Patrick Provost vulgarise ici ce que pourrait impliquer la récente découverte d'ADN????contaminant dans le vax COVID que des milliards de personnes ont reçu.
Selon InsuranceNewsNet, les assureurs sont particulièrement préoccupés par les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies qui montrent que "les taux de mortalité augmentent de façon alarmante pour différentes catégories", notamment les taux de mortalité des jeunes adultes qui dépassent de plus de 20 % les normes historiques en 2023.
Les dirigeants des plus grandes compagnies d’assurance des États-Unis sont alarmés par le fait que les adolescents, les jeunes et les cols blancs américains dans la force de l’âge meurent inexplicablement à un rythme record, provoquant un “flux monumental” de demandes d’indemnisation pour cause de décès et une baisse de profits qui ébranle le secteur et incite certains à se pencher à nouveau sur le problème.
Selon un rapport publié le 26 octobre par InsuranceNewsNet, les compagnies d’assurance américaines s’attendaient à des paiements plus élevés que la normale en cas de surmortalité pendant la pandémie de Covid-19.
Les assureurs ont vu les prestations de décès augmenter de 15,4 % en 2020, soit la plus forte hausse en un an depuis l’épidémie de grippe espagnole de 1918, suivie d’un montant record de 100,28 milliards de dollars – près du double de la norme historique – pour le total des prestations de décès versées par le secteur en 2021.
“On s’attendait naturellement à ce que les chiffres augmentent pendant la pandémie, mais certaines autorités du secteur et de la santé s’inquiètent du fait que les taux n’ont pas beaucoup diminué alors que les taux d’infection par le Covid ont baissé”, a rapporté InsuranceNewsNet.
Selon InsuranceNewsNet, les assureurs sont particulièrement préoccupés par les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) qui montrent que “les taux de mortalité augmentent de façon alarmante pour différentes catégories”, notamment les taux de mortalité des jeunes adultes qui dépassent de plus de 20 % les normes historiques en 2023.
Les chiffres du CDC publiés en août montrent que le taux de mortalité des Américains âgés de 15 à 45 ans dépasse de 20 à 24 % la normale en 2020, puis a monté en flèche en 2021, avec une augmentation de près de 30 % pour les 15 ans et de plus de 45 % pour les 45 ans.
Une tendance inquiétante enracinée depuis le début de la "pandémie" de Covid-19. Selon les données fournies par Santé publique France, l'utilisation des soins d'urgence pour des problèmes liés à l'humeur, aux idées suicidaires et aux gestes suicidaires demeure à un niveau alarmant cette année.
Les mesures dites sanitaires liées à la pseudo pandémie de Covid-19 ont laissé des cicatrices profondes dans le domaine de la santé mentale des Français, en particulier chez les jeunes. Santé publique France a souligné cette réalité inquiétante. L’agence sanitaire a constaté une forte augmentation des recours aux soins d’urgence pour des troubles de l’humeur, des idées suicidaires et des gestes suicidaires en 2021 et 2022, une tendance qui persiste en 2023. Chez les jeunes de 18 à 24 ans, cette augmentation s’est même accentuée au cours de cette année.
En septembre 2023, il a été observé une augmentation des admissions aux urgences liées à des gestes et des idées suicidaires, des troubles de l’humeur (notamment des épisodes dépressifs) et des troubles anxieux chez les moins de 18 ans, en particulier chez les 11-17 ans, ce qui est habituel en période de rentrée scolaire.
Bien que les niveaux observés restent élevés dans ces groupes d’âge, ils sont comparables à ceux des années 2021 et 2022, à l’exception des cas d’idées suicidaires chez les 11-17 ans, qui affichent des niveaux plus élevés que les années précédentes.
Santé publique France a également divulgué les résultats des dernières enquêtes Coviprev, menées depuis 2020 pour suivre l’évolution de la santé mentale de la population. Entre mai et septembre 2022, plus de 70 % des personnes interrogées ont déclaré prendre soin de leur santé mentale. Cependant, les jeunes de 18 à 24 ans semblent moins préoccupés par leur santé mentale et leur bien-être que leurs aînés, avec seulement 64 % d’entre eux déclarant y accorder de l’importance.
Parmi les jeunes, les principaux obstacles à la consultation d’un professionnel de la santé mentale sont le coût des consultations, la difficulté à se confier et la crainte de découvrir des aspects troublants de leur propre psyché, ainsi que la peur que leur entourage soit informé de leur démarche, selon Santé publique France.
