De nombreuses lois visant à combattre la désinformation et la mésinformation sont en cours d’adoption dans les pays occidentaux, à l’exception partielle des États-Unis, où le premier amendement est en vigueur. Cette situation a conduit à la mise en œuvre de méthodes de censure plus discrètes.
Une réponse inattendue à ces lois restrictives pourrait provenir de la critique littéraire. Les termes utilisés, tels que les préfixes ajoutés au mot « information », sont trompeurs. L’information, qu’elle soit contenue dans un livre, un article ou autre, demeure un artefact passif. Elle ne peut agir par elle-même, et donc, elle ne peut enfreindre aucune loi. Les nazis ont peut-être brûlé des livres, mais ils ne les ont pas arrêtés ni emprisonnés. Ainsi, lorsque les législateurs cherchent à interdire la « désinformation », ils ne peuvent pas viser l’information en tant que telle, mais plutôt la création de sens.
Les autorités emploient des variantes du terme « information » pour insinuer qu’il s’agit de vérités objectives, mais ce n’est pas le cœur du problème. Ces lois, par exemple, s’appliquent-elles aux prévisions des économistes ou des analystes financiers, qui font régulièrement des prédictions erronées ? Bien sûr que non. Pourtant, des prévisions économiques ou financières crédibles pourraient avoir un impact significatif sur les populations.
Ces lois sont davantage conçues pour cibler l’intention des auteurs, visant à créer des significations non conformes à la position officielle du gouvernement. La « désinformation » est généralement définie dans les dictionnaires comme une information intentionnellement trompeuse et préjudiciable. En revanche, la « malinformation » implique la diffusion de faits véridiques, mais avec une intention malveillante. La détermination de l’intention de l’auteur est souvent cruciale dans ces cas.
Elle est un personnage à peu près sorti de nulle part au cours des dernières semaines dans le paysage médiatique pro-Trump et qui enchaîne les déclarations dignes d’un film de Marvel !
La psychologue Jan Halper-Hayes, ancienne vice-présidente mondiale des Républicains à l’étranger, a déclaré il y a quelques jours que la Space Force (rien de moins) disposait de preuves sur la fraude électorale en 2020. Elle prétend que Trump n’a pas encore sorti les preuves pour éviter la GUERRE CIVILE (qui devra venir en son temps bien sûr).
Elle détaille que Trump est allé voir la Reine et le Pape au Vatican pour leur annoncer qu’il mettait fin à la corporation des États-Unis pour rétablir une république libre ! Êtes-vous prêts pour le NESARA-GESARA ? Là on nage en plein délire Qanon !
Je dirais que ce qui apparaît être un délire, à première vue, est en fait une trame de cette gigantesque opération psychologique dans laquelle cette dame vient de s’ajouter en tant que joueur clé dans la partie d’échecs en 5D (logo des opérations psychologiques de l’Armée américaine).
En quelques semaines, le titre Rich Men North of Richmond (les élites US sont regroupées à Washington, à 175 km au nord de Richmond) a bousculé les charts et ses people formatés par le showbiz.
Ses 37 millions de vues sur YouTube l’ont propulsé en haut du billboard, ce calcul final qui réunit toutes les écoutes possibles, du disque au streaming en passant par la radio.
« J’ai vendu mon âme
Je bosse toute la journée
Des heures supplémentaires
Pour un salaire de merde
Pour poser mon cul et gâcher ma vie
Rentrer à la maison et noyer mes problèmesC’est une putain de honte
Ce que le monde est devenu
Pour les gens comme moi et les gens comme vous
J’aimerais pouvoir me réveiller, et que ça ne soit pas vrai
Mais ça l’est, oh, ça l’est
Vivre dans le nouveau monde
Avec une vieille âmeCes riches au nord de Richmond
Ils veulent tout contrôler
Savoir à quoi tu penses, et ce que tu fais
Et ils ne pensent pas que tu le sais, mais je sais que tu le sais (...)
À cause des riches au nord de Richmond »
Il y a vingt ans, j'avais écrit dans la revue contre-littérature de mon ami Alain Santacreu un texte comparant la bizarre Neuvième porte de Polanski à l'incontournable Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick qui venait de mourir, pour ses proches, dans des conditions incompréhensibles. Les deux films tiraient à boulets rouges sur nos élites : sacrifices humains, satanisme, orgies, mythologie Illuminati et conspiration à ciel ouvert dans un monde d'aveugles. Les deux films furent tournés dans des châteaux ayant appartenu aux Rothschild, revenus au premier plan depuis quelques années : Ferrières et Mentmore Towers (lieu des orgies rituelles à chaque fois), où fut même tourné le film de Philip Kaufmann sur Sade (voyez mon texte sur le retour en grâce du divin marquis).
