Imaginez ne serait-ce que 30 secondes, un monde où toutes vos pensées, vos désirs, vos fantasmes, vos bêtises, vos écarts petits et grands seraient connus.
Imaginez un peu ceci.
Ce serait un enfer absolu.
Un monde de transparence totale serait un monde infernal.
La vie en société nécessite bien souvent une certaine forme d’hypocrisie et l’hypocrisie est d’ailleurs exigée par les normes sociales.
Imaginez un seul instant dire à tous et chacun exactement ce que vous pensez d’eux, comment vous les sentez, comment vous les jugez ?
Dans un tel monde, au bout d’une heure nous serions tous en train de nous entretuer sur fond d’insultes ou de sentiments de trahison.
Concernant les gens « dangereux ».
Estrosi veut plus de caméras et plus de reconnaissance faciale, même dans les écoles où l’on fouille désormais déjà les sacs de nos enfants d’une manière ahurissante et totalement contre-productive.
Croyez-vous un seul instant que le terroriste en Kalachnikov se masque ? Pensez-vous une seule seconde qu’une caméra va l’arrêter ?
C’est d’une naïveté confondante et confinant à la stupidité la plus totale à moins et c’est plus grave que ce soit de la manipulation basée sur des mensonges.
Et c’est évidemment cette solution hélas.
Voilà ce que déclara Ulysse en public, selon Homère.
S’il eût dit seulement : « Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres », c’était suffisant. Mais au lieu d’en déduire que la domination de plusieurs ne peut être bonne, puisque la puissance d’un seul, dès qu’il prend ce titre de maître, est dure et déraisonnable, il ajoute au contraire : « N’ayons qu’un seul maître... »
Il faut peut-être excuser Ulysse d’avoir tenu ce langage, qui lui servait alors pour apaiser la révolte de l’armée : je crois qu’il adaptait plutôt son discours aux circonstances qu’à la vérité.
Mais à la réflexion, c’est un malheur extrême que d’être assujetti à un maître dont on ne peut jamais être assuré de la bonté, et qui a toujours le pouvoir d’être méchant quand il le voudra. Quant à obéir à plusieurs maîtres, c’est être autant de fois extrêmement malheureux.
Je ne veux pas débattre ici la question tant de fois agitée, à savoir « si d’autres sortes de républiques sont meilleures que la monarchie ». Si j’avais à la débattre, avant de chercher quel rang la monarchie doit occuper parmi les divers modes de gouverner la chose publique, je demanderais si l’on doit même lui en accorder aucun, car il est difficile de croire qu’il y ait rien de public dans ce gouvernement où tout est à un seul. Mais réservons pour un autre temps cette question qui mériterait bien un traité à part, et qui provoquerait toutes les disputes politiques.
Pour le moment, je voudrais seulement comprendre comment il se peut que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations supportent quelquefois un tyran seul qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent, qui n’a pouvoir de leur nuire qu’autant qu’ils veulent bien l’endurer, et qui ne pourrait leur faire aucun mal s’ils n’aimaient mieux tout souffrir de lui que de le contredire. Chose vraiment étonnante — et pourtant si commune qu’il faut plutôt en gémir que s’en ébahir -, de voir un million d’hommes misérablement asservis, la tête sous le joug, non qu’ils y soient contraints par une force majeure, mais parce qu’ils sont fascinés et pour ainsi dire ensorcelés par le seul nom d’un, qu’ils ne devraient pas redouter — puisqu’il est seul — ni aimer — puisqu’il est envers eux tous inhumain et cruel.
Telle est pourtant la faiblesse des hommes : contraints à l’obéissance, obligés de temporiser, ils ne peuvent pas être toujours les plus forts. Si donc une nation, contrainte par la force des armes, est soumise au pouvoir d’un seul — comme la cité d’Athènes le fut à la domination des trente tyrans —, il ne faut pas s’étonner qu’elle serve, mais bien le déplorer. Ou plutôt, ne s’en étonner ni ne s’en plaindre, mais supporter le malheur avec patience, et se réserver pour un avenir meilleur.
