Selon une nouvelle analyse d’Edward Dowd, les adolescents et les jeunes de 20, 30 et 40 ans du Royaume-Uni meurent de cancers à métastases rapides et en phase terminale à un rythme sans précédent depuis le début de la vaccination de masse par le Covid-19.
Le rapport de 45 pages de M. Dowd, ancien gestionnaire de fonds spéculatifs à Wall Street et auteur de “‘Cause Unknown‘:The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 and 2022″, a alarmé certains oncologues qui l’ont qualifié de revirement brutal par rapport à des décennies de données sur la mortalité.
M. Dowd a basé son analyse sur des statistiques gouvernementales facilement accessibles de l’Office des statistiques nationales du Royaume-Uni.
Dans une interview avec The Defender,le professeur Dowd a déclaré que lui et ses partenaires de recherche, qui comprennent une poignée de scientifiques de haut niveau, d’analystes de données et d’experts financiers, ont examiné toutes les données de la 10e révision de la classification internationale des maladies (CIM), Codes (CIM-10) pour la cause du décès au Royaume-Uni au cours de la période d’étude 2010-2022 afin d’étudier les tendances des néoplasmes malins (codes C00 à C99).
Les codes CIM-10 sont la classification internationale des diagnostics, des symptômes et des procédures établie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour le traitement des demandes de remboursement. Un néoplasme malin est une tumeur cancéreuse.
M. Dowd explique que son équipe de recherche a remarqué une tendance frappante : Alors que la quasi-totalité des décès survenus chez les personnes âgées en 2021 et 2022 au Pays de Galles et en Angleterre avaient été codés, 8 % des décès survenus chez les 15-44 ans en 2021 et 30 % des décès survenus dans cette tranche d’âge en 2022 n’avaient pas encore été codés.
“Lorsque l’on meurt à l’hôpital, on laisse une trace de vie et de mort avec des indications sur ce qui a conduit au décès”, a-t-il déclaré. “Lorsqu’un jeune meurt au volant d’une voiture, en marchant dans la rue ou dans son sommeil, il y a une enquête qui prend du temps pour déterminer la cause du décès.
M. Dowd a déclaré que les codes manquants sont “révélateurs du problème” de la surmortalité chez les jeunes.
Cependant, même en tenant compte des codes manquants, les 92 % de décès codés en 2021 et les 70 % de décès codés en 2022 ont révélé “un signal fort de décès par cancer chez les jeunes”. Nous montrons une forte augmentation de la mortalité due aux néoplasmes malins qui a commencé en 2021 et s’est considérablement accélérée en 2022.
“L’augmentation de la surmortalité en 2022 est statistiquement très significative (événement extrême)”, écrit M. Dowd dans son rapport. “Les résultats indiquent qu’à partir de la fin de l’année 2021, un nouveau phénomène conduisant à une augmentation des décès dus aux néoplasmes malins semble être présent chez les personnes âgées de 15 à 44 ans au Royaume-Uni”.
"Ne vous y trompez pas. Il s’agit d’une confrontation entre les élites puissantes, à savoir le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique (CNUCED) et nous, le peuple".
La CNUCED tente de réaliser ce scénario catastrophique.
"L'enfer est vide et les diables sont tous là".
~ William Shakespeare, « La Tempête », 1623
L'analyse contemporaine de Peter Koenig sur « La tempête 2020-2030 » :
De la 5G à la 6G
Nous, le peuple, sommes engagés dans une course contre les mondialistes, engagés dans la dépopulation ; le contrôle des survivants, leur exploitation, la déshumanisation et, à terme, notre numérisation, afin de nous contrôler à distance grâce à la 5G.
Et maintenant, tout juste « lancée » par la Chine, la 6G. Voir La Chine lance une dorsale Internet de nouvelle génération à ultra haut débit – SHINE News.
L’impact sanitaire de la 6G a-t-il été étudié ? Peut être, mais personne n'en divulgue les résultats.
