Note : l'article est long.
Préparez-vous à un voyage au cœur des ténèbres, où la science-fiction devient réalité et où les véritables horreurs de la nanotechnologie sont révélées.
Dans cet exposé qui fait froid dans le dos, nous dévoilons la vérité malveillante qui se cache derrière les nanorobots de graphène dissimulés dans les vaccins COVID-19.
Préparez-vous à naviguer dans les eaux traîtresses des risques inconnus et à découvrir les dangers potentiels que recèle cette minuscule technologie. [...]
L'énigme des nanobots en graphène :
Cachée dans les profondeurs des vaccins COVID-19, une énigme attend d'être découverte : les nanobots de graphène. Ces entités microscopiques, composées d'oxyde de graphène, possèdent un sombre programme qui menace la santé et l'autonomie humaines.
Dans le vaste paysage des avancées scientifiques, une énigme se détache : les nanorobots de graphène. Ces entités microscopiques, fabriquées à partir du matériau extraordinaire qu'est le graphène, ont captivé l'imagination des chercheurs et des innovateurs du monde entier. Pourtant, derrière leur potentiel apparemment miraculeux se cache une réalité troublante et inquiétante, qui pourrait façonner l'avenir de l'humanité de manière imprévue et dangereuse.
Le graphène, une couche unique d'atomes de carbone disposés dans un réseau bidimensionnel, possède des propriétés remarquables qui ont ouvert la voie à des percées révolutionnaires dans divers domaines. Sa résistance, sa flexibilité et sa conductivité en font un matériau convoité pour des applications allant de l'électronique à la médecine. Cependant, l'intégration du graphène dans des nanorobots porte cette merveille technologique à un tout autre niveau.
Ces robots minuscules, mus par la puissance de la nanotechnologie, ont la capacité de naviguer sur le terrain complexe de notre corps avec une précision sans précédent. Leurs applications potentielles semblent infinies : administration ciblée de médicaments, réparation de tissus, détection de maladies et même interfaces neuronales. Mais comme pour toute avancée technologique majeure, des questions se posent quant aux risques potentiels et aux conséquences involontaires qui peuvent accompagner ces créations apparemment remarquables.
L'un des aspects préoccupants des nanorobots de graphène réside dans leur potentiel d'infiltration et de manipulation. En naviguant dans notre système sanguin, ces agents microscopiques ont la capacité d'interagir avec nos cellules, nos tissus et même notre ADN. La perspective d'une manipulation intentionnelle ou d'effets secondaires involontaires suscite des inquiétudes quant à l'invasion de notre autonomie corporelle et au risque de dommages irréversibles.
En outre, les implications du déploiement et de l'utilisation à grande échelle des nanorobots en graphène dans la société sont entourées d'ambiguïté. La possibilité d'une surveillance subreptice, d'un suivi ou d'une altération de nos fonctions physiques et cognitives devient une réalité déconcertante. À mesure que ces nanorobots s'intègrent dans notre vie quotidienne, la frontière entre l'action humaine et le contrôle technologique s'estompe, donnant naissance à un monde dystopique où notre essence même est manipulée et exploitée.
L'énigme des nanorobots de graphène inquiète à mesure que l'on se demande qui détient le pouvoir de créer et de contrôler ces entités microscopiques. Sont-ils uniquement entre les mains de scientifiques et de novateurs bienveillants qui s'efforceraient d'améliorer le sort de l'humanité ?
Ou bien des intentions malsaines se cacheraient-elles derrière des portes closes, motivées par la soif de contrôle et de domination ? Pour percer ce mystère, il faut procéder à un examen critique des forces en présence et des dynamiques de pouvoir sous-jacentes qui façonnent le développement et le déploiement des nanorobots en graphène.
Dans notre quête du progrès scientifique, nous devons faire preuve de prudence et d'éthique. La transparence, la responsabilité et un dialogue ouvert deviennent essentiels pour s'assurer que les dangers potentiels des nanorobots de graphène soient reconnus, traités et atténués. Des garanties doivent être mises en œuvre pour protéger les droits individuels, la vie privée et l'autonomie corporelle dans un monde de plus en plus imbriqué dans les technologies de pointe.
Alors que nous naviguons dans l'énigme des nanorobots de graphène, nous devons rester vigilants et nous interroger sur les motifs et les conséquences de leur existence. Dans la poursuite d'un avenir meilleur, nous devons peser les avantages par rapport aux risques potentiels et avancer sur la voie du progrès avec sagesse et discernement.
