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Tribunal : no vaccin Covid

Aube DigitaleLes vaccins à ARNm contre le COVID ne sont pas des vaccins, selon un tribunal

Aube Digitale - 13 juin 2024

La Cour d’appel du 9e circuit estime que les injections d’ARNm anti COVID-19 ne sont pas considérées comme des vaccins selon les définitions médicales traditionnelles.

   

La Cour d’appel du 9e circuit a statué que les injections d’ARNm anti COVID-19 n’étaient pas considérées comme des vaccins, une décision qui pourrait exposer les sociétés pharmaceutiques qui les ont fabriquées à de futures poursuites en responsabilité.

La décision porte sur un procès intenté par le Health Freedom Defense Fund (HFDF) et d’autres plaignants contre le Los Angeles Unified School District (LAUSD), qui exige que tous les employés soient entièrement vaccinés contre le COVID-19 dans un délai précis.

Le juge R. Nelson a écrit vendredi que les injections d’ARNm, commercialisées en tant que vaccins, n’empêchent pas efficacement la transmission du COVID-19, mais réduisent seulement les symptômes chez les personnes qui contractent le virus, ce qui n’en fait pas des vaccins traditionnels tels que définis dans l’affaire Jacobson v. Massachusetts de 1905.

L’affaire Jacobson v. Massachusetts a confirmé le droit de l’État d’imposer la vaccination contre la variole en raison de son efficacité prouvée dans la prévention de la propagation de la maladie, mais les vaccins contre le COVID-19 n’offrent pas les mêmes avantages.

La décision annule le rejet par une juridiction inférieure de l’affaire concernant l’obligation de vaccination imposée par le LAUSD.

« Renversant la décision du district central de Californie à Los Angeles, la majorité du neuvième circuit a jugé que, premièrement, l’affaire n’avait pas été annulée par l’annulation du mandat par le LAUSD après les plaidoiries en septembre dernier, 2023 », a déclaré HFDF dans un communiqué. « La majorité a qualifié les manœuvres de LAUSD pour ce qu’elles étaient – une tentative flagrante d’éviter une décision défavorable en essayant de créer un problème de nullité ».

Leslie Manookian, présidente de la HFDF, a salué cette décision comme une victoire pour l’autonomie corporelle.

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont notamment modifié la définition du terme « vaccin » en 2021 afin d’y inclure les vaccins expérimentaux à base d’ARNm.

Les vaccins étaient auparavant définis comme « un produit qui stimule le système immunitaire d’une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique ».

Mais les CDC ont modifié cette définition en la remplaçant par « une préparation utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre les maladies ».

En d’autres termes, l’injection d’ARNm n’a pas stimulé l’immunité contre le COVID-19, de sorte que les CDC ont dû modifier la définition du vaccin.

Le tribunal ayant jugé que les injections anti COVID-19 ne correspondaient pas à la définition traditionnelle d’un vaccin, on peut se demander si les sociétés pharmaceutiques qui ont fabriqué ces injections sont désormais susceptibles de faire l’objet d’une action en justice.

Le 9e circuit vient de priver les injections d’ARNm de toute protection en matière de responsabilité juridique », a écrit le Dr Jane Ruby sur X. “Le 9e circuit a déclaré qu’il ne s’agissait pas d’un vaccin si l’allégation n’était pas de PRÉVENIR LA DIFFUSION. Les injections anti COVID étaient censées ‘réduire les symptômes’ et prévenir l’hospitalisation… Ces allégations en font un TRAITEMENT ».

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Pam Long

Profession GendarmeLes signalements de myocardite ont augmenté de 2 800 %, les cancers de 300 % à 900 %

Profession Gendarme - 12 juin 2024

Les chiffres d’effets indésirables suite à la toxination covidiste sont hallucinants mais conformes aux pessimistes prédictions du Pr Montagnier.

   

Pam Long est diplômée de l’USMA à West Point et est un vétéran du Medical Service Corps de l’armée. Elle a été officier du renseignement médical pour les forces de stabilisation de l’Otan.

Dans cet extrait elle énumère les chiffres alarmants provenant de la base de données DMED après le déploiement du « vaccin » en 2021.
Les signalements de myocardite ont augmenté de 2800%,
- les cancers de divers types de 300% à 900%,
- l'infertilité chez la femme et l'homme : 500%,
- les fausses couches : 300%,
- les troubles neurologiques : 1000 %,
- la sclérose en plaque : 600%,
- le VIH : 500%,
- les embolies pulmonaires : 400%.
Et ça ce n'est qu'une courte liste des effets les plus significatifs...

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OMS totalitarisme

Echelle de JacobOMS : Arrêter les citoyens qui s’opposent au vaccin contre la grippe aviaire

Echelle de Jacob - 10 juin 2024

194 pays de l’OMS conviennent d’arrêter les citoyens qui s’opposeraient au vaccin contre la grippe aviaire .

   

194 États membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont convenu d'arrêter et de poursuivre en justice les citoyens qui s'exprimeraient contre le "vaccin" contre la grippe aviaire, dans le cadre de nouvelles mesures strictes destinées à éradiquer la soi-disant « désinformation ».

L’Assemblée mondiale de la Santé a adopté cette semaine des amendements au controversé Règlement sanitaire international, sans aucune fanfare de la part des grands médias. Ces amendements abolissent la souveraineté nationale des pays, accordent à l’OMS des pouvoirs étendus pour adopter des lois dans les pays occidentaux et criminalisent les discours qui, selon l’OMS, portent atteinte au récit officiel.

Ce qui suit sont de brèves descriptions d'articles, de podcasts et de conférences de presse provenant de diverses sources ces derniers jours. Certaines des préoccupations concernent l’accord selon lequel les gouvernements « s’attaquent » à la désinformation et renforcent encore la surveillance, jetant ainsi les bases de la vaccination de masse par contrainte, la surveillance, la menace, le confinement.

Il est important de noter que les pays disposent de 10 mois pour accepter ou rejeter les dispositions, à l’exception des pays qui ont rejeté les amendements de 2022 et disposent donc de 18 mois. Nous devons donc continuer à sensibiliser et faire pression sur nos gouvernements pour qu’ils rejettent les amendements avant la fin mars 2025.

À la fin, nous avons inclus un article sur le Conseil scientifique de l'Organisation mondiale de la santé, un « groupe de personnes non élues qui contrôleront notre avenir ».

Tedros déclare sa victoire, le 1er juin 2024

Lors d'un point de presse sur la pandémie, la préparation et la réponse ainsi que d'autres développements lors de la 77e Assemblée mondiale de la santé, le dictateur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré :

« Aujourd’hui, les nations du monde sont entrées dans l’histoire à l’Assemblée mondiale de la santé. Après 2 ans de négociations, ils ont adopté un solide ensemble d’amendements au Règlement sanitaire international, fondé sur les leçons tirées de la pandémie de covid-19. Le RSI a été mis à jour pour la dernière fois il y a 19 ans. Les amendements adoptés aujourd’hui renforcent la préparation, la surveillance et la réponse mondiale aux urgences de santé publique, notamment aux pandémies.

