L’association Linkee, qui s’occupe de la distribution alimentaire destinée aux étudiants en situation de précarité à Bordeaux, alerte : en deux ans, le nombre de bénéficiaires a doublé, atteignant 500 étudiants par semaine. Les files d’attente impressionnantes en centre-ville témoignent de la difficulté des étudiants à se nourrir. Les témoignages révèlent des situations de grande précarité, où les étudiants doivent se rationner et sauter des repas. L’association Linkee s’efforce de rendre les distributions le moins stigmatisantes possible, offrant des produits variés pour améliorer l’alimentation des étudiants. Les étudiants étrangers et les couples étudiants-travailleurs sont également touchés par cette précarité. Ces distributions sont cruciales pour permettre aux étudiants de manger de manière équilibrée : l’association appelle à la solidarité et aux dons pour soutenir leur initiative.
niversitaire. 500 étudiants qui font la queue en plein centre-ville. La file indienne est si longue qu’elle serpente autour d’un pâté d’immeuble entier situé au bout du Cours Alsace-Loraine, à deux pas de la place Pey-Berland. La scène a de quoi interpeller les touristes ou les passants comme Edgar. « Bonjour, pourquoi vous faites la queue », demande le badaud. « Du coup, là on attend pour une distribution alimentaire », lui répond Emmanuel, 22 ans, étudiant à l’université Bordeaux-Montaigne en solidarité internationale.
« La vie est belle à Bordeaux mais très chère »
« Je n’ai plus d’argent là ce mois-ci donc c’est un peu mon seul moyen de manger », témoigne Zoé, 20 ans, en master d’ingénierie de projets culturels. « Ce n’est pas la vie que j’espérais en tant qu’étudiant, vous avez vu le monde qu’il y a autour là », ajoute Jérémy, qui attend son tour en révisant sa leçon de design graphique.
« Bonjour, tiens du jus d’orange, un concombre ? » À l’intérieur du Centre Info Jeunes, l’association Linkee et sa vingtaine de bénévoles accueillent les étudiants un par un en leur proposant des fruits et légumes, laitages, céréales et produits d’hygiènes. « C’est une très forte reprise depuis la rentrée étudiante, là on est sur une distribution pour 500 étudiants donc c’est impressionnant. On fait tout pour que ce soit le moins stigmatisant possible, et pour que l’attente soit la moins désagréable », explique Lucas Vivet, le vice-président de Linkee Bordeaux, qui passe voir les jeunes attendant dans la file pour leur offrir de l’eau ou des petits biscuits pour patienter.
« S’il n’y avait pas ça, je ne pourrais pas manger un repas équilibré »
« Moi, je viens ici parce que je n’ai pas de thunes », déclare Myriam, 29 ans, inscrite aux Beaux-Arts de Bordeaux. La jeune femme affirme qu’elle n’est pas la plus à plaindre. « J’ai des personnes dont je suis proche qui ont volé ou qui volent pour manger ou qui juste ne mangent pas. Payer sa bouffe et payer son loyer et donner du temps à ses études, c’est quasi impossible. Tout a augmenté et tout est devenu vraiment super cher au fil des dernières années. »
Lire la suite de l’article sur le site de France Bleu.
Dans cette secte, faire de la production de fruits et légumes bio et les revendre n’est pas autorisé, sauf évidemment si vous payez un supplément. Par contre, vous pouvez empoisonner vos aliments avec des pesticides, cela ne pose pas de problèmes. Dans le Système, pour vous soigner, vous devez utiliser «la bonne méthode». Celle de médicaments chimiques et de chimiothérapie. Si vous utilisez des méthodes naturelles pour guérir vos patients, vous serez banni de l’Ordre des Médecins. Car vous ne fournissez pas d’argent à l’une des branches de la secte, c’est-à-dire Big Pharma, l’une des plaques tournantes du Système, aux côtés des Banques et de quelques autres.
Vous commencez à entrer dans cette secte dès le plus jeune âge, sans votre consentement. Il se crée alors ce que nous appelons «l’acte de naissance», attestant que vous êtes un nouveau venu au monde et que maintenant, vous êtes accroché au Système. À partir de là, vous aurez des «obligations».
À partir de 5 ans, voire 3 ans, vous allez à ce que nous appelons l’école. Dans cette école, vous allez apprendre beaucoup de choses. Certaines utiles pour la vie courante et la majorité écrasante qui n’ont pas une utilité incontestable. Évidemment, vous devrez vous faire vacciner OBLIGATOIREMENT, même si vous êtes en bonne santé, sinon vous serez rejeté par le système. Car, dans le Système, les adeptes ne doivent pas être naturels. Vous apprenez à être un bon soldat du système. Quelqu’un qui va travailler sans se poser de questions jusqu’à ses 60 ans, voire plus. Non, nous n’allons pas vous apprendre ici à faire votre propre jardin de fruits et légumes, construire votre habitat, ou savoir s’alimenter soi-même en eau et en électricité. Non ! Ici, il ne s’agit pas de vous rendre autonome du système, mais de vous y rendre dépendant au maximum. Et vraiment, si vous sortez de ce système, vous serez vu comme un fou, un inadapté, un «complotiste», et toute sorte de noms dont le sens est clairement contestable.
Quand vous atteignez l’âge mûr, quand vous quittez l’école, super, vous entrez dans la vie active ! À partir de là, vous devez TRAVAILLER. Non, vous ne quittez pas le système ; vous y entrez encore plus profondément. À partir de là, vous allez travailler, non pas pour rendre service, mais pour avoir le droit de vivre. Non, non, non, vous n’avez pas le droit d’avoir un toit sur la tête, ni de manger convenablement, si vous n’avez pas de travail. Vous êtes sinon catégorisé comme un «fainéant».
Au passage, le mot «travail» vient du latin «tripallium», qui signifie «torture». C’était aussi un instrument de torture au Moyen Âge. Quand vous travaillez, vous recevez un «salaire» sous forme d’argent. Vous allez recevoir des «factures». Les biens de la nature étant devenus un produit du système, vous devrez payer votre eau, vos fruits et légumes, car tout a été centralisé. Non, non, non, il ne s’agit pas de planter des arbustes fruitiers et des légumes un peu partout pour que chacun ait accès à la nourriture librement, non ! Il faut monnayer tout ça.
Donc, votre salaire va vous permettre le minimum vital, voire un petit peu plus. Sachant que pour votre employeur, s’il vous donne un salaire de 1000 €, c’est qu’il y en a 2000 qui partent à l’État. Pour votre propre salaire, le système va gagner plus que vous. Mais la secte n’a pas fini de vous prendre de l’argent : vous allez devoir payer de la TVA sur tout ce que vous achetez. Vous devrez payer des impôts, la taxe d’habitation, la taxe foncière. Oui, même quand vous êtes propriétaire, vous devez de l’argent au Haut de la Pyramide de la secte ! Après tout, c’est pour eux que vous travaillez.