[...]
C'est une excellente nouvelle que de constater ce désastre de la campagne de vaccination extrêmement coûteuse contre le papillomavirus malgré une propagande phénoménale du gouvernement qui a utilisé les médias et la peur pour pousser des jeunes enfants pas du tout concernés par la maladie à se faire injecter des soupes douteuses fabriquées par l’industrie pharmaco-chimique. Il est donc très utile d’informer nos concitoyens et de continuer à faire ce travail de contre propagande. Il n’est pas question d’imposer quoi que ce soit mais de proposer aux gens de réfléchir et de se renseigner correctement avant de faire un choix sanitaire qui peut avoir des conséquences graves sur leur santé. Il est possible à chacun de vérifier ces informations en multipliant les lectures et les recherches.
Nous en profitons du coup pour vous rappeler l’existence de la conférence du Dr Gérard Délépine présentant son livre Hystérie vaccinale. Gardasil et cancers : un paradoxe, dans lequel il parle longuement de cette mascarade sanitaire qui n’a absolument aucune base scientifique et qui est dangereuse pour la santé de nos enfants.
Une grave perte osseuse se produit un an seulement après la vaccination contre le COVID, en raison de l’ARNm qui ronge les os, rapportent aujourd’hui des médecins.
Naturalnews.com rapporte : La Dr Amy Hartsfield, spécialiste de la douleur orofaciale et de la médecine dentaire du sommeil basée en Alabama, affirme avoir constaté une augmentation massive du nombre de patients ces derniers temps, qui affirment que leurs dents et leurs mâchoires, par ailleurs saines, leur font mal et se détériorent même sans raison apparente.
« J’ai vu des patients sans antécédents de problèmes de santé qui avaient des dents parfaitement saines et qui présentaient maintenant des syndromes de douleur associés à ces dents saines », a déclaré Hartsfield aux médias indépendants.
Nombre des patients de Hartsfield souffrent de douleurs neurovasculaires et myofasciales au niveau de la tête et du visage, notamment de maux de tête, de maux de dents sans rapport avec la ou les dents, d’ostéonécrose de la mâchoire, de troubles du sommeil, d’acouphènes et d’affections auto-immunes bucco-faciales. Ces affections sont liées à la propension des vaccins antigrippaux de Fauci à provoquer des « micro » caillots sanguins dans tout le corps, a expliqué Hartsfield.
Les injections anti Covid provoquent de nombreuses destructions dans le corps des patients, qui finissent par mourir prématurément
Cheryl Alverson, 79 ans, est l’une de ces personnes qui a commencé à souffrir d’une grave perte osseuse après avoir reçu l’injection d’ARNm de Moderna. Elle a dû se faire extraire toutes ses dents du bas en raison d’une infection récurrente massive causée par une perte osseuse importante après l’injection.
Cheryl Alverson a consulté Hartsfield, qui lui a demandé plusieurs analyses de sang, dont plusieurs spécifiquement associées à la coagulation sanguine. Ces analyses ont montré que le corps d’Alverson était surchargé de microcaillots à cause des injections.
Hartsfield a découvert que ces microcaillots interfèrent directement avec la guérison des os après les extractions, sans parler du fait qu’ils ne se produisent généralement que chez les patients qui prennent des médicaments contre l’ostéoporose ou qui ont subi une radiothérapie, ce qui n’était pas le cas d’Alverson.
La seule chose que Alverson ait faite avant de développer ces symptômes a été de recevoir la série d’injections anti Covid à ARNm de Moderna, ainsi qu’une injection de rappel. Et presque immédiatement après, ses problèmes d’os et de dents ont commencé.
Le Dr Doug Denson, un autre chirurgien buccal basé en Alabama, dit qu’il observe à peu près la même chose chez ses patients, dont beaucoup sont maintenant adressés à Hartsfield pour être traités. Doug Denson dit qu’il n’est pas sûr à 100 % que les piqûres de covid soient la cause des problèmes de ses patients, mais qu’il semble y avoir un lien...
Après avoir réalisé deux films-documentaires en 2022, «Next Dose 1» et «Next Dose 2», après avoir publié un livre en juin 2023 intitulé «Covid-19 : L’avis de deux soignants bien “emmerdants”», nous avons interviewé Guillaume BOUSQUIERES et Sébastien IOZZIA, dans le cadre de la sortie de «Next Dose 3», qui fait suite aux deux précédents documentaires vidéos.