Réalisé juste avant la guerre dévastatrice que mène Israël contre le Hamas et la population civile, il devient un précieux document d’alerte et de mobilisation.
Lorsqu’après son éclatant documentaire «Le char et l’olivier, une autre histoire de la Palestine» (2019), Roland Nurier veut rendre compte de la vie sous blocus à Gaza, il n’imagine pas que Yallah Gaza sortira durant la guerre la plus meurtrière qu’ait connu le territoire palestinien. «Renvoyer Gaza à l’âge de pierre» est pourtant une obsession israélienne. Dès que colons et militaires s’en retirent, sous la conduite du premier ministre Ariel Sharon, en 2005, ils ouvrent la voie à la victoire électorale du Hamas, en 2006, à laquelle les gouvernements israéliens successifs vont répondre sans relâche par des sièges – terrestres, maritimes et aériens – effroyables. Aux encerclements viennent s’ajouter les guerres : 2008-2009, 2012, 2014, 2021, 2022… une autre manière de continuer l’occupation de Gaza en l’encerclant et en l’asphyxiant.
Malgré quelques déprogrammations dans le contexte inflammable ayant suivi l’attaque du Hamas en Israël du 7 octobre, Yallah Gaza sort en salle le 8 novembre. Le documentaire (1h41) s’ouvre par une contextualisation historique qui se révèle absolument nécessaire tant les Palestiniens de Gaza n’ont pas de nom, pas de visage, pas d’histoire pour le grand public. Avant de devenir «une prison à ciel ouvert» et aujourd’hui un pays-cimetière, cette bande de terre de 40 km sur 12 km où vivent quelque 2,2 millions de personnes «entassées entre le sable du désert et l’eau de la Méditerranée» fut «un carrefour de peuples et de culture». La ville de Gaza (qui a donné́ son nom à l’ensemble du territoire) a été fondée vers 1500 av. J.C. La Bible y fait de nombreuses références, notamment dans la célèbre histoire de passion et de trahison de Samson et Dalila. Cet ancrage dans la terre et l’histoire, le rappel des événements géopolitiques majeurs qui ont bouleversé le Proche-Orient avec la création de l’État d’Israël en 1948 et l’occupation de la bande de Gaza en 1967 éclairent la spécificité de la résistance palestinienne dans cette enclave.
Le film aborde également les questions de droit international, à travers notamment la figure de Amina, qui fut la première Gazaouie à déposer plainte pour «crime de guerre» auprès de la Cour pénale internationale (CPI) après l’assassinat de son père, de son frère et de sa sœur lors des bombardements israéliens de 2014 (une plainte qui n’a toujours pas été traitée…). Quelques images des pique-niques israéliens à la frontière de Gaza lors de ces bombardements ou lors des «marches du retour» montrent le point culminant de l’assentiment des Israéliens à cette répression à grande échelle. Populaires et non violentes, ces marches, initiées en mars 2018, ont fait près de 30 000 blessés. L’armée israélienne y a répondu par des tirs à balles réelles et explosives qui mutilent à vie leurs cibles de manière délibérée.
Des satellites ont repéré des téléphones portables appartenant à des membres de l’église protestante non confessionnelle de San Jose, en Californie. Leur localisation a finalement été transmise à une société privée, qui a ensuite vendu les informations au gouvernement du comté de Santa Clara. Ces données, ainsi que les observations des agents chargés de l’application de la loi sur le terrain, ont été utilisées pour infliger de lourdes amendes à l’église pour avoir enfreint les restrictions du COVID-19 concernant les rassemblements publics.
« Chaque dimanche », témoignera plus tard le pasteur adjoint de Calvary, Carson Atherly, « les officiers me signifiaient un avis d’infraction pendant ou après le service religieux ».
Calvary poursuit le comté pour son utilisation des données de localisation, un outil controversé de plus en plus utilisé par les gouvernements à tous les niveaux – notamment en relation avec l’émeute du Capitole le 6 janvier 2021. Tout en permettant aux forces de l’ordre d’identifier plus facilement les délinquants potentiels, cette pratique, appelée « géorepérage », s’est également imposée comme une question de pointe en matière de protection de la vie privée, soulevant des problèmes constitutionnels impliquant des perquisitions sans mandat et, avec la Calvary Chapel, la liberté religieuse.