Voici comment Qualcomm décrit la 5G :
Réseau mobile de 5ème génération. Il s'agit d'une nouvelle norme sans fil mondiale après les réseaux 1G, 2G, 3G et 4G. La 5G permet un nouveau type de réseau conçu pour connecter pratiquement tout le monde et tout, y compris les machines, les objets et les appareils.
Personne n’a ouvertement parlé de l’impact de la 5G sur la santé, mais cela a été étudié. Pourtant, les études ne sont pas révélées au public.
Au-delà du 1984 de George Orwell
Les scientifiques qui présentent la vérité, décrivant l’impact causé par les hyperfréquences sur les humains sont le plus souvent qualifiés de « complotistes ».
C’est l’expression qui permet de taire tout ce que les mondialistes ne veulent pas que vous sachiez. Nous sommes bien au-delà de « 1984 » de George Orwell.
Le réseau mobile de 6e génération ou 6G est environ 100 fois plus rapide et plus puissant que la 5G. Il pourra tout numériser.
Voici ce que RantCell a à dire à propos de la 6G :
Fonctionnant sur des bandes de fréquences térahertz, la 6G fournira un débit de données maximal de 1.000 gigabits/s avec une latence inférieure à 100 microsecondes. Lorsque nous parlons de vitesse du réseau 5G par rapport à la 6G, la vitesse de la 6G devrait être 100 fois plus rapide que celle de la 5G, avec une fiabilité améliorée et une couverture réseau plus large. Regardez ici.
Les populations sont engagées dans une course contre la montre. Si nous réagissons, le projet des mondialistes, à savoir le projet des protagonistes diaboliques de l'Agenda 2030 de l'ONU et de la Grande Réinitialisation, sera voué à l'échec.
Mais si nous continuons à nous laisser duper, nous finirons en enfer.
C’est la raison pour laquelle l’ensemble du système des Nations Unies cherche désespérément à numériser le monde. Le plus vite sera le mieux, il se peut que nous n’ayons pas assez de temps pour nous réveiller en masse afin de reprendre nos vies en main avant qu’il ne soit trop tard.
Le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique se nomme la CNUCED
Par conséquent, les Nations Unies, l’organisme politique sous le contrôle total des mondialistes, ouvertement dirigée par Washington, mais en réalité, par le puissant complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique, a nommé l’un de ses sous-ministres à la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement comme porte-drapeau – du moins pour l’instant – de l’assaut meurtrier du "tout numérique".
Depuis 2015 le cabinet McKinsey est en charge d’une campagne mondiale pour la promotion d’aliments à base d’insectes.
Par le prisme d’une entreprise actuellement considérée comme une des plus importantes Biotechs françaises, Innovafeed, ils ont patiemment détourné l’attention du public et usé d’arguments fallacieux pour parvenir à leurs fins.
Selon l’ONU et le lobbyiste McKinsey, appuyés par une armée de soldats disciplinés et avides de pouvoir, le choix ne vous appartient déjà plus, même les réseaux de distribution d’alimentation biologique commencent à s’organiser pour vous en faire manger… en toute discrétion.
Innovafeed ayant refusé l’interview que nous leur avons proposée pour expliquer leur démarche de manière transparente, puisque vous avez le droit de savoir, j’ai enquêté pour vous délivrer la vision la plus claire possible de la situation actuelle.
Tout commence en 2016, lorsque trois jeunes trentenaires, Clément Ray, Aude Guo et Bastien Oggeri, anciens membres du cabinet McKinsey et de la banque d’affaires Rothschild, fondent une entreprise de biotechnologies spécialisée dans la production et la vente de mouches soldats noires.
Soit à peine un an après que l’influence tentaculaire du cabinet ayant galvanisé les citoyens français pour les campagnes présidentielles d’Emmanuel Macron, commence à jouer de sa légion de réseaux pour favoriser le développement de cette entreprise nourrissant le souhait de vous faire gober leurs mouches.
Levant très rapidement des fonds colossaux avec une facilité déconcertante, Innovafeed suit un plan de route redoutable pour passer sans encombre les barrages ayant pourtant conduit la majorité des acteurs du secteur de l’insecte «comestible» à la banqueroute.