« Les données recueillies depuis 2020 témoignent d’une dégradation de la santé mentale chez les adolescents et les jeunes adultes, ainsi que d’une persistance du tabou entourant ces problèmes. »
Alimenter les humains et les animaux avec des farines d’insectes, beaucoup d’industriels en rêvent mais bien peu se soucient des dangers encourus par les consommateurs, de toutes façons le problème est ailleurs car jamais nos élites ne consommeront ces produits. Donner à manger de l’oxyde de graphène à des insectes pour les consommer ensuite, peut-on imaginer plus abominable en termes de mauvaise idée ? Parfaitement, plein d’autres même, vous n’allez pas en revenir. Merci à nos « anonymes » et bonne lecture.
Le Forum Économique Mondial (FEM) propose de remplacer une partie des protéines animales habituellement consommées par des protéines d’insectes. Le FEM craint une crise alimentaire imminente et au lieu de promouvoir une agriculture différente, il préconise des solutions industrielles : production de viande en laboratoire et incorporation d’insectes dans l’alimentation (https://www.weforum.org/agenda/2021/07/why-we-need-to-give-insects-the-role-they-deserve-in-our-food-systems/). Le FEM promeut aussi une sorte « soft » de cannibalisme (production de steak humain en laboratoire https://childrenshealthdefense.org/defender/insect-farming-maggots-food-menu-cola/). Pour faire avaler ces horreurs, le FEM propose d’abord d’introduire les insectes sous forme de farines invisibles dans l’alimentation.
Un groupe de scientifiques et médecins qui préfèrent rester anonymes ouvre le débat sur le blog de l’AIMSIB en faisant part de ses craintes d’un point de vue toxicologique à propos de cette innovation. L’aspect économique et éthique devra être aussi discuté plus tard !
L’union européenne (UE) a signé plusieurs conventions afin d’autoriser la mise sur le marché d’insectes entiers et produits dérivés d’insectes comme les farines d’insectes (ou poudres d’insectes). Ces farines d’origine animale, seront mélangées à divers aliments de consommation courante. Deux conventions ont été signées début janvier 2023...
En 2021, les médecins ont été informés par les Agences Régionales de Santé que ces injections étaient susceptibles de provoquer des péricardites et des myocardites.
Une analyse des données des essais cliniques du vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, publiée ce mois-ci dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, montre que les fabricants de vaccins ont caché aux autorités de réglementation des données sur les décès afin de pouvoir bénéficier d’une autorisation d’utilisation d’urgence.
Pfizer-BioNTech a différé la publication des décès associés au vaccin parmi les participants à l’essai clinique BNT162b2 jusqu’à ce que la Food and Drug Administration (FDA) ait délivré une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour ce vaccin.
Le COVID 19 étant considéré comme une urgence sanitaire nationale, les autorités de réglementation ont abandonné le processus d’approbation établi, axé sur le patient et fondé sur la sécurité, qui exige des années d’essais précliniques sur les animaux qui par ailleurs sont presque tous morts pendant les essais.
Les médecins connaissaient les risques.
Quand à la vaccination covid obligatoire pour le corps médical, certains médecins ont préféré recevoir l’injection dans les cuisses plutôt que dans le bras. L’épaule est une zone corporelle plus proche du cœur et la migration du produit injecté peut potentiellement toucher la zone cardiaque et engendrer des péricardites et des myocardites.
Les inconvénients des injections dans les cuisses se sont révélés être différents au point de vue effets secondaires.
Un médecin généraliste dont on ne peut révéler le nom en raison de sa possible suspension par l’ordre des médecins a constaté une coagulation intravasculaire disséminée sur ses cuisses après avoir reçu sa troisième injection.
Les signes cliniques étaient des varicosités sur les jambes ainsi qu’une gène à la marche avec une sensation de lourdeur et une peine à l’effort.
La coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) se traduit par un excès de génération de thrombine et de fibrine dans la circulation. Les manifestations des CIVD sont des phénomènes thrombo-emboliques veineux qui entrainent une insuffisance cardiaque.
Bon nombre de vaccinés ont vu leur taux de D-dimères augmenter après l’injection. (Les D-dimères sont issus de la dégradation de la fibrine, une protéine impliquée dans la coagulation sanguine). Il est constaté sur leurs analyses de sang que si leur taux de D-dimères était fortement élevé, il y avait un risque de faire une thrombose. D’autres cas de CIVD ont produit des saignements dans le nez, dans les oreilles et dans les voies intimes.
