Vera Sharav est née en 1937 en Roumanie. En 1941, avec 145.000 juifs roumains et hongrois, dont sa famille, elle a été déportée en Transnistrie, le long de la frontière ukrainienne.
Le 6 mars 2022, elle a présenté des preuves du programme eugéniste lancé en 1915 aux USA, entreprise commune de John D. Rockefeller, Andrew Carnegie, Alexandre Graham Bell et d’autres, dont l’objectif déclaré était de réduire la population des USA de 10%, soit 15 millions d’hommes et de femmes.
Dans son livre écrit en 1957, “The poisoned Needle, Suppressed facts about vaccination”, le Dr Eleana McBean, médecin, a été le témoin oculaire de l’épidémie de 1918. Elle écrit « Seuls les vaccinés ont péris. ».
La grippe de 1918 n’était pas une grippe
Dans le rapport qu’il a publié en 1918, il note que le vaccin a été administré en 3 doses aléatoires, ce qui n’est pas exact.
En 1915, une entreprise commune d’eugénisme a été organisée par John D. Rockefeller, fondateur de la Standart oil, Andrew Carnegie détenant l’industrie américaine de l’acier et Alexander Graham Bell, inventeur du téléphone.
Ils avaient déjà consolidé leur monopole dans le pétrole, les chemins de fer, l’acier et les industries bancaires. Ils ont donc cherché à préserver leurs vastes richesses et à faire progresser leurs intérêts en investissant dans des méthodes de contrôle et de réduction des populations.
L’objectif de l’eugénisme était et reste d’éliminer les personnes que l’élite jugeait inférieures sur le plan génétique. Ils ont financé une campagne de lobbying massive pour la promulgation de lois visant à stériliser ceux qu’ils jugeaient inaptes. Les lois sur la stérilisation ont d’abord été promues seulement dans 28 états des USA. Leur objectif était de stériliser 10% de la population américaine soit 15 millions de personnes.
Cet objectif devait être atteint sous prétexte d’améliorer la santé publique et la race humaine. Ces lois sur la stérilisation ont servi de modèles aux nazis sur l’hygiène sociale. Pendant plus d’un siècle, les Rockefeller ont continué à être les plus grands bailleurs de fonds et les moteurs de l’eugénisme et du programme de dépopulation. Voilà donc surtout de quoi je veux surtout parler :
La grippe espagnole de 1918
On estime qu’elle a tué entre 50 et 100 millions de personnes dans le monde. « Cette pandémie catastrophique a été entourée d’un faux récit pendant plus d’un siècle ».
Un examen des faits révèle une pléthore de similitudes entre ce faux récit de pandémie de 1918 et celle du coronavirus de 2020 !
« La pandémie de 1918 n’a pas émané d’Espagne ! . Ce n’était pas une grippe. Elle n’a pas été causé par un virus. En l’identifiant à tord comme une grippe venant d’Espagne, on a contribué à en dissimuler la véritable nature et l’origine ».
En 1918, alors que les USA entraient dans la première guerre mondiale, les effectifs militaires ont été portés à 6 millions d’hommes dont 2 millions ont été envoyés sur les champs de bataille en Europe. Les scientifiques de l’institut Rockefeller ont saisi l’occasion de « tester » un vaccin expérimental sur ce nouveau groupe de cobayes humains désormais disponibles. Peu de gens réalisent que la maladie a tué bien plus de soldats de tous les camps que les mitrailleuses et le gaz moutarde ou tout autre élément associé à la première guerre mondiale.
En janvier 1918, un vaccin expérimental contre « la méningite », fabriqué à partir de chevaux, a été testé sur des soldats. C’est Frédérick. T. Gates (1853-1929), (aussi théologien !) président du conseil d’administration de l’institut Rockefeller et administrateur de la fondation Rockefeller qui a lancé l’expérience au Kansas en janvier 1918.
4792 hommes ont reçu la première dose.
4257 hommes ont reçu la seconde dose
3702 hommes ont reçu les trois doses.