« Nous sommes entre l’émergence de cette pratique technologique et le moment où les tribunaux se sont prononcés sur sa constitutionnalité », a déclaré Alex Marthews, président national de Restore the 4th, une organisation à but non lucratif qui se consacre à la protection du quatrième amendement, lequel protège les droits des Américains contre les « perquisitions et saisies abusives ».
Le « géorepérage » commence souvent par un clic innocent. Les applications pour smartphones demandent s’il est possible d’accéder à la géolocalisation afin d’améliorer le service. Lorsque les utilisateurs répondent par l’affirmative, ils ne se rendent souvent pas compte que les applications qui les aident à conduire, à cuisiner ou à prier sont susceptibles de revendre leurs informations à des entités lointaines à but lucratif. Ces informations, ainsi que d’autres renseignements détaillant les comportements et les préférences des personnes, sont précieuses pour les entreprises qui tentent de cibler leurs clients. Selon Grand View Research, le marché mondial de la géolocalisation était estimé à 16 milliards de dollars l’année dernière.
Et quoi de mieux, pour se rassurer et s’autocongratuler avec une gourmandise un peu obscène que de s’attribuer goulûment d’excellentes notes et des indicateurs économiques rutilants ? C’est en tout cas l’impression, pardon, le ressenti qu’on peut dégager lorsqu’on prend connaissance au travers d’un article des Echos d’un nouvel indicateur de richesse, pondu par l’inénarrable INSEE et qui vise à corriger le décalage entre la progression du produit intérieur brut et celle du niveau de vie, “en valorisant la dimension monétaire du bien-être national à partir d’informations sur la diffusion de la croissance au sein de la population et des données d’enquêtes relatives à la satisfaction dans la vie des ménages”.
Bien-être national, diffusion de la croissance, richesse ressentie, snif, snif, pas de doute, ça sent un peu le foutage de gueule.
Et lorsqu’on découvre qu’avec l’introduction de ce nouvel indicateur bidulotronesque, la France passe alors au top niveau mondial, le doute n’est plus permis. En substance, en triturant habilement certaines statistiques et en introduisant du “niveau moyen de satisfaction” (imaginez la précision diabolique du concept), on parvient à montrer que les Français n’ont certes ni pétrole, ni idées, mais qu’ils sont assez benoîtement contents de leur situation.
Voilà qui est d’autant plus réjouissant que tout ceci est calibré sur le PIB, c’est-à-dire un indicateur lui-même réputé pour être d’une fiabilité douteuse surtout que des petits malins y ont précédemment introduit la coke et les putes le trafic de drogues et la prostitution, estimant sans doute dommage de ne pas intégrer la richesse générée par ces marchés juteux et qui permettront probablement à des pays comme la Colombie ou l’Ukraine de tenir un rang envié dans le concert des nations…
Ce bricolage grotesque, qui mobilise quelques statisticiens au sein de l’INSEE et doit consterner un paquet d’économistes sérieux, permet néanmoins en réhaussant ainsi l’image générale du pays de justifier un peu tous les interventionnismes de l’État qui se traduiront par de nouveaux prélèvements obligatoires, actuellement au-dessus de 48% du PIB (soit 120% en prélèvements ressentis ou pas loin).
L’élite mondiale prévoit de contraindre les gens à se faire implanter des micropuces afin d’avoir accès aux monnaies numériques, au revenu de base universel (RBU) et à d’autres services, a averti un ancien membre du Forum économique mondial.
L’économiste allemand et ancien « Global Leader for Tomorrow » du FEM devenu dénonciateur, Richard Werner, a incité à la prudence sur les technologies émergentes lors d’une discussion l’année dernière au Sommet international de la science 2022, affirmant que le FEM s’est volontairement abstenu de montrer aux gens à quoi ressemblerait une monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) parce qu’elle impliquera un implant sous la peau de la taille d’un grain de riz.
