Dans une tribune parue le 17 octobre, des parlementaires et des associations tirent la sonnette d’alarme sur l’explosion du nombre d’enfants sans-abris en France avec une augmentation de 42% «en un mois seulement», portant leur nombre à au moins 2 822. Ces chiffres de l’Unicef France et de la FAS, la Fédération des acteurs de solidarité, sont publiés alors que le froid revient en France.
Le 21 août, l’Unicef et la FAS dénombraient 1 990 enfants restés sans solution d’hébergement. Deux mois plus tard, ils seraient au moins 2 822. En effet, le qualificatif au moins est ici de rigueur puisque les données ne tiennent compte que des appels reçus par le 115. Sont ainsi exclus les mineurs non accompagnés sans abri et les familles vivant en squats ou en bidonvilles. Les familles n’appelant pas ou plus ne sont pas non plus répertoriés.
Des chiffres «sous-estimés»
La tribune intitulée «Agir pour en finir avec le sans-abrisme des enfants : un devoir commun» dénonce l’absence de respect des «droits fondamentaux» des enfants sans abris qui sont par ailleurs «pénalisés dans leur développement, leur santé, leur scolarité, et confrontés dès le plus jeune âge aux inégalités et à la grande pauvreté».
Covid-exilé en Estonie depuis octobre 2020, Jérémie Mercier continue activement à défendre la santé naturelle notamment à travers ses programmes en ligne (notamment le Club Santé Privé) et ses vidéos où il interview de nombreux scientifiques ou médecins à contre-courant de la doxa. Doria, notre naturopathe, a eu l’occasion de le rencontrer il y a quelques semaines à Nantes.
Doria (Le Média en 4-4-2) : Peux-tu te (re)présenter en 4-4-2 à nos lecteurs ?
Jérémie Mercier : Je dirais qu’aujourd’hui je suis un chercheur et un éducateur en santé au sens large. Tout d’abord, j’enseigne des informations capitales sur comment retrouver la santé (ou rester en bonne santé) grâce à l’alimentation vraiment saine, l’extériorisation des émotions, le nettoyage du foie et plein d’autres approches de santé naturelle chaque mois avec mes invités du Club Privé Santé (argile, huile de ricin, jeûne, vitamines C et D à dose thérapeutique, etc.).
Ensuite, j’anime souvent des émissions, telles que « Science en Conscience », que j’avais commencée avec RéinfoCovid, mais qui continue toujours, où je sélectionne des invités qui me paraissent pertinents afin de mieux comprendre la réalité et sortir des dogmes obsolètes (en particulier au niveau médical sur le Covid, mais pas que).
Je suis aussi très actif sur tous les réseaux sociaux – quand je ne suis pas censuré – et ma newsletter joue un rôle d’alerteur sur tout ce que je considère comme étant des arnaques de la « médecine moderne » : vaccination (toutes), « dépistages » du cancer du sein (clin d’œil à « Octobre Rose » qui commence) et de la prostate, port du masque, arnaque « SIDA », etc.
En plus de cela, je suis co-auteur avec 3 collègues (Prof Denis Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Joseph Hickey) de publications scientifiques (déjà 8 en 3 ans) dans lesquelles nous analysons les statistiques de mortalité toutes causes confondues et mettons en évidence le fait qu’il n’y a pas eu de pandémie, que les « mesures sanitaires » telles que le confinement tuent et enfin nous calculons la mortalité causée par les « vaccins contre le Covid ». On arrive au chiffre de 17 millions de morts au niveau mondial dans notre dernière publication. Ça commence à faire !
Doria (Le Média en 4-4-2) : Si ton parcours était à refaire, que changerais-tu ?
Jérémie Mercier : Rien ! J’ai l’impression que tout ce que j’ai fait me sert aujourd’hui ! J’ai fait de longues et difficiles études scientifiques, mais ça me permet de mieux comprendre les arnaques faites au nom de la science. J’ai aussi fait des stages dans des institutions internationales (ONU à Beyrouth, siège de l’UNESCO à Paris) et ça m’a été très utile pour comprendre que ces institutions ne sont pas là pour le bien de l’humanité…. je les ai vues au travail de l’intérieur !
Mes formations en santé naturelle à partir de 2011 m’ont permis, avec mon recul scientifique, de faire le tri également dans la santé alternative. Je sais que j’ai encore beaucoup à apprendre, mais ça va, je suis toujours très motivé et prêt à continuer !
Doria (Le Média en 4-4-2) : Pourquoi avoir publiquement pris la parole, et ce, bien avant le Covid puisque ta chaine Youtube date de 2011 ?
