L’aventure d’une victime sexuelle du Biden-d’avant avec un texte de Tara Reade.
La chose est sinistre : ce titre de Kravchenko, décidant en 1946 de ne pas regagner l’URSS stalinienne et de rester aux USA, peut être aujourd’hui complètement retourné. Et encore, Tara Reade n’a pas besoin du FSB comme Kravchenko fut aidé par la CIA, ni de préciser une position d’activiste politique favorisée par Moscou, pour affirmer et rendre publique sa position. Son témoignage est d’autant plus intéressant qu’elle est au départ une personne de peu d’“importance” politique ; elle parle le vrai, venu d’une vie qui n’a pas l’avantage (?) d’intéresser le système de la communication. Avec elle, les choses parlent d’elles-mêmes, et l’univers totalitaire des États-Unis de Biden, du FBI et des Woke, hurlent d’eux-mêmes leur infamie et ne dissimulent rien de ce qu’ils sont, – et même, dirions-nous, ils s’en font une gloire suprême.
La situation est d’une formidable schizophrénie idéologique collective du comportement et du jugement, renforcée d’un autisme complet et également collectif de la perception. On insiste sur ceci, – le caractère extrêmement collectif de l’infamie que chacun traduit comme l’impératif d’une perception individuelle et vertueuse, essentiellement dans le chef des élitesSystème qui se montrent ainsi d’une impitoyable et aveugle cruauté. Ainsi parlons-nous des USA.
On le voit même hors des USA bien entendu, puisque nous parlons de l’Ouest-suppuratif et donc du bloc-BAO lorsqu’un soi-disant “président” français dénonce avec gravité le dimanche des craquements d’effondrement apparaissant dans la société russe surmontée par un gouvernement imposteur, dans une Russie parfaitement calme après une tentative de coup d’État-bouffe de 14 heures, et qu’il est décrit jeudi, par Christoforou-Mercouris, comme « Macron danse, la France brûle », après trois jours de guerre civile intense dans sa “douce France”.
« Je restais à Moscou sans avoir l'intention de retourner aux États-Unis. Du moins, pas tant que Biden restera au pouvoir. Mon cœur est resté brisé en voyant les titres des journaux me qualifier de traître. En quoi étais-je un traître ? Biden m'a violée, m'a réduite au silence et m'empêche maintenant de témoigner ? »
Apparu il y a seulement une quinzaine d’années, le smartphone est devenu avec une incroyable rapidité un objet central de notre société. Il suffit d’observer nos contemporains, dans la rue, dans le métro, au restaurant, partout, pour se rendre compte de la place prépondérante qu’il occupe. Selon les dernières statistiques de l’Insee, 77 % de la population française âgée de 15 ans et plus en possèdent un. Ce pourcentage atteint 92 % chez les 30-40 ans, et 94 % pour les 15-29 ans. Signalons que ces statistiques portent sur l’année 2021 et que le taux d’équipement étant en hausse constante, il est assurément encore plus élevé aujourd’hui. Signalons aussi qu’il concerne des enfants de plus en plus jeunes. Selon une étude Médiamétrie, ces derniers se voient offrir leur premier smartphone, en moyenne, avant l’âge de 10 ans. Là encore, ces statistiques datent de 2020 et tout porte à croire que cet âge moyen a encore baissé.
Est-ce que chaque humain sera, d’ici quelques années, systématiquement relié au « grand tout » via un smartphone ?
Nous sommes un certain nombre à ne pas le souhaiter et à vivre sans smartphone, pour de multiples raisons. Ce petit objet est un concentré de pollutions industrielles. Il contient une cinquantaine de métaux différents quasiment impossibles à recycler dont l’extraction crée des situations dramatiques aux quatre coins du monde. Dans les usines de smartphones chinoises, ouvriers et ouvrières sont soumis aux conditions d’exploitation les plus extrêmes quand ils ne font pas l’objet de travail forcé, comme les Ouïgours. Nous pensons qu’à l’heure où l’on nous annonce des coupures d’électricité, l’énergie disponible ne doit pas être accaparée par cet appareillage, ainsi que par la gigantesque infrastructure nécessaire à son fonctionnement (antennes relais, serveurs…). Nous affirmons que les ondes électromagnétiques liées à cette technologie posent de sérieuses questions de santé publique.