C’est magnifique…
Des habitants accueillants, qui vous invitent à boire une boisson fraîche quand ils vous voient passer devant chez eux, juste parce que vous aimez leur village du bout du monde.
Puis vous commencez à parler.
Alors le sujet part sur la canicule, il est vrai qu’il faisait 36 degrés… alors je m’aperçois que le discours BFM est imprimé jusque dans les âmes, aucun de ceux que je rencontre ne remet en cause le côté anthropique du « réchauffement »…nous sommes des salauds d’êtres humains qui pourrissons la planète, ça va mal…que répondre ? Rien…
Arrivée dans un village perché d’une vingtaine d’habitants, je remarque sur les ruines du vieux château le drapeau français qui flotte au vent, puis…le drapeau…de l’Europe. Damned…qu’est-ce que l’Europe vient foutre ici ? Je suis choquée…
Je continue ma route, et là un peu plus haut, encore le drapeau azur aux douze étoiles sur les ruines du vieux village de L. qui se trouve à 1.700 mètres. Damned… serions-nous en terre occupée ?
La tristesse m’envahit, devant tant de bonnes volontés humaines qui s’acharnent à faire revivre ces villages, dans un certain esprit d’entraide, c’est beau, mais que fout ce drapeau européen au cœur de nos villages?
Quelques-uns l’ont-ils seulement remarqué ?
Les citoyens britanniques sont furieux. Sadiq Khan installe des caméras de reconnaissance #ULEZ (Ultra low emission zones) dans tout Londres. Ceux qui n’ont pas les moyens d’acheter des véhicules électriques se verront infliger une amende de 12 £ (15 € environ) chaque fois qu’ils passeront devant eux. Les citoyens ripostent en les abattant dès qu’ils sont installés comme vous pouvez le constater sur cette vidéo. La tyrannie ne fonctionne que lorsque la population l’accepte, autrement elle peut être arrêtée immédiatement, tout dépend de la volonté du peuple.
TRANCE tisse l'expérience de Cathy O'Brien en tant que l'une des dernières victimes survivantes de MK Ultra et de Project Monarch, dans le macrocosme des événements mondiaux passés et l'agenda en cours.
Le livre est disponible en langue française sous le titre : "L'Amérique en pleine Transe-Formation"
Celle-ci est l’œuvre d’un polytechnicien de formation, devenu entrepreneur et pilote, David van Hemelryck. Ce dernier a choisi ce mode d’action pour simplement sensibiliser les Français à propos de l'existence d'un processus de destitution du président de la République. Une destitution qu'il appelle de ses vœux, peu satisfait de l'état du système politique et démocratique de la France à l'heure actuelle. Une action qu'il aimerait voir se déclencher au-delà des chapelles politiques, des querelles partisanes ou des idéologies divergentes et dont il explique la nécessité à ses yeux au sein d'un site internet.
(voir la suite de l'article après la vidéo)
Cette pression provenait non seulement des institutions mais aussi de leurs proches, collègues et professionnels de santé. Ces non-vaccinés, malgré leur diversité d’âge, d’éducation, de situation socio-économique et de croyances, ont montré une résilience remarquable. Ils ont été décrits par l’auteur comme des superhéros, non en raison de capacités surhumaines, mais à cause de leur force intérieure, leur capacité à résister à la discrimination, à l’isolement, à la perte d’opportunités professionnelles et même à la séparation d’avec leur famille. Ils ont enduré de multiples épreuves, pensant souvent qu’ils étaient seuls dans leur combat. L’auteur salue leur résistance comme étant digne des plus grands héros de l’histoire, suggérant que leur détermination et leur force de caractère les distinguent comme des êtres d’exception au milieu de la société.
Ce sont ainsi 54 % des sondés, propriétaires de voitures électriques, qui disent regretter leur choix. […]
Le problème majeur vient de l’opacité entourant le réseau des bornes de recharge. Les propriétaires de VE se plaignent notamment du manque total de transparence vis-à-vis des prix des recharges.
Les choses ne vont d’ailleurs pas aller en s’arrangeant. En effet, depuis le 1er août 2023, les prix de l’électricité en France ont subi une hausse conséquente de 10 % dans le cadre de la fin progressive du bouclier tarifaire.