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nano-robot

Anguille sous rocheUn robot minuscule capable de localiser et capturer des cellules individuelles

Anguille sous roche - 11 avr 2023

Le dernier coup d’éclat dans le domaine de la robotique est un minuscule micromoteur capable d’identifier, de piéger et de transporter des cellules individuelles.

   

Il s’agit d’une prouesse technique qui pourrait trouver des applications dans le domaine de la médecine et de la purification de l’air.

Il est important de noter que la machine peut être contrôlée à la fois par des champs électriques et par des champs magnétiques, ce qui sera vital si le robot microscopique doit être déployé dans le corps humain, ce qui est l’intention de ses inventeurs.

Le robot mesure de 5 à 27 micromètres de diamètre et est fabriqué à partir d’une sphère de polystyrène spécialement conçue et recouverte de matériaux conducteurs tels que le chrome, le nickel et l’or.

« Le développement de la capacité du micro-robot à se déplacer de manière autonome a été inspiré par les micro-nageurs biologiques, tels que les bactéries et les spermatozoïdes », explique l’ingénieur en mécanique Gilad Yossifon de l’université de Tel-Aviv en Israël. « Il s’agit d’un domaine de recherche innovant qui se développe rapidement et dont les applications sont très variées. »

Ce micromoteur possède une liste impressionnante de capacités. Il peut se déplacer d’une cellule à l’autre, identifier différents types de cellules, reconnaître si les cellules sont saines ou mourantes, transporter des cellules et appliquer des médicaments ou un gène spécifique à une cellule.

Les chercheurs ont utilisé le robot pour capturer des cellules sanguines, des cellules cancéreuses et une bactérie. Le robot n’a pas encore été testé à l’intérieur du corps humain, mais c’est l’un des domaines où il pourrait être efficace.

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deep-fakes et surveillance

Aube DigitaleLes deepfakes augmentent la nécessité d’une identification numérique

Aube Digitale - 10 avr 2023

Une entreprise spécialisée dans la reconnaissance faciale suggère que les deepfakes augmentent la nécessité d’une identification numérique

   

Une autre excuse pour introduire l’identification numérique.

Après avoir créé une technologie – utilisée pendant des années, voire des décennies dans l’industrie du divertissement – pour produire des contrefaçons profondes, pourquoi cette même industrie ne nous mettrait-elle pas en garde contre tous les dangers de cette technologie – et ne proposerait-elle pas de toutes nouvelles solutions à ce problème, que certaines d’entre elles auraient ostensiblement créées en premier lieu ?

Il pourrait y avoir un public pour cela.

En particulier celui qui croit à l’idée que la plupart des gens, de nos jours, « vivent leur vie en ligne » – ce qui n’est pas vrai, en ce qui concerne la plupart des gens. Certes, les services en ligne tels que la banque et le chat sont pratiques, mais « vivre » une vie en ligne est une proposition tout à fait différente.

Ensuite, il y a le terme « intelligence artificielle » (IA), alors que toute personne ayant une connaissance, même superficielle, de cette technologie sait que nous sommes aujourd’hui TRÈS loin de ce que les médias grand public font croire, ou de ce qu’ils sont susceptibles de réaliser (le mieux que l' »IA » puisse offrir aujourd’hui est un faible sous-ensemble appelé « apprentissage automatique », ML).

Cela mis à part, le Times of London semble vous demander de mettre de côté toutes vos connaissances, votre scepticisme et votre expérience, et de suivre l’histoire – comme dans « ne jamais laisser la vérité se mettre en travers d’une bonne histoire ».

C’est ainsi que nous apprenons que des « entrepreneurs inventent des défenses d’identité numérique ».

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La fin de la 2G - 3G

ReporterreArrêt de la 2G et 3G : la mise à mort de millions d’objets

Reporterre - 08 avr 2023

À partir de 2025, les réseaux 2G et 3G vont peu à peu s’éteindre. De quoi provoquer un énorme gaspillage, de nombreux équipements étant concernés : téléphones, voitures et même les ascenseurs.