« Et même si l’Accord sur la pandémie n’a pas encore été finalisé, l’Assemblée de la Santé a tracé la voie à suivre. Ils ont convenu de prolonger le mandat de l'organe de négociation intergouvernemental pour finaliser les négociations sur l'accord sur la pandémie dès que possible et au plus tard d'ici l'Assemblée mondiale de la santé de l'année prochaine.

« Le succès des amendements au RSI démontre que, dans notre monde divisé et conflictuel, les pays peuvent encore s’unir pour trouver une cause commune et un terrain d’entente. »

Le point de presse de 30 minutes a été publié en direct sur Twitter le 1er juin 2023. Vous pouvez regarder le point de presse complet ICI. Et vous pouvez regarder l'intégralité de la séance de clôture de la 77e Assemblée mondiale de la Santé sur le site Web de l'OMS ICI. Dans la vidéo intitulée « Neuvième réunion plénière », le discours de Tedros, le terroriste, commence à 1:33:36. Il commence par dire : « J'espère que vous n'êtes pas fatigué de moi. » La réponse de notre part est : « Oui, nous en avons marre de vous. »

Communiqué de presse de l'Organisation mondiale de la santé, 1er juin 2024

L'Assemblée mondiale de la santé, réunion annuelle de ses 194 pays membres, a adopté aujourd'hui un ensemble d'amendements essentiels au Règlement sanitaire international (2005) (RSI). Les nouveaux amendements au RSI comprennent une définition d’une urgence pandémique ; un engagement envers la solidarité et l'équité; la création du Comité des États parties et la création des autorités nationales du RSI.

Les pays ont convenu de poursuivre les négociations sur le projet d’accord sur la pandémie. Les États membres de l'OMS ont décidé de prolonger le mandat de l'organe intergouvernemental de négociation, créé en décembre 2021, pour qu'il termine ses travaux de négociation d'un accord sur la pandémie d'ici un an, d'ici l'Assemblée mondiale de la santé en 2025, ou plus tôt si possible lors d'une session extraordinaire de l'Assemblée mondiale de la santé. Assemblée de la Santé en 2024.
Rejetez la prise de pouvoir illégale de l'OMS : Tedros viole la « Constitution » de son organisation afin de menacer la nôtre, 4 juin 2024

À Genève, samedi soir, l’administration Biden, la Chine communiste et d’autres co-conspirateurs ont lancé illégalement un nouveau mécanisme visant à nous imposer à tous une « gouvernance mondiale ». Dans le processus de modification illégale du Règlement sanitaire international (RSI) de l'Organisation mondiale de la santé, dans le but de donner à son directeur général, Tedros Ghebreyesus, un pouvoir sans précédent pour piétiner notre souveraineté et nos libertés, l'OMS a averti que ce pouvoir serait tyrannique, notamment via la violation de ces mêmes réglementations.

Tedros a ignoré l'article 55.2 du RSI, qui exige que tout amendement à celui-ci soit rendu publique « au moins quatre mois » avant d'être éligible pour adoption. Le directeur général a ensuite refusé de procéder à un vote par appel nominal pour adopter l'accord international juridiquement contraignant. Au lieu de cela, dans une salle décrite comme ne regroupant environ que 30 % des États membres, bien moins que le quorum nécessaire, Tedros a annoncé qu'un « consensus » existait pour l'adoption des amendements au RSI.
Les modifications du RSI de l’OMS ont été illégalement approuvées, le 5 juin 2024

L’Assemblée mondiale de la santé (en étroite coopération avec l’administration américaine HHS/Biden) a travaillé à la « mise à jour » de l’accord existant (2005) sur le Règlement sanitaire international (RSI).

Au mépris flagrant du protocole et des procédures établis, des amendements radicaux au RSI ont été préparés à huis clos, puis tous deux ont été soumis pour examen et acceptés par l'Assemblée mondiale de la Santé, littéralement, dans les derniers instants d'une réunion qui s'est prolongée tard dans la nuit de samedi, le dernière jour du calendrier des réunions.

L’exigence de quatre mois pour l’examen n’a pas été respectée dans la précipitation pour produire un résultat tangible de l’Assemblée. Il n’y a pas eu de vote réel pour confirmer et approuver ces amendements. Selon l’OMS, cela a été obtenu par « consensus » au sein de ce conclave d’initiés non élus plutôt que par un vote. Les représentants de nombreux États-nations membres de l’OMS n’étaient pas présents dans la salle et ceux qui étaient présents ont été encouragés à se taire.

Il s’agissait clairement d’une clique interne agissant unilatéralement pour contourner le processus normal et reflète un processus similaire utilisé pour confirmer la reconduction de Tedros Ghebreyesus au poste de directeur général.

« La 77e Assemblée mondiale de la Santé a adopté un ensemble substantiel d’amendements au Règlement sanitaire international. Nous, le peuple, avons subi une défaite retentissante. La bataille continue », a déclaré James Roguski.

"Les amendements récemment adoptés faciliteront une énorme construction mondiale du complexe industriel d'urgence pharmaceutique des hôpitaux, qui cherche à déclencher des 'urgences pandémiques', qui seront encore aggravées par les 'produits de santé concernés'", a ajouté Roguski.

L'ancienne membre du Congrès Michele Bachmann, qui a également suivi de près le processus de négociation à l'Assemblée mondiale de la santé de l'OMS, a déclaré ce matin dans une alerte par courrier électronique : « L'essentiel est que l'OMS passe d'un organisme mondial uniquement consultatif à un organisme international de contrôle. »
Les amendements au RSI n’ont pratiquement aucun sens, ils sont bénins, du 1er au 3 juin 2024

Le Dr Meryl Nass a publié une série d'articles donnant une perspective différente sur le contenu du document signé lors de la WHA77.

Le premier article qu'elle a publié date du jour où une nouvelle version des amendements du RSI a été publiée pour que les diplomates à Genève puissent la signer. La nouvelle version était datée du 1er juin 2024. « Je suis heureux d'annoncer que même si je n'ai eu que peu de temps pour lire ceci, le document ressemble fondamentalement à ce que j'avais prédit toute la semaine. Il s’agit d’une version « vanille » dont tous les éléments terribles ont été supprimés, à une exception près et une exception partielle », a-t-elle écrit. « Le seul élément odieux est l’accord visant à « lutter contre » la désinformation. »

Dans son deuxième article , le Dr Nass a dressé une liste des « balles que nous venons d’esquiver ». « Certaines personnes s’inquiètent de l’adoption des amendements au RSI. À NE PAS FAIRE », a-t-elle écrit. Et a réitéré qu’« une mauvaise chose restait dans le RSI, à savoir « lutter » contre la désinformation, mais le RSI n’indiquait pas aux pays comment y remédier.