En l’espace de quelques années, ce n’est pas moins de cinq cents millions d’Euros qui auront été réunis pour la création de centres ultra technologiques, «cultivant» des insectes dans une proportion jamais atteinte auparavant à l’aide d’Intelligences Artificielles s’appuyant sur plusieurs milliers de capteurs par usine, contrôlant des centaines de bras robotisés semblables aux robots nourriciers imaginés par les créateurs du film Matrix.
Faisant sans conteste de cette «French Tech» la principale usine de production d’insectes au monde.
Tout chez Innovafeed a été pensé pour donner une apparence vertueuse à sa démarche, s’alignant sur la logique d’une réduction des émissions carbone et se donnant en modèle d’une bonne conscience environnementale, en se réclamant pour une économie circulaire inoffensive.
Entreprise représentée par des jeunes gens à l’apparence fort sympathique, dont une des fondatrices, née en Chine et élevée en France, remporte le prix d’entrepreneuse de la «French tech» en donnant un visage au «pacte de parité» imaginé par son gouvernement.
Qui aurait pu penser que ces dernières années Innovafeed allait resserrer un étau de domination mondiale allant bien au-delà de son apparente mission ?
Et pourtant, comme vous allez le constater, le véritable danger de l’inondation des marchés par l’alimentation à base d’insectes ne vient pas de la société vietnamienne citée dans mon précédent article sur le sujet récemment autorisé par l’UE, mais plutôt de la dynamique et des nouveaux contrats organisés par Innovafeed.
Cependant, pour bien en comprendre l’impact il est nécessaire de faire un rapide point sur le contexte planétaire ainsi que le jeu d’influences exercé par le cabinet McKinsey.
Fondé en 1926 par un comptable évangéliste américain donnant son nom au cabinet, McKinsey «conseille» et influence le monde sur la base du développement occidental depuis les débuts de l’ère ultra industrielle.
Comptant aujourd’hui cent trente bureaux répartis dans soixante-cinq pays, cette firme ayant inspiré le film éponyme – La Firme – emploie plus de quarante mille avocats, statisticiens, ingénieurs et journalistes pour déployer ses pions en régulant les marchés.
Vivement critiquée en période de pandémie de Covid pour son rôle alarmant dans la promotion des vaccins ARNm de chez Pfizer en France, elle a en quelques mois pris les rênes du gouvernement et des instances de santé pour s’assurer qu’un maximum de citoyens soient sous l’emprise de ces injections dont les ravages mortels ne sont plus à souligner.
Mais sur lesquelles je ne me priverai pas de revenir plus en détail dans un prochain article.
Empochant deux millions d’Euros par mois, pour ses «conseils» ayant empoisonné des populations entières et endeuillé tant de familles.
Or, en plus de cet inquiétant tableau, brandissant à la première occasion la bannière des risques du réchauffement climatique auquel elle a largement contribué en plébiscitant les plus grands groupes pétroliers au monde depuis le Clayton Antitrust Act de 19148, le cabinet McKinsey est aujourd’hui victime d’une «rébellion interne» pour avoir joué un double jeu en faveur des principaux groupes pétroliers censés faire évoluer positivement leur activité d’ici 2050.
Certes, dit ainsi, cela est un peu alarmant mais rassurez-vous : la situation est sous contrôle puisque la direction, ne reculant devant aucune solution temporaire, a fait installer quelques équipements frigorifiques sur le parking de l’hôpital et, à condition de tasser un peu les cadavres ici ou là, c’est bon, ça tient.
Cependant que le Tétris macabre continue à Toulouse, notons que les solutions post-mortem se multiplient du côté post-moderne puisqu’on propose maintenant de faire composter son cadavre : grâce à ce qu’on pourrait appeler le compost-mortem, le cadavre n’occupe plus autant de place (bonne chose pour Toulouse) et, bonus écologique évident, permet d’aller alimenter des arbres ou même (pourquoi pas ?) un potager en sels minéraux, oligo-éléments et micro-plastiques aussi, si l’on s’en tient aux rumeurs écoconscientes.