Mais vu que vous êtes emprisonné dans le système, vous devez avoir une autorisation pour construire un habitat sur un terrain qui appartient pourtant à la Terre. Vous devez avoir un passeport pour être autorisé à aller à l’étranger. Vous devez avoir une carte d’identité pour que l’on vous identifie comme un adepte de la secte. Vous pourriez vous faire emprisonner si vous êtes un ancien adepte rebelle qui délaisse son identité. Vous devez avoir des assurances voiture obligatoires, pour continuer à nourrir le système. Si vous avez une entreprise, 50% de vos bénéfices vont encore être donnés à la société privée République française, qui est l’un des systèmes dans le système.
Tout ceci pour nourrir des super-riches milliardaires. Mais vous devez leur donner de l’argent. Par contre, il est tout à fait logique et accepté dans cette secte que des êtres humains meurent de faim ou soient à la rue. Les milliardaires leur portent-ils secours ? Que nenni, ils n’ont qu’à travailler ! Et sinon, tant pis pour eux, ils sont peut-être nés dans le mauvais pays, ou peut-être qu’ils n’ont simplement pas le «bon comportement». Oui, car il y a une charte du bon comportement qui est décidée par les dirigeants du Système. On vous dit quoi faire et comment le faire. Après tout, même si des enfants meurent de faim, quelle importance ? «Ce ne sont pas les miens». Les adeptes du système vont toujours voir leur propre personne et leur place dans le système avant celle des autres.
D’ailleurs, parlons de cette fascinante machinerie qu’est le Système, où la notion même de justice s’est métamorphosée en une farce grotesque, une parodie de ce qu’elle devrait être. La justice, autrefois garante de l’équité, a été remplacée par une police devenue milice, une armée de zélateurs aveuglés par leur loyauté à la secte. Ces agents de la «loi» ne servent plus le peuple, mais l’intérêt des puissants, au service d’un ordre établi où règnent la corruption et l’incompétence. Leur seul but ? Maintenir le statu quo, défendre les inégalités et réprimer toute dissidence avec une main de fer. Ces adeptes, souvent les plus corrompus et les moins qualifiés, se vautrent dans leurs privilèges tout en se drapant dans un uniforme qui leur confère une autorité illusoire. Ils agissent comme des chasseurs de têtes, traquant quiconque ose défier le Système, tout en fermant les yeux sur les véritables abus qui gangrènent la société. Ainsi, la justice de la secte est devenue une blague, une pièce de théâtre tragique où ceux qui devraient protéger le peuple ne font qu’enfoncer davantage les clous de l’oppression, transformant la peur en outil de contrôle.
Et que dire des politiciens ? Ah, ces marionnettes pathétiques, ces psychopathes s’enivrant de leurs vices, qui ne sont là que pour servir les maîtres de la secte ! Ils s’illuminent dans les salons dorés, se vautrent dans le luxe et la décadence, tout en faisant semblant de prêter une oreille attentive aux pleurs des opprimés. En échange de leur loyauté aveugle, ils reçoivent les miettes d’un festin qu’ils contribuent à préparer, célébrant la mascarade de la démocratie tout en piétinant le peuple qu’ils prétendent représenter. Loin de défendre l’intérêt général, ils orchestrent des spectacles déconcertants pour détourner l’attention des véritables problèmes. Dans cette danse macabre, chaque promesse électorale est un énième acte de soumission à un Système qui dévore ses propres enfants.
Si par exemple, vous voulez créer une entreprise, vous devez vous enregistrer dans le système, parce que vous donnerez la moitié de vos bénéfices au système. Pourquoi serait-il incorrect de créer une entreprise sans l’enregistrer ? Pour donner de l’argent au système, encore et encore, et être pressé comme un citron. Le système décide de ce que nous appelons la «mode», la façon de s’habiller, etc. Il va tout faire pour que vous ayez de nouveaux désirs éphémères et superficielles. Pour que vous achetiez une nouvelle voiture, une nouvelle télé… Vous devez être à la hauteur de vos amis, voire mieux quand même ! Et cela va vous procurer un plaisir quelques jours, avant de retomber.
Le système veut absolument que vous croyiez que votre bonheur est à l’extérieur de vous, dans les objets, les relations, et les divertissements de la secte. La secte se permet tout. Et vous savez la nouvelle ? Maintenant, il y a des obligations vestimentaires ! Vous devez mettre un masque dans les centres-villes des grandes villes, sinon, le système va vous punir et vous donner une amende de 135 € ! Apparemment, c’est pour «protéger les autres». Mince, petit problème, c’est que le dioxyde de carbone que vous expulsez va entrer dans le masque. Mais bon, l’important c’est d’obéir. Tout ça pour dire que la secte n’en a que faire de vous, même pas un numéro d’identification. Vous êtes un produit du Système, rien de plus.
Il serait presque comique de voir à quel point tout cela est huilé, si ce n’était pas si tragique. Dans cette farce absurde qu’est la vie moderne, vous êtes né dans un monde où tout est décidé pour vous, où l’illusion de la liberté est aussi tangible qu’un mirage dans le désert. Chaque jour, vous vous levez pour aller à votre «travail», un labyrinthe de normes et de règles dictées par ceux qui se vautrent dans le luxe tout en prétendant vous protéger. Au final, le Système est une immense blague, et nous en sommes tous les malheureux protagonistes.
Ah, mais ne vous inquiétez pas, tout ira bien ! Tant que vous suivez les règles et que vous vous contentez de ce qu’on vous offre, vous pourrez continuer à vivre, à consommer, à sourire en vous couchant la tête pleine de rêves inaccessibles, tout en sachant que, au fond, tout cela n’est qu’un mirage.
En définitive, cette secte tentaculaire, qu’est le Système, n’est pas seulement une entité abstraite, mais une réalité omniprésente qui s’immisce dans chacune de nos vies. Chacun de nous, d’une manière ou d’une autre, est devenu complice de cette machinerie infernale, en se conformant à ses règles et en intégrant les valeurs qu’elle promeut. Au moment où vous envoyez vos enfants à l’école, n’avez-vous jamais pris un instant pour vous interroger sur les chaînes invisibles que vous leur imposez ? Ces établissements, qui prétendent les éduquer, sont en réalité des moulins à conformisme, où l’on façonne de futurs consommateurs dociles, prêts à accepter l’inacceptable.