Thrombose et cancer
La coagulation intravasculaire disséminée est une anomalie complexe de l’hémostase aux conséquences dramatiques et depuis longtemps décrite comme associée aux pathologies tumorales. Le bilan de dépistage du cancer au décours d’une maladie thromboembolique veineuse (MTEV) reste actuellement controversé. Le constat sérologique de la thrombose et des D-dimères supérieurs à 3,8μg/mL sont hautement associés à la pathologie carcinologique.
Le stroma tumoral est un terreau fertile pour la cellule cancéreuse, il se compose d’un tissu conjonctif servant de soutien ou de tissu nourricier à la prolifération tumorale dans lequel celle-ci se développe.
En 2017, l’INSERM constate que la fibronectine (fibrine) est nécessaire et essentielle pour la progression de la tumeur. La fibronectine est une glycoprotéine présente sous forme soluble dans les fluides physiologiques comme le plasma sanguin. Elle est impliquée dans le processus de la thrombose et de la cicatrisation. La fibronectine est utilisé comme un facteur d’attachement cellulaire lorsqu’elle est utilisée dans la culture des cellules.
Pour résumer, si après une injection covid votre taux de D Dimères augmente, c’est que vous activez la fabrication de fibrine avec un risque potentiel de stroma tumoral.
Dans la formation d’une cellule cancéreuse ; on constate que le réseau vasculaire est anarchique et présente une perméabilité élevée.
Les problèmes vasculaires sont donc un facteur majeur de risque de cancer, si une injection vaccinale entraine soit une thrombose, une CIVD ou un stroma tumoral.
Les fabricants de trois médicaments populaires pour la perte de poids, qui présentent tous des risques connus pour la santé physique et mentale, ont annoncé la semaine dernière qu’ils testaient ces produits sur des enfants dès l’âge de 6 ans.
Novo Nordisk, fabricant d’Ozempic et de Wegovy, et Eli Lilly, fabricant de Mounjaro, ont obtenu l’autorisation de mise sur le marché de ces médicaments aux États-Unis et dans l’Union européenne (UE) pour les personnes âgées de 12 ans et plus.
Novo Nordisk aurait déjà entamé des essais de phase 3 sur des enfants de 6 à 12 ans, en testant son produit Saxenda, une version plus ancienne et moins puissante de ses médicaments les plus vendus. Eli Lilly a commencé à recruter des enfants pour ses essais la semaine dernière.
Un porte-parole d’Eli Lilly a déclaré à Bloomberg : “Nous nous engageons certainement à innover dans ce domaine pour répondre aux besoins de tous les segments de la population qui sont touchés”.
Certes, de nombreux courageux médecins lanceurs d’alerte ont déjà relevé depuis fort longtemps l’inutilité et même la dangerosité de nombre de médicaments. Que l’on pense aux Professeurs Philippe Even et Bernard Debré et leur Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux qui valut la radiation du premier et la vindicte publique du second. Sans même parler de la récente crise sanitaire, dont le statisticien Pierre Chaillot rappelle qu’elle fut une pandémie de... gens testés positifs !
Ainsi donc titre la presse, reprenant probablement un communiqué AFP, lui-même probablement téléguidé depuis le sommet de l’État, nous annonçant en plein commencement des maladies ORL de l’hiver qui arrive.
Crise cardiaque dans le bain, noyade, décès. Ce n’est pas le genre de mort que l’on imagine pour un garçon de 8 ans, et c’est pourtant le sort tragique qui a frappé le petit Yonatan Moshe Erlichman en septembre dernier. La petite victime a été emmenée aussitôt aux urgences à l’hôpital Hadassah-Mount-Scopus à Jérusalem ; il y est mort quelques jours plus tard, le 28 septembre. Yonatan avait figuré il y a trois ans dans une vidéo de propagande du gouvernement israélien visant à encourager les parents à faire vacciner les jeunes enfants contre le Covid-19.
Le vaccin Covid en Israël a été donné à 20 % des enfants de 5 à 11 ans
Son petit visage angélique était devenu emblématique des campagnes officielles pour la vaccination, alors qu’Israël figurait dans le peloton de tête des pays qui avait imposé les mesures les plus draconiennes à cet égard. La vidéo avait été diffusée juste avant le début de la première campagne de vaccination en décembre 2020. En définitive, en septembre 2022, seuls 20 % des enfants avaient été vaccinés dans l’Etat hébreu, témoignant de la marche arrière de nombreux parents qui n’avaient envisagé cette option qu’en raison des mesures de quarantaine et d’exclusion imposées par les autorités. Dès les mesures levées, une bonne proportion des parents qui avaient annoncé vouloir faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans avaient renoncé.