Je regardais F9 (de la franchise Fast & Furious) et j’ai été frappé par une phrase. L’équipe de Fast travaille maintenant pour la CIA (qui est en quelque sorte la gentille) et le plan des méchants est de «réinitialiser l’ordre mondial en quelques minutes», comme s’il s’agissait d’une mauvaise chose. Comme si cet ordre mondial était autre chose qu’une guerre impériale permanente. Mais c’est ça, Hollywood.
L’équipe rapide se met alors à détruire des pays au hasard, bon gré mal gré, parce que c’est l’ordre mondial. C’est la raison pour laquelle je soutiens les méchants dans les films maintenant.
Le WSJ et des chercheurs de l’Université de Stanford et de l’Université du Massachusetts à Amherst ont mené une enquête à grande échelle sur l’algorithme d’Instagram et ont découvert que non seulement Instagram héberge du contenu pédophile, mais qu’il vend spécifiquement l’accès au viol d’enfants aux pédophiles en utilisant des mots de code du pizzagate.
Robert F. Kennedy Junior est le fils de Robert Francis Kennedy dit Bob Kennedy, assassiné en 1968 alors qu’il était candidat à la primaire du parti démocrate dont il était favori au moment de son décès. Ce dernier aurait pu, comme son frère, devenir président si la mort n’était pas venu interrompre le cours de sa campagne.
Robert F. Kennedy Junior est donc le neveu du président US John Kennedy assassiné lui aussi en Novembre 19631. Il est âgé de 69 ans aujourd’hui.
Il avait 14 ans lorsque son père a été assassiné. Il était déjà en mesure de comprendre un certain nombre de choses. C’est donc le troisième Kennedy à se présenter dans une présidentielle US. Il pourrait bien être le troisième à quitter cette terre prématurément et il semble en être conscient.
Les propos qu’il tient sur le complexe militaro-industriel et sur les néocons US ne vont certainement pas plaire à «l’État profond». Il ne serait pas surprenant que nos médias ignorent délibérément ces propos ou le traite de complotiste.
À chacun de se forger son opinion, bien sûr.
J’avais l’habitude de penser que la plupart de ces tueurs n’étaient pas intentionnels et qu’ils étaient simplement le résultat de l’ignorance ou d’une compréhension inexistante du monde non matériel de l’esprit. Je pensais également que la science était plutôt inapte à détecter les changements subtils d’émotions, comme la dépression ou le fait de « ne pas se sentir bien ». Toutes ces « mesures » étaient tout simplement trop nuancées pour être prises en compte dans leurs calculs.
Aujourd’hui, je pense qu’une grande partie de ce dont je parle est intentionnelle. Nous sommes intentionnellement éliminés ou, à tout le moins, intentionnellement rendus malades. L’humanité est délibérément assassinée.
C’est une hypothèse plutôt radicale, n’est-ce pas ? Mettons-la de côté pour l’instant si cela vous dérange. Je peux avancer de bons arguments même si vous n’êtes pas prêt à accepter cette notion extrême. Et, comme l’éminent psychiatre suisse Carl Jung le disait souvent à ses patients, « Je peux me tromper ».
Il y a beaucoup de choses évidentes dans le monde qui nous tuent en douceur… et pas toutes en douceur. La pollution en est une importante : l’air que nous respirons et l’eau que nous buvons sont toxiques, et probablement plus toxiques que ce que l’on veut bien nous faire croire (c’est la partie « en douceur »). Ensuite, sur la liste des produits toxiques, il y a la plupart des aliments que nous mangeons, le plus évident étant la restauration rapide, le moins évident étant les aliments transformés, et le coupable le plus discret étant les OGM. Il existe également d’autres « tueurs évidents », mais je n’ai pas la place de les inclure tous.
Parmi les éléments moins évidents, qui peuvent poser problème à certains d’entre vous, il y a des choses comme la 5G et, en fait, toute pollution par les CEM [champs électromagnétiques], y compris les ondes radio. La plupart des médicaments sont toxiques, les médecins eux-mêmes peuvent être très toxiques et coupables de nous tuer en douceur, même si je parierais que la plupart d’entre eux le font involontairement (combien de fois avez-vous lu des statistiques selon lesquelles les « décès dus aux médecins, aux hôpitaux et aux produits pharmaceutiques » se classent parmi les cinq premières causes de mortalité dans le monde ?) Il y a tellement de choses sur cette liste qu’il faudrait des volumes pour les présenter toutes.