Dans son troisième article , elle a souligné les changements pertinents dans le nouveau texte du Règlement sanitaire international (2005) et a joint son analyse au format PDF. Pour accompagner son analyse, elle a écrit :

Il y a deux arguments majeurs (et de nombreux arguments mineurs que j'ai détaillés précédemment) ICI et ICI) que l'OMS n'a pas suivi ses propres procédures et donc :

la décision d'hier concernant le RSI devrait être nulle et non avenue parce que l'ensemble final d'amendements ciblés n'a pas été présenté aux pays membres 4 mois avant leur examen, comme l'exige l'article 55, paragraphe 2 du RSI, et
les amendements votés en 2022 n'ont pas été votés en séance plénière et devraient donc être nuls et non avenus

Cependant, aucun pays membre n’a jusqu’à présent contesté la validité de ces procédures, et s’ils ne le font pas, les peuples et leurs représentants élus n’ont trouvé aucun moyen d’arrêter l’OMS.

En supposant que l’OMS ne soit pas contestée pour ses nombreuses violations procédurales, voici ce à quoi nous pouvons nous attendre :

Pour les pays qui ont émis une réserve pertinente ou rejeté les amendements de 2022, notamment la Slovaquie, la Nouvelle-Zélande, l'Iran, probablement les Pays-Bas et éventuellement d'autres pays, les amendements nouvellement adoptés entreront en vigueur dans 2 ans, le 1er juin 2026 – à moins que ces pays fassent une réservation ou un refus dans un délai de 18 mois.
Pour tous les autres pays, les amendements entreront en vigueur dans un an, le 1er juin 2025, à moins qu'ils ne posent des réserves ou ne les rejettent dans les 10 mois.

Cela signifie que chaque pays dispose d'au moins 10 mois pour éviter toute disposition qui ne lui plaît pas dans le document nouvellement modifié. Il lui suffit d'écrire à l'OMS et de dire qu'il rejette tout ce qui ne lui plaît pas. Aux États-Unis, le prochain président peut le faire jusqu’au 1er avril 2025.

Le diplomate slovaque n'a pas « rompu le consensus » pour empêcher l'approbation du document, mais peu de temps après, lorsqu'on lui en a donné l'occasion, il a déclaré que la Slovaquie rejetterait le RSI modifié.

Ce que j’ai entendu, c’est que les gens sont mécontents de diverses dispositions du document, sans se rendre compte que la plupart des problèmes qu’ils n’aiment pas se trouvent dans le RSI existant et existent depuis de nombreuses années. Les certificats de vaccination ont par exemple toujours figuré dans le RSI. Les modifications apportées aux certificats de vaccination sont mineures par rapport à ce qui a été proposé, et il s’agit d’ailleurs de recommandations et non d’ordres de l’OMS. Ils n’auront pas besoin d’être numériques, ce qui est un point crucial, car ils allaient être la porte d’entrée vers l’identité numérique, la monnaie numérique et une surveillance massivement accrue. Ils doivent être signés par un médecin, ce qui est déjà le cas dans de nombreux pays.Le RSI tel que modifié hier est inoffensif. J'ai mis en évidence les changements pertinents pour aider les lecteurs à le confirmer., Meryl Nass, 3 juin 2024

Dans son quatrième article, le Dr Nass écrit : « Les amendements du RSI ont été adoptés parce qu’après 2 ans de négociations, l’AMS devait adopter quelque chose pour sauver la face, et il était devenu évident pour les mondialistes qu’ils ne feraient pas mieux s’ils retardaient la décision. C'est très bien.

« Le traité sur la pandémie continuera à être négocié, mais il a également été largement affaibli. Mais nous ne saurons pas avant un an quelle sera la forme définitive du traité. Nous resterons vigilants. Nous continuerons à éduquer sur la préparation à la pandémie », a-t-elle déclaré.

Elle a ensuite partagé une comparaison entre la version de février 2023 du RSI modifié et le texte adopté.

La semaine dernière, au milieu des fanfares des partisans et des opposants à la centralisation de la gestion future de la pandémie, le monde a continué son malheureux retour au fascisme de la santé publique. L'Assemblée mondiale de la santé (« AMS ») a adopté l'ensemble d'amendements au Règlement sanitaire international (« RSI ») de 2005, apparemment quelques heures seulement après qu'un texte final ait été approuvé par son groupe de travail sur le RSI.

Les amendements sont édulcorés par rapport aux propositions précédentes, selon lesquelles les pays s'engageraient à placer les domaines de la santé de leurs citoyens et des droits de l'homme sous la direction d'une seule personne à Genève. Néanmoins, ils jettent les bases d’une nouvelle subversion de la santé publique vers un cycle récurrent mais lucratif d’alarmisme, de répression et de coercition.

Le projet d’accord (traité) sur la pandémie avait été reporté pour de nouvelles négociations jusqu’à 12 mois. Il semble probable que l’Organe intergouvernemental de négociation (INB) réformé se montrera plus circonspect dans la manière dont il gérera les débats au cours des prochains mois, et que la pression extérieure sur les pays s’intensifiera. Il y a beaucoup en jeu, des centaines de milliards de profits par pandémie si le Covid-19 est un modèle. Les pays ayant des intérêts pharmaceutiques majeurs prennent cela au sérieux. Il en va de même pour la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, qui ont déjà signalé un fort soutien.

Les amendements au RSI adoptés par l’AMS semblent pour la plupart inoffensifs et ont été largement rapportés comme tels. Cependant, le gain important pour l’OMS et ses bailleurs de fonds (près de 80 % de son travail est financé directement par ses bailleurs de fonds) réside dans la formulation qui renforce encore la surveillance – l’élément clé sur lequel repose le reste de l’analyse de rentabilité concernant les futures pandémies. Cette mesure est adoptée et il existe du monde disposée à y parvenir

Les bases sont posées pour l’approche de vaccination de masse sous surveillance-déclaration-menace-confinement-contrainte qui est une idée qui germe dans les cercles liés à l’industrie pharmaceutique depuis plus d’une décennie.

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surmortalité due au Covid

The DefenderSurmortalité due aux vaccins Covid : le barrage a cédé

The Defender - 09 juin 2024

Le barrage a cédé : Les médias grand public rendent compte d’une étude montrant que les vaccins COVID ont probablement contribué à l’augmentation de la surmortalité.

   

Selon une étude publiée lundi dans le BMJ Public Health, les données de 47 pays du monde occidental montrent que la surmortalité est restée élevée au cours des trois dernières années consécutives. Les auteurs ont demandé une enquête approfondie.

Les données relatives à la surmortalité provenant de 47 pays du monde occidental montrent que la surmortalité est restée élevée au cours des trois dernières années consécutives, malgré les mesures de confinement et les vaccins COVID-19, concluent les auteurs d’une étude évaluée par des pairs et publiée lundi dans le BMJ Public Health.

“C’est sans précédent et cela soulève de sérieuses inquiétudes”, a déclaré l’équipe de chercheurs néerlandais, qui a analysé la mortalité toutes causes confondues rapportée dans la base de données “Our World in Data” (Notre monde en données).