Les études sur le contenu réel des vaccins ne sont pas nouvelles, mais cette dernière interview est l’occasion de revenir sur les mystérieuses observations qui ont pu être faites dans le vaccin lui-même mais aussi dans le sang des vaccinés. Où l’on parle de nouveau de graphène, de puces électroniques, de 5G, etc. Ici on flirte avec le curieux voire, diraient les mauvaises langues, le complotisme. Mais le sujet n’est-il pas si important qu’il mérite une analyse à sa hauteur ?
Site web: www.nextdose.fr
Le professeur Raoult et quatre autres chercheurs, les professeurs Brouqui, Million, Parola et Mc Cullough publient un nouvelle étude sur les 30 423 patients pris en charge et soignés à l’IHU-Méditerranée durant la crise Covid. Initialement publiée le 4 juin 2023, cette étude avait été rétractée suite aux pressions exercées par François Braun, ministre de la Santé à l’époque. Mais les ministres de la Santé se succèdent et Didier Raoult continue à faire de la science.
Dans ce débriefing, il revient sur cette publication. Les résultats de l’étude sont statistiquement en faveur des traitements précoces, ce qui paraît logique au regard du type de maladie qu’est le Covid. Non seulement, les résultats sont indéniablement en faveur de la bithérapie (rappelons que les cinq chercheurs associés à l'étude ont soigné avec ces traitements pendant la crise), mais les données ont été validées par huissier dans un souci de transparence et d’intégrité.
Parmi les 30 202 patients pour lesquels des informations sur le traitement étaient disponibles, 191 sur 23 172 (0,82 %) patients traités par hydroxychloroquine et aziththromycine (HCQ-AZ) sont décédés, contre 344/7030 (4,89 %) qui n’ont pas reçu de traitement par HCQ-AZ.
Le traitement par HCQ-AZ a généré une mortalité plus faible que le traitement sans HCQ-AZ.
Le rapport de chance relative, ou odds ratio en anglais (OR) est de 0,16. C’est un calcul statistique qui permet d'évaluer la dépendance entre des variables aléatoires qualitatives souvent utilisées pour mettre en évidence le degré ou la force d’une association entre des échantillons traités ou pas dans des études cliniques. Après redressement et ajustement pour tenir compte du sexe, de l’âge, de la période et de la prise en charge du patient, la bithérapie est toujours associée à un taux de mortalité significativement plus faible.
Laurent Mucchielli a proposé une analyse de cette étude et conclut : “L’IHU démontre que son protocole anti-Covid aurait pu sauver de très nombreuses vies”.
Citant Schopenhauer (“Toute vérité passe par trois étapes : elle est toujours ridiculisée puis violemment combattue avant d'être acceptée comme une évidence”), le professeur Raoult évoque son tweet sur l’aveu de l’ancien président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy qui reconnaît s’être trompé sur l’efficacité du vaccin. Il aurait d’ailleurs pu prendre connaissance du contrat Pfizer sud-africain qui indique noir sur blanc que le fabricant ne s’engage ni sur l’efficacité ni sur les effets secondaires.
À cause de ces diagnostics, les gens croient que le mal qui sommeille dans leur corps s’est réveillé et qu’il est devenu plus fort que ce qui est sain.
Le cancer apparaît comme une confirmation de la prophétie. Les traitements mortels sont acceptés. La souffrance et la mort qui en résultent sont la preuve finale. Rien n’est remis en question. Les personnes concernées, les familles, l’entourage, désormais la majorité de la population, s’identifient à leurs bourreaux. Le syndrome de Stockholm. C’est la raison pour laquelle la dictature des partis fonctionne. [Dans l’esprit des gens] Seul l’État peut lutter contre le cancer et les épidémies. Autrefois, on gouvernait avec une violence ouverte, aujourd’hui avec une violence cachée. Ce faisant, la majorité effrayée à mort, aujourd’hui 70 % (de la population — NDT), ne veut pas voir, par gratitude pour ses soi-disant protecteurs, que nous sommes gouvernés via le lobbying = corruption par des personnes qui n’ont jamais été élues.
Revenons à la biologie : dans le cas des diagnostics de cancer, contrairement aux allégations d’épidémie, il faut ajouter que la personne concernée se sent toute seule, totalement isolée et « exposée ». Cela va toujours « aux reins », c’est souvent la seule cause de décès. Si le rein se « ferme », le taux de filtration est augmenté pour retenir l’eau, l’élixir de vie central. Les symptômes et les douleurs peuvent ainsi augmenter jusqu’à devenir insupportables. La mort survient alors sous l’effet de la drogue légale.