Yonatan était le petit-fils d’un médecin respecté de la région.
Les centres d’injection géants ont disparu, comme ces collabos zélés qui faisaient la retape des produits du Big Pharma sur les trottoirs, avec tentes et tables. Quelques pousse-mousse à gel sont réapparus dans des restos et commerces, mais seuls les paranoïaques intoxiqués au dernier degré s’en servent. Une sorte de gel contre la lucidité...
L’Express, en pointe dans la collaboration avec le ministère de la Santé, lui même en lien avec le Big Pharma, pleurniche : seuls 1,8 % des Français de plus de 65 ans, la catégorie prétendument à risque, est allée se faire shooter l’épaule avec un produit peu utile dans la plupart des cas, risqué dans les autres.
Cela n’empêche pas le canard (encore) contrôlé par Drahi (via Alain Weill) de regretter que le chiffre soit « en deçà des attentes des autorités sanitaires dont la stratégie pour éviter un nouvel engorgement des services de réanimation cet hiver repose essentiellement sur la vaccination ». Sauf que ces autorités, plus personne ou presque ne les écoute : le lent travail d’information et de réinformation sur les réseaux sociaux a atteint son but, soit le cœur de la population, le fameux grand public, celui qui se précipitait fin 2021 pour sauver sa peau ou celle des autres, et qui en réalité la risquait avec l’ARN messager.
En un an, on est passés de 80 % de la population à risque à moins de 2 %. C’est même plus un effondrement, c’est un désaveu total des autorités sanitaires, qui ne méritent plus ce nom, puisqu’elles n’ont plus aucune autorité sur les gens. C’est une victoire totale des antivax, un Austerlitz.
La preuve, le nouveau (ils se crament tous à vitesse grand V) ministre de la Santé passe pour un bouffon. Il faut dire qu’il a déclaré que le nouveau vaccin était sans effets secondaires... Autant se faire hara-kiri en place publique.
Alors que l’Etat français se tient prêt pour entamer une nouvelle campagne de vaccination si besoin, les médecins qui seront chargés d’immuniser les citoyens seront-ils responsables en cas d’accidents?
Pour rappel, en 2021, le média LCL nous apprenait qu’une note de l’Elysée les déchargeait de toute responsabilité.
Lecourrier-du-soir.com vous explique tout
Excellente lecture
Une note de l’Etat transmis au Conseil National de l’Ordre des Médecins par le Ministère de la Santé décharge les médecins de toute responsabilité pénale
En pleine campagne de vaccination contre le Covid-19 en France et au moment où les effets secondaires se multiplient, l’Etat français ne veut surtout pas exposer les médecins qui sont appelés à injecter le vaccin à des millions de citoyens, surtout dans un contexte où des voix appellent à accélérer la vaccination.
Ainsi, pour éviter que les médecins ne deviennent à leur tour les prochaines victimes d’une campagne de vaccination qui n’a pas encore obtenu les résultats escomptés, le ministre de la Santé a adressé une note confidentielle au Conseil National de l’Ordre des Médecins pour les rassurer que l’Etat se portera garant d’indemniser les éventuelles victimes.
« L’ONIAM se charge de dédommager les victimes »
C’est la révélation faite ce 31 décembre par le média LCI qui cite un courrier daté du 23 décembre. Dans le courrier en question adressé à Patrick Bouet, président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, « Olivier Véran informe les professionnels de santé qu’ils ne seront pas tenus pour responsables ‘au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination » », note la source.
Autrement dit, un patient vacciné qui a développé des effets secondaires ne pourra pas se retourner contre le médecin qui l’a vacciné. Dans un tel scénario, ajoute LCI, c’est l’Etat qui sera entièrement chargé de payer les dommages via son fonds d’indemnisation connu sous l’acronyme de ONIAM (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux), organisme qui prend en charge toutes les indemnisations en cas de vaccination obligatoire.
[...]
Le Dr Fukushima est professeur émérite à l’Université de Kyoto et directeur et président du Centre d’informatique de recherche translationnelle (TRI), Japon. Oncologue, il possède plus de 25 ans d’expérience dans la pratique et la diffusion de traitements standard contre le cancer et dans la réforme du système de soins médicaux japonais.