Le Dr Gates ne dit pas ce qui est arrivé aux 1090 hommes qui ne se sont pas présentés à la troisième dose. Gates écrit que peu de temps après avoir été injectés, les soldats présentaient certains des symptômes semblables à ceux de la grippe, notamment de la toux, des vomissements et de la diarrhée. Ses réactions simulaient selon lui le début d’une « méningite épidémique » mais le Dr Gates a balayé cela d’un revers de main et a déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une véritable méningite.
On peut se demander sur quelle science il s’est appuyé.
Des épidémies de grippe ont été enregistrées dans 14 des plus grands camps d’entrainement des forces armées. Les troupes récupérées ont porté et transmis l’infection à des soldats sains sur les champs de bataille d’Europe. Un rapport de 2008 a étudié les taux de mortalité et d’invalidité dans le monde entier pendant la pandémie. Ils ont décrit comment « les bactéries » se propageaient rapidement des personnes infectées à d’autres en particulier dans des environnements surpeuplés, tels que les services hospitaliers, les casernes des camps militaires, les navires de transport de troupes.
Quelques 9000 personnes dans le monde ont été autopsiées pour trouver que « la grippe de 1918 n’était pas une grippe » D’après les cultures longues des autopsies, la « bactérie pneumonia » a tué au moins 92,7% d’entre eux.
Lorsque la première guerre mondiale s’est terminée le 11 novembre 1918, les soldats sont rentrés chez eux, propageant la « pneumonia bactérienne meurtrière » dans le monde entier.
L’un des témoins oculaires les plus importants était le Dr Eleana Mac Bean. Elle fut témoin du carnage humain à l’âge de 13 ans. Elle et sa famille afro-américaine ne se sont pas faits vacciner. Ils sont restés en bonne santé tout le long de la pandémie. Elle est devenue médecin et a écrit plusieurs livres dont :
- « L’aiguille empoisonnée », en 1957.
- « Vaccination : le tueur silencieux », en 1977.
- « Exposé sur la grippe porcine », en 1977.
Elle a fourni des descriptions très vivantes et je vais en lire un extrait :
« Lorsque la grippe était à son apogée, tous les magasins étaient fermés ainsi que les écoles, les entreprises, l’hôpital, car les médecins et les infirmiers avaient été vaccinés et étaient atteints de « la grippe… ». Il n’y avait personne dans la rue. C’était comme une ville fantôme. Il semblait que la seule famille qui n’avait pas attrapé cette « grippe… » était ma famille. Mes parents sont donc allés de maison en maison faisant ce qu’ils pouvaient pour soigner les malades car il était impossible de trouver un médecin.
S’il était possible que les germes des bactéries et des virus ou des bacilles provoquaient des maladies, ils avaient tout loisir d’attaquer mes parents alors qu’ils passaient tant d’heures par jour dans les chambres des malades ! Mais ils n’ont pas eu la grippe. Ils n’ont pas ramené le germe à la maison pour nous contaminer, nous leurs enfants. Aucun membre de notre famille n’a eu la grippe… ni un rhume. C’était en hiver avec de la neige épaisse au sol. »
Un document a identifié le vaccin expérimental contre la « méningite bactérienne » comme principal coupable. Il y est écrit que « seuls ceux qui ont été vaccinés ont péri ».
Cela vous semble familier ?!
Une telle catastrophe générée par un vaccin peut-elle se reproduire ?
Je pense vraiment que cet exemple est extrêmement important, mais ensuite les acteurs.
En 2018, la Radio diffusion publique a diffusé un documentaire. La première vague qui compte certaines lacunes que le Dr Gates n’a pas dites. Nous avons appris que le 11 mars, le chirurgien du camp militaire de Fort Sill était confronté à la première vague d’une épidémie. 100 hommes par jour entraient à l’infirmerie avec la même maladie. Quelques 2 millions de soldats américains ont reçu le vaccin expérimental de Rockefeller. C’était « pour affaiblir leur système immunitaire » avant qu’ils ne soient envoyés en Europe. Et lorsque la guerre a pris fin, l’institut Rockefeller a envoyé la « concoction mortelle » de la méningite pour qu’elle soit utilisée chez les civils en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie, et dans d’autres pays d’Europe occidentale, propageant ainsi l’épidémie dans le monde entier.