La base de données en libre accès comprend des rapports provenant de la base de données sur la mortalité humaine (Human Mortality Database) connue comme “la principale source de données scientifiques sur la mortalité dans les pays développés”, et de l’ensemble de données sur la mortalité mondiale (World Mortality Dataset), que les chercheurs ont utilisé pour suivre la surmortalité pendant la pandémie de COVID-19.

En plus de présenter les chiffres de la surmortalité, les auteurs néerlandais ont cité des recherches montrant les effets négatifs sur la santé des programmes de vaccination contre le COVID-19 et des mesures de confinement.

Les chercheurs ont appelé les chefs de gouvernement et les décideurs politiques à “étudier de manière approfondie les causes sous-jacentes de la surmortalité persistante”.

Le Telegraph, un grand quotidien britannique, a publié aujourd’hui un article en première page sur l’étude avec le titre suivant : “Les vaccins Covid pourraient avoir contribué à alimenter la hausse de la surmortalité“.

Le Dr Meryl Nass a posté une photo de l’article sur Substack, en écrivant : “La digue a cédé“.

Au début de l’année, des chercheurs norvégiens ont publié dans BMC Public Health une étude évaluée par des pairs, montrant une augmentation de la surmortalité non liée à COVID-19 – ou des décès attribués à des causes autres qu’une infection par COVID-19 – en Norvège en 2021 et 2022. TrialSite News a publié un article sur l’étude norvégienne la semaine dernière.

Les auteurs de l’étude ont constaté une “concordance temporelle” entre l’augmentation de la surmortalité non liée au COVID-19 en Norvège et l’augmentation de la vaccination contre l’ARNm COVID-19 dans le pays.

Le Dr Pierre Kory a déclaré à The Defender: “Cela n’est pas surprenant et correspond tout à fait à ce que nous avons affirmé être l’effet des vaccins à ARNm”.

Kory – qui a écrit de nombreux articles d’opinion appelant à une enquête sur les causes de la surmortalité – a déclaré qu’il existe “de nombreux mécanismes par lesquels la protéine utilisée dans les injections [that] provoque des lésions endothéliales et une hypercoagulabilité [excessive blood clotting] conduisant à des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des anévrismes aortiques”.

“D’autres mécanismes augmentent le risque de cancer”, a-t-il déclaré, “en particulier les découvertes omniprésentes de contamination de l’ADN des flacons par des séquences favorisant le cancer, telles que le SV40“.

Chaque décès doit être reconnu

L’étude de l’équipe néerlandaise sur la surmortalité dans 47 pays a montré que la surmortalité en 2020 était documentée dans 41 des 47 pays.

Au cours des deux années suivantes, ce nombre est passé à 42 et 43 pays en 2021 et 2022, respectivement.

Au total, 3 098 456 décès en excès ont été enregistrés entre le 1er janvier 2020 et le 31 décembre 2022, dont un peu plus d’un million en 2020.

“En 2021”, écrivent-ils, “l’année où les mesures de confinement et les vaccins COVID-19 ont été utilisés pour lutter contre la propagation du virus et l’infection, le plus grand nombre de décès en excès a été signalé : 1 256 942 décès en excès”.

Ils ont indiqué qu’en 2022, “lorsque la plupart des mesures de confinement ont été levées et que les vaccins COVID-19 ont été maintenus” , il y a eu 808 392 décès en excès.

Les auteurs soulignent que pendant la pandémie, les politiciens et les médias ont insisté “quotidiennement sur le fait que chaque décès dû au COVID-19 était important et que chaque vie méritait d’être protégée par des mesures de confinement et des vaccins COVID-19”.

“Au lendemain de la pandémie, le même état d’esprit devrait prévaloir”, ont-ils déclaré. “Chaque décès doit être reconnu et pris en compte, quelle qu’en soit l’origine.

Les auteurs de l’étude néerlandaise ont appelé à la transparence du gouvernement en ce qui concerne les données sur les causes de décès, afin que les chercheurs puissent effectuer “des analyses directes et solides pour déterminer les facteurs sous-jacents”.

Cela signifie également que des autopsies doivent être pratiquées pour déterminer la raison exacte du décès, ont-ils ajouté.

Les auteurs néerlandais ont noté que les données qu’ils ont analysées peuvent ne pas avoir enregistré tous les décès réels parce que “les pays peuvent ne pas avoir l’infrastructure et la capacité de documenter et de comptabiliser tous les décès”.

Des erreurs ou des retards dans la tenue des registres peuvent également être à l’origine de décès non enregistrés.

Les décès d’origine cardiovasculaire à l’origine de la surmortalité non-COVID en Norvège

Les résultats des auteurs néerlandais ont été corroborés par une étude norvégienne antérieure sur la surmortalité non liée au COVID-19 en Norvège entre 2020 et 2022.

Des chercheurs de l’Institut norvégien de santé publique ont analysé les dossiers de décès dans lesquels une infection par COVID-19 n’était pas mentionnée comme cause du décès afin de découvrir les causes de la surmortalité non liée à COVID-19.

Ils ont utilisé les données du registre norvégien des causes de décès, réputé pour la qualité et la fiabilité de ses données.

Les auteurs norvégiens ont constaté une surmortalité “significative” en 2021 et 2022, toutes causes confondues (3,7 % et 14,5 %), pour les maladies cardiovasculaires (14,3 % et 22,0 %) et pour les tumeurs malignes en 2022 (3,5 %).

Lors de la discussion de leurs résultats, les auteurs ont noté que certaines personnes se sont opposées aux campagnes de vaccination de masse COVID-19 “en raison des préoccupations concernant les effets nocifs potentiels de vaccins qui auraient été insuffisamment testés”.

Ils ont noté que l’augmentation de la surmortalité non liée au COVID-19 s’est produite au moment où la plupart des Norvégiens ont reçu un vaccin COVID-19 à ARNm, mais ils se sont bien gardés de déclarer un lien de cause à effet entre les vaccins COVID-19 et la surmortalité.

“Les données dont nous disposons ne nous ont pas permis de comparer la surmortalité chez les personnes vaccinées et non vaccinées”, ont-ils déclaré.

Ils ont indiqué que les analyses préliminaires du registre national de préparation au COVID-19 en Norvège ne montraient pas de signes d’augmentation de la mortalité chez les personnes âgées vaccinées.

TrialSite News a émis l’hypothèse que les auteurs de l’étude ont évité de suggérer que l’augmentation de la surmortalité cardiovasculaire pouvait être liée au programme de vaccination de masse de la Norvège parce qu’ils risquaient d’avoir des difficultés à faire publier leurs travaux.

Les auteurs norvégiens ont déclaré que les fermetures pouvaient également avoir contribué à l’augmentation de la surmortalité non liée au COVID-19.

“On s’est inquiété du fait que les fermetures ont entraîné un moindre recours aux soins de santé, ce qui fait que des maladies qui auraient été découvertes autrement ne sont pas diagnostiquées, ce qui peut entraîner une augmentation de la mortalité”, écrivent les auteurs de l’étude.

Des études doivent être menées pour évaluer cette possibilité, ont-ils déclaré.