Jérémie Mercier : Et elle va peut-être prochainement disparaître…. (il vaut mieux par sécurité me suivre sur CrowdBunker et sur Telegram je pense !). J’en suis déjà à plus de 10 avertissements (= censures) de la part de YouTube, ce qui à chaque fois bloque toute action sur ma chaîne pendant 1 à 2 semaines et me rapproche de la menace d’une suppression pure et simple de ma chaîne par YouTube. Je navigue depuis 2020 entre les censures et à chaque fois, je crois rêver quand je vois une de mes vidéos sauter.
Je prends la parole publiquement parce que je n’arrive pas à fermer ma gueule quand je vois et comprends (et en plus je peux expliquer de façon intelligible) les énormités de notre « système de santé » en matière de santé. Ça me libère et me fait du bien d’avertir mes congénères via ces vidéos. Après, chacun prend ou pas ce que je lui donne. J’ai compris il y a longtemps qu’on ne peut pas sauver quelqu’un malgré lui. Je n’ai d’ailleurs ni l’âme d’un sauveur, ni d’un martyr. Je comprends des choses de façon originale car je pense avoir un don pour voir le bullshit (comme si j’avais un radar). Je fais passer l’info. Les gens qui voient passer mes infos disposent. Je suis évidemment ravi quand je reçois des messages de soutien et des remerciements (ça arrive très souvent, et heureusement !).
Depuis l’affaire COVID les preuves s’accumulent ! Les injections dangereuses faisaient partie du plan de dépopulation mis en place par les satanistes, ainsi que Karl Schwab l’avoue dans son livre :
«LE GRAND RESET» !
Ce plan fut initié depuis longtemps ainsi que le mentionne Attali dans une interview avec un certain Salomon paru dans les années 70 :
«Les inutiles iront à l’abattoir», disait-il en conclusion !
Tout y est parfaitement décrit et ceux qui en ont été informés à l’époque ont compris ce que l’affaire Covid et leurs injections dangereuses et mortelles signifiaient.
En France depuis les trois derniers présidents, le pays se dégrade et notre pays est vendu à la découpe au profit des USA.
La dernière trahison aura été la vente d’Alstom !! Et il y en a d’autres. La liste serait trop longue !
Les USA mentors de notre classe politique européenne ont tout fait pour empêcher que l’UE ne se tourne vers l’Est ! Pour ce, il fallait détruire la Russie, la mettre en pièces détachées et l’annexer et ouvrir la voie vers la Chine.
Alors la guerre proxy en Ukraine fut initiée pour cette raison ! Ce n’est plus ignoré ! Hollande et Merkel l’ont avoué !
Ce qui me révolte est le comportement non seulement des médias mainstream manipulés aux ordres et leurs affidés qui vomissent à jet continue sur la Russie sans aucune honte, mais surtout le silence de nos politiques dans notre pays. (Exceptés les généraux de plateaux TV pauvres Gamelin pitoyables et sans honneur !)
Que ce soit l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel … Pas une voix ne s’élève !!! Ils sont tous le doigt sur la couture du pantalon et regarde sans broncher notre pays couler au fond des abysses.. Rien ne les émeut ! RIEN !
Et ils laissent ces imposteurs aux commandes continuer à soutenir l’Ukraine, totalement corrompue, sans aucun respect ou condescendance pour leurs morts qui ne sont pour eux que de la chair à canon.
Je ne commenterai pas ici leur folie transgenres, LGBT, pédophilie, adrénochrome, vente d’organes, changement climatique bidon, chemtrails nocifs, nourriture frelatée, G5, perte de liberté, immigration organisée, Éducation nationale en décadence, destruction de notre Constitution et de nos églises et Vatican sataniste.
La France pays des Droits de l’Homme a sombré dans le néant !
La France chrétienne est condamnée !
Mais nous tous «les complotistes» c’est à dire ceux qui ont le courage de dénoncer leurs immondes complots -souvent au prix de leur vie – nous voulons garder la foi et continuons à éveiller ceux qui ont encore la tête dans le sable.
La semaine dernière, les médias ont multiplié les avertissements à propos du dernier variant du Covid-19, le dernier d’une longue liste. Il semble que personne n’écoute plus. Pour une grande partie de la population, la pandémie est terminée depuis longtemps et appartient définitivement au passé. Personne ne veut tomber de nouveau dans une spirale infernale de restrictions, de confinements, de masques et de vaccinations, après que ces dernières années ont sérieusement sapé la crédibilité des gouvernements et la confiance du public en leur capacité à prendre les décisions adéquates. Les gouvernements occidentaux n’ont plus la volonté politique ni l’intérêt d’oser prendre des décisions impopulaires, même si certains tirent la sonnette d’alarme.