En attendant qu’un champ bien meuble soit ménagé derrière l’hôpital toulousain, les autorités ont cependant prévu – de façon assez conformiste, on en conviendra – de simplement augmenter la capacité de la morgue de 32 à 80 corps, ce qui devrait aider.
On s’intéressera cependant aux raisons invoquées pour ce trop-plein qu’on espère passager : d’après la direction, il s’agit d’un problème essentiellement administratif, puisque le souci proviendrait essentiellement d’une “récente augmentation du nombre de corps ‘indigents'”. En somme, la morgue déborderait parce que les procédures administratives sont trop nombreuses, trop complexes et prennent trop de temps.
Devant cette information, nul doute que le Français moyen ne pourra être qu’étonné, lui qui sait que toute l’administration française, faite à part égale d’efficacité et de diligence, ne pourrait tolérer une telle dérive. Et puis, cette explication en vaut une autre et permet de ne pas trop se pencher sur les chiffres généraux de la surmortalité en France qui sont, l’INSEE est formel, si normaux qu’ils se rangent dans la catégorie du “Circulez, il n’y a rien à frigorifier sur un parking”.
Dès lors, on regardera les assertions des compagnies d’assurance-vie d’un œil si ce n’est goguenard, au moins serein.
En charge de payer les contrats d’assurance lorsqu’un de leurs souscripteurs calanche, ces derniers semblent persuadés d’observer une surmortalité persistante. Déjà, l’année dernière, ils avaient expliqué la baisse de leurs bénéfices par un niveau record de sinistres en 2021, l’augmentation ayant été de 10,8% par rapport à l’année 2019, l’année 2020 (celle de la pandémie) montrant elle aussi une augmentation notable (de 15,4%). Pour 2022, l’accroissement des versements de primes semble moins fort mais reste, selon eux, à des niveaux étrangement élevés alors que la situation médicale mondiale est officiellement revenue à la normale.
De façon un peu plus inquiétante, c’est le taux de mortalité chez les jeunes adultes qui interpelle puisqu’il est en 2023 près de 20% au dessus de ce à quoi on peut s’attendre selon le CDC, avec notamment une augmentation de la mortalité cardiaque à tous les âges. Même si les causes liées au COVID ont diminué en 2022, d’autres ont augmenté, en particulier les accidents vasculaires cérébraux, le diabète et les maladies rénales et hépatiques. Du reste, ceci se constate sur une large quantité de pays dont les données sont relativement fiables, comme le mentionne le Dr Campbell qui revient en détail sur ces chiffres pour l’Angleterre et d’autres pays de l’OCDE.
Charge aux autorités d’expliquer cette surmortalité élevée et ces coïncidences troublantes. Manifestement, le changement climatique fait des ravages et c’est là que le compost-mortem prend toute son importance, n’est-ce pas : au moins peut-on espérer sa faute carbonée à moitié pardonnée avec ce procédé écosensible.
C’était donc juste pour la rime et aussi pour une provocation intellectuelle invitant à une réflexion sur le logement en général.
Le mieux est toujours l’ennemi du bien.
Nos politiques sont dans une espèce de fuite en avant normative et idéologique, et aussi démagogique.
Toujours faire plaisir aux uns, mais toujours avec l’argent des autres.
Alors construire devient terriblement coûteux.
Des normes complexes et multiples au service de la sécurité, du climat, des PMR, des ABF, d’Enedis, des Pompiers, … Il y a toujours une bonne excuse. Toujours une bonne raison bien évidement.
Des coûts de la construction toujours plus élevés, en production mais également en conception.
Jamais les logements n’ont été théoriquement aussi qualitatifs.
Aussi qualitatifs et aussi confortables.
Ainsi chaque fauteuil roulant peut se rendre dans les WC ne n’importe quel logement neuf, même au 16ème étage à condition que l’ascenseur de soit pas en panne. Tout ceci est très louable. Le problème c’est le coût de la massification de la « perfection ». Comme nous n’avons pas les moyens et bien c’est simple, il n’y a pas assez de logements HLM pas cher.
Résultat ?
En Bretagne, une commune invente le premier village de tiny-houses dont certaines en HLM !