“Les chercheurs devraient également déterminer si les restrictions imposées [lockdown] ont entraîné une détérioration des facteurs liés au mode de vie, tels qu’une activité physique moindre, une alimentation moins saine et même des problèmes de santé sociale et mentale qui influencent la mortalité”, ajoutent-ils.

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problèmes des dents dévitalisées

Echelle de JacobL'empoisonnement causé par les dents dévitalisées

Echelle de Jacob - 08 juin 2024

La dévitalisation (endodontie) est un acte de stomatologie réalisé sous anesthésie locale consistant à retirer du canal principal de la dent la pulpe (constituée des nerfs et des vaisseaux principaux).

   

Il est prodigué en 2 étapes.

Le dentiste, après avoir retiré les tissus de la dent et atteint la pulpe, va retirer cette dernière et nettoyer son canal. Pour cela, une aiguille dont la texture est rugueuse va permettre d'extraire le contenu du canal. Cet acte nécessite une grande précision car la totalité du nerf doit être extrait sans traverser l'apex (l'extrémité de la dent en contact avec l'os). Aujourd'hui des instruments de mesure électriques permettent d'atteindre l'apex de la dent avec une fiabilité d'1/10ème de millimètre. Le canal pulpaire est nettoyé et désinfecté en injectant un produit oxygéné. Le canal va être provisoirement comblé pendant quelques jours afin que les produits antibactériens fassent effet. Un pansement est placé.
Après quelques jours, le pansement dentaire est retiré et le canal à nouveau nettoyé. Ce dernier est comblé et la dent est reconstituée par un composite de la même couleur que la dent. Jusque dans les années 90, des plombages étaient placés. Aujourd'hui sont utilisés des matériaux photopolymères (plombage blanc sans métal).

Voir les dangers des plombages et les techniques de décontamination à mettre en œuvre pour leur retrait.

Contrairement à ce qu'elle paraît, une dent n'est pas un tissu inerte. Elle est vivante et constamment irriguée via le canal dentaire d'où passent des nerfs et des vaisseaux sanguins. Cet ensemble forme la pulpe qui traverse la dentine en son centre. La dentine est recouverte par un tissu plus dur, l'émail. La partie de la dent visible se nomme la couronne. La dent est implantée dans le tissu osseux par la racine. Le parodonte entoure la racine de la dent. Il forme le cément qui va lier la dent au tissu osseux. Cette liaison est assurée par des ligaments alvéolaires.

La pulpe et son canal principal présentent de nombreuses bifurcations et ramifications qui irriguent l'ensemble de la dent, un peu comme un arbre possède son tronc et ses branches. Cet ensemble est stérile lorsque la dent est vivante et saine. Lorsque la dent est dévitalisée, elle meurt et dégage des toxines très nocives. C'est toute la question des études sur la toxicité d'un corps mort en bouche.

Le scandale des plombages au mercure est bien connu, mais il en existe un bien plus grave selon certains scientifiques. L'empoisonnement causé par les dents dévitalisées. En effet, lors d'une dévitalisation, le canal principal de la dent est nettoyé, cependant la dent est constituée de centaines de sous canaux et bifurcations qui eux ne le sont pas. Ces derniers dégagent des bactéries qui se répandent par absorption vers les tissus osseux puis dans le sang.

Le sujet étant très sensible et peu connu en France par les dentistes eux-mêmes, l'objectif de cet article n'est pas de prendre position pour l'une ou l'autre des thèses mais bien d'informer et partager les avis de différents spécialistes comme c'est le cas dans de nombreux pays.

En France, cet acte est préconisé et remboursé par la sécurité sociale qui elle-même reconnaît les dérives de certains praticiens qui ont recours à cet acte de manière préventive. On retrouve aussi cette dérive dans certaines cliniques pratiquant le tourisme dentaire et qui, afin d'éviter que le patient n'ait à revenir en cas de sensibilité préfèrent traiter directement le canal. Dans le même temps la dévitalisation est déconseillée par l'ordre des stomatologues dans certains pays. On le voit, ce sujet divise une partie de la profession jusqu'aux politiques de santé de certains états.

En France la question est apparue en 2004 dans le rapport remis par Corinne Lepage, alors ex-ministre de la santé qui préconisait l'extraction des dents dévitalisées dans un but thérapeutique. Rapidement contesté par l'ordre des dentistes monté au créneau, ces derniers iront jusqu'en justice pour faire abattre ce texte. L'ancienne ministre qualifiera ce procès de ‘Chasse aux sorcières organisée par un tribu protégeant ses privilèges". Bien que plusieurs études valident la thèse des "anti-dévitalisations", ils perdront leur procès et un chirurgien-dentiste se verra retirer son droit d'exercer.

Alors qu'en penser ? Plusieurs études ont démontré la non-toxicité des produits de comblement utilisés lors de l'endodontie. Mais un problème de méthodologie apparaît dans ces études. L'empoisonnement éventuel proviendrait non pas des produits de complément mais des bactéries se développant dans les sous canaux et bifurcations à la suite de la dégradation des tissus morts. Les études qui elles démontrent que des toxines se dégagent des dents dévitalisées.

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Bill Gates et les vaccins climatiques

The DefenderProchaine étape : les “vaccins climatiques” ?

The Defender - 05 juin 2024

Bill Gates investit des millions dans des “vaccins climatiques” destinés à réduire les émissions de méthane des vaches

   

Bill Gates est depuis longtemps un partisan des vaccins en général et, plus récemment, de la technologie des vaccins à ARNm.

Aujourd’hui, il pourrait avoir pour objectif de mettre au point un vaccin pour lutter contre le changement climatique en ciblant les émissions de méthane du bétail.

ArkeaBio, une startup agro-biotechnologique basée à Boston, a récemment levé 26,5 millions de dollars dans le cadre d’un financement de série A pour “réduire les émissions de gaz à effet de serre” grâce au développement d’un “vaccin contre le méthane”, a annoncé l’entreprise dans un communiqué de presse du 8 mai.

Breakthrough Energy Ventures, fondé par Gates et qui a investi pour la première fois dans ArkeaBio en 2022, a mené le tour de table.

L’entreprise a déclaré :

“Le vaccin d’ArkeaBio fournira une solution innovante, rentable et évolutive pour réduire les émissions de méthane du bétail, qui génèrent actuellement l’équivalent de 3 milliards de tonnes de CO2 par an et représentent 6 % des émissions annuelles de gaz à effet de serre.

ArkeaBio affirme que son “approche basée sur la vaccination permet une décarbonisation indispensable des produits carnés et laitiers dans de nombreuses zones géographiques, favorisant ainsi une plus grande durabilité de l’agriculture”.

Parmi les autres investisseurs du récent tour de table figurent la Grantham Foundation for the Protection of the Environment, AgriZeroNZ – un “partenariat entre le gouvernement néo-zélandais et les principales entreprises agroalimentaires” – Rabo Ventures, Overview Capital et The51 Food & AgTech Fund.