[...]
Dans une tribune parue le 17 octobre, des parlementaires et des associations tirent la sonnette d’alarme sur l’explosion du nombre d’enfants sans-abris en France avec une augmentation de 42% «en un mois seulement», portant leur nombre à au moins 2 822. Ces chiffres de l’Unicef France et de la FAS, la Fédération des acteurs de solidarité, sont publiés alors que le froid revient en France.
Le 21 août, l’Unicef et la FAS dénombraient 1 990 enfants restés sans solution d’hébergement. Deux mois plus tard, ils seraient au moins 2 822. En effet, le qualificatif au moins est ici de rigueur puisque les données ne tiennent compte que des appels reçus par le 115. Sont ainsi exclus les mineurs non accompagnés sans abri et les familles vivant en squats ou en bidonvilles. Les familles n’appelant pas ou plus ne sont pas non plus répertoriés.
Des chiffres «sous-estimés»
La tribune intitulée «Agir pour en finir avec le sans-abrisme des enfants : un devoir commun» dénonce l’absence de respect des «droits fondamentaux» des enfants sans abris qui sont par ailleurs «pénalisés dans leur développement, leur santé, leur scolarité, et confrontés dès le plus jeune âge aux inégalités et à la grande pauvreté».
Covid-exilé en Estonie depuis octobre 2020, Jérémie Mercier continue activement à défendre la santé naturelle notamment à travers ses programmes en ligne (notamment le Club Santé Privé) et ses vidéos où il interview de nombreux scientifiques ou médecins à contre-courant de la doxa. Doria, notre naturopathe, a eu l’occasion de le rencontrer il y a quelques semaines à Nantes.
Doria (Le Média en 4-4-2) : Peux-tu te (re)présenter en 4-4-2 à nos lecteurs ?
Jérémie Mercier : Je dirais qu’aujourd’hui je suis un chercheur et un éducateur en santé au sens large. Tout d’abord, j’enseigne des informations capitales sur comment retrouver la santé (ou rester en bonne santé) grâce à l’alimentation vraiment saine, l’extériorisation des émotions, le nettoyage du foie et plein d’autres approches de santé naturelle chaque mois avec mes invités du Club Privé Santé (argile, huile de ricin, jeûne, vitamines C et D à dose thérapeutique, etc.).
Ensuite, j’anime souvent des émissions, telles que « Science en Conscience », que j’avais commencée avec RéinfoCovid, mais qui continue toujours, où je sélectionne des invités qui me paraissent pertinents afin de mieux comprendre la réalité et sortir des dogmes obsolètes (en particulier au niveau médical sur le Covid, mais pas que).
Je suis aussi très actif sur tous les réseaux sociaux – quand je ne suis pas censuré – et ma newsletter joue un rôle d’alerteur sur tout ce que je considère comme étant des arnaques de la « médecine moderne » : vaccination (toutes), « dépistages » du cancer du sein (clin d’œil à « Octobre Rose » qui commence) et de la prostate, port du masque, arnaque « SIDA », etc.
En plus de cela, je suis co-auteur avec 3 collègues (Prof Denis Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Joseph Hickey) de publications scientifiques (déjà 8 en 3 ans) dans lesquelles nous analysons les statistiques de mortalité toutes causes confondues et mettons en évidence le fait qu’il n’y a pas eu de pandémie, que les « mesures sanitaires » telles que le confinement tuent et enfin nous calculons la mortalité causée par les « vaccins contre le Covid ». On arrive au chiffre de 17 millions de morts au niveau mondial dans notre dernière publication. Ça commence à faire !
Doria (Le Média en 4-4-2) : Si ton parcours était à refaire, que changerais-tu ?
Jérémie Mercier : Rien ! J’ai l’impression que tout ce que j’ai fait me sert aujourd’hui ! J’ai fait de longues et difficiles études scientifiques, mais ça me permet de mieux comprendre les arnaques faites au nom de la science. J’ai aussi fait des stages dans des institutions internationales (ONU à Beyrouth, siège de l’UNESCO à Paris) et ça m’a été très utile pour comprendre que ces institutions ne sont pas là pour le bien de l’humanité…. je les ai vues au travail de l’intérieur !