Vous, qui travaillez sans relâche pour fournir à votre famille ce confort matériel si précieux, avez-vous pris conscience que ce que vous leur offrez en échange est bien souvent une vie soumise, où le rêve de liberté est étouffé sous le poids des attentes du Système ? Ces biens matériels, ces promesses de succès et de bonheur, ne sont-ils pas une illusion construite pour vous maintenir enchaîné à cette machine insatiable ? En sacrifiant votre âme sur l’autel du confort, que devenez-vous réellement ?
Les conséquences de vos actes résonnent dans chaque coin de cette secte. En faisant le choix de rester dans le rang, vous ne faites que renforcer les fondations d’un monde qui préfère les chiffres aux individus, l’apparence à l’authenticité. Chaque fois que vous fermez les yeux sur l’injustice, chaque fois que vous choisissez le statu quo au lieu du changement, vous alimentez cette bête vorace qui ne s’arrête jamais. Réfléchissez à cela : en jetant vos enfants dans les bras du Système, en leur faisant croire que le confort est la seule voie vers le bonheur, vous les condamnez à un avenir où leur potentiel sera engoncé par des barreaux invisibles.
Alors, à vous qui lisez ces mots : interrogez-vous. N’est-il pas temps de briser les chaînes que vous avez acceptées si docilement ? N’est-il pas temps de redonner à votre existence et à celle de vos enfants la valeur qui leur revient, en refusant de sacrifier votre âme pour quelques miettes de confort ? Car au final, c’est peut-être cette prise de conscience, cette volonté de changer, qui pourrait donner un sens à cette vie souvent réduite à un simple numéro dans le grand livre du Système.
source : Blog de l’Éveillé
Stanislas Berton souligne les aspects cachés de ce mouvement, en particulier son lien avec des courants occultes, tels que le satanisme. Cette idéologie dissimule un projet plus vaste, visant à détruire les identités nationales et religieuses pour imposer une société uniformisée, dépouillée de toute spiritualité.
Ce phénomène s’inscrit dans une guerre spirituelle profonde, où le mondialisme s’oppose au catholicisme. Les partisans du mondialisme cherchent à remplacer la foi et la morale par l’argent, la technologie et le contrôle. Face à cela, le Vatican tente de défendre la souveraineté spirituelle des nations contre l’ombre d’un ordre global matérialiste.
Sous les discours de paix, le projet mondialiste cache une ambition plus sombre : la réduction de la population mondiale. Les élites financières, les multinationales, et les mouvements transhumanistes sont désignés comme les acteurs clés de cette transformation. La question est maintenant de savoir comment les nations réagiront face à cette guerre spirituelle et aux forces qui œuvrent dans l’ombre.
J’avais 8 ans lorsque JFK a été assassiné. Ce n’est que vers la trentaine que j’y ai réfléchi (enfin, peut-être une « première réflexion » une dizaine d’années avant toute considération sérieuse). J’avais 9 jours avant d’avoir 14 ans lorsque l’homme a prétendument fait un pas de géant sur la Lune — je n’y ai pas réfléchi une seconde — c’était vrai, bien sûr.
J’ai failli être appelé sous les drapeaux pour participer à la « juste » guerre du Viêt Nam et j’ai vécu d’innombrables événements mondiaux dont je n’étais même pas conscient. Des événements qui impliquaient des faux drapeaux, des manipulations de la CIA et Dieu sait quoi d’autre. J’ai vécu tout cela sans même y prêter attention : c’était tout ce qu’on m’avait dit, rien de plus. C’était comme d’habitude. La plupart des choses, sinon toutes, ne m’affectaient pas directement, ni ma capacité à manger, à travailler, à jouer et à vivre ma vie dans un confort relatif.
J’ai finalement reçu le grand coup de pied aux fesses lorsque le Covid est arrivé, et alors que je me réveillais lentement, j’ai réalisé que tout ce qui m’avait échappé dans ma vie et que j’avais tenté de croire normal était tout sauf normal. Ne vous méprenez pas, je pense que j’ai toujours été un tout petit peu éveillé. Je me suis souvent gratté la tête et j’ai toujours été intéressée par la vision alternative des choses.
Mais ces compréhensions ont toujours été périphériques pour moi. L’essentiel de la vie était généralement bon, les gens étaient dignes de confiance, le gouvernement était parfois loufoque, mais il était en général bienveillant et s’efforçait d’être décent. Les choses hideuses, bizarres ou trompeuses étaient des anomalies, pas la norme.
Je pense que le 11 septembre m’a fait toucher le fond, mais je n’avais pas encore perdu la foi dans les fondements de la « justesse » du monde. Mais tout s’est effondré lorsque le Covid a commencé son déchaînement de rhétorique fallacieuse et de mensonges trompeurs. Aujourd’hui, j’ai bouclé la boucle et je n’ai plus confiance en rien, tout est mauvais, laid et maléfique. Il est difficile de me convaincre qu’il y a ne serait-ce qu’une seule personne décente au pouvoir dans le monde.
Où cela me (nous) mène-t-il ? Il est difficile de répondre à cette question. Je sais que nous sommes plutôt bien lotis dans l’opulent Occident, l’Amérique du Nord « libre et courageuse ». C’est ainsi depuis un certain temps, et si vous n’êtes pas trop regardant, vous pouvez vivre une vie assez insouciante même si les asticots sont juste en dessous de la surface en train de ronger.
Bien sûr, vous serez confronté aux problèmes habituels (perte d’emploi, maladie, enfants turbulents), c’est une évidence, mais pour l’essentiel, si vous jouez bien vos cartes et suivez les règles, vous pouvez vous en sortir. À moins, bien sûr, d’être socialement marginalisé. Mais même dans ce cas, la situation est bien meilleure que par le passé et certainement meilleure que dans la plupart des autres régions du monde.
L’essentiel est donc d’ignorer les zones d’ombre (voir mon article « It’s All About the Story »), de se conformer à tout ce que « l’Homme » vous demande, et vous serez en sécurité. Lorsque vous aurez traversé la tempête (quelle qu’elle soit), vous pourrez reprendre votre vie agréable. Du plaisir, des jeux, de la nourriture, des voitures, des choses — beaucoup de choses. Le bonheur. Jusqu’à ce que, bien sûr, vous réalisiez que vous n’êtes pas vraiment heureux. Vous savez que vous devriez être heureux, mais vous ne l’êtes pas.
Inutile de dire que la vie heureuse est éphémère. Beaucoup d’entre nous ne le savent pas, pas encore, mais cela ne va pas durer longtemps. Il y a des dragons sur les bords, et nous nous dirigeons lentement vers le bord. Bien sûr, les dragons dont on nous dit qu’ils sont là (comme le changement climatique, la surpopulation, les pénuries de carburant, les pandémies, les vaches en trop grand nombre, etc.) ne sont pas les vrais dragons. Ce sont les dragons que l’agenda nous présente, et ils présentent ces dragons particuliers parce qu’ils les ont créés, et qu’ils ont donc une solution pour y faire face. Très fondamentalement, toutes les solutions qu’ils proposent se résument à créer un monde avec « moins de nous ».
