporel de l’activité neuronale du cerveau profond dans de multiples modèles comportementaux, tels que le contrôle bidirectionnel de l’alimentation, la neuromodulation à long terme pour le contrôle du poids chez les souris obèses et la modulation sans fil des comportements sociaux chez plusieurs souris dans le même espace physique. »
Les nanomatériaux, également appelés nanoparticules, ne mesurent que de 1 à 100 nanomètres, alors que l’épaisseur d’une feuille de papier est d’environ 100 000 nanomètres.
Les ondes lumineuses visibles s’étendent de 400 à 700 nanomètres environ, entre les parties inférieure et supérieure du spectre visible (l’arc-en-ciel) au sein du spectre électromagnétique élargi.
Par conséquent, les nanoparticules ne peuvent être observées qu’en leur envoyant des électrons au lieu de la lumière, comme le font les microscopes électroniques.
Bien que différentes en termes de déploiement et de nature, les vaccins à ARNm contre le Covid utilisent des nanoparticules lipidiques (graisse) pour délivrer de l’ARN messager modifié dans les ribosomes des cellules. Cette technologie est connue pour ses effets néfastes sur la santé.
Certaines nanoparticules sont également connues pour être liées à des accidents vasculaires cérébraux, tandis que les nanoparticules sont également appliquées à l’approvisionnement alimentaire.
Il n’est pas confirmé que ces nanoparticules sont utilisées pour contrôler l’esprit via la modulation de fréquences électromagnétiques, telles que celles émises par les tours de téléphonie cellulaire.
Ils ont testé cette « innovation » en provoquant des instincts « maternels » chez leurs sujets féminins. Dans un autre test, les chercheurs ont exposé un groupe de souris de laboratoire à des champs magnétiques conçus pour réduire l’appétit, ce qui a entraîné une perte de 10 % du poids corporel, soit environ 4,3 grammes », a déclaré Belle Carter dans Natural News. « Les scientifiques ont manipulé un réseau complexe de plus de 100 milliards de neurones en faisant tourner magnétiquement un minuscule actionneur pour tirer ou pousser des nanoparticules implantées dans le cerveau des souris. Selon les études, ce réseau est essentiel pour comprendre la cognition, les émotions et le comportement social. »
Cette technologie devrait être utilisée pour poursuivre les recherches visant à comprendre le fonctionnement du cerveau et à mettre au point des systèmes d’interface cérébrale bidirectionnelle – en d’autres termes, des systèmes de lecture de l’esprit et d’implantation de la pensée.
Il s’agit de la première technologie au monde permettant de contrôler librement des régions spécifiques du cerveau à l’aide de champs magnétiques », a déclaré Jinwoo Cheon, directeur du Centre de nanomédecine de l’IBS, dans un communiqué. Cheon, l’un des principaux auteurs de l’étude récemment publiée dans la revue Nature Nanotechnology, a ajouté : ‘Nous nous attendons à ce qu’elle soit largement utilisée dans la recherche pour comprendre les fonctions cérébrales, les réseaux neuronaux artificiels sophistiqués, les technologies d’interface cerveau-ordinateur bidirectionnelle et les nouveaux traitements pour les troubles neurologiques' », a déclaré Millie Turner dans The Sun.