La décision d’expédier le vaccin mortel à l’étranger était prise alors qu’ils savaient déjà ce qu’ils faisaient.
Etait-ce simplement pour aider les autres ou cela faisait-il partie d’un plan de génocide eugénique ?!
Ces annonces interviennent en plein été, une période où la vigilance citoyenne tend à se relâcher, notamment à cause des JO. Explications de Florian Philippot.
L’OMS a mis en garde contre une augmentation des cas de COVID-19, encore lui, soulignant que la situation « ne devrait pas s’améliorer dans un avenir proche ». La directrice de la préparation et de la prévention des épidémies et pandémies à l’OMS, Maria von Kerkhove, a alerté sur le risque de nouveaux variants plus sévères. Elle a insisté sur l’importance de la « vaccination » pour réduire le risque d’infection et de maladie grave…
Parallèlement, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence face à la flambée de la variole du singe. Tremblez : une nouvelle souche, identifiée en République démocratique du Congo, serait plus mortelle et plus transmissible que les précédentes. L’agence de santé de l’Union africaine a déclaré une urgence de santé publique, et l’OMS a actualisé sa liste des agents pathogènes les plus dangereux, triplant le nombre de pathogènes surveillés.
Ces alertes interviennent dans un contexte où l’OMS tente de relancer le traité mondial sur les pandémies, qui a été retardé, et de promouvoir un pass sanitaire mondial.
Le « cadre d'action » a été mis à jour en juillet 2024 et comprend des « pouvoirs spéciaux » autorisés par le ministre de la Santé qui s'appliqueront en cas de pandémie déclarée par l'Organisation mondiale de la santé ou d'urgence déclarée en vertu de la loi de 2002 sur la gestion des urgences de la défense civile. .
En vertu de ces pouvoirs spéciaux, la police aura le pouvoir de détenir et de retenir des membres du public pour des vaccinations forcées par le personnel médical.
Plus précisément, la police aura le pouvoir « de faire tout ce qui est raisonnablement nécessaire (y compris le recours à la force) pour aider un médecin-hygiéniste ou toute personne autorisée par le médecin-hygiéniste dans l’exercice ou l’exécution des pouvoirs ou fonctions prévus aux articles 70 ou 71. »
Le gouvernement accordera également aux médecins le pouvoir de « détenir, isoler ou mettre en quarantaine » tout membre du public pour toute raison liée à la santé publique.
Les membres du public peuvent être « isolés ou mis en quarantaine jusqu’à ce qu’ils aient été examinés médicalement et jugés indemnes de maladies infectieuses » et « jusqu’à ce qu’ils aient subi le traitement préventif prescrit par le médecin-hygiéniste ».
https://www.health.govt.nz/system/files/documents/publications/interim_nz_pandemic_plan_v2.pdf
C’est une question de bon sens et c’est la norme de protection des enfants dans la société occidentale depuis des centaines d’années. Ce n’est qu’au cours de la dernière décennie que cette règle évidente a été abandonnée au nom de l’apaisement du mouvement transgenre.
Bien que le pendule soit revenu récemment dans certaines parties de l’Europe et dans les États rouges des États-Unis, le culte « woke » a tellement imprégné certaines sociétés comme un cancer malin qu’il est presque impossible de s’en débarrasser. Si vous avez un sens morbide de la curiosité et que vous voulez savoir à quoi ressemblerait la vie sous un autoritarisme woke total, vous pourriez déménager en Californie, ou ne pas chercher plus loin que la Suisse.
Oui, le même pays qui est constamment présenté comme la « bonne façon » de gérer une république est devenu un cauchemar d’extrême gauche, avec un gouvernement, des écoles et des hôpitaux complètement intégrés dans l’agenda LGBTQ. Les personnes qui ont des enfants en Suisse ne sont pas en sécurité et n’ont pas leur mot à dire sur l’avenir médical de leur enfant.