Les habitants d’une ville d’Irlande du Nord se sont montrés très grincheux ces derniers temps en raison d’un “hummmmmm” permanent qui les empêche de dormir. Personne ne sait exactement d’où vient ce bruit irritant, et le conseil municipal a donc fait appel à des experts en sonologie pour enquêter sur le problème.
Selon BBC News NI, ce bruit nocturne a été entendu ces dernières semaines dans une large zone autour d’Omagh, dans le comté de Tyrone. Les habitants ont décrit le son comme un “bourdonnement ou un ronflement persistant” qui devient plus important la nuit.
Stephen Donnelly, conseiller municipal du parti de l’Alliance, a demandé au conseil municipal d’enquêter sur le problème et a confirmé qu’il s’agissait d’un problème légitime. La cause exacte du bruit reste cependant un mystère.
[...]
C’est devenu une habitude. Ce mardi 14 novembre, comme ce fut le cas lors de l’édition précédente, Gérald Darmanin inaugure le salon Milipol, au parc des Expositions de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Consacré à la sécurité intérieure des États, ce salon est une vitrine mondiale pour des entreprises souvent inconnues du grand public. C’est le cas de Briefcam, une société israélienne spécialisée dans le développement de logiciels destinés à la vidéosurveillance algorithmique (VSA). Grâce à l’intelligence artificielle, cette technologie permet d’analyser des images captées par des caméras ou des drones et de détecter des situations jugées « anormales ».
Jusqu’en mai dernier, la VSA ne pouvait être utilisée par la police nationale que dans de très rares cas. Mais à l’approche des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, le gouvernement est parvenu à faire adopter une loi au Parlement qui autorise son expérimentation par la police nationale à une large échelle et ce, jusqu’au 31 mars 2025. Face aux risques d’atteinte à la vie privée, les députés ont néanmoins interdit le recours à la reconnaissance faciale, qui permet d’identifier une personne sur des images à partir des traits du visage. Un outil ultra-intrusif que certains logiciels commercialisés par Briefcam permettent d’activer en quelques clics. Et que les services de Gérald Darmanin connaissent bien.
Un logiciel déployé au niveau national
D’après des documents internes au ministère de l’Intérieur obtenus par Disclose, les forces de l’ordre utilisent les systèmes de Briefcam depuis 2015, dans le plus grand secret. Le logiciel en question, baptisé « Vidéo Synopsis », permet de traquer une personne sur un réseau de caméras grâce, par exemple, à la couleur de son pull. Il peut également suivre un véhicule à l’aide de sa plaque d’immatriculation ou examiner plusieurs heures de vidéos en quelques minutes. Le slogan de Briefcam, rachetée par le géant de la photo Canon en 2018 : « Transformer la vidéosurveillance en intelligence active ».
Il y a huit ans, la Direction départementale de sécurité publique (DDSP) de Seine-et-Marne est choisie pour expérimenter le logiciel israélien. Deux ans plus tard, en 2017, l’application est déployée plus largement. Les services de police du Rhône, du Nord, des Alpes-Maritimes, et de Haute-Garonne en sont à leur tour équipés. Ainsi que le service interministériel d’assistance technique (SIAT), une unité de police en charge des infiltrations, de la mise sur écoute et de la surveillance de la grande criminalité.
Dans la foulée, ce sont les services de la police judiciaire, les préfectures de police de Paris et Marseille, la sûreté publique et la gendarmerie nationale qui vont être dotés du logiciel de Briefcam sur des ordinateurs dédiés. Une installation massive qui s’est faite en dehors du cadre légal prévu par une directive européenne et la loi française Informatique et Libertés.
Avant d’utiliser une technologie aussi intrusive que celle proposée par Briefcam, le ministère de l’Intérieur aurait dû mener une « analyse d’impact relative à la protection des données » et la remettre à une administration indépendante : la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL). Or, la Direction générale de la police nationale (DGPN), placée sous l’autorité directe de Gérald Darmanin, n’avait toujours pas réalisé cette analyse d’impact en mai 2023. Pas plus qu’elle n’a averti la CNIL. Fin 2020, un cadre de la police invite ainsi à la discrétion : « Certains services ont l’outil Briefcam, mais celui-ci n’étant pas déclaré à la CNIL, il semble préférable de ne pas en parler. » Ou encore ce message envoyé quelques mois plus tard par un autre gradé, rappelant que « sur le plan juridique (…) l’application Briefcam n’a jamais été déclarée par la DGPN ».