À retenir : apprenez à connaître la biologie réelle avant de vous faire piéger par des diagnostics mortels.
Conseil : les symptômes qualifiés de cancer ont un sens biologique comme tous les autres symptômes. Ils peuvent nécessiter un traitement et devenir dangereux si les situations de choc persistantes sous-jacentes (« conflits biologiques ») persistent pendant de longs mois, années et avec une grande intensité. Il faut, comme pour tous les symptômes, que la phase « conflictuelle » soit courte, que le conflit sous-jacent soit résolu. La guérison qui s’amorce alors en 0,5 à 12 heures doit être accompagnée de manière judicieuse, avec des mesures appropriées, des médicaments, des analgésiques, afin de ne pas stopper ou chroniciser la guérison.
Il a été démontré que le graphène améliore la présentation des antigènes aux cellules T CD8+, ainsi que stimule les réponses immunitaires innées et les facteurs inflammatoires.
Ses propriétés, telles qu’une grande surface, une stabilité dans l’eau et un rapport d’aspect élevé, en font un candidat approprié pour l’administration de substances biologiques. Les nanomatériaux à base de graphène ont récemment attiré une attention particulière en tant que nouveau type d'adjuvants vaccinaux en raison de leur rôle potentiel dans l'activation des réponses immunitaires.
En raison de la fonctionnalité limitée de certains adjuvants humains approuvés, le développement de nouveaux adjuvants polyvalents est requis de toute urgence. Les recherches sur l'utilisation immunologique et biomédicale de l'oxyde de graphène (GO) indiquent que ces nanoporteurs possèdent d'excellentes propriétés physicochimiques, une biocompatibilité acceptable et une capacité élevée de chargement de médicaments.
Les nanoporteurs à base de graphène pourraient également améliorer le fonctionnement de certaines cellules immunitaires telles que les cellules dendritiques et les macrophages, grâce à des voies de signalisation spécifiques. Cependant, l’injection de GO peut entraîner un stress oxydatif et une inflammation importants.
Divers protocoles de fonctionnalisation de surface ont été utilisés pour réduire les effets indésirables possibles du GO, tels que l'agrégation du GO dans des liquides biologiques et induire la mort cellulaire. De plus, ces modifications améliorent les propriétés du GO fonctionnalisé, ce qui en fait un excellent support et adjuvant. La mise en lumière des différentes propriétés physicochimiques et structurelles du GO et de ses dérivés a conduit à leur application dans divers domaines thérapeutiques et d'administration de médicaments. Dans cette revue, nous nous sommes efforcés d’élaborer sur différents aspects de GO.
Patrick Provost vulgarise ici ce que pourrait impliquer la récente découverte d'ADN????contaminant dans le vax COVID que des milliards de personnes ont reçu.
Selon InsuranceNewsNet, les assureurs sont particulièrement préoccupés par les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies qui montrent que "les taux de mortalité augmentent de façon alarmante pour différentes catégories", notamment les taux de mortalité des jeunes adultes qui dépassent de plus de 20 % les normes historiques en 2023.
Les dirigeants des plus grandes compagnies d’assurance des États-Unis sont alarmés par le fait que les adolescents, les jeunes et les cols blancs américains dans la force de l’âge meurent inexplicablement à un rythme record, provoquant un “flux monumental” de demandes d’indemnisation pour cause de décès et une baisse de profits qui ébranle le secteur et incite certains à se pencher à nouveau sur le problème.
Selon un rapport publié le 26 octobre par InsuranceNewsNet, les compagnies d’assurance américaines s’attendaient à des paiements plus élevés que la normale en cas de surmortalité pendant la pandémie de Covid-19.
Les assureurs ont vu les prestations de décès augmenter de 15,4 % en 2020, soit la plus forte hausse en un an depuis l’épidémie de grippe espagnole de 1918, suivie d’un montant record de 100,28 milliards de dollars – près du double de la norme historique – pour le total des prestations de décès versées par le secteur en 2021.
“On s’attendait naturellement à ce que les chiffres augmentent pendant la pandémie, mais certaines autorités du secteur et de la santé s’inquiètent du fait que les taux n’ont pas beaucoup diminué alors que les taux d’infection par le Covid ont baissé”, a rapporté InsuranceNewsNet.
