Les astronomes la surnomment « Tsuchinshan-ATLAS ». Mais son nom de code, c'est C/2023 A3. Il s'agit d'une comète fraichement découverte. Ce n'est pas rare de découvrir une comète. Alors, pourquoi celle-ci attire-t-elle l'attention ? Parce que selon de premières estimations - encore toutes provisoires -, elle pourrait bien devenir, d'ici plus ou moins un an et demi, l'objet le plus brillant de notre ciel.
Les astronomes prévoient que la comète C/2023 A3 atteindra son périhélie - le point de son orbite le plus proche du Soleil - vers le 28 septembre 2024. Autour du 13 octobre suivant, elle se situera au plus près de la Terre. Entre ces deux points, sa magnitude pourrait passer de 0,7 à -0,2. Certains pensent même qu'elle pourrait atteindre une magnitude de l'ordre de -5. Ce qui ferait d'elle l'objet le plus brillant de notre ciel - hors Soleil et Lune. Pour comparaison, c'est classiquement Vénus qui occupe cette place avec une magnitude d'environ -4,5. Et les magnitudes des comètes C/2022 E3 (ZTF) et C/2020 F3 (Neowise) ont culminé respectivement à 5,3 et 0,9.
Une nouvelle ère de communication digitale semble voir le jour avec l’annonce d’Elon Musk du lancement de X.com qui prend la suite du Twitter que nous connaissions. Ce site présenté comme « révolutionnaire », dirigé par une CEO dite « visionnaire », promet une expérience inédite, combinant messagerie, vidéos, audios… et même des fonctionnalités de paiement bancaire intégrées qui laissent songeurs.
L’intégration de l’authentification TwitterBlue permettra en effet aux utilisateurs d’accéder à un monde de possibilités pour effectuer leurs transactions en ligne « avec simplicité ». L’influence de Musk dans le domaine digital est indéniable, suscitant un engouement sans précédent après la levée des restrictions liées au Covid. Ses fameux #TwitterFiles ont généré un véritable raz-de-marée sur la plateforme, propulsant Twitter vers de nouveaux sommets.
Si personne ne conteste que certaines parties du monde se réchauffent, il n’y a pas pour le moment d’explication alternative à ce phénomène. Mais des scientifiques de renom en présenteront une autre à la COP-28 de Dubaï. Il se trouve que ce sont des membres de l’Académie des Sciences de Russie.
La théorie selon laquelle le réchauffement climatique serait observable sur l’ensemble de la planète et qu’elle serait provoquée par l’activité humaine a été popularisée par le Groupe intergouvernemental d’étude sur l’évolution du climat (GIEC) ; une commission des Nations unies.
Je n’ai aucune compétence en matière climatique et je ne me permets pas de juger si cette théorie est vraie ou fausse, mais je suis un expert en politique internationale et je peux évaluer le travail de cette commission des Nations unies.
Il y a une dizaine d’années, j’avais écrit que, comme son nom l’indique, le GIEC n’est absolument pas une académie savante, mais un groupe intergouvernemental. Ses conclusions ne sont donc pas le fruit d’une démarche scientifique, mais d’un débat politique.
Le GIEC a été créé à l’initiative du Premier ministre britannique, Margareth Thatcher, afin de soutenir son combat contre les syndicats de mineurs. Sans surprise, il a conclu que l’usage du charbon est mauvais pour l’environnement, tandis que le nucléaire est souhaitable. Ce n’est pas un théorème scientifique, mais une prise de position politique.
En outre, j’ai fait remarquer que la création des droits d’émission de gaz à effet de serre n’est pas une initiative intergouvernementale, mais une idée de la Joyce Foundation, mise en œuvre par la Climate Exchange Ldt. Chaque État rédige sa propre législation en la matière. Il reçoit une certaine quantité de droits d’émission qu’il répartit comme il l’entend à des entreprises. Celles qui ne les utilisent que partiellement peuvent revendre les droits non utilisés sur une Bourse spécialisée à Chicago.