   

« Le smartphone, ça me rend accro et c’est intrusif ! » Depuis belle lurette, Louise [*] lui préfère un bon vieux Nokia 108 pour simplement téléphoner et envoyer des SMS. Et, la plupart du temps, ça lui suffit. « Tout le monde dans mon entourage me connaît pour avoir un “petit bigo” », raconte-t-elle. Mais fin 2022, l’étudiante ne capte plus le réseau 2G de son opérateur, Free mobile. Pas plus de succès avec un autre Nokia 108, trouvé sur Leboncoin et qui marche pourtant parfaitement avec Orange. Sa carte SIM est-elle en cause ? Non, lui assurent les conseillers du service client de Free. Un premier évoque « l’arrêt du réseau pour les vieux modèles de téléphone ». Une seconde lui explique que « la 2G n’est plus présente sur certains territoires ». Adieu le bigophone.

Free mobile aurait-il débranché son réseau 2G ? L’opérateur est catégorique : « Nous n’avons coupé ni la 3G, ni la 2G en itinérance. » Free ne possédant pas son propre réseau 2G, ses clients basculent depuis toujours sur celui d’Orange via un accord d’itinérance qui porte aussi sur la 3G. Ce contrat a d’ailleurs été prolongé récemment jusque fin 2025. Pourtant, la bascule vers le réseau d’Orange n’est plus systématique ces derniers mois.

Louise n’est pas un cas isolé. À Brest, par exemple, d’autres « freenautes » ont remarqué une perte du réseau 2G depuis l’été 2022. Certains ont retrouvé leur connexion depuis, d’autres non… Sur le site de Darty, des consommateurs racontent la même mésaventure. Parmi eux, Laurent écrit le 11 janvier à propos d’un téléphone Gigaset GL390 uniquement compatible 2G : « J’ai acheté ce téléphone mobile pour ma mère de 83 ans, car simple d’utilisation. Cependant, il n’est pas compatible avec son opérateur Free. »

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satellites poubelle de l'espace

L'âge de faireConcours d’orbite mondial

L'âge de faire - 07 avr 2023

Des dizaines de milliers de satellites pourraient bientôt saturer l’orbite terrestre, afin que les humains puissent se connecter partout et tout le temps à internet.

   

Et comme il n’y a pas de raison qu’on soit moins cons que les autres, l’Union européenne vient d’annoncer qu’elle se lançait elle aussi dans la course.

« On a réussi à faire partager ce sentiment d’urgence. » Le 14 février 2023, le commissaire européen Thierry Breton est aux anges. Fait rare, il esquisse même un sourire. Moins d’un an après avoir présenté son projet Iris2 , le Parlement européen vient de l’approuver à la quasi-unanimité : 603 voix pour, 39 abstentions, et seulement 6 voix contre. C’est un plébiscite.

Iris2 serait-il un programme de réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre ? Rien à voir. Il s’agit du projet de constellation de satellites, destiné à « permettre à chacun des citoyens européens d’être connecté à internet, qu’il se trouve dans des vallées isolées, qu’il se trouve dans des îles éloignées », se félicite le rapporteur du texte, l’eurodéputé français Christophe Grudler (Renaissance). Ou même en pleine mer ou en avion, pourrait-il ajouter. S’ils fonctionnent comme prévu, ces satellites doivent en effet permettre de rester connecté partout, tout le temps. Et apparemment, il s’agit non seulement d’un impératif, mais aussi d’une urgence absolue.

« Désormais, la connectivité, (…) ça veut dire beaucoup d’autres choses qu’une simple communication téléphonique », a justifié Thierry Breton. Mais quoi donc, au juste ? Le commissaire européen a essentiellement mis en avant deux domaines : celui de l’internet des objets – un scénario publié en mars par l’Ademe et l’Arcep prévoit jusqu’à 11 milliards d’objets connectés en 2050 pour la seule France – et celui de la défense, dans lequel les télécommunications ont pris une place centrale. En février, un caprice d’Elon Musk est d’ailleurs venu rappeler l’importance de ces connexions dans les zones en guerre : le patron de SpaceX a subitement décidé que l’armée ukrainienne ne pourrait plus se servir de son réseau Starlink, jusque-là utilisé pour faire voler des drones et transmettre des informations. Ou quand un crétin milliardaire peut influer sur un conflit international.