L’exploit remarquable a consisté à créer en laboratoire des embryons humains synthétiques à partir de cellules souches.
Les scientifiques espèrent que ces embryons, qui éliminent totalement la nécessité d’un ovule ou d’un spermatozoïde, offriront une occasion unique d’étudier et de mettre au point des traitements pour diverses maladies génétiques.
Cela dit, ces travaux soulèveront probablement un certain nombre de questions éthiques, d’autant plus que la création d’embryons humains synthétiques est contraire à la législation en vigueur dans un certain nombre de pays.
Il serait certainement illégal de les implanter dans un véritable utérus et on ne sait pas exactement jusqu’où ils pourraient se développer dans ces circonstances.
Aujourd'hui, c'est à la chanteuse, comédienne et Vlogueuse Amélie Paul de répondre aux questions.
« À travers l’histoire, il y a toujours eu environ 15 % de résistants. »
Google a mis au point une technologie capable de suggérer l’identité d’une personne même lorsque celle-ci regarde ailleurs et que son visage n’est pas entièrement visible.
Cette technologie est introduite dans l’application Google Photos, mais ses implications sont considérables.
Le nouveau système peut suggérer le nom d’une personne même si l’on ne voit que l’arrière de sa tête sur la photo.
Google Photos utilise la reconnaissance faciale pour suggérer le nom des personnes sur les photos. La précision n’est pas toujours au rendez-vous, mais selon Android Authority, la nouvelle fonctionnalité permet d’identifier avec une précision de 80 à 85 % les personnes qui regardent ailleurs sur une photo.
Le système peut utiliser d’autres signaux que l’apparence de la tête d’une personne, comme les similitudes avec d’autres photos, les vêtements et les métadonnées.
Selon elle, le totalitarisme correspond à un délire paranoïaque, une pathologie de contrôle et de persécution des populations. Il vise la domination totale, notamment sur la vie intime des gens, en s’appropriant leur corps et en les réduisant à des êtres superflus.
Le totalitarisme fonctionne à l’idéologie, une narration mensongère du point de vue de la vérité et de la réalité de l’expérience vécue. Il recourt à la propagande pour endoctriner les masses, en utilisant notamment la télévision et l’image en général.
« Des personnages clés ont été mis à des postes clés pour promouvoir un programme de contrôle, de surveillance et de mise en esclavage. »
Une proposition de loi « relative à la reconnaissance biométrique dans l’espace public » est examinée en ce moment par les sénateurs.
La « loi JO », promulguée le 19 mai, autorise l’utilisation d’algorithmes pour analyser les images captées par les caméras de surveillance. C’est une première en Europe. Les ordinateurs reliés aux caméras doivent permettre, d’après leurs promoteurs, de détecter en temps réel des évènements prédéterminés, comme des mouvements de foule, un sac abandonné ou des « comportements suspects ». Avec l’appui des algorithmes, les capacités de l’État à surveiller l’espace public se voient démultipliées… à condition d’avoir des caméras qui filment !
Le 20 avril, un décret a été publié qui autorise l’utilisation des drones – équipés de caméras – par les policiers. La pratique existait déjà, on se souvient par exemple de l’utilisation de drones pendant la crise liée au Covid. Mais leur utilisation est désormais approuvée par la loi et permet aux préfets d’en faire usage de manière beaucoup plus fréquente. D’après un décompte du Monde, plus de 50 opérations de surveillance aérienne par drones ont été autorisées entre le 20 avril et le 20 mai. Manifestation écologistes, festival de Cannes, finale de la coupe de France de foot, raves parties, courses de voitures non autorisées, manifestations du 1er mai… L’État semble avoir déjà pris l’habitude de l’utilisation régulière de ces caméras volantes.
Et les drones ne sont pas les seuls à filmer. L’habitude semble également prise, côté forces de l’ordre, de filmer les manifestants depuis le sol. Celles et ceux parmi nous qui défilent régulièrement dans les grandes villes peuvent en témoigner. De manière générale, l’association La quadrature du net relève la multiplication et l’extension, « exponentielle », des moyens de captation : « caméras de vidéosurveillance fixes, caméras-piétons, caméras sur les véhicules, caméras dans les halls d’immeubles, hélicoptères de surveillance, drones de surveillance. »