Sur bien des plans, la pandémie a marqué un tournant dans les relations entre les gouvernements et la population dans les pays occidentaux, précisément parce qu’il s’agissait de la première épidémie d’une telle ampleur à survenir à l’époque de la culture des médias sociaux de masse, où les gens, plus interconnectés que jamais, ont la capacité illimitée d’exprimer leurs propres opinions, d’entendre celles des autres et, ainsi, d’exprimer leur désaccord à l’égard des gouvernements et de leurs politiques. L’ère des réseaux sociaux a déjà posé de nombreux défis aux structures étatiques, alors que les gouvernements occidentaux s’efforcent de reprendre le «contrôle du récit» perdu depuis lors sur leurs populations. La liberté des médias sociaux est un facteur clé qui a contribué, voire provoqué des résultats qui ont choqué les élites, notamment l’élection de Donald Trump aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni. Par conséquent, les classes dirigeantes des pays occidentaux ont renforcé la censure et le contrôle du discours sur les réseaux sociaux, en qualifiant les points de vue indésirables de «désinformation», voire de propagande malveillante diffusée par des pays étrangers, tels que la Chine ou la Russie...
L’appauvrissement, déjà plus ou moins âprement débattu ici ou là, ne fait plus de doute, que ce soit pour les étudiants, les travailleurs ou la population en général.
L’insécurité explose. L’analyse objective des flux d’information en France suffit à se convaincre que le sentiment d’insécurité a fait place à un climat véritablement violent ; nombreux sont ceux qui constatent que le pays est devenu franchement dangereux par endroits, et le seul fait que les ministres de l’Intérieur se suivent et se relaient tous pour dire que “non, ce n’est pas si grave” suffit en lui-même à garantir que la situation se dégrade de plus en plus vite.
La situation économique montre d’évidents signes de fébrilité, et ce ne sont pas les derniers articles sur l’immobilier, qui donne le pouls du pays, qui permettront de se rassurer. Désindustrialisation, chômage, éducation en déroute, la situation socio-économique française se détériore de jour en jour.
C’est visible de tous, à l’exception bien sûr de ceux qui, terrorisés de ce que la réalité révèle, refusent de la regarder en face ou ceux qui ont un intérêt bien compris à ne surtout pas la voir, depuis les ministres et certains médias jusqu’à certaines administrations ou associations lucratives sans but dont l’existence même serait remise en cause si, justement, pauvreté ou violence devaient disparaître.
Devant cette situation, ceux qui veulent s’en sortir, échapper à la violence ou à la pauvreté, comprennent que leur destin ne devra surtout pas être remis dans les mains de l’État, ce dernier ayant largement contribué au résultat actuel.
Mais ça, l’État et ses affidés ne veulent pas en entendre parler : la situation est telle, en France, que se passer de l’État est devenu rigoureusement interdit.
Le Parlement européen a approuvé une proposition de règlement assimilant les embryons humains aux cellules et aux tissus, les définissant comme des «substances d’origine humaine». Cela ouvre les portes à l’eugénisme et aux usages industriels.
Mardi 12 septembre, le Parlement européen a approuvé en première instance de nouvelles mesures par lesquelles il souhaite mieux protéger les citoyens qui donnent du sang, des tissus ou des cellules ou qui sont traités avec ces substances humaines. Mais en réalité, ignorant les alarmes de diverses organisations d’experts et les préoccupations des évêques européens, le projet de règlement approuvé par une large majorité composée de socialistes, de verts et de libéraux, autorise le libre marché des embryons, des fœtus et des gamètes humains et les expériences et sélections eugéniques qui en résultent.
La proposition de règlement sur les Normes de qualité et de sécurité pour les substances d’origine humaine destinées à être appliquées chez l’homme (ou règlement SoHO), qui vise à partager les cellules, le sang et les tissus humains au sein des États membres de manière harmonisée et standardisée, a été adoptée le 12 septembre, avec 483 voix pour, 89 abstentions et 52 voix contre. De nombreux députés ont insisté sur le fait que les dons de ces «substances» doivent toujours être volontaires et non rémunérés et que les donateurs ne peuvent recevoir qu’une compensation ou un remboursement pour les pertes ou les dépenses encourues.
Nous sommes confrontés à l’hypocrisie la plus flagrante qu’on puisse imaginer, car elle ouvre en fait à la marchandisation de l’humanité. En effet, pour garantir que l’Union européenne dispose de son propre approvisionnement indépendant en ces substances, comme cela est également précisé dans la fiche de mesure approuvée, «les députés demandent une stratégie européenne coordonnée par la Commission pour garantir leur disponibilité, une liste européenne de substances destinées à l’usage humain ou d’origine humaine (SoHO) déficientes ainsi que l’établissement de plans nationaux d’urgence et de continuité d’approvisionnement».