Mes formations en santé naturelle à partir de 2011 m’ont permis, avec mon recul scientifique, de faire le tri également dans la santé alternative. Je sais que j’ai encore beaucoup à apprendre, mais ça va, je suis toujours très motivé et prêt à continuer !
Doria (Le Média en 4-4-2) : Pourquoi avoir publiquement pris la parole, et ce, bien avant le Covid puisque ta chaine Youtube date de 2011 ?
Jérémie Mercier : Et elle va peut-être prochainement disparaître…. (il vaut mieux par sécurité me suivre sur CrowdBunker et sur Telegram je pense !). J’en suis déjà à plus de 10 avertissements (= censures) de la part de YouTube, ce qui à chaque fois bloque toute action sur ma chaîne pendant 1 à 2 semaines et me rapproche de la menace d’une suppression pure et simple de ma chaîne par YouTube. Je navigue depuis 2020 entre les censures et à chaque fois, je crois rêver quand je vois une de mes vidéos sauter.
Je prends la parole publiquement parce que je n’arrive pas à fermer ma gueule quand je vois et comprends (et en plus je peux expliquer de façon intelligible) les énormités de notre « système de santé » en matière de santé. Ça me libère et me fait du bien d’avertir mes congénères via ces vidéos. Après, chacun prend ou pas ce que je lui donne. J’ai compris il y a longtemps qu’on ne peut pas sauver quelqu’un malgré lui. Je n’ai d’ailleurs ni l’âme d’un sauveur, ni d’un martyr. Je comprends des choses de façon originale car je pense avoir un don pour voir le bullshit (comme si j’avais un radar). Je fais passer l’info. Les gens qui voient passer mes infos disposent. Je suis évidemment ravi quand je reçois des messages de soutien et des remerciements (ça arrive très souvent, et heureusement !).
Depuis l’affaire COVID les preuves s’accumulent ! Les injections dangereuses faisaient partie du plan de dépopulation mis en place par les satanistes, ainsi que Karl Schwab l’avoue dans son livre :
«LE GRAND RESET» !
Ce plan fut initié depuis longtemps ainsi que le mentionne Attali dans une interview avec un certain Salomon paru dans les années 70 :
«Les inutiles iront à l’abattoir», disait-il en conclusion !
Tout y est parfaitement décrit et ceux qui en ont été informés à l’époque ont compris ce que l’affaire Covid et leurs injections dangereuses et mortelles signifiaient.
En France depuis les trois derniers présidents, le pays se dégrade et notre pays est vendu à la découpe au profit des USA.
La dernière trahison aura été la vente d’Alstom !! Et il y en a d’autres. La liste serait trop longue !
Les USA mentors de notre classe politique européenne ont tout fait pour empêcher que l’UE ne se tourne vers l’Est ! Pour ce, il fallait détruire la Russie, la mettre en pièces détachées et l’annexer et ouvrir la voie vers la Chine.
Alors la guerre proxy en Ukraine fut initiée pour cette raison ! Ce n’est plus ignoré ! Hollande et Merkel l’ont avoué !
Ce qui me révolte est le comportement non seulement des médias mainstream manipulés aux ordres et leurs affidés qui vomissent à jet continue sur la Russie sans aucune honte, mais surtout le silence de nos politiques dans notre pays. (Exceptés les généraux de plateaux TV pauvres Gamelin pitoyables et sans honneur !)
Que ce soit l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel … Pas une voix ne s’élève !!! Ils sont tous le doigt sur la couture du pantalon et regarde sans broncher notre pays couler au fond des abysses.. Rien ne les émeut ! RIEN !
Et ils laissent ces imposteurs aux commandes continuer à soutenir l’Ukraine, totalement corrompue, sans aucun respect ou condescendance pour leurs morts qui ne sont pour eux que de la chair à canon.