Le Dr Fukushima contribue activement à la construction de l’infrastructure des essais cliniques, en mettant l’accent sur la recherche translationnelle. Il promeut l’utilisation des normes CDISC dans la recherche universitaire dans le but d’une normalisation complète et harmonisée des données.
Le Dr Fukushima supervise également les programmes nationaux de promotion de la recherche translationnelle menés par le gouvernement du Japon, qui ont conduit à la formation du Conseil de l’Organisation de recherche universitaire (ARO)
« Arrêtez la mauvaise science et faites la bonne science. Vous avez vacciné tant de personnes. Et pourtant, seuls 10 % des membres du ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales qui dirigent la campagne de vaccination ont été vaccinés. »
Vous avez maintenant entendu des mots et des témoignages très durs de la part des inventeurs de ces technologies. Mais ce qui est le plus catastrophique, c’est la combinaison de toutes les technologies déjà mentionnées. Aussi bien les injections d’ARNm que la 5 G ou les substances des chemtrails ont toujours le même effet — et se renforcent mutuellement : notre volonté, notre capacité de réflexion, c’est-à-dire notre capacité de concentration, est de plus en plus paralysée.
Lorsqu’un grand criminel est pris en flagrant délit, il lui reste exactement trois possibilités : la reddition immédiate, la fuite immédiate ou l’attaque ouverte. Big-Pharma et son escroquerie mondiale à la vaccination ont été pris en flagrant délit. Des milliers de témoins compétents ont encerclé Big-Pharma et son OMS depuis la pandémie de Covid et les ont démasquées à la lumière de la vérité. Comme le prouvent les développements actuels en politique, en médecine, en science, etc., Big-Pharma, son cartel de médias et les politiciens qui leur sont liés n’envisagent pas de capituler. Cette mafia mondiale n’envisage pas non plus de s’enfuir. Elle n’en a pas besoin. Au contraire, elle s’est déjà protégée juridiquement de manière drastique, avec l’aide de ses vassaux de la justice. Elle n’a donc pas besoin de s’enfuir. Elle s’est donc immédiatement préparée à une attaque de grande envergure contre ses dénonciateurs et, en fin de compte, contre le monde entier. Et elle s’apprête à faire le grand saut sur sa proie. Les armes qu’elle utilise dans sa guerre d’agression contre l’humanité sont des études complètement fictives et mensongères, réalisées par ses propres agents. Et comme ces agents sont impliqués dans des conflits d’intérêts majeurs, ils se présentent, comme le loup déguisé en mouton, déguisés en soi-disant experts indépendants. Et en s’appuyant sur des affirmations erronées totalement infondées, Big-Pharma, par l’intermédiaire des médias de son propre cartel, se félicite actuellement dans le monde entier, de ses formidables succès en matière de vaccination. Et c’est précisément avec ce mensonge enthousiasmant d’avoir sauvé des millions de vies humaines avec ses vaccins Covid que Big-Parma dissimule le fait, mille fois prouvé, que les coupables sont précisément ces vaccinations qui, en réalité, ont causé des dommages durables à des millions de personnes et en ont tué d’innombrables autres. Mais comme si ça ne suffisait pas, ils tirent déjà les ficelles pour les prochaines pandémies avec des mesures encore plus restrictives que celles du Covid-19.