Pour rappel, en 2020, L214 a saisi le tribunal administratif de Paris qui, par un jugement du 1er février 2022, a constaté l’illégalité des missions confiées à la cellule Déméter qui ne relevaient pas de délinquance ou de criminalité organisée.
La juridiction a également enjoint à l’État « de faire cesser les activités de la cellule nationale de suivi des atteintes au monde agricole qui visent à la prévention et au suivi d’“actions de nature idéologique” […] dans un délai de deux mois » sous peine de 10 000 € d’astreinte par jour de retard.
L’État a partiellement fait appel de cette décision. En effet, il n’a relevé appel que concernant les activités de suivi d’“actions de nature idéologique”. L’État n’a en revanche pas contesté l’annulation des activités de cette cellule tenant à la prévention des “actions de nature idéologiques”, reconnaissant ainsi clairement l’illégalité de cette activité.
Rafaël ne possède ni papiers d’identité, ni carte bancaire, ni téléphone, ni permis, ni diplôme, ni propriété et aucune aide de l’État. Sa vie est centrée sur l’échange direct avec les autres et sur la subsistance à partir de la nature. La « Course de la Liberté » représente également une aventure humaine. Pendant quatre semaines, Rafaël court avec une flamme allumée en permanence, parcourant 30 à 40 km par jour, et dort chez les habitants. Une expérience extraordinaire qui lui permet de rencontrer des gens partageant ses valeurs. Cette course a commencé le 26 août à Hendaye et se termine 23 septembre à Bordeaux.
L’Évolution de la « Course de la Liberté » et la Réaction du Public
Le parcours de Rafaël Llodra a évolué depuis la première édition de la « Course de la Liberté » en 2022. Cette évolution est marquée par une reconnaissance touchante, principalement de personnes déjà impliquées dans des milieux alternatifs. Même ceux qui ne partagent pas toutes ses convictions respectent son engagement. Le mode de vie de Rafaël peut sembler radical, mais il suscite l’admiration et le respect, encourageant ainsi d’autres à remettre en question le système actuel.
La mort, la destruction et le chaos sont les conséquences de l’échec des politiques progressistes dans de nombreuses villes dirigées par les démocrates, comme Detroit, Baltimore City, San Francisco, Portland, Chicago, Minneapolis, la Nouvelle-Orléans, Chicago et Philadelphie. Les démocrates sont à la tête des grandes villes depuis suffisamment longtemps pour assumer la responsabilité de la chute de ces zones métropolitaines, mais ils ont rejeté la faute sur tout le monde, sauf sur eux-mêmes.
La gravité du jeu des reproches est si alarmante qu’au Nouveau-Mexique, le gouverneur démocrate tyrannique vient de suspendre les droits constitutionnels sur les armes à feu pour les citoyens respectueux de la loi d’Albuquerque, rejetant la responsabilité de la montée en flèche des crimes violents sur les armes à feu plutôt que sur les politiques désastreuses et l’ouverture des frontières dans le sud.
Si nous concentrons notre attention sur Philadelphie, juste au nord de la ville de Baltimore en pleine implosion et juste au sud de la ville de New York infestée de migrants, la « ville de l’amour fraternel » a des rues qui semblent tout droit sorties de la série télévisée sur l’apocalypse zombie « The Walking Dead ».
Dans un élan audacieux vers un internet libre et ouvert, Rumble – la plateforme de partage de vidéos en plein essor – a fait avancer sa mission avec le lancement beta de Rumble Cloud, une livraison anticipée par rapport au calendrier prévu par l’entreprise, au cœur du marché des services en nuage.
Cette étape importante de Rumble, lancée aujourd’hui, constitue l’épine dorsale d’une nouvelle autoroute de l’infrastructure destinée à soutenir l’internet sans entraves. C’est un phare pour ceux qui sont laissés dans le froid par la censure et les tactiques de tarification douteuses de Big Tech dans le domaine des services en nuage.
Rumble s’est concentré sur la construction d’un cadre solide capable de soutenir l’activité de streaming et de vidéo à grande vitesse de l’entreprise. L’infrastructure désormais en place ne répond pas seulement aux besoins complets de Rumble en matière de vidéo, mais sert également de tremplin pour plonger dans le marché des services dématérialisés, ce qui lui permettra de rivaliser avec des entreprises telles qu’Amazon et Google.
Elle exploitera la capacité disponible et la convertira en un service basé sur le cloud profitable à une nouvelle base de clients, ce qui lui permettra de réaliser des économies d’échelle.