“Les fonds levés dans le cadre de ce financement de série A joueront un rôle essentiel dans l’expansion de la recherche, du développement et du déploiement du vaccin, y compris les essais sur le terrain à grande échelle et l’engagement tout au long de la chaîne d’approvisionnement”, a déclaré ArkeaBio dans son communiqué de presse.

“Le changement climatique est le plus grand défi auquel l’humanité ait jamais été confrontée”, a déclaré Colin South, PDG d’ArkeaBio. “C’est la course de notre vie. Cette levée de fonds nous permet de continuer à créer les outils nécessaires pour que les agriculteurs parviennent à réduire les émissions de méthane du bétail de manière significative au niveau mondial.”

Les détracteurs du projet qui se sont entretenus avec The Defender ne sont pas d’accord, suggérant que les “vaccins contre le changement climatique” ne sont pas réalisables mais qu’ils aideront plutôt les organisations internationales telles que le Forum économique mondial, les organisations à but non lucratif telles que la Fondation Bill & Melinda Gates et Big Pharma à exercer un contrôle accru sur la société.

L’immunologiste et biochimiste Jessica Rose, Ph.D., a déclaré au Defender :

Le “climat” peut être utilisé contre tout le monde, quoi qu’il arrive, car nous respirons tous de l’air et buvons tous de l’eau. C’est pourquoi il s’agit d’un parfait “objet de contrôle” utilisé pour provoquer la panique. Une nouvelle campagne “virus mortel/vaccin” serait ainsi moins efficace, après l’échec colossal des “mesures COVID-19”.

Pour moi, le “changement climatique” est un slogan destiné à masquer les dommages causés à notre environnement par les pollueurs de masse.

Michael Rectenwald, docteur en droit, auteur de “The Great Reset and the Struggle for Liberty: Unraveling the Global Agenda”, a déclaré que les “vaccins contre le changement climatique” font partie d’un “faux récit” plus large.

M. Rectenwald a dit :

“Il n’est pas surprenant que ces maniaques du contrôle néo-malthusien, ces psychopathes et ces profiteurs monopolistiques soutenus par le gouvernement s’associent pour mettre en place ce faux récit. Le “changement climatique” est utilisé par Big Pharma, le WEF [World Economic Forum], Bill Gates, la Fondation Rockefeller et leurs marionnettes du régime comme prétexte pour promouvoir les vaccins et contrôler la société”.

Scott C. Tips, président de la National Health Federation, a déclaré que les “vaccins contre le changement climatique” offriraient aux grandes sociétés pharmaceutiques un autre moyen de promouvoir la technologie de l’ARNm.

“De tels vaccins intégreraient certainement la technologie dangereuse de l’ARNm, tout comme le font actuellement les vaccins contre le tétanos”, a-t-il déclaré.

ArkeaBio n’est pas la seule incursion de Gates dans le développement de “solutions” liées aux émissions de méthane du bétail.

En novembre 2023, la Fondation Bill & Melinda Gates a accordé 4,5 millions de dollars à la société de biotechnologie BiomEdit, basée dans l’Indiana et spécialisée dans la santé animale, afin de “proposer une solution sûre et abordable qui permette de réduire de manière significative les émissions de méthane entérique liées au bétail”.

Ginkgo Bioworks, une entreprise de biotechnologie soutenue par gates, et Elanco, qui a déjà reçu des subventions de la Fondation Gates, ont lancé BiomEdit en 2022.

La pression pour un “contrôle centralisé, irresponsable et coercitif”.

Des experts agricoles ont déclaré au Defender que même si le postulat des “vaccins contre le changement climatique” est correct, le méthane généré par le bétail ne contribue que faiblement aux émissions globales de carbone.

“Ces vaccins ne sont pas nécessaires”, a déclaré André Leu, directeur international de Regeneration International, auteur et agriculteur biologique régénérateur. “Ils représentent un coût supplémentaire pour les agriculteurs, ce qui affaiblit encore leur revenu net et le transfère aux multinationales. Ils reposent sur une très mauvaise compréhension des contributions des gaz à effet de serre au changement climatique.

Leu a noté que la contribution du méthane représente au maximum 1,6 % des gaz à effet de serre. “La plupart des émissions de méthane proviennent des fuites de gaz, des puits de pétrole et de la fonte du pergélisol. Les ruminants ne représentent qu’un très faible pourcentage. La majeure partie de ces émissions provient des “Confined Animal Feeding Operations” (opérations d’alimentation animale en milieu confiné), également appelées ” fermes industrielles“.

Les experts ont également suggéré qu’il existe d’autres moyens de réduire ces émissions de méthane.

Le méthane provenant des rots des bovins et d’autres animaux d’élevage est produit par les microbes présents dans leurs intestins lors de la fermentation normale des aliments, explique James Lyons-Weiler, docteur en sciences, chercheur et auteur de l’étude.

“Nous n’avons pas besoin de vacciner toutes les vaches pour que leur système immunitaire s’attaque à ces microbes afin de réduire le méthane”, a-t-il déclaré. “Les pratiques permacoles produisent des aliments de haute qualité, plus faciles à digérer et produisant moins de méthane que les aliments de faible qualité.

Lyons-Weiler a déclaré que tout vaccin attaquant le système immunitaire des animaux dans le but de réduire leurs émissions de méthane peut mettre en danger la santé des animaux et peut également mettre en danger l’industrie de la viande.

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Fauci menteur

Aube DigitaleFauci, « inventeur » de la distanciation sociale et du port du masque

Aube Digitale - 04 juin 2024

Fauci avoue avoir « inventé » les règles du Covid, notamment la distanciation sociale de 2 mètres et le port du masque pour les enfants

   

Fauci doit témoigner lundi pour répondre d’avoir trompé le Congrès sur l’implication des NIH dans la recherche sur le gain de fonction, les origines du COVID, et d’avoir ensuite dissimulé cette recherche risquée menée à l’Institut de virologie de Wuhan en Chine.

Le Dr Anthony Fauci a avoué, dans un témoignage retentissant devant le Congrès, qu’il avait « inventé » les règles gouvernementales du COVID, notamment la mesure de distance sociale de 2 mètres et le port du masque pour les enfants.

Dans son témoignage de janvier, publié la semaine dernière par la sous-commission de la Chambre des représentants sur la pandémie de coronavirus, Fauci a admis que la règle de la distance sociale d’un mètre était « apparue comme ça » et qu’il ne se souvenait pas de la manière dont elle avait été élaborée.

« Vous savez, je ne m’en souviens pas. C’est en quelque sorte apparu tout seul », a déclaré Fauci, selon les transcriptions de la commission.

En outre, Fauci a admis qu’il ne se souvenait pas d’avoir lu quoi que ce soit prouvant que le masquage des enfants permettrait de lutter contre le COVID.

« Vous souvenez-vous d’avoir examiné des études ou des données en faveur du masquage des enfants ? », lui a-t-on demandé.

« Il se peut que je l’aie fait », a répondu Fauci avant d’ajouter : « mais je ne me souviens pas de l’avoir fait spécifiquement ».

« On lui a demandé s’il avait suivi l’une ou l’autre de ces études.