Selon InsuranceNewsNet, les assureurs sont particulièrement préoccupés par les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) qui montrent que “les taux de mortalité augmentent de façon alarmante pour différentes catégories”, notamment les taux de mortalité des jeunes adultes qui dépassent de plus de 20 % les normes historiques en 2023.
Les chiffres du CDC publiés en août montrent que le taux de mortalité des Américains âgés de 15 à 45 ans dépasse de 20 à 24 % la normale en 2020, puis a monté en flèche en 2021, avec une augmentation de près de 30 % pour les 15 ans et de plus de 45 % pour les 45 ans.
Une tendance inquiétante enracinée depuis le début de la "pandémie" de Covid-19. Selon les données fournies par Santé publique France, l'utilisation des soins d'urgence pour des problèmes liés à l'humeur, aux idées suicidaires et aux gestes suicidaires demeure à un niveau alarmant cette année.
Les mesures dites sanitaires liées à la pseudo pandémie de Covid-19 ont laissé des cicatrices profondes dans le domaine de la santé mentale des Français, en particulier chez les jeunes. Santé publique France a souligné cette réalité inquiétante. L’agence sanitaire a constaté une forte augmentation des recours aux soins d’urgence pour des troubles de l’humeur, des idées suicidaires et des gestes suicidaires en 2021 et 2022, une tendance qui persiste en 2023. Chez les jeunes de 18 à 24 ans, cette augmentation s’est même accentuée au cours de cette année.
En septembre 2023, il a été observé une augmentation des admissions aux urgences liées à des gestes et des idées suicidaires, des troubles de l’humeur (notamment des épisodes dépressifs) et des troubles anxieux chez les moins de 18 ans, en particulier chez les 11-17 ans, ce qui est habituel en période de rentrée scolaire.
Bien que les niveaux observés restent élevés dans ces groupes d’âge, ils sont comparables à ceux des années 2021 et 2022, à l’exception des cas d’idées suicidaires chez les 11-17 ans, qui affichent des niveaux plus élevés que les années précédentes.
Santé publique France a également divulgué les résultats des dernières enquêtes Coviprev, menées depuis 2020 pour suivre l’évolution de la santé mentale de la population. Entre mai et septembre 2022, plus de 70 % des personnes interrogées ont déclaré prendre soin de leur santé mentale. Cependant, les jeunes de 18 à 24 ans semblent moins préoccupés par leur santé mentale et leur bien-être que leurs aînés, avec seulement 64 % d’entre eux déclarant y accorder de l’importance.
Parmi les jeunes, les principaux obstacles à la consultation d’un professionnel de la santé mentale sont le coût des consultations, la difficulté à se confier et la crainte de découvrir des aspects troublants de leur propre psyché, ainsi que la peur que leur entourage soit informé de leur démarche, selon Santé publique France.
« Les données recueillies depuis 2020 témoignent d’une dégradation de la santé mentale chez les adolescents et les jeunes adultes, ainsi que d’une persistance du tabou entourant ces problèmes. »
Alimenter les humains et les animaux avec des farines d’insectes, beaucoup d’industriels en rêvent mais bien peu se soucient des dangers encourus par les consommateurs, de toutes façons le problème est ailleurs car jamais nos élites ne consommeront ces produits. Donner à manger de l’oxyde de graphène à des insectes pour les consommer ensuite, peut-on imaginer plus abominable en termes de mauvaise idée ? Parfaitement, plein d’autres même, vous n’allez pas en revenir. Merci à nos « anonymes » et bonne lecture.
Le Forum Économique Mondial (FEM) propose de remplacer une partie des protéines animales habituellement consommées par des protéines d’insectes. Le FEM craint une crise alimentaire imminente et au lieu de promouvoir une agriculture différente, il préconise des solutions industrielles : production de viande en laboratoire et incorporation d’insectes dans l’alimentation (https://www.weforum.org/agenda/2021/07/why-we-need-to-give-insects-the-role-they-deserve-in-our-food-systems/). Le FEM promeut aussi une sorte « soft » de cannibalisme (production de steak humain en laboratoire https://childrenshealthdefense.org/defender/insect-farming-maggots-food-menu-cola/). Pour faire avaler ces horreurs, le FEM propose d’abord d’introduire les insectes sous forme de farines invisibles dans l’alimentation.
