Une équipe de chercheurs de l’université du Massachusetts Amherst a découvert que le corps humain pourrait être un outil utile pour récolter l’énergie résiduelle et l’utiliser pour alimenter les appareils du futur, notamment ceux utilisés pour la 6G, la prochaine génération de communication sans fil, selon un communiqué de presse de l’université.
Le monde vient tout juste de commencer à découvrir les merveilles de la communication sans fil 5G qui a été déployée dans de nombreux pays à travers le monde. Mais la prochaine génération, désignée sous le nom de 6G, promet un débit de données jusqu’à 1000 fois plus rapide, encore plus rapide et un dixième de la latence observée avec la 5G.
L’ère de l’internet des objets (IoT) qui devrait commencer avec la 5G entrera dans une nouvelle phase avec son successeur, avec un nombre encore plus important de dispositifs et de capteurs qui devraient être mis en ligne. Les vitesses de communication plus élevées de la 6G sont estimées grâce au développement de la communication par lumière visible (VLC), un type de réseau sans fil à fibre optique.
Dans un rapport d'expert, Steele a déclaré que la 5G représente un crime odieux pour les personnes qui comprennent le motif de son déploiement.
Steele a précédemment agi en tant que témoin et fourni des déclarations dans plusieurs affaires judiciaires, révélant l'absence de toute preuve crédible que le réseau 5G et la connexion neuronale prévue au réseau 5G sont sûrs. Il a également exposé les technologies de nano-métamatériaux qui contaminent les vaccinations coronavirus.
Ses efforts ont porté leurs fruits car un juge du Newcastle Crown Court a déclaré que "le risque 5G doit être débattu".
Le Professeur Perronne est désormais iconique. Ce spécialiste des maladies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, professeur des universités, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches, a incarné la résistance au narratif mondialisé sur le COVID. Cet engagement a suivi de premières études sur la maladie de Lyme, avant l’apparition du COVID, qui lui ont permis de mesurer l’impact des techniques déployées par l’industrie pharmaceutique pour influencer l’opinion.
Pendant plus d’une heure, Christian Perronne a bien voulu répondre à nos questions sur la crise sanitaire que nous traversons, et sur les manœuvres de coulisses. Ses précieuses réponses sans langue de bois constituent un témoignage important pour l’avenir. Nous sommes en effet convaincus que, dans les années, et même les mois qui viennent, la digue bâtie par la propagande officielle contre le « complotisme », qui est en réalité l’esprit critique naturel à la recherche des faits et de leur vérité, ne cessera de prendre l’eau jusqu’à céder complètement.
Ne manquez pas les vœux de Christian Perronne à la fin de l’interview. Ils sont pleins d’espoir et de courage.
Bonne année 2023 à toutes et tous.
Dans un récent article, l’écrivain américain Joe Allen, spécialiste du transhumanisme, commence sa réflexion en déclarant que les croyants surmontent la peur de la mort grâce à leur foi. Pour les croyants, « le mystère de la mort est un rite de passage« , écrit Joe Allen. Au lieu de cela, explique-t-il, « pour le matérialiste, il n’y a que ce monde, au-delà duquel ceux qui meurent rencontrent l’anéantissement total. Le cerveau se dissout dans le néant. La conscience s’arrête avec le Big Zero à la fin de nos vies. Et tous les êtres sensibles et tous les souvenirs de notre existence attendent le Grand Zéro à la fin de l’univers. »
Grâce à des implants directement intégrés à notre corps, nous pourrions ainsi améliorer nos performances intellectuelles et physiques, mais aussi tout bonnement notre existence. Des idées séduisantes sur le papier, mais qui font craindre à certains de terribles dérives.
Pour les détracteurs du transhumanisme, il ne s’agit bien sûr pas de renier tout recours à la science ni de prôner l’obscurantisme. Intégrer la technologie directement à notre corps pourrait de plus avoir un intérêt médical certain.
À mesure que ces technologies vont progresser, de nombreux problèmes éthiques risquent néanmoins de se poser. Où se situera la limite entre le médical destiné à corriger une anomalie et une transformation dénaturante du corps humain ?
Les aurores boréales prennent souvent des couleurs vertes ou bleues. Mais ces derniers jours, les Norvégiens ont pu en admirer des roses. Pour bien comprendre ce changement de couleur, il faut revenir à la définition même des aurores boréales. Elles sont provoquées par le passage de vents solaires. Elles sont visibles aux pôles (Nord et Sud), l’endroit où le champ magnétique de la Terre est le plus fin.
« Les vaccins transmissibles ne sont pas encore courants, mais la révolution du génie génétique promet qu'ils le seront », prédisaient des scientifiques américains en 2019 dans la revue Vaccine. Avec une inoculation hautement transmissible, une population entière peut être vaccinée en injectant directement quelques individus seulement : c'est ainsi qu'ils ont vanté les mérites d'une telle évolution. Cela ouvre « des possibilités fondamentalement nouvelles ».
L’ivermectine a été saluée comme un « médicament miracle » et, selon le rapport mondial sur la science de l’UNESCO, comme un élément essentiel de « l’une des campagnes de santé publique les plus triomphantes jamais menées dans le monde en développement ».
Cependant, depuis le début de la pandémie de COVID-19, les National Institutes of Health (NIH) et les autorités sanitaires affiliées ont vivement recommandé de ne pas utiliser l’ivermectine comme traitement potentiel du virus.
• Bien que la Food and Drug Administration (FDA) ait approuvé l’utilisation de l’ivermectine chez l’homme pour le traitement des maladies causées par des parasites, elle a également insisté sur le fait que l’ivermectine « n’a pas été démontrée comme étant sûre ou efficace » pour le traitement du COVID-19.
00:30 Les mathématiques durant la crise H1N1
06:17 Les mathématiques durant la crise Covid
09:53 Efficacité des mesures de confinement
13:25 Les enjeux de la “modélisation mathématique” de Cauchemez en mars 2020
14:41 Sur les fondements généraux de l'épidémiologie “mathématique”
19:11 L'article de Science du 11 Mai 2020 : les caractéristiques
23:14 Construction de l'article
25:32 des trucages honteux
27:29 Contradiction avec les faits
30:15 pre-print du 28 Juin 2021
31:56 Quelques problèmes
35:07 Démarche judiciaire
36:47 Le devenir de la plainte
40:47 Un personnage trouble : Cédric Villani
46:18 Autres articles avec fraude en mathématiques
47:34 L'étude ComCor
50:47 Le Conseil d'Analyse économique
52:17 Conclusions
54:54 “pour terminer et pour vous réconcilier un peu avec les matheux…”