Lorsque nous commencerons à mourir en masse (déjà des millions de morts en trop depuis 2020, et ce n’est pas à cause de la maladie qu’ils appellent Covid), ils nous diront qu’il y a une lueur d’espoir : moins de gens, c’est moins de dragons. Nous avons déjà été convaincus que nous sommes un cancer pour la planète. Et que nous devrions vraiment être éradiqués. Seuls les plus méritants devraient vivre. Ceux qui sont suffisamment riches pour obtenir les implants, les organes artificiels, la vie prolongée — les riches sont l’élite, la classe dirigeante. Les autres sont des mangeurs inutiles. Ils garderont quelques-uns d’entre nous pendant un certain temps parce que c’est probablement plus avantageux pour eux. Mais ceux d’entre nous qu’ils garderont seront au mieux des serfs, au pire des esclaves. Mais ces personnes seront prises en charge et seront heureuses.
La seule chose, c’est qu’elles ne seront pas heureuses. Les forces d’élite qui sont derrière tout cela ont avalé leur propre pilule. Elles pensent que tout ce qui rend un être humain heureux, c’est la richesse matérielle, la nourriture, le sexe, le divertissement, des objets, la santé et l’absence de souffrance. Elles ne pensent pas à l’âme et à ce dont l’âme a besoin pour être satisfaite et épanouie. Cela ne leur vient jamais à l’esprit. Selon eux, nous sommes des machines, et nous sommes des machines qui ne font l’expérience de la vie qu’à travers les sens. L’idée d’une âme est un mythe (voir les travaux de Noah Harari). Si nous gardons nos sens heureux et satisfaits, rien d’autre n’a vraiment d’importance. Lisez Le meilleur des mondes de Huxley pour en savoir plus à ce sujet… une vision brillante datant d’il y a près de 100 ans.
Ils vont donc nous installer dans des villes intelligentes, limiter nos déplacements, nos libertés et nos ressources, nous interdire de posséder quoi que ce soit et nous inonder de « choses » qu’ils nous loueront. Jeux, holodecks, drogues, sexe (porno — pas de sexe avec de vraies personnes, bien sûr, car nous pourrions confondre le sexe avec l’amour, et nous ne pouvons pas avoir cela, bien sûr) — tout cela sera abondant. Ils diront : « Vivez pleinement votre vie », « Soyez heureux ». Mais ils limiteront nos contacts avec les autres humains que nous aimons, ils limiteront nos sources de vénération, ils limiteront ou détruiront notre communauté, ils tenteront de détruire la nature. Mais ils penseront que rien de tout cela n’a d’importance.
Je suis presque certain que leur plan échouera. Qu’en pensez-vous ? Nous (ou je devrais dire beaucoup d’entre nous, si ce n’est la plupart — à l’exception de la plupart d’entre vous qui lisez ceci) jouerons le jeu pendant très longtemps. Comme nous le faisons manifestement en ce moment. Titiller les sens fonctionne toujours pendant un certain temps.
Les toxicomanes sont heureux au début, puis ils se ratatinent et meurent. Inévitablement, la satisfaction des sens matériels finit par se retourner contre eux. Mais malheureusement, beaucoup de gens souffriront avant de se rendre compte qu’ils se sont fait avoir. C’est alors qu’ils s’en rendront compte. Et lorsqu’ils le feront, la grande expérience de Dieu reprendra, cette fois avec une compréhension plus claire de ce qui donne un sens à la vie.
Todd Hayen PhD
Si cette nouvelle technologie nous est présentée comme un moyen de lutter contre le fléau des morts sur la route, la réalité semble toute autre. Imposée par les institutions européennes, cette nouvelle mesure semble être une volonté bien éloignée des simples questions sécuritaires.
Surveillance et contrôles renforcés
L’intégration de la reconnaissance faciale dans les véhicules ouvre la porte à une surveillance accrue des conducteurs. En reliant cette technologie aux systèmes de contrôle routier, l’État ou les entreprises privées pourraient avoir accès à des informations précises sur les déplacements de chaque individu.
Ce système pourrait être utilisé pour :
Traquer les habitudes de conduite : Chaque fois que vous montez dans votre véhicule, vos trajets seraient potentiellement suivis, enregistrés et analysés, créant un profil de vos comportements. Cette collecte de données soulève des questions sur leur exploitation à des fins commerciales ou gouvernementales.
Amendes automatiques : Si la reconnaissance faciale est couplée à un système de contrôle automatisé des infractions, cela pourrait mener à une gestion stricte et inflexible des infractions (excès de vitesse, utilisation du téléphone, etc.). Chaque comportement répréhensible pourrait être immédiatement enregistré et sanctionné, sans intervention humaine.
Criminalisation des comportements : Certains comportements bénins ou les oublis mineurs, comme le fait de ne pas attacher sa ceinture immédiatement, pourraient entraîner des amendes automatiques, exacerbant une logique de « zéro tolérance ». Ce type de contrôle rigide limite la flexibilité des interactions humaines.
Quel impact sur vos assurances ?
L’obligation de reconnaissance faciale pourrait transformer radicalement le secteur des assurances automobiles.
En effet, cette technologie permettrait aux compagnies d’assurance d’accéder à des données très fines sur votre conduite, modifiant ainsi la manière dont les contrats sont établis et les primes calculées.
Les conséquences possibles incluent :
- Tarification en fonction du comportement : En analysant en temps réel votre manière de conduire (vitesse, vigilance, respect du code de la route), les assureurs pourraient ajuster vos primes en fonction de votre « risque » estimé. Cela créerait une forme de discrimination algorithmique, où les conducteurs seraient pénalisés financièrement pour des comportements jugés « à risque ».
- Exclusions ou restrictions de couverture : Si le système identifie des comportements dangereux ou des infractions récurrentes, l’assureur pourrait choisir de restreindre votre couverture ou même de refuser de vous assurer. Les conducteurs n’auraient plus seulement à répondre de leurs accidents, mais également de leurs habitudes quotidiennes de conduite.
- Délégitimation de la vie privée : En collectant des données personnelles, comme l’état de fatigue ou la fréquence d’utilisation du véhicule, les compagnies d’assurance pourraient évaluer des éléments qui relèvent normalement de la sphère privée. Cela soulève des questions éthiques quant à la légitimité de cette intrusion dans la vie des assurés.