« Non », a-t-il répondu. « Mais je crois qu’il y a aussi beaucoup d’études contradictoires, qu’il y a celles qui disent, oui, qu’il y a un impact, et celles qui disent qu’il n’y en a pas. »

« Je ne sais pas encore si le fait de masquer les enfants est un moyen prouvé de prévenir la transmission », a-t-il ajouté.

Une étude des National Institutes of Health (NIH) a conclu que l’impact du port du masque sur l’alphabétisation et l’apprentissage des élèves était « très négatif ».

Une autre étude des NIH a montré que les effets de la distanciation sociale provoquaient « dépression, anxiété généralisée, stress aigu et pensées intrusives ».

Fauci doit témoigner lundi devant le Congrès pour la première fois depuis qu’il a démissionné de son poste de directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID). Il devrait y répondre d’avoir induit le Congrès en erreur au sujet de l’implication des NIH dans la recherche sur le gain de fonction, des origines du COVID et de la dissimulation de cette recherche risquée menée à Wuhan, en Chine.

« Notre enquête a confirmé que [Fauci] a effectivement menti, qu’il a commis un crime en affirmant que les NIH ne finançaient pas la recherche sur le gain de fonction, la recherche dangereuse en Chine. Nous savons maintenant que c’est faux. Nous savons qu’il a commis un crime », a déclaré dimanche le sénateur Rand Paul (R-Ky.) à Maria Bartiromo, animatrice de Fox News.

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OMS échec sur le traité pandémie 2024

Le Media en 4-4-2L’OMS renonce à son « traité pandémie » (mais va revenir à la charge)

Le Media en 4-4-2 - 30 mai 2024

Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a récemment annoncé que l'organisation ne parviendrait pas à un accord sur le projet de traité pandémie.

   

Ce projet, qui vise "à renforcer la préparation et la réponse aux pandémies", a été critiqué par certains pays du Sud, qui craignent qu'il ne rogne leur souveraineté nationale.

Le projet de traité pandémie a été lancé par l’OMS en 2021, après la pandémie de Covid-19. Il vise à établir un cadre juridique contraignant pour les États membres de l’OMS, afin de renforcer leur préparation et leur réponse aux pandémies. Le traité prévoit notamment la création d’un mécanisme de surveillance et de vérification des alertes sanitaires, ainsi que la mise en place de mesures de contrôle aux frontières et de restrictions de voyage en cas de pandémie.

Si le projet de traité pandémie a été salué par certains comme une avancée majeure dans la lutte contre les pandémies, il a également suscité des critiques de la part de certains pays du Sud. Ces derniers craignent que le traité ne leur impose des mesures sanitaires coûteuses et inadaptées à leur contexte local, et ne rogne leur souveraineté nationale en matière de santé publique. Ils ont également dénoncé le manque de transparence et de consultation dans le processus d’élaboration du traité.

Face à ces critiques, l’OMS a annoncé que le projet de traité pandémie ne serait pas adopté lors de l’Assemblée mondiale de la santé qui se tient actuellement à Genève. Tedros Adhanom Ghebreyesus a déclaré que l’organisation allait « prendre le temps nécessaire pour écouter, apprendre et répondre aux préoccupations et aux besoins de tous les États membres ». Il a également appelé à « renforcer la coopération et la solidarité internationales » dans la lutte contre les pandémies.

L’OMS recule donc sur son traité pandémie, mais risque de revenir à la charge prochainement…

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Maire Barberaz 73

Profession GendarmeAsclépios : Un maire s’engage avec le nouvel Ordre des médecins

Profession Gendarme - 30 mai 2024

La mairie de Barberaz en Savoie (73) devient la première mairie en France qui s’engage avec le nouvel Ordre des médecins, dénommé “OUPS” (Ordre Universel des Praticiens de la Santé).

   

Monsieur Arthur BOIX-NEVEU qui a pris ses fonctions à la mairie de Barberaz le 06 juillet 2020 est un maire plein de courage, et a déjà reçu 14 médecins qui ont prêté le “serment d’Asclépios”.

Comment est né le Serment d’Asclépios ? :

Beaucoup trop de médecins et de pharmaciens ont trahit le serment qu’ils avaient pourtant solennellement prêté.
L’honneur et la probité médicale ont été gravement corrompus, par les conflits d’intérêts cachés, les consentements éclairés bafoués, l’autonomie des personnes non respectée.

En prêtant le Serment d’Asclépios, les professionnels de santé s’engagent à respecter des valeurs telles que l’intégrité, la bienveillance, la dignité des personnes, la confidentialité, l’humilité, et à exercer leur métier avec compétence et conscience professionnelle. Il s’agit ainsi de renforcer la confiance entre les professionnels de santé et les patients, et de contribuer à l’amélioration de la qualité des soins.

Le Serment d’Asclépios vise également à sensibiliser le grand public sur l’importance de l’éthique dans le domaine de la santé, et à encourager les patients à être des acteurs pleinement informés et impliqués dans leur prise en charge.
Qui peut prêter le Serment d’Asclépios ?

Le Serment d’Asclépios peut être librement prêté par toutes les personnes exerçant déjà ou désirant exercer une profession de santé quelle qu’elle soit, afin de les aider à se relier entre elles autour de valeurs éthiques communes :

Tout professionnel de santé diplômé (en possession d’un diplôme d’Etat) y compris les professionnels retraités.
Tout étudiant dans l’une des professions de santé (reconnues par un diplôme d’Etat), même s’il n’est pas encore diplômé (Le futur professionnel peut prêter serment une première fois « en tant qu’étudiant en ….. », puis plus tard, une seconde fois, en tant que diplômé « dans la profession de …. ». Rappel : « Au moment d’être admis(e) à exercer mon art dans la profession d’(e)…………..…………………… je promets de rester fidèle aux lois de l’honneur et de la probité »).
Tout professionnel exerçant un métier au contact direct de personnes malades et dont l’activité, ou l’une des activités, relève de soins aux personnes malades.
Toute personne exerçant régulièrement une activité reconnue de secourisme (exemple de prérequis en France : formation intitulée « Premiers Secours en Equipe de niveau 1 et 2 »)auprès de personnes malades.

Pour qu’un professionnel puisse prétendre prêter le Serment d’Asclépios, les actes qu’il réalise auprès de personnes malades doivent être curatifs et/ou préventifs.

Sont donc inclus les praticiens exerçant des soins holistiques énergétiques et/ou traditionnels dont la finalité est de maintenir ou d’améliorer la santé des personnes malades.

Pour toute personne exerçant une profession « non soignante » qui souhaiterait tout de même prêter le Serment d’Asclépios, il suffit :

Que l’une de ses activités fasse partie de la chaine du soin et lui permette d’être au contact direct des personnes malades, comme par exemple : pompier, assistante sociale, secrétaire médicale, diététicienne, etc.
Ou bien, à minima, si ses actes s’avèrent bénéfiques pour les personnes malades, qu’ils soient impérativement réalisés dans un cadre dédié ou adapté à l’accueil de ces personnes, comme par exemple : socio-esthéticienne, coiffeur, clowns (intervenant en établissement de soin et de santé, type hôpitaux, cliniques, Ehpad, Centres Médico-Psychologiques, Foyers d’Accueil Médicalisé, etc.), professeur d’éducation physique (sport sur ordonnance), etc.