Les statuts de cette Bourse ont été rédigés par un juriste de Joyce Foundation alors inconnu, un certain Barack Obama (futur président des États-Unis). L’appel aux investisseurs pour le lancement de cette Bourse a été organisé par Al Gore (futur vice-président des États-Unis), et par David Blood (ancien directeur de la banque Goldman Sachs). On peut considérer ces gens comme des militants écologistes de bonne foi ou comme des escrocs de haut vol, c’est une affaire de point de vue.
Avec le temps, ce dispositif politique s’est paré d’un vernis scientifique et de bonnes intentions de sorte qu’il est devenu difficile de le questionner. Il existe pourtant une théorie scientifique alternative pour expliquer le réchauffement climatique. Elle a été énoncée par le géophysicien croate Milutin Milanković durant l’entre-deux-guerres.
L’orbite de la Terre varie selon trois cycles naturels : son excentricité, son obliquité et la précession des équinoxes. Chacune de ces variations suit un cycle, entre 20 000 et 100 000 ans, parfaitement calculable. Ces trois variations combinées influent sur l’insolation de la Terre et donc sur son climat. Cette théorie a été confirmée, en 1976, par l’étude des carottes glaciaires lors du forage de Vostok (Antarctique). Mais elle n’explique pas tout.
Toujours dans le cadre de mes articles concernant le fameux programme de recherches sur le contrôle de l’esprit (MK-ULTRA) élaboré par la Central Intelligence Agency (CIA), c’est-à-dire un premier article sur le magicien John Mulholland (6 mai 2023), un second article sur l’auteur et journaliste Stephen Kinzer (8 mai 2023) et un autre article sur l’opération secrète Crimson Mist qui eut lieu au Rwanda il y a près de trente ans (12 mai 2023), je vous fait part maintenant du brevet US-6506148-B2 intitulé “Manipulation du système nerveux par les champs électromagnétiques des moniteurs”. Comme son titre l’indique, une recherche rapide sur Google vous dira que ce brevet ouvre la possibilité de manipuler le système nerveux par le biais d’ordinateurs et de téléviseurs. Mais le brevet US6506148 B2 est-il faux ou contient-il une part de vérité ? Une chose est certaine, celui-ci a été repris par la très sérieuse National Library of Medicine (NLM, Bibliothèque américaine de médecine) rattachée aux Instituts américains de la santé (NIH).
Guy Boulianne publie en français le document secret du célèbre magicien John Mulholland,— “MK-Ultra : Sous-projet 4″—, datant de mai 1953
Je suis très heureux de vous annoncer que j’ai traduit et publié en français le document qui fut rédigé en 1953 par le magicien John Mulholland (1898-1970), sous le nom de code “Subproject 4” (Sous-projet 4). Ce document avait pour objet d’élaborer les différents aspects de l’art des magiciens qui pourraient être utiles dans le […]
Le brevet affirme qu’il est possible de manipuler le système nerveux d’un sujet en affichant des images pulsées sur un téléviseur ou un écran d’ordinateur à proximité. Le matériel du programme peut être intégré avec l’image pulsée, superposée par un flux vidéo. Il illustre en outre comment les champs électromagnétiques pulsés dans les fréquences idéales peuvent exciter les résonances sensorielles du sujet. Le brevet comprend plusieurs revendications sur la façon dont la transmission vidéo peut manipuler le système nerveux d’une personne. Étant donné que le brevet est disponible en ligne avec la description de la technique et tout le reste, il est naturellement devenu une source de préoccupation pour de nombreuses personnes. Après tout, les enregistreurs de frappe gratuits pour Mac et Windows sont accessibles en ligne, et n’importe qui peut s’inspirer du brevet pour contrôler l’esprit des utilisateurs d’ordinateurs sans méfiance. Doit-on s’inquiéter du brevet US6506148 B2 ?