Risque de dérives autoritaires
En reliant cette technologie à d’autres bases de données (étatiques, fiscales, médicales), il deviendrait possible de croiser les informations sur les citoyens, facilitant le contrôle social.
Par exemple, des citoyens déjà fichés pour des opinions dissidentes ou critiques envers le gouvernement pourraient être davantage surveillés.
Les implications politiques incluent :
- Limitation des déplacements : En cas de non-respect de certaines réglementations (impôts, comportements « déviants », etc.), les autorités pourraient restreindre ou surveiller vos déplacements. Un système pourrait être mis en place pour vous empêcher de conduire (empêcher le véhicule de démarrer) ou limiter l’accès à certaines zones.
- Répression des opinions dissidentes : Tout comme pour les réseaux sociaux, où les comportements « non conformes » peuvent entraîner des sanctions (comme la suppression de comptes), la reconnaissance faciale dans les véhicules pourrait servir à réprimer les citoyens jugés indésirables, en leur imposant des restrictions de déplacement ou en multipliant les amendes pour des infractions mineures.
Conclusion
La reconnaissance faciale obligatoire dans les véhicules neufs pose donc des problèmes majeurs en termes de libertés individuelles.
Si elle continue à évoluer, cette technologie pourrait instaurer une forme de contrôle social sur le même modèle que la Chine, et une surveillance massive, bien au-delà de la simple sécurité routière. Étant donné que les médias nous vendent cette technologie comme quelque chose de bien, permettant d’éviter des morts sur les routes, beaucoup n’y voient aucun mal et sont même d’accord.
Mais comme on a pu le voir durant la crise sanitaire, notre santé est le cadet de leurs soucis !
L’acteur populaire de la série des L’Arme fatale aura beaucoup de mal à boucler son budget (30 millions de dollars), et les grands pontes d’Hollywood – dont le puissant Harvey Weinstein – lui firent des misères : il a été accusé d’antisémitisme – alors que Mel adore Jésus, un juif –, d’alcoolisme et autres fadaises. C’est vrai que Mel picole un peu, et quand il est pété, raconte des méchancetés sur les magnats du cinoche, ce qui n’arrange pas les choses. Mais c’est un cœur pur, et surtout il a les moyens de dire shit à ceux qui veulent le censurer.
Comme le héros de Braveheart est têtu, et combatif, il remet une pièce dans la machine et prépare la suite de la Passion, qui avait été un succès planétaire (le film rapportera vingt fois son budget : les magnats des studios auraient dû miser dessus !). Ce sera Résurrection et le tournage commencera en 2025. Connaissant un peu Gibson et son cinéma, Jésus ne va pas revenir pour buter un à un ceux qui l’ont persécuté et mis en croix. Ce ne serait pas fidèle aux Évangiles, et puis le Dieu du Christ est un Dieu de pardon, pas comme l’autre. Ah, Mel est un catho tradi, plus ou moins pratiquant.
On ne verra donc pas Jésus éliminer un à un tous les salauds, comme Mel dans Payback (1999), ou comme Rudy Youngblood dans le magnifique Apocalypto, un film plein de sous-entendus sorti deux ans après La Passion, à lire bien entre les images.
2004, le dernier sursaut catho à la télé
La polémique autour de la sortie du film en France avait donné lieu à des séquences savoureuses. Ardisson avait donc balancé Weinstein, ce chantre de toutes les libertés qui voulait censurer Gibson, mais sur les autres plateaux, c’est la tendance antichrétienne qui l’emportait. Les envoyés de l’Église ne faisaient pas le poids face à des médiateurs bien en place, et très solidaires...
Dans Culture et Dépendances, Franz-Olivier Giesbert résumait le Gibson : « Ce film est l’histoire de quelqu’un qui se fait tabasser pendant deux heures, c’est du Tarantino quoi, c’est du Tarantino sans le sourire. »
Dans la même émission, le père Jean Charles-Roux, qui a fait la messe à Mel, envoyait une pique à Éliette Abécassis : « Vous prenez la communion souvent ? »
Dans Piques et polémiques, l’abbé de La Morandais tentait une révolte molle : « Cathophobe c’est à la mode, alors les cathos, ils commencent à en avoir marre. »
Vingt ans plus tard, il n’y a plus trace de catholicisme à la télé, hormis Le Jour du Seigneur, l’émission du dimanche matin, suivie de la messe sur France 2. Elle rassemble 600 000 téléspectateurs, et quatre fois plus le dimanche de Pâques. Un léger remords ?
Une étude de l’université de Princeton menée par Gilens et Page a effectué une analyse de régression sur plus d’un millier de décisions de politique publique, et a déterminé que l’effet de l’opinion publique sur la politique publique est nul. C’est exact, nul. La façon dont vous votez n’a pas d’importance, elle n’affecte pas le résultat de façon mesurable. Par extension, cela vaut également pour les manifestations, l’organisation, le fait de s’asperger d’essence et de s’immoler par le feu sur les marches du Sénat américain, ou toute autre activité que vous pourriez entreprendre. Cela n’influencera en rien les détenteurs du pouvoir.
Mon billet précédent a donné lieu à plusieurs versions de la même question : Mais qui est vraiment aux commandes ? Qui sont les marionnettistes ? Ce billet a été publié pour la première fois le mardi 13 mai 2014 sur https://cluborlov.blogspot.com. Il devrait répondre à cette question. Les marionnettistes ne sont pas des humains mais des sacs d’argent.
Voici le graphique qui illustre cette relation : le soutien du public à une question donnée peut varier de 0 % à 100 % ; la probabilité que la politique publique suive reste bloquée à 30 %. Peu importe que vous votiez ou non, vous gaspillez votre vote de toute façon. Ou, si cela vous rassure, il est gaspillé pour vous.
Et qui sont les personnes au pouvoir ? Ce sont les oligarques, bien sûr, ceux qui possèdent à peu près tout, y compris votre bonne personne. Gilens et Page ont déterminé que les opinions de l’élite économique et des groupes d’entreprises ont un effet profond sur les politiques publiques. Si ce groupe est fermement opposé à une politique, celle-ci ne sera pas adoptée : 0 % de soutien de la part de ce groupe signifie qu’il n’y a aucune chance que la politique soit adoptée. En revanche, si ce groupe soutient une politique à 100 %, les chances qu’elle soit adoptée montent en flèche, jusqu’à 70 %. En résumé, si le fait de voter pour ou contre une question n’a pas la moindre importance, le fait de consacrer beaucoup d’argent à l’un ou l’autre côté d’une question en a beaucoup. Les partis politiques, les campagnes, les élections et toutes ces absurdités ne sont qu’un spectacle. Le véritable pouvoir réside ailleurs.
