Agrémenté d'une vidéo sur l'idéologie transhumaniste, cet article est basé sur des extraits de The Guardian, il raconte l'expérience de ces scientifiques devenus capables de contrôler l'esprit d'une souris.
« Il faudrait résister aussi à tous les gadgets, prothèses, stimulants que nous propose l'industrie transhumaniste, jusqu'à tuer la mort, au péril de l’humain. »
Cet article retrace l'histoire de ces tests - et de leurs conséquences - qui ont été réalisé sur des enfants, sans le consentement éclairé de leurs parents. Vous y trouverez une multitude de sources.
« Je crains que la précipitation motivée par des considérations commerciales pour nous faire paniquer et introduire rapidement le vaccin contre le VPH ne nous fasse reculer et n'aggrave notre programme de lutte contre le cancer du col de l'utérus. »
« Fauci sait depuis le début que le virus peut très bien provenir de ce laboratoire. Beaucoup de gens le savaient. Fauci a juste menti à ce sujet pendant plus d’un an »
Les wearables constitue une catégorie d'objets connectés qui peuvent être portés. Ce terme renvoie donc à l'ensemble des objets – vêtements ou accessoires – qui ont la particularité d’être connectés à un appareil, comme un téléphone, pour recueillir des données relatives à la personne qui les porte et à son environnement. Ils sont utilisés par le grand public, le plus connu des wearables étant la montre connectée, mais aussi par les entreprises, notamment pour des activités de logistique.
~ Le journal du Net
Et si les populations les plus marginalisées, c’est-à-dire celles qui sont susceptibles d’être enfermées pour des délits liés à la drogue aux États-Unis, seront les premières à être touchées par cette surveillance omniprésente, le réseau du FEM y voit la vision de l’avenir pour nous tous.
Nos téléphones collectent des données très personnelles sur notre religion, notre moral ou notre grossesse sans notre consentement. Par exemple, lorsque nous nous connectons sur des sites de santé, nous transmettons des informations qui vont être envoyées à notre insu à des entreprises appelées des data brokers. C’est ainsi que nous recevons des publicités ciblées… Un marché colossal, estimé à 400 milliards d’euros en Europe.
Vous croyez qu’en éteignant votre téléphone, ou votre ordinateur, vous pourrez leur échapper ? Eh bien non, car nous avons découvert qu’ils ont un autre moyen de vous pister, votre carte vitale ! Dans la moitié des pharmacies françaises, les informations sur les médicaments que vous avez achetés sont transmises au plus gros data broker de données médicales au monde, IQVIA. Sans le savoir, 40 millions de Français seraient ainsi pistés.
Votre vie privée les intéresse, Cash Investigation s’est intéressé à eux !
« Quand on est pas conscient de la valeur de la donnée, on est pas conscient du pillage que cela peut représenter »
Vous pouvez visionner la vidéo du Dr Carrie Madej au sujet de l'hydrogel et de ses fonctions. Il est notamment question de nanorobots activables par électromagnétisme.
« Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes. » »
En date du 10 mai 2021 l'appel a été entendu par 300 636 signataires de 214 nations et territoires.
Nous soussignés, scientifiques, médecins, organisations environnementales et citoyens de (x) pays, demandons de toute urgence l'arrêt du déploiement du réseau sans fil 5G (cinquième génération), y compris depuis les satellites spatiaux. En effet, la 5G entraînera une augmentation considérable de l'exposition aux rayonnements de radiofréquence (RF) qui s'ajoutera au rayonnement induit par les réseaux de télécommunications 2G, 3G et 4G déjà en place. Il a été prouvé que les rayonnements des radiofréquences sont nocifs pour l'homme et l'environnement. Le déploiement de la 5G revient à mener des expériences sur les êtres humains et l'environnement, ce qui est considéré comme un crime un crime en vertu du droit international.
Stress cellulaire, génotoxicité, dommage sur l'ADN, tumeurs cérébrales et épidémiologie... Le rapport BioInitiative dresse un état complet des connaissances de l’effet sur l’homme ou les organismes vivants des rayonnements non ionisants des lignes électriques et de la téléphonie mobile. Ce rapport dispose d'une mise à jour 2014 - 2020.