Un groupe de scientifiques et médecins qui préfèrent rester anonymes ouvre le débat sur le blog de l’AIMSIB en faisant part de ses craintes d’un point de vue toxicologique à propos de cette innovation. L’aspect économique et éthique devra être aussi discuté plus tard !
L’union européenne (UE) a signé plusieurs conventions afin d’autoriser la mise sur le marché d’insectes entiers et produits dérivés d’insectes comme les farines d’insectes (ou poudres d’insectes). Ces farines d’origine animale, seront mélangées à divers aliments de consommation courante. Deux conventions ont été signées début janvier 2023...
En 2021, les médecins ont été informés par les Agences Régionales de Santé que ces injections étaient susceptibles de provoquer des péricardites et des myocardites.
Une analyse des données des essais cliniques du vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, publiée ce mois-ci dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, montre que les fabricants de vaccins ont caché aux autorités de réglementation des données sur les décès afin de pouvoir bénéficier d’une autorisation d’utilisation d’urgence.
Pfizer-BioNTech a différé la publication des décès associés au vaccin parmi les participants à l’essai clinique BNT162b2 jusqu’à ce que la Food and Drug Administration (FDA) ait délivré une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour ce vaccin.
Le COVID 19 étant considéré comme une urgence sanitaire nationale, les autorités de réglementation ont abandonné le processus d’approbation établi, axé sur le patient et fondé sur la sécurité, qui exige des années d’essais précliniques sur les animaux qui par ailleurs sont presque tous morts pendant les essais.
Les médecins connaissaient les risques.
Quand à la vaccination covid obligatoire pour le corps médical, certains médecins ont préféré recevoir l’injection dans les cuisses plutôt que dans le bras. L’épaule est une zone corporelle plus proche du cœur et la migration du produit injecté peut potentiellement toucher la zone cardiaque et engendrer des péricardites et des myocardites.
Les inconvénients des injections dans les cuisses se sont révélés être différents au point de vue effets secondaires.
Un médecin généraliste dont on ne peut révéler le nom en raison de sa possible suspension par l’ordre des médecins a constaté une coagulation intravasculaire disséminée sur ses cuisses après avoir reçu sa troisième injection.
Les signes cliniques étaient des varicosités sur les jambes ainsi qu’une gène à la marche avec une sensation de lourdeur et une peine à l’effort.
La coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) se traduit par un excès de génération de thrombine et de fibrine dans la circulation. Les manifestations des CIVD sont des phénomènes thrombo-emboliques veineux qui entrainent une insuffisance cardiaque.
Bon nombre de vaccinés ont vu leur taux de D-dimères augmenter après l’injection. (Les D-dimères sont issus de la dégradation de la fibrine, une protéine impliquée dans la coagulation sanguine). Il est constaté sur leurs analyses de sang que si leur taux de D-dimères était fortement élevé, il y avait un risque de faire une thrombose. D’autres cas de CIVD ont produit des saignements dans le nez, dans les oreilles et dans les voies intimes.
Thrombose et cancer
La coagulation intravasculaire disséminée est une anomalie complexe de l’hémostase aux conséquences dramatiques et depuis longtemps décrite comme associée aux pathologies tumorales. Le bilan de dépistage du cancer au décours d’une maladie thromboembolique veineuse (MTEV) reste actuellement controversé. Le constat sérologique de la thrombose et des D-dimères supérieurs à 3,8μg/mL sont hautement associés à la pathologie carcinologique.
Le stroma tumoral est un terreau fertile pour la cellule cancéreuse, il se compose d’un tissu conjonctif servant de soutien ou de tissu nourricier à la prolifération tumorale dans lequel celle-ci se développe.
En 2017, l’INSERM constate que la fibronectine (fibrine) est nécessaire et essentielle pour la progression de la tumeur. La fibronectine est une glycoprotéine présente sous forme soluble dans les fluides physiologiques comme le plasma sanguin. Elle est impliquée dans le processus de la thrombose et de la cicatrisation. La fibronectine est utilisé comme un facteur d’attachement cellulaire lorsqu’elle est utilisée dans la culture des cellules.
Pour résumer, si après une injection covid votre taux de D Dimères augmente, c’est que vous activez la fabrication de fibrine avec un risque potentiel de stroma tumoral.
Dans la formation d’une cellule cancéreuse ; on constate que le réseau vasculaire est anarchique et présente une perméabilité élevée.
Les problèmes vasculaires sont donc un facteur majeur de risque de cancer, si une injection vaccinale entraine soit une thrombose, une CIVD ou un stroma tumoral.