Alors, que faites-vous lorsque, le jour des élections, vous entrez fièrement dans l’isoloir et tirez sur un levier ou touchez l’écran tactile d’une machine à voter ? Vous ne prenez certainement pas de décision, cela a déjà été prouvé. Mais vous faites tout de même quelque chose : vous votez pour soutenir vos propriétaires, ceux qui prennent les décisions de politique publique en votre nom. Si vous votez, c’est que vous approuvez ce qu’ils font.
Et que font-ils ? Pour eux, la première chose à faire semble être de s’assurer que les riches continuent à s’enrichir tandis que les pauvres s’appauvrissent et que la classe moyenne soit… eh bien… renvoyée de sa classe. Si ce type de politique publique vous semble autodestructeur, c’est probablement parce qu’il l’est. Chaque fois qu’on la laisse suivre son cours, les résultats sont épouvantables – surtout pour les riches qui ont continué à s’enrichir, dont les cadavres finissent par festonner les lampadaires et dont le jet artériel ajoute une touche de couleur aux places de la ville.
Après le National, le Conseil des États a approuvé à son tour un projet de e-ID du Conseil fédéral. La nouvelle e-ID sera entièrement aux mains de l'État et "permettra aux titulaires de garder le contrôle de leurs données". Cependant, il est à noter que ces données pourraient être partagées avec des partenaires américains et chinois, tels qu'Alibaba, Amazon, IBM, Microsoft, et Oracle, qui gèrent déjà les données publiques depuis 2021. Cela signifie que ces entreprises pourraient avoir accès à vos activités en ligne et potentiellement vous bloquer si nécessaire.
Pour obtenir cette e-ID, il suffira de scanner sa carte d’identité dans une application de la Confédération. Les Suisses auront accès dès 2026 à une e-ID émise par la Confédération. Au début, l’e-ID sera facultative.
Après le National, le Conseil des États a approuvé quasi à l’unanimité le projet d’identité numérique du Conseil fédéral. La e-ID permettra de prouver son identité dans le monde virtuel, de manière similaire à la carte d’identité ou au passeport dans le monde physique, sans toutefois les remplacer.
L’objectif du projet est « de permettre aux citoyens de s’identifier de manière sûre et simple dans le monde virtuel dès 2026 ». Par exemple, lors de la demande d’une attestation de domicile à la commune, de l’achat d’un permis de conduire électronique, ou lors d’un achat sur Internet exigeant une limite d’âge.
Le ministre de la Justice, Beat Jans, a plaidé que l’e-ID doit « faciliter » la vie et faire gagner du temps et de l’argent. Cependant, cela pourrait également faciliter le travail des forces armées de l’État pour identifier les citoyens dont les activités en ligne vont à l’encontre des souhaits du gouvernement.
L’Office fédéral de l’informatique se chargera de l’infrastructure nécessaire à l’e-ID, tandis que l’Office fédéral de la police (Fedpol) sera responsable de l’émission de l’identité numérique. Concrètement, il suffira de scanner sa carte d’identité, son passeport ou son titre de séjour dans une application dédiée, suivi d’une vérification filmée via un selfie. Fedpol émettra ensuite l’e-ID en quelques minutes.
Les fournisseurs privés de telles applications seront en principe admis pour la conservation et la présentation de l’e-ID à l’avenir, mais ils devront respecter les règles strictes du Conseil fédéral. Cela signifie que les fournisseurs privés pourraient potentiellement avoir accès à toutes nos données.
Pour rappel, un précédent projet de e-ID avait été rejeté à 64% par le peuple en mars 2021. La mise en place et la gestion de l’identité numérique par des privés avaient largement cristallisé la fronde contre cette réforme.
Cette fois, la sécurité des données est garantie, selon le rapporteur de commission Matthias Michel (PLR/ZG). La nouvelle e-ID sera entièrement en mains publiques et permettra aux titulaires de « garder le contrôle de leurs données ». Les coûts de mise en œuvre jusqu’en 2028 seront de 182 millions de francs suisses. Les frais d’exploitation, à partir de 2029, sont estimés à 25 millions.
Les experts en maladies infectieuses sont contrariés par le fait que, quatre ans après la pandémie de coronavirus, le public n'écoute plus leurs « recommandations » concernant les vaccins et les autres méthodes de prévention supposées contre le COVID-19.
Selon un rapport du journal de gauche The Guardian , les experts en maladies infectieuses se plaignent que le COVID-19 constitue toujours une menace massive pour le public et que les gens doivent continuer à recevoir des vaccins de rappel à chaque fois qu'ils en ont l'occasion.
Le rapport indique ce qui suit :
Les experts en maladies infectieuses affirment que de nombreuses personnes ne prennent pas suffisamment au sérieux la dernière vague de Covid-19 aux États-Unis et ne se font pas vacciner ou n'utilisent pas de médicaments antiviraux lorsqu'elles sont malades, malgré une vague estivale plus importante et plus précoce que prévu.
Selon les épidémiologistes, même si les symptômes de cette vague sont plus légers que ceux des souches précédentes, le virus reste une menace, en particulier pour les personnes âgées et les personnes souffrant de problèmes de santé sous-jacents.
En conséquence, les responsables de la santé publique invitent les gens à faire un rappel dès maintenant - à moins qu'ils n'aient récemment reçu le Covid, auquel cas ils doivent attendre trois ou quatre mois - et à faire un test rapide lorsqu'ils sont malades. Et s'ils ont contracté le Covid, ils doivent demander à leur médecin de leur prescrire un traitement antiviral.
L'article cite ensuite plusieurs experts en maladies infectieuses, dont Jennifer Nuzzo, épidémiologiste et directrice du Pandemic Center de la Brown University School of Public Health, Justin Lessler, professeur d'épidémiologie à l'université de Caroline du Nord, et Bill Hanage, épidémiologiste à la Harvard TH Chan School of Public Health.
Ces experts, dont beaucoup ont faussement vanté les mérites du port du masque et nié que les injections de COVID-19 aient des effets secondaires graves, invitent les gens à prendre le virus plus au sérieux.
Alors que The Guardian encourage les gens à continuer à prendre les vaccins COVID, le journal de centre-droit The Telegraph a récemment admis que « les vaccins COVID pourraient avoir contribué à alimenter l'augmentation de la surmortalité ».
De tels titres donnent raison aux nombreux reportages de The Gateway Pundit, qui a exposé à maintes reprises les effets secondaires potentiels et le manque d'efficacité des vaccins COVID, ainsi que les méthodes totalitaires utilisées par le régime Biden et les fonctionnaires démocrates pour tenter d'imposer ces vaccins au peuple américain.