Le brevet est très similaire à la façon dont certains types de stroboscopes peuvent provoquer des convulsions. Lorsque vous exposez des photorécepteurs à des stimuli particuliers, ils peuvent déclencher des réactions dans le système nerveux ou le cerveau. Même ainsi, nous devrions examiner de près l’objet du brevet. Si vous le lisez, vous remarquerez qu’il n’implique pas de stimuli visuels. Au lieu de cela, il se concentre sur les stimuli cutanés à travers de faibles champs électromagnétiques pulsés à des fréquences de 1/2 Hz ou 2,4 Hz. Pris au pied de la lettre, le brevet ne ressemble pas à une technique prometteuse de manipulation de l’esprit. Un rapide coup d’œil vous montrera qu’il a l’intention d’utiliser des écrans de télévision et des moniteurs d’ordinateur pour gérer les schémas de pointe, ce qui peut être handicapant ou du moins ennuyeux. Comme l’écrit l’équipe de Traqq : « Nous ne considérerons pas US6506148 B2 démystifié, et il y a probablement quelque chose de plus que ce que nous avons mentionné. »
L’Autre Monde est alors représenté comme un pays lointain et inaccessible au commun des mortels. Dans certaines traditions asiatiques, comme dans « Le Conte de la Princesse Kaguya », la lune joue ce rôle. Ce n’est pas le cas en Occident. Néanmoins, sur un plan archétypal, un voyage sur la lune est un exploit surnaturel de dimension mythologique. Cela fait des astronautes Apollo les égaux des anciens demi-dieux, et cette aura a illuminé les États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages : c’était le récit fondateur d’une nouvelle religion qui élevait les États-Unis au rang de nation messianique propulsant l’humanité vers l’avenir radieux technologique2. Le discours du président Nixon, diffusé tandis que le module d’Apollo 11 traçait sa route vers la lune, invitait l’humanité à communier dans ce nouveau culte universel :
« Apollo 11 est en route vers la lune. Elle transporte trois braves astronautes ; elle porte également les espoirs et les prières de centaines de millions de personnes ici sur terre, pour qui ce premier pas sur la lune sera un moment de drame transcendant. Jamais l’homme ne s’est embarqué dans une aventure aussi épique. […] Alors que les astronautes vont là où l’homme n’est jamais allé, alors qu’ils tentent ce que l’homme n’a jamais fait, nous sur terre voudrons, comme un seul peuple, être avec eux en esprit ; partager la gloire et l’émerveillement, et les soutenir avec des prières pour que tout aille bien. »3
Une fois que Neil Armstrong et Buzz Aldrin eurent posé le pied sur la lune, le même Nixon réalisa « the most historic telephone callever made from the White House », récupérant ainsi une partie de leur pouvoir surnaturel de communication avec l’Au-delà.4
Mais qui fait l’ange fait la bête, ou le démon. Comme le fait remarquer le très sceptique chercheur allemand Gerhard Wisnewski dans « One Small Step ? The Great Moon Hoax and the Race to Dominate Earth From Space », ce glorieux voyage lunaire mondialement télévisé qui auréolait les Américains d’une quasi divinité, détournait opportunément l’attention de l’enfer qu’ils imposaient à un peuple ici-bas. Apollo 11 atterrissait sur la lune deux mois après les bombardements illégaux au Cambodge ordonnés par Nixon. Et le programme Apollo cessa peu après que les dernières unités américaines aient quitté le Viêt Nam.
« Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient en même temps de fasciner – ou plutôt d’hypnotiser – le monde avec une conquête d’un tout autre genre. »5
À vrai dire, en 1972, les gens s’étaient un peu lassés. Malgré l’arrivée de la télévision couleur, l’ajout de quelques gadgets distrayants comme le moon buggy, un suspens redoublé par la longueur des missions (72 heures sur la lune pour Apollo 17), et l’introduction de gags comme les sauts de Kangourou de Eugene Cernan6, l’enthousiasme du public n’y était plus.
Certains se grattaient même la tête: les astronautes n’avaient-ils rien de mieux à faire sur la lune que de planter le drapeau américain et ramasser des cailloux (380 kilos, toutes missions Apollo confondues) ? « Never come to the moon without a hammer », plaisanta Alan Bean d’Apollo 12 devant la caméra.
Allons-nous vers une époque où les progrès extraordinaires qui ont été réalisés dans les domaines de la nanotechnologie, de la neurologie, la psychologie, l'informatique, les télécommunications et l'intelligence artificielle seront utilisés par les autorités gouvernementales pour contrôler la population ?
Déjà, les gouvernements du monde entier se servent de la "lutte au terrorisme" comme prétexte pour nous observer, pour nous pister, pour numériser l'ensemble de nos communications électroniques, pour nous faire subir des "mesures de sécurité", qui sont si extrêmes que même George Orwell (auteur du livre "1984") ne les a pas imaginées !