Contactée par Disclose, la CNIL déclare, embarrassée, qu’elle « ne dispose pas d’éléments permettant d’infirmer ou de confirmer que la police nationale utilise Briefcam ». La DGPN n’a pas répondu à nos questions.
« Il semble préférable de ne pas en parler. »
Leurs rires étouffés, leurs espoirs brisés.
Cette vidéo est un cri silencieux pour les enfants d'Israël et de Gaza, des victimes innocentes d'une guerre qui ne devrait jamais toucher l'innocence.
Ensemble, tâchons de découvrir la lumière au cœur des ténèbres.
« Dans l'ombre des conflits, les voix fragiles des enfants résonnent. Leurs rires étouffés, leurs espoirs brisés. Cette vidéo est un cri silencieux pour les enfants d'Israël et de Gaza, des victimes innocentes d'une guerre qui ne devrait jamais toucher l'innocence. Ensemble, tâchons de découvrir la lumière au cœur des ténèbres.»
Elle risque de se transformer en fantôme, au point de se fondre dans une nouvelle forme, non moins insidieuse que les précédentes, de totalitarisme, où les méthodes "dures" (contrainte physique, terreur, élimination des dissidents, interdictions explicites de penser, de parler, de s'associer, d'agir) sont remplacées par la séduction, le contrôle à distance, l'abolition progressive des idées non conformes. C'est la méthode de la grenouille ébouillantée, le rétrécissement lent et régulier des libertés concrètes, retirées une à une, toujours justifiées par de nobles motifs: sécurité, protection, défense des minorités, inclusion, discours de haine, etc. Nous n'avons pas encore basculé dans le totalitarisme pur et dur, mais les prémisses sont là.
Le titre de cette réflexion contient deux mots (liberté et totalitarisme) dont le sens n'est pas universellement partagé. La troisième catégorie - l'Occident - a depuis longtemps perdu toute connotation géographique pour devenir le nom de la civilisation articulée autour du libéralisme politique et du libéralisme économique, dirigée par les États-Unis, et composée de l'Europe occidentale, d'Israël et des satellites de l'ancien empire britannique, avec des ramifications de plus en plus indisciplinées en Amérique centrale et en Amérique du Sud. L'Occident est un système d'hégémonie sur l'humanité au nom d'une oligarchie internationale illégitime. Il est le contraire de l'Europe, dont il a détruit la culture, les racines et les traditions. Ayant atteint le pouvoir "impérial", il a inversé la prédiction de Lord Acton au 19e siècle : le pouvoir tend à corrompre, le pouvoir absolu corrompt absolument.
Margaret Thatcher était une interprète cohérente de cette tendance, pour qui il n'y a pas d'alternative au modèle mondial occidental. L'acronyme TINA, there is no alternative, est devenu l'un des mantras d'un système de plus en plus oppressif au nom de la liberté économique et financière de quelques géants. La négation de la possibilité d'alternatives est en soi un concept totalitaire.
La définition la plus prégnante du totalitarisme est celle de Hannah Arendt. Pour la penseuse juive allemande, le totalitarisme contemporain est un modèle politique distinct des formes historiquement connues de pouvoir autoritaire telles que le despotisme, la tyrannie et la dictature. Là où il a pris le pouvoir, il a détruit les traditions politiques, écrasé l'ordre social antérieur et poussé à l'extrême les caractéristiques de la société de masse, telles que l'isolement et l'interchangeabilité des individus.