Car le crétin en question a, justement, une longueur d’avance sur ses petits camarades en matière d’internet satellitaire : quelque 3.200 de ses satellites sillonnent déjà l’orbite terrestre basse. Mais ce n’est qu’un début. Les autorités états-uniennes ont en effet répondu favorablement à sa demande d’en positionner, à terme, 42.000. C’est beaucoup ? C’est énorme ! Pour avoir un élément de comparaison, Galileo (le GPS européen), n’en utilise « que » 27.

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OpenAI

Guy BoulianneLes hallucinations de l’intelligence non humaine commencent à conquérir le monde.

Guy Boulianne - 02 avr 2023

Ce qui relie la CIA et TikTok est l’intelligence artificielle (IA), qui est l’intelligence — percevant, synthétisant et déduisant des informations — démontrée par des machines, par opposition à l’intelligence affichée par des animaux non humains et des humains.

   

Alors que Hersh a révélé que la CIA était chargée « de donner une impulsion au système dans le but de rejeter l’affirmation selon laquelle Biden avait ordonné la destruction des pipelines », ils ont mis en action les capacités d’intelligence artificielle des agences d’espionnage américaines “Project SABLE SPEAR” (Projet LANCE EN SABLE), et pour comprendre le véritable pouvoir et la menace de TikTok, une bonne première étape est de lire le document “Why TikTok made its user so obsessive? The AI Algorithm that got you hooked” (Pourquoi TikTok a rendu son utilisateur si obsessionnel ? L’algorithme d’IA qui vous a rendu accro).

L’un des leaders mondiaux de la recherche sur l’intelligence artificielle est le laboratoire OpenAI, le créateur du générateur avancé de langage d’intelligence artificielle ChatGBT ChatBot. Lors d’une récente interview, le PDG de ces laboratoires d’intelligence artificielle, Sam Altman, a déclaré avec crainte : « Je pense que les gens devraient être heureux que nous soyons un peu effrayé par cela… Je suis particulièrement inquiet que ces modèles puissent être utilisés pour une désinformation à grande échelle… La chose que j’essaie le plus de mettre en garde les gens est ce que nous appelons le “problème des hallucinations”… Le modèle énoncera avec confiance les choses comme s’il s’agissait de faits, mais elles sont entièrement inventées ». Et le co-fondateur de ce laboratoire d’intelligence artificielle, Elon Musk, a carrément averti lors d’un discours au symposium du centenaire du département d’aéronautique et d’astronautique du MIT le 24 octobre 2014 : « Avec l’intelligence artificielle, nous invoquons le démon. Dans toutes ces histoires où il y a le gars avec le pentagramme et l’eau bénite, c’est comme ouais il est sûr qu’il peut contrôler le démon… ça n’a pas marché ».

Au cours des dernières 48 heures, le “démon” de l’intelligence artificielle et son “problème d’hallucinations” ont été mis en évidence après que le président Donald Trump a publié une vidéo dévoilant son plan de démantèlement de l’État profond, qui a été visionnée 1,7 million de fois — une vidéo immédiatement contrées par l’intelligence artificielle, des images créées montrant le président Trump se battant furieusement avec les policiers de New York qui l’arrêtent, ont été visionnées plus de 4 millions de fois et constituent une démonstration terrifiante prouvant le pouvoir de l’intelligence artificielle sur la vérité.

« Avec l’IA, nous invoquons le démon »

Elon Musk

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James Cameron - IA

Anguille sous rocheJames Cameron affirme que l’IA a pris le pouvoir, et qu’il est déjà trop tard

Anguille sous roche - 30 mars 2023

Dans les cas où les humains ne peuvent pas suivre le rythme des conflits modernes, les machines prennent le relais.

   

Après avoir réalisé de nombreuses superproductions, le réalisateur James Cameron estime que l’intelligence artificielle est peut-être en passe de rendre réels des événements similaires à ceux de Terminator.

Lorsqu’une grenade propulsée par fusée se dirige vers un véhicule terrestre blindé, un système automatisé embarqué à bord du véhicule identifie la menace, la suit et déclenche une contre-mesure pour l’intercepter, le tout avant même que l’équipage à l’intérieur n’en soit conscient. De même, les navires de l’US Navy équipés du système de combat Aegis peuvent activer le mode Auto-Special, qui élimine automatiquement les ogives en approche selon des règles soigneusement programmées.