On ne sait pas encore tout sur ce sujet, mais ce qui est clair, c'est que les normes de sécurité publique limitant ces niveaux de rayonnement en vigueur dans presque tous les pays du monde semblent être des milliers de fois trop indulgentes. Des changements sont nécessaires.
Robin des Toits est une association nationale ayant pour objet :
- d'informer sur l'impact sanitaire, environnemental et sociétal des technologies émettrices d'ondes électromagnétiques artificielles.
- d'obtenir des réglementations locales, nationales et internationales assurant la protection de la santé publique face à ces technologies.
- d'agir (sous forme de mobilisation, d'alertes médiatiques, d'actions en justice par exemple) pour limiter l'exposition des personnes aux ondes lorsqu'un risque pour la santé existe.
- de préserver et/ou promouvoir les alternatives technologiques aux communications sans fil.
- de mener des actions pédagogiques.
« J’entends beaucoup de voix qui s’élèvent pour nous expliquer qu’il faudrait relever la complexité des problèmes contemporains en revenant à la lampe à huile ! Je ne crois pas que le modèle Amish permette de régler les défis de l’écologie contemporaine »
Denis Rancourt est l'auteur notamment d'un article scientifique paru sur ResearchGate en avril 2020. Celui-ci a été censuré par la plateforme le 3 juin 2020 après avoir été lu plus de 400 000 fois. Vous pouvez accéder ici à l'article : Les masques ne fonctionnent pas - Un rapport scientifique en lien avec la politique sociale COVID-19.
À savoir que l'entreprise berlinoise a fait une levée de fonds de 52,6 millions de dollars en 2017. Parmi les généreux donateurs on retrouve Goldman Sachs, LVMH, Xavier Niel ... et Bill Gates.
Ci-dessous la réponse de ReseachGate à Denis Rancourt quant aux raisons de la suppression de l'article sur leur plateforme.
« La réflexion et l'examen minutieux font au final progresser la science. En général, à ResearchGate, nous sommes plutôt du côté de la liberté d'expression. Cependant, si nous avons des raisons de croire que le contenu de notre plateforme est susceptible de causer un préjudice, nous nous réservons le droit de le retirer. Dans ce cas, votre rapport préconisait que les masques faciaux ne sont pas efficaces et, en fait, décourageait leur utilisation. Cela va à l'encontre des conseils de santé publique et/ou des exigences d'agences et de gouvernements crédibles. En tant que contenu qui ne semblait pas avoir fait l'objet d'un processus de contrôle de qualité par la communauté scientifique, et qui était largement relié par les médias sociaux, nous pensions qu'il avait le potentiel de nuire. »
Serge Tisseron est psychiatre, docteur en psychologie habilité à diriger des recherches, membre de l’Académie des technologies. Vous pouvez trouver son livre « L'emprise insidieuse des machines parlantes » aux éditions Les liens qui libèrent.
« Les machines parlantes pourraient nous manipuler très facilement »
Trois auteurs de l'étude publiée dans le Lancet, critique sur l'hydroxychloroquine, font volte-face. «Nous ne pouvons plus nous porter garant de la véracité des sources des données primaires», écrivent les trois auteurs au Lancet le 4 juin, mettant en cause le refus de la société les ayant collectées, Surgisphere, de donner accès à la base de données.
Publiée le 22 mai dans The Lancet, l'étude concluait que l'hydroxychloroquine n'était pas bénéfique aux malades du Covid-19 hospitalisés et pouvait même être néfaste. Sa parution avait eu un retentissement mondial et des répercussions spectaculaires, poussant notamment l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à suspendre les essais cliniques sur l'hydroxychloroquine contre le Covid-19. Mais, après de nombreuses critiques mettant en cause la méthodologie de l'étude, y compris de la part de scientifiques sceptiques sur l'intérêt de l'hydroxychloroquine dans le traitement du Covid-19, l'OMS a annoncé le 3 juin la reprise des essais cliniques avec cette molécule.