Il a placé deux agneaux en bonne santé dans des cages séparées, mais seul l’un d’eux pouvait voir un loup dans une troisième cage à proximité. Les résultats de cette expérience étaient tout simplement stupéfiants.
Les deux agneaux recevaient la même nourriture, et leur poids de départ était identique. Cependant, après plusieurs mois, l’agneau qui pouvait voir le loup est devenu irritable, agité et faible, montrant une perte de poids significative et des signes de mauvais développement.
L’agneau soumis à un stress chronique, constamment exposé au danger perçu, a finalement succombé. En réalité, le loup ne représentait aucune menace réelle, mais cela dépassait la compréhension de l’agneau.
Cette expérience a démontré que des niveaux élevés de cortisol, l’hormone du stress, impactent négativement le métabolisme des mammifères.
Mille ans plus tard, nous nous retrouvons dans une situation similaire, mais cette fois-ci, nous sommes pleinement conscients des effets nocifs du stress.
Réfléchissez à ceci : au cours des quatre dernières années, nous avons été bombardés par les médias et la propagande gouvernementale au sujet d’un virus similaire à un rhume commun qui ne présentait que peu de risques pour la majorité des gens. Pourtant, des mesures extrêmes à l’échelle mondiale ont été prises en réponse.
Nous avons été témoins de certaines des mesures les plus sévères jamais prises à une si grande échelle : confinements forcés, fermeture de toutes les installations sportives, destruction des moyens de subsistance, conduisant à des avenirs incertains, déploiement précipité de vaccins insuffisamment testés.
Presque tout le monde sur cette planète vivait dans un état de peur constante. L’anxiété et le tourment intérieur étaient devenus les émotions dominantes, alimentées par des médias qui ne cessaient d’amplifier leurs tactiques de peur et de manipulation.
Combien de personnes sont mortes en raison du stress chronique et de l’isolement social, surtout parmi les personnes âgées ?
Quatre années de propagande incessante et de dramatisation ont profondément influencé le comportement et les perceptions des gens, démontrant à quel point la peur est un outil puissant utilisé par les élites pour contrôler les masses. Avec le recul, la meilleure précaution aurait été de jeter votre téléviseur.
Cette arrestation ne fait pas suite à la participation de ce dernier à des actions illicites, ou à de la fraude fiscale ; pas plus que parce qu’il se livrerait à du trafic de drogue ou d’êtres humains. Non, on l’a arrêté parce qu’il est pour la liberté d’expression. On l’a arrêté pour faire pression sur lui pour qu’il accepte que le gouvernement français ait accès aux échanges publiés sur Telegram.
La seule véritable raison de cette arrestation c’est le refus de Pavel Durov de donner un accès aux informations échangées sur son réseau aux services secrets, à la police, etc.
Cette arrestation a révélé qu’il était inqualifiable, insupportable, pour une certaine classe politique que l’on puisse laisser les gens discuter entre eux, sans aucun contrôle sur leurs paroles et leurs pensées.
La version officielle qui est dévoilée au public présente une arrestation d’un homme soi-disant fiché au FPR (fichier des personnes recherchées), avec au-dessus de la tête un mandat de recherche français émis par l’Office mineurs (OFMIN) de la direction nationale de la police judiciaire française, sur la base d’une enquête préliminaire. Une version à peine crédible dans la mesure où Pavel Durov n’est pas suffisamment stupide pour se poser sur le territoire d’un pays où il sait pertinemment faire l’objet d’un mandat d’amener. Il est par conséquent beaucoup plus crédible de croire ce que l’on cache soigneusement sous le tapis, à savoir que ce fameux «mandat» aurait été émis quelques minutes seulement avant que son avion ne se pose, ce qui aurait évité qu’il n’en soit averti et qu’il ne puisse aussitôt quitter l’espace aérien français.
L’arrestation aurait été menée par les agents de la gendarmerie des transports aériens (GTA), du commandement de la gendarmerie dans le cyberespace (COMCyberGEND), de l’Office national antifraude (ONAF) ainsi qu’un équipage de la police aux frontières (PAF). Tout ça pour un seul homme non armé, qui vient sur le sol français accompagné de sa petite amie et de son garde du corps et qui ne représente aucun danger pour personne. Mais il est vrai qu’au pays du totalitarisme nous n’en sommes plus à ça près.
Ce qu’il y a de plus choquant dans cette arrestation c’est que les médias et une classe politique qui devraient se soulever en masse contre ça, non seulement l’acceptent mais l’encouragent. Même des Français écrivent sur la propre chaîne de l’un d’eux, bien connu pour être installé en Russie et naturalisé russe, que « Depuis le début de l’opération spéciale (SMO), par exemple, Telegram joue un rôle central dans la diffusion d’informations sur le conflit, avec des groupes et des canaux diffusant des images et des nouvelles exclusives que les médias traditionnels ne peuvent égaler ni en quantité ni en rapidité. L’information circule ainsi librement, mais sans contrôle. Elle est diffusée brute, nécessitant de la part des utilisateurs un recul critique pour distinguer le vrai du faux. C’est là que réside le problème fondamental : un public peu informé ou candide peut facilement être manipulé et, par conséquent, propager involontairement de fausses informations selon le principe des cercles concentriques tels que ceux créés par un caillou jeté à l’eau. Par ailleurs, se pose la question de la violence des images, des propos, du harcèlement en ligne, ainsi que des activités délictueuses telles que la pédo-criminalité, la vente de drogues ou d’armes via ces réseaux. Doit-on, au nom de la liberté d’expression, accepter que de telles choses soient possibles et visibles par tous ?
Doit-on accepter que nos enfants, parce qu’ils sont jeunes et vulnérables, puissent être exposés à de tels dangers ?
Dans ce contexte, le gouvernement français joue pleinement son rôle en cherchant à protéger ses concitoyens ».
Ce que ce «Français», désormais nationalisé russe laisse publier sur sa chaîne et oublie de préciser c’est que justement l’arrestation de Pavel Durov n’a strictement rien à voir avec la protection des enfants. Le croire relève de la naïveté, pour ne pas dire de la stupidité, la plus profonde.