À l’avenir, ces mesures devront être prescrites, imposées et appliquées rigoureusement par des institutions étroitement liées à Big-Pharma. Tout ce jeu est, en fin de compte, aussi incroyablement dérisoire que le jeu des enfants dans le bac à sable, vous savez. Vous vous souvenez certainement encore de ces enfants dominants dans le bac à sable, dans votre propre enfance. Ces méchants camarades de jeu transformaient alors arbitrairement toutes les règles du jeu connues, en toutes sortes de nouvelles « lois », à leur convenance. Ils le faisaient chaque fois qu’ils voyaient leur propre avantage, leurs avantages ou leur petit pouvoir menacés d’une manière ou d’une autre. N’est-ce pas ? Les enfants faibles étaient alors toujours immédiatement dépassés par ces têtes dominantes, tout comme nous avons été dépassés en tant que peuples entiers, lorsque tous ces décrets les plus absurdes, toutes ces nouvelles lois et règles du jeu gouvernementales nous ont été imposées par des politiciens aux ordres de la pharmacie et autres. Mais contrairement aux enfants, le monde des adultes s’est montré bien plus docile. En effet, les enfants dépassés quittent en général assez rapidement le bac à sable et le terrain de jeu ou quoi que ce soit d’autre lorsque des enfants malveillants et dominateurs leur imposent constamment de nouvelles règles. Le monde des adultes, quant à lui, reste comme hypnotisé dans son bac à sable, acceptant docilement une tyrannie après l’autre. Je dis, qu’avant de vous soumettre définitivement à cette dictature arbitraire de la santé mondiale de Big-Pharma, de son OMS, etc., s’il vous plaît, regardez autour de vous une fois de plus. Regardez à quel genre de personnes vous êtes en train de renvoyer la balle du pouvoir. Et je dis ce qui est : ni les partisans ni les adversaires de la vaccination n’apprécieront ce genre de personnes qui veulent tout dominer. Je dis qu’aucune personne normale sous ce ciel n’apprécie ces personnes. Car il s’agit d’un seul et même groupe de criminels qui, avec leur plandémie de Covid, nous montrent encore aujourd’hui de quoi ils sont capables. Je rappelle quelques éléments : ils viennent de nous imposer des vaccins dont il a été prouvé que ce n’étaient pas des vaccins ! Et ce, malgré les cris retentissants d’un grand nombre d’experts indépendants, et ce dès la première heure.
Ils ont injecté leurs substances génétiques hautement toxiques dans des dizaines de millions de personnes ignorantes, malgré tout, et ont ainsi mené des expériences strictement interdites sur les peuples. Il est prouvé que des cocktails toxiques nous ont été fournis en trois lots différents. L’un était inoffensif, comme un placebo, le deuxième était moyennement dangereux à dangereux, le troisième était même mortel. Tout est prouvé ! Et ce, en dépit de toutes les mises en garde antérieures de spécialistes de haut niveau. Ils ont tout imposé par négligence, sans aucune preuve ni test réussi. Et toutes leurs affirmations sur leurs vaccins, sur leurs mesures de masques et de plandémies se basaient en outre sur des données vraiment inventées, complètement folles, sur des théories absolument indéfendables sur le plan scientifique, voire sur des mensonges à faire dresser les cheveux sur la tête, il faut bien le dire, avec lesquels ils avaient sans scrupule rejeté toutes les découvertes pertinentes. Et voyez, les mêmes personnes qui veulent maintenant dominer le monde via le système de santé n’ont pas changé d’avis, même après que tout s’est passé exactement comme les personnes sceptiques compétentes du monde entier l’avaient prédit. Vous le voyez ? Au lieu de cela, ces cartels pharmaceutiques se sont même protégés juridiquement à temps contre toute poursuite et toute responsabilité. Et maintenant, c’est encore pire : ce même type de personnes a aussi habilement fait en sorte qu’aucune caisse d’assurance maladie ne doive prendre en charge les dommages causés par les vaccins.
Vous savez, à y regarder de plus près, les caisses d’assurance maladie ne sont que les bras armés de ces cartels pharmaceutiques criminels. Le paiement de dommages et intérêts par les caisses de maladie diminuerait gravement en effet la maximisation des profits de l’industrie pharmaceutique, vous comprenez ? Tu vois, ce genre de personnes a donc réussi à laisser avec leurs séquelles toutes les victimes de son expérience mortelle sur les peuples sans défense et sans ressources. Mais il y a encore pire. Écoutez bien maintenant ! Ce même type de personnes a en outre décalé et déformé toutes les bases juridiques de telle sorte que ces personnes sont les seules à être couvertes juridiquement en tant que coupables, en tant qu’agresseurs et bourreaux de toute l’humanité ! Ils sont les seuls à profiter massivement de toute cette crise, et ce à hauteur de milliards et de billions, comme nous ne cessons d’en témoigner. Cela signifie que partout dans le monde où des victimes de la vaccination demandent des dommages et intérêts ou veulent faire porter la responsabilité à Big-Pharma et à ses cartels, Big-Pharma ne doit même plus payer les frais de justice pour sa défense. Comprenez donc ce que sont ces gens ! Leurs lois bac à sable astucieuses sont en effet conçues de telle sorte que nous, les contribuables lésés, devons également payer les frais de justice de ces meurtriers insolents. Oui, nous, le peuple lésé, finançons donc aussi le combat de cette mafia meurtrière (je dis bien de cette tueuse par vaccins), contre toutes ses victimes de la vaccination. Réfléchissez-y !