Le néo-totalitarisme n'exige pas seulement la subordination politique, il envahit et contrôle également la sphère privée et intime. Son objectif est de remplacer la société existante par une société radicalement différente, en construisant au fil du temps une autre humanité. En ce sens, il ne fait aucun doute que le libéralisme mondialiste qui a triomphé après la défaite du communisme et le discrédit de toute autre forme d'organisation politique, économique, sociale et de valeurs présente des traits totalitaires. Notamment en raison de son alliance avec l'appareil technologique et scientifique dont il est le moteur et le propriétaire. L'accusation portée contre le collectivisme d'État par Friedrich von Hayek, économiste ultra-libéral, se retourne contre le libéralisme - sorti de lui-même pour devenir le mondialisme - : celui qui possède tous les moyens, détermine toutes les fins. Les siennes, bien sûr. Encore un indice de totalitarisme.
Avec la même force argumentative, on peut soutenir qu'une société fondée sur des "droits" ne peut être totalitaire, que la liberté économique n'a jamais été aussi grande, et que jamais l'individu, dans ce coin du monde qu'est l'Occident, n'a bénéficié d'autant d'opportunités qui sont devenues des "droits". Les deux thèses sont valables. L'auteur de ces lignes aime la liberté et se méfie des droits. D'abord parce que proclamer des droits sans établir de devoirs correspondants engendre le cynisme, l'indifférence sociale, l'individualisme rancunier, le repli sur un "moi" capricieux, tyrannique comme un enfant gâté. Ensuite, la nature des droits: les droits sociaux et communautaires sont effacés, les droits subjectifs sont mis en exergue, notamment ceux liés à la sphère pulsionnelle et sexuelle. Plié dans un individualisme radical, pulvérisant la communauté, l'Occident détruit aussi la société, l'ordre qui régule les principes, les valeurs, les intérêts distincts mais non incompatibles.
Les droits proposés concernent toujours la sphère subjective et considèrent la liberté comme l'absence de contraintes (freedom 'from'), c'est-à-dire la libération. De la famille, de l'autorité, des appartenances naturelles, voire de l'identité la plus intime. Le modèle est le "trans", sujet fluide, changeant, provisoire, détaché de tout ce qui dépasse sa volonté, son plaisir, sa préférence, devenus incontestables. Le droit de ne plus être quelque chose de défini tout en en faisant un drapeau. Renoncer à tout héritage (sauf matériel; l'argent et les moyens deviennent des fins "il n'y a pas d'alternative"), considérer le bonheur - dont la poursuite est un droit - comme la satisfaction immédiate des pulsions, des désirs, des caprices.
Consommation, changement permanent de goûts, d'idées, de modes, de partenaires, de profession, de sexe, d'"orientation sexuelle" et d'existentialité. Fragiles girouettes sans souveraineté sur elles-mêmes, poussées dans le sens du vent. La temporalité comme projet de vie. Une absurdité logique qui produit de l'inconfort, de la tension, de l'insatisfaction jusqu'à la schizophrénie et l'insatisfaction permanente, dont le remède est tout aussi provisoire : le plaisir compulsif, la consommation de la vie - transformée en marchandise - à relancer sans cesse. Le bien et le mal, le juste et l'injuste ? Le concept de Calderòn de la Barca s'applique, dans la bouche du volage Sigismond : nada me parece justo, en siendo contra mi gusto. Rien ne me semble juste si c'est contre mon goût ou ma préférence.
Sans nous en rendre compte, nous avons dessiné la définition de l'addiction. La liberté des modernes est la suite des addictions rendues justes, auxquelles il n'est pas permis d'opposer des limites éthiques, des freins législatifs, des réprobations sociales, des jugements négatifs. L'issue ne peut être que l'équivalence, l'indifférence à tout élément commun au profit d'un subjectivisme égoïste. Le relativisme qui en résulte devient un absolu, la pensée faible interdisant la pensée forte. Selon Benjamin Constant, la liberté des anciens était une étroite autonomie politique vécue dans le droit-devoir de participation à la polis. Celle des modernes est la liberté privée individuelle, y compris le droit à l'indifférence sociale. Résultat : dissolution des limites et des liens, remplacée en fait par l'imperium du plus fort, celui qui souffle sur la girouette en lui imprimant la direction souhaitée.
« À chaque fois que vous vous retrouvez à penser comme la majorité des gens, faites une pause, et réfléchissez... »