Près de quarante ans après la sortie du premier film Terminator en 1984, qui décrivait l’augmentation des capacités des IA dans leur propre quête de destruction de la race humaine, Cameron pense que nous sommes plus proches de l’essor de la technologie qu’on ne le pensait auparavant. En tant que réalisateur de films farfelus, mais acclamés par la critique, tels que Aliens et Avatar, Cameron a prouvé qu’il s’interrogeait beaucoup sur l’avenir de la technologie et sur ce qu’elle pourrait signifier pour le monde.

Les armées, comme les constructeurs automobiles, ont progressivement donné plus de liberté aux machines. Lors d’un exercice organisé en 2019, les États-Unis ont montré comment l’automatisation pouvait être utilisée tout au long de ce que l’on appelle la « chaîne de la mort » : un satellite a repéré un faux navire ennemi et a demandé à un avion de surveillance de se rapprocher pour confirmer l’identification ; l’avion de surveillance a ensuite transmis ses données à un avion de commandement et de contrôle aéroporté, qui a sélectionné un destroyer naval pour mener une attaque. Dans ce scénario, l’automatisation a permis aux officiers situés à l’extrémité de la chaîne d’exécution de disposer de plus de temps pour prendre une décision en connaissance de cause, à savoir s’il fallait ou non tirer sur le navire ennemi.

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biométrie

Anguille sous rocheMot de passe : 74 % des consommateurs préfèrent se tourner vers la biométrie

Anguille sous roche - 22 mars 2023

74 % des consommateurs préfèrent se tourner vers la biométrie pour éviter de se souvenir des mots de passe

   

Les gens ont du mal à se souvenir d’un nombre sans cesse croissant de mots de passe. 51 % des personnes interrogées dans le cadre d’une nouvelle étude réalisée par Entrust déclarent réinitialiser un mot de passe au moins une fois par mois parce qu’elles ne s’en souviennent pas.

Plus alarmant encore, 15 % des utilisateurs interrogés réinitialisent leur mot de passe au moins une fois par semaine. Il n’est donc pas surprenant que si l’on donne le choix entre la biométrie et un mot de passe, 74 % des personnes interrogées choisissent la biométrie la moitié du temps ou plus et un tiers choisissent toujours la biométrie lorsqu’elle est disponible.

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Ford désactivé à distance

Aube DigitaleUne technologie permettant de désactiver les véhicules à distance

Aube Digitale - 13 mars 2023

Ford obtient un brevet pour une technologie permettant de désactiver les véhicules à distance

   

Le constructeur automobile Ford a déposé une demande de brevet pour une technologie qui permettrait aux véhicules semi-autonomes et entièrement autonomes de reprendre possession de leur véhicule si le propriétaire ne paie pas ses mensualités de prêt ou de location.

Le brevet s’intitule « Systèmes et méthodes pour reprendre possession d’un véhicule« . Il stipule que les futurs véhicules de Ford pourront désactiver « une fonctionnalité d’un ou plusieurs composants du véhicule ».

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biocontrôle

Réseau InternationalBiocontrôle : Du cauchemar à la réalité

Réseau International - 11 mars 2023

Dans « Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques » (1968), Philip K. Dick imaginait une société dans laquelle tout un chacun se verrait implanter un « organe d’humeur » pouvant être activé à distance et permettant de moduler ses émotions d’un simple coup de télécommande. Des techniques de contrôle mental entretemps passées de la fiction à la réalité… et que le World Economic Forum contemple avec une certaine gourmandise.

   

Dès 1956, le Time Magazine avait consacré une publication à la science alors déjà fort prometteuse du « biocontrôle » :

« Une horreur bien connue des amateurs de science-fiction, c’est l’esclave dont les pensées et les actions sont régies par un gadget électronique greffé dans son cerveau. Il pourrait y avoir une part de vérité dans cette fiction affirme l’ingénieur électricien Curtiss R. Schafer, qui conçoit et développe des instruments électroniques pour la Norden-Ketay Corp. de New York. L’électronique, pense-t-il, pourrait épargner beaucoup de travail aux endoctrineurs et aux contrôleurs de la pensée du futur. […]