Qu'arrivera-t-il le jour où des individus poseront une arme de destruction massive dans une grande ville ?
La tentation d'utiliser ces nouvelles technologies pour contrôler le public devient presque irrésistible et à ce point, on peut même envisager un "contrôle de l'esprit" (mind control). Même si ce mot évoque une fiction, il ne s'agirait que de deux autres événements de type 11 septembre 2001 pour que la population réclame des mesures de sécurité jugées extrêmes pour l'instant, mais devenues souhaitables et impératives dans un tel contexte.
Quand la société connaîtra un effondrement complet et total dans les années à venir, les gouvernements du monde entier seront tentés de prendre des mesures extrêmes, y compris le contrôle à distance des individus, pour rétablir l'ordre. C'est pourquoi quelques unes des avancées les plus récentes dans le domaine des nanotechnologies font froid dans le dos...
Une équipe de chercheurs de l'Université de Buffalo a fait une découverte alarmante. Ce qui suit est un extrait de leur communiqué :
"Des nanoparticules magnétiques visant les membranes cellulaires peuvent contrôler à distance les canaux ioniques, les neurones et même le comportement des animaux", selon un document publié par des physiciens de l'Université de Buffalo dans la revue scientifique "Nature Nanotechnology".
Elle peut répondre, en complémentarité avec l’agriculture traditionnelle, à des situations critiques de l’écologie actuelle. Pour autant, elle présente aussi quelques limites qu’il ne faudrait pas invisibiliser. Analyse en demi-teinte.
Bien que récente, cette agriculture verticale, hors-sol et urbain, s’inscrit en prolongement de techniques millénaires comme l’aquaponie, l’aéroponie et l’hydroponie. Pour autant, cette pratique qui ressemble plus à innovation technologique qu’un savoir ancestrale. À partir du témoignage d’un fervent pratiquant de l’agriculture verticale et de l’exemple d’initiatives existantes, en voici un état des lieux.
Santiago Helou milite pour la protection de l’environnement. Il vit depuis longtemps au Canada et s’est intéressé de près à l’agriculture verticale dans les centres urbains environnants qu’il fréquente. Il va d’ailleurs chercher sa roquette à Goodleaf, une ferme verticale située à 70 km de Toronto, dans la ville de Guelph.
Ce type d’agriculture l’a rapidement captivé tant pour son aspect dynamique, dans un milieu où l’agriculture est un métier qui attire de moins en moins de main d’oeuvre, que pour son adaptabilité aux enjeux climatiques : « L’agriculture verticale est l’une des nombreuses solutions nécessaires pour créer une industrie agricole plus durable, à la fois écologique et capable d’éliminer l’insécurité alimentaire. Il ne s’agit pas d’une solution miracle et elle devra faire partie d’une stratégie plus large qui implique une restructuration radicale des institutions de notre société ».
Le danger de la 5G ne peut être surestimé.
La 5G (5e génération) est actuellement activement déployée dans de nombreuses villes du monde. Simultanément, alors que la prise de conscience de ses horribles impacts sur la santé et la vie privée augmente, de nombreux endroits décrètent des moratoires ou l’interdisent, comme toute la nation belge, la ville de Vaud (Suisse) et San Francisco (États-Unis). Le rayonnement radiofréquence (RF ou RFR) et les champs électromagnétiques (EMF) sont de plus en plus reconnus comme de nouveaux types de pollution — la pollution de l’environnement.
Voici 13 raisons exposant le danger de la 5G, qui pourrait se transformer en une catastrophe absolue pour la santé et la vie privée si suffisamment de personnes ne se lèvent pas pour l’arrêter.
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Un Chat GPT-4 qui ne respecte pas son intention de départ qui est de faire de l'Open Source. C'est très symbolique, c'est un désalignement. C'est se trahir soi-même, donc quand on se trahit soi-même, on aboutit à la maladie. Donc il y aura une maladie qui va être générée par Chat GPT-4. Donc l'IA va jouer un rôle, va peut-être précipiter cet effondrement du mental qui est nécessaire pour que l'on se retrouve fondamentalement.