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Obscurcissement planétaire

QactusFrance : Obscurcissement planétaire

Qactus - 23 mai 2024

Les traînées d’avion et la géoingénierie menacent-ils notre climat et notre santé ?

   

La vidéo traite de l’obscurcissement planétaire, un phénomène où la lumière solaire atteignant la Terre diminue, influencé par la pollution et les traînées d’avion.

Le journaliste et photographe partage ses observations personnelles sur la baisse de luminosité depuis les années 90, attribuant cela en partie aux traînées persistantes laissées par les avions, formant un voile dans le ciel. Il mentionne un documentaire diffusé en 2007 qui souligne comment plusieurs scientifiques à travers le monde ont constaté une réduction significative de l’ensoleillement.

Ces observations ont été corroborées par des climatologues américains, allemands, australiens et russes, qui ont tous constaté une diminution du rayonnement solaire. David Trevis, climatologue américain, a mené une étude post-11 septembre 2001, lors de l’interdiction de vol aux États-Unis, et a observé un changement thermique significatif, confirmant l’impact des traînées d’avion sur le climat.

Le journaliste explore ensuite les concepts de géoingénierie, une série de techniques envisagées pour contrer le réchauffement climatique, telles que l’injection de particules dans l’atmosphère pour réfléchir le rayonnement solaire ou la fertilisation des océans pour augmenter la capture du CO2.

Ces technologies, bien que principalement théoriques, soulèvent des questions éthiques et environnementales. Il rencontre Patrice Hernu, économiste et écologiste, qui explique divers procédés de géoingénierie et leur impact potentiel. Hernu évoque des méthodes comme la pulvérisation de particules pour réfléchir les rayons du soleil ou la création de plasmas en haute atmosphère pour influencer le climat.

La vidéo aborde également le projet HAARP, un programme de recherche américain controversé visant à manipuler l’ionosphère pour des applications militaires et climatiques. Le journaliste découvre des initiatives similaires en Russie et dans d’autres pays, illustrant une volonté globale de contrôler les phénomènes climatiques.

La discussion s’étend aux implications sanitaires de ces modifications climatiques, notamment l’acidification des eaux, la réduction de la lumière solaire et les carences en vitamine D. Des experts expliquent comment ces changements environnementaux peuvent affecter la santé humaine, provoquant des maladies et perturbant les écosystèmes.

La vidéo se termine en soulignant la nécessité d’un débat citoyen sur ces questions et la transparence des projets de géoingénierie. Le journaliste appelle à une prise de conscience collective pour évaluer les impacts des interventions humaines sur le climat et l’environnement, tout en critiquant l’influence des lobbies industriels et militaires dans ce domaine.

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patch Sanofi bidon ?

Mr MondialisationUn patch Sanofi bidon validé par le comité des Jeux Olympiques

Mr Mondialisation - 19 mai 2024

Le Youtubeur G Milgram tire la sonnette d’alarme avec l’aide de plusieurs pharmaciens concernant une nouvelle marque lancée par Sanofi en partenariat avec les Jeux Olympiques.

   

Un patch « miracle » qui soignerait les douleurs par « infrarouge » sans composant médical… Du « bullshit » commercial, selon des pharmaciens, qui fait tâche mais promet de rapporter beaucoup d’argent grâce aux J.O. de Paris.

Décidément, les scandales qui entourent ces J.O. commencent à se faire nombreux. Le dernier en date concerne un nouveau produit lancé par le géant de la Big Pharma : Sanofi. Initiv est un nouveau patch collant à « Biologie Augmentée » lancé en partenariat officiel avec les Jeux Olympiques 2024. Sans actif médicamenteux, celui-ci promet de soulager les douleurs en renvoyant les émissions naturelles d’infrarouges de la peau. Tout ce verbiage pour dire que ce simple autocollant hors de prix va garder un peu de chaleur de la peau et la renvoyer vers la zone concernée avec la promesse de soulager quelques douleurs. C’est du moins ce qu’affirme la marque.

Sanofi n’a pas fait dans la dentelle. Avec un plan marketing agressif envoyé à tous les pharmaciens de France à l’occasion des J.O., il est question de convaincre le consommateur de l’efficacité « prouvée » du patch. À ce propos, les patchs sont en vogue depuis quelques temps. On en trouve pour absolument tout. Ils ne coûtent absolument rien à produire mais promettent d’importants profits pour leurs inventeurs. Selon des documents promotionnels ayant fuité, le marché du patch pèserait quelques 400 millions d’euros. Le tout consistant surtout à convaincre le consommateur de leurs pouvoirs de guérison qui, la plupart du temps, n’existent que dans notre imaginaire.

Des pharmaciens en colère.

Plusieurs pharmaciens – avec un minimum de conscience professionnelle – ont naturellement réagit à l’arrivée de ce produit sur leur marché. Il existe déjà des produits « sans effet réel » en pharmacie, mais c’est peut-être la première fois qu’une énorme société comme Sanofi s’infiltre dans ce marché douteux, brouillant toujours un peu plus les cartes, et créant toujours plus de méfiance chez le consommateur.

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« En tant que professionnel de santé, je trouve ça scandaleux de vendre en pharmacie ce genre de produit sans réel fondement scientifique. Notre conseil à un poids non-négligeable sur la santé des gens, et je ne veux pas me faire charlatan au nom du pognon des grands groupes pharmaceutiques censés respecter une certaine déontologie et pratiquer une rigueur scientifique exemplaire »

Un pharmacien anonyme

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l'eau c'est la vie

Le Media en 4-4-2Eau du robinet, en bouteille ou de Quinton : Quelle est la meilleure option ?

Le Media en 4-4-2 - 17 mai 2024

Dans ce quatrième numéro des RDV de Kate, Gilles Lartigot et notre journaliste Kate nous embarque dans une discussion passionnante autour de l’eau.

   

Gilles Lartigot nous emmène dans un voyage à travers l’histoire de l’eau de ville, en soulignant les progrès réalisés dans la distribution d’eau potable à grande échelle. Cependant, nous ne pouvons pas ignorer les scandales liés à l’eau potable, tels que la contamination par des produits chimiques et des bactéries. Ensemble, nous avons également abordé les scandales liés à l’eau en bouteille, notamment en ce qui concerne la présence de polluants éternels et la contamination microbiologique.

Mais ce n’est pas tout ! Nous explorons l’histoire de l’eau de Quinton, cette eau quantique et les bienfaits thérapeutiques qu’elle peut apporter.

En somme, cet épisode est une mine d’informations pour tous ceux qui souhaitent en savoir plus sur l’eau qu’ils boivent et sur les choix qu’ils peuvent faire pour leur santé et pour l’environnement. Une discussion aussi passionnante qu’informative.