Le biocontrôle est la nouvelle science du contrôle des processus mentaux, réactions émotionnelles et perceptions sensorielles par des signaux bioélectriques. […] Déjà, grâce au biocontrôle, les scientifiques ont changé le sens de l’équilibre des gens. Et ils ont fait en sorte que des animaux avec le ventre plein aient faim – ou qu’ils aient peur quand ils n’ont rien à craindre. »

« Les neurotechnologies nous permettent de mieux influer sur la conscience et les pensées. Ceci inclut un décodage affiné de ce que l’on pense grâce à de nouveaux produits chimiques et des interventions qui peuvent influencer nos cerveaux pour y corriger les erreurs ou en améliorer le fonctionnement. […] Des technologies spécialisées telles que les microélectrodes modernes sont capables d’enregistrer l’activité d’un neurone individuel – ou de l’activer, quand on en a besoin. […] Pouvoir « lire et écrire dans » le cerveau va créer de nouvelles industries et de nouveaux systèmes de création de valeur… »

Klaus Schwab

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identification médicale biométrique

Aube DigitaleLa France donne son feu vert à l’identification médicale biométrique

Aube Digitale - 06 mars 2023

La CNIL a donné son feu vert à l’utilisation de la biométrie faciale pour la vérification des utilisateurs de la future carte de santé numérique du pays, la carte Vitale.

   

Selon un rapport de l’agence de presse française The Connexion, la CNIL affirme que la reconnaissance faciale rendra l’application de la carte de santé plus “sûre”. Cependant, la reconnaissance faciale sur l’application Carte Vitale ne sera utilisée que jusqu’à ce que la future carte nationale d’identité numérique du pays, France Identité, soit disponible.

France Identité remplacera ou complétera les cartes d’identité physiques traditionnelles.

La carte Vitale vise à remplacer les cartes de santé physiques. L’automne dernier, l’application a été testée dans plusieurs régions. Au cours de cet essai, les utilisateurs ont vérifié leur identité à l’aide de selfies.

Pour accéder aux services de santé, ils ont scanné leur carte de santé numérique à l’aide d’un QR code ou de la technologie NFC (communication en champ proche).

En plus d’approuver l’utilisation de la reconnaissance faciale dans la carte Vitale, la CNIL a également approuvé son déploiement à grande échelle. Le gouvernement prévoit de mettre l’application de santé à la disposition de tous les assurés sociaux vivant en France d’ici à la fin de 2025.

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Le grand virage de l'humanité

GuillemantPhilippe Guillemant : Le grand virage de l'humanité

Guillemant - 06 mars 2023

Conférence de Philippe Guillemant

   

Vezelay le 10 février 2023

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Cyber Polygon et le FEM

MondialisationCyber Polygon ou le scénario de « cyberattaque » du Forum économique mondial

Mondialisation - 05 mars 2023

En 2021, le FEM a fait une simulation de cyberattaques impliquant un scénario de paralysie de l’alimentation électrique, des communications, des transports et d’Internet.

   

Amplement documenté, le Forum économique mondial (FEM) a joué un rôle déterminant dans l’approbation du programme militaire des États-Unis et de l’OTAN en ce qui concerne l’Ukraine.

Cet événement Cyber Polygon de juillet 2021 (qui s’est produit 8 mois avant la guerre en Ukraine) était-il destiné à créer des divisions politiques au sein de la Fédération de Russie en établissant des partenariats avec un certain nombre de puissants médias, de communications, institutions bancaires et financières russes, etc.

Il n’y avait pas un seul représentant de la République populaire de Chine. La simulation du cyberpolygone (juillet 2021) était-elle destinée à favoriser la confrontation entre la Chine et la Russie ?

Quelques mois plus tard, à partir de mars 2022, la Russie a été mise sur la liste noire du FEM, les institutions russes ont été exclues de la participation à la fois au Forum économique mondial de mai 2022 et de janvier 2023 à Davos.

« Je crois qu’il y aura une autre crise. Ce sera plus important. Ce sera plus rapide que ce que nous avons vu avec la COVID. L’impact sera plus important et, par conséquent, les implications économiques et sociales seront encore plus importantes. »

Jeremy Jurgens, directeur général du Forum économique mondial

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