Je ne commenterai pas ici leur folie transgenres, LGBT, pédophilie, adrénochrome, vente d’organes, changement climatique bidon, chemtrails nocifs, nourriture frelatée, G5, perte de liberté, immigration organisée, Éducation nationale en décadence, destruction de notre Constitution et de nos églises et Vatican sataniste.
La France pays des Droits de l’Homme a sombré dans le néant !
La France chrétienne est condamnée !
Mais nous tous «les complotistes» c’est à dire ceux qui ont le courage de dénoncer leurs immondes complots -souvent au prix de leur vie – nous voulons garder la foi et continuons à éveiller ceux qui ont encore la tête dans le sable.
La semaine dernière, les médias ont multiplié les avertissements à propos du dernier variant du Covid-19, le dernier d’une longue liste. Il semble que personne n’écoute plus. Pour une grande partie de la population, la pandémie est terminée depuis longtemps et appartient définitivement au passé. Personne ne veut tomber de nouveau dans une spirale infernale de restrictions, de confinements, de masques et de vaccinations, après que ces dernières années ont sérieusement sapé la crédibilité des gouvernements et la confiance du public en leur capacité à prendre les décisions adéquates. Les gouvernements occidentaux n’ont plus la volonté politique ni l’intérêt d’oser prendre des décisions impopulaires, même si certains tirent la sonnette d’alarme.
Sur bien des plans, la pandémie a marqué un tournant dans les relations entre les gouvernements et la population dans les pays occidentaux, précisément parce qu’il s’agissait de la première épidémie d’une telle ampleur à survenir à l’époque de la culture des médias sociaux de masse, où les gens, plus interconnectés que jamais, ont la capacité illimitée d’exprimer leurs propres opinions, d’entendre celles des autres et, ainsi, d’exprimer leur désaccord à l’égard des gouvernements et de leurs politiques. L’ère des réseaux sociaux a déjà posé de nombreux défis aux structures étatiques, alors que les gouvernements occidentaux s’efforcent de reprendre le «contrôle du récit» perdu depuis lors sur leurs populations. La liberté des médias sociaux est un facteur clé qui a contribué, voire provoqué des résultats qui ont choqué les élites, notamment l’élection de Donald Trump aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni. Par conséquent, les classes dirigeantes des pays occidentaux ont renforcé la censure et le contrôle du discours sur les réseaux sociaux, en qualifiant les points de vue indésirables de «désinformation», voire de propagande malveillante diffusée par des pays étrangers, tels que la Chine ou la Russie...
L’appauvrissement, déjà plus ou moins âprement débattu ici ou là, ne fait plus de doute, que ce soit pour les étudiants, les travailleurs ou la population en général.
L’insécurité explose. L’analyse objective des flux d’information en France suffit à se convaincre que le sentiment d’insécurité a fait place à un climat véritablement violent ; nombreux sont ceux qui constatent que le pays est devenu franchement dangereux par endroits, et le seul fait que les ministres de l’Intérieur se suivent et se relaient tous pour dire que “non, ce n’est pas si grave” suffit en lui-même à garantir que la situation se dégrade de plus en plus vite.
La situation économique montre d’évidents signes de fébrilité, et ce ne sont pas les derniers articles sur l’immobilier, qui donne le pouls du pays, qui permettront de se rassurer. Désindustrialisation, chômage, éducation en déroute, la situation socio-économique française se détériore de jour en jour.
C’est visible de tous, à l’exception bien sûr de ceux qui, terrorisés de ce que la réalité révèle, refusent de la regarder en face ou ceux qui ont un intérêt bien compris à ne surtout pas la voir, depuis les ministres et certains médias jusqu’à certaines administrations ou associations lucratives sans but dont l’existence même serait remise en cause si, justement, pauvreté ou violence devaient disparaître.
Devant cette situation, ceux qui veulent s’en sortir, échapper à la violence ou à la pauvreté, comprennent que leur destin ne devra surtout pas être remis dans les mains de l’État, ce dernier ayant largement contribué au résultat actuel.
Mais ça, l’État et ses affidés ne veulent pas en entendre parler : la situation est telle, en France, que se passer de l’État est devenu rigoureusement interdit.