Pas de doute les Français vivent désormais au cœur de 1984. La liberté d’expression, qui devrait être un droit garanti devient de plus en plus restreinte. L’arrestation de Pavel Durov auquel on reproche «le manque de modération de sa plateforme» prouve bien que la seule véritable raison masquée derrière cette détention est le fait que les «services» ne peuvent pas accéder aux conversations privées de Telegram. Certes on ne pouvait pas arrêter Pavel Durov sous le simple motif qu’il permettait à tout un chacun d’avoir des échanges privés, donc les motifs «officiels» de son arrestation si l’on en croit le communiqué de la procureur Laure Beccuau sont :
Complicité – Administration d’une plateforme en ligne pour permettre une transaction illicite en bande organisée,
Refus de communiquer, sur demandes des autorités habilitées, les informations ou documents nécessaires pour la réalisation et l’exploitation des interceptions autorisées par la loi,
Complicité – Détention de l’image d’un mineur présentant un caractère pédo pornographique,
Complicité – Diffusion, offre ou mise à disposition en bande organisée d’image de mineur présentant un caractère pornographique,
Complicité – Acquisition, transport, détention, offre ou cession de produits stupéfiants,
Complicité – Offre, cession ou mise à disposition sans motif légitime d’un équipement, un instrument un programme ou donnée conçu ou adapté pour une atteinte et un accès au fonctionnement d’un système de traitement automatisé de données,
Complicité – Escroquerie en bande organisée,
Association de malfaiteurs en vue de commettre un crime ou un délit puni de 5 ans au moins d’emprisonnement,
– Blanchiment de crimes ou délits en bande organisée,
– Fourniture de prestations de cryptologie visant à assurer des fonctions de confidentialité sans déclaration conforme,
– Fourniture d’un moyen de cryptologie n’assurant pas exclusivement des fonctions d’authentification ou de contrôle d’intégrité sans déclaration préalable,
– Importation d’un moyen de cryptologie n’assurant pas exclusivement des fonctions d’authentification ou de contrôle d’intégrité sans déclaration préalable.
Mais dans tout ça la seule raison qui ressort reste incontestablement «Refus de communiquer, sur demandes des autorités habilitées, les informations ou documents nécessaires pour la réalisation et l’exploitation des interceptions autorisées par la loi».
Donc, refus de trahir les échanges privés de ses abonnés en se livrant à une délation de style hitlérien. C’est de la même eau que si l’on vous avait demandé durant la dernière guerre de devenir un délateur et de «vendre les juifs». En osant s’attaquer de front à la liberté d’expression à travers l’arrestation du PDG de Telegram la France ne relève pas le niveau.
Le 25 août, des responsables de Telegram ont publié : «Telegram respecte les lois de l’Union européenne, y compris la loi sur les services numériques (Digital Services Act) — sa modération est conforme aux normes de l’industrie et s’améliore constamment».
Malgré cela, depuis samedi, les «services» français mettent une totale pression sur Pavel Durov pour l’obliger à ouvrir sa plateforme afin que la «police» de l’État français ainsi que la Commission européenne, représentée par le «champion de la liberté d’expression» Thierry Breton, puissent surveiller l’intégralité de nos échanges.
Or, la liberté d’expression est un droit absolument fondamental ! Si les médias français réalisaient leur travail ils devraient être unanimement vent debout contre cette arrestation. Et que constate-t-on ? Qu’ils ne songent en fait qu’à flinguer la vérité. Car c’est ça l’information en France. Des médias à la solde de la bien-pensance, à la solde des gouvernements, et qui veulent absolument détruire toutes ces plateformes internet pour éviter toute concurrence, pour éviter toute dissonance cognitive, pour que nous soyons obligés de n’écoutez qu’eux, parce que les plateformes comme Telegram offrent un autre son de cloche, et montrent d’autres images que celles que les médias officiels censures. L’information sur Telegram ne peut être contrôlée, elle est libre, et ça c’est inacceptable pour la France et l’UE.
Si la classe politique de gauche – qui n’arrête pas de nous bassiner avec la liberté – était réellement libre et sincère, elle devrait s’élever contre cette arrestation. Mais bien au contraire cette gauche se réjouit de l’arrestation de Pavel Durov avec en tête une Sandrine Rousseau, dotée de l’ineffable intelligence que nous lui connaissons, qui déclarait : «cette arrestation est une bonne nouvelle pour les Droits humains !» Il est vrai que «l’ignorance c’est la force» écrivait George Orwell. Donc pouvoir échanger sans être espionné par un état est une mauvaise nouvelle pour les droits humains !
Un tel niveau de bêtise mérite pour le moins un oscar. Comment peut-on se réjouir de l’arrestation d’un homme sur le simple prétexte qu’il laisse les gens s’exprimer en toute liberté ?
George Orwell peut être fier de son roman. La France a réalisé ce miracle de transformer 1984 en une dystopie quotidienne : contrôle de la pensée, réécriture de l’Histoire, censure omniprésente… Bienvenu dans le monde du cauchemar.
L’arrestation de Pavel Durov a néanmoins soulevé des protestations au niveau mondial. D’autant que les «services» français ont refusé aux services consulaires de l’Ambassade de la Fédération de Russie tout accès à leur compatriote, prétextant que celui-ci était devenu français en 2021. L’affaire a pris de telles proportions que des parlementaires russes dont Leonid Edouardovitch Sloutski député à la Douma au sein du Parti libéral-démocrate en tête, et des députés français, envisagent de créer un comité de soutien à Durov s’il n’était pas libéré dans les 48 heures après son arrestation. Sans compter le commentaire de Medvedev qui affirmait de son côté : «Le président français Emmanuel Macron doit quitter le pays de toute urgence, car une armée de ses partisans vient le chercher après que les forces de l’ordre françaises ont arrêté le fondateur de la messagerie Telegram, Pavel Durov».
À leur tour les Émirats arabes unis ont exhortés la France à fournir une assistance consulaire à Pavel Durov. Aux USA, Edward Snowden, ancien employé de l’Agence de sécurité nationale des États-Unis, a déclaré que l’arrestation et la détention du fondateur de Telegram constituent une violation des droits fondamentaux de l’homme et de la liberté d’expression. Elon Musk a également exprimé sa désapprobation des autorités européennes, décrivant cette arrestation comme une attaque contre la liberté d’expression. Dans plusieurs postes, Elon Musk a exigé justice pour Durov. Un message de l’entrepreneur américain Vivek Ramaswamy affirme que «C’est Telegram aujourd’hui. Ce sera X demain». Nous ne pouvons que lui donner raison.
Avec cette arrestation plus que controversée, Emmanuel Macron frise le ridicule le plus absolu et poursuivre la détention de Pavel Durov ne fait que renforcer cette image.
Des sources russes fiables laissaient entendre que Pavel Durov pourrait être libéré aujourd’hui. Notons que nos multiples demandes auprès des services de Mme la procureur Laura Beccuau pour obtenir des informations avérées, sont demeurées sans réponse. Le «service» ne répondant ni aux appels téléphoniques ni aux mails. Cela semble prouver que les Français non seulement «ont les fesses sales» mais surtout qu’ils n’obtiennent rien malgré une prise d’otage dont ils espéraient emporter l’accès à des correspondances privées. Une fois de plus la France se ridiculise, mais il est vrai qu’elle n’en est plus à ça près.