Des parents suisses souhaitant rester anonymes ont raconté leur histoire d’horreur juridique après que leur fille de 13 ans se soit proclamée « garçon ». Les parents ont découvert des preuves que leur enfant avait été préparée par ses enseignants, ses conseillers scolaires et même des médecins à adopter des croyances transgenres et qu’ils avaient commencé à la désigner comme un garçon avec un nouveau nom masculin en classe. Lorsque les parents ont découvert cela, ils se sont plaints auprès des responsables de l’école, mais le gouvernement suisse leur a retiré l’enfant à l’âge de 16 ans.
Les parents signalent que des fonctionnaires, des représentants de l’hôpital et de l’école ont uni leurs forces, utilisant l’appareil juridique pour faire pression sur eux afin qu’ils signent des documents autorisant l’administration de bloqueurs de puberté à leur enfant. La plus haute juridiction du canton de Genève – la Cour de justice – a statué contre les parents, qui avaient fait appel d’une ordonnance leur enjoignant de remettre les documents. Ils doivent désormais le faire sous la menace de poursuites pénales. Soutenus par l’ADF International, les parents vont tenter de faire appel de cette décision. Les parents notent :
« Non seulement l’État nous a séparés de notre fille parce que nous nous sommes opposés à sa ‘transition’, mais nous sommes maintenant menacés de poursuites pénales si nous n’aidons pas à sa ‘transition légale’ en lui remettant des documents légaux ».
« L’État ne devrait pas avoir ce pouvoir. Si cela peut nous arriver, cela peut arriver à d’autres parents. Nous ne renoncerons pas à protéger notre fille et nous ferons appel de cette décision ».
Les opérations de changement de sexe et les bloqueurs de puberté présentent un risque élevé de dommages physiques irréversibles pour les enfants, y compris la stérilisation. La communauté des activistes transgenres a longtemps cherché à supprimer et à nier l’existence de ces risques. Des pays comme la Grande-Bretagne ont récemment interdit les procédures de transition de genre pour les enfants en raison des nombreux dangers qu’elles comportent. Le programme trans ne vise pas seulement à endoctriner les enfants sur le plan idéologique, il est aussi un moyen pour l’État d’effacer les droits parentaux. Une implication massive du public est nécessaire pour contrer cette tendance.
Les chercheurs ont également constaté une augmentation des risques de plusieurs maladies auto-immunes, en particulier après des doses de rappel.
Une étude sud-coréenne de grande envergure, évaluée par des pairs, a révélé une augmentation significative des risques d’affections cardiaques et neurologiques graves à la suite de la vaccination par l’ARNm COVID-19, ainsi qu’une diminution des risques de plusieurs maladies auto-immunes.
L’étude de cohorte nationale basée sur la population, publiée mardi dans Nature Communications, a suivi près de 4,5 millions de personnes pendant une moyenne de 15 mois après la vaccination.
Les chercheurs ont constaté une augmentation frappante de 620 % du risque de myocardite et de 175 % du risque de péricardite chez les personnes ayant reçu le vaccin par rapport aux témoins historiques.
L’étude a également révélé un risque accru de 62 % de syndrome de Guillain-Barré (SGB), une maladie neurologique rare.
Les chercheurs n’ont pas mis en évidence les risques cardiaques et de SGB, mais ont utilisé les données pour confirmer la validité de leur étude, qui visait à déterminer les risques de maladies auto-immunes associés aux vaccins COVID-19 à ARNm.
Les chercheurs ont constaté une augmentation de 16 % du risque de lupus érythémateux disséminé (LED – le type de lupus le plus courant) et de 58 % du risque de pemphigoïde bulleuse (PB – grandes cloques remplies de liquide).
L’étude a également révélé que les injections de rappel étaient associées à un risque légèrement accru de plusieurs maladies auto-immunes du tissu conjonctif, notamment l’ alopécie areata (perte de cheveux par plaques), le psoriasis (peau squameuse et enflammée) et la polyarthrite rhumatoïde.
“Étant donné que le risque de LED et de PA était accru dans certaines conditions démographiques telles que l’âge et le sexe, une surveillance à long terme est nécessaire après la vaccination par ARNm pour le développement d’AI-CTD”, notent les auteurs de l’étude.
Brian Hooker, docteur en sciences et directeur scientifique de Children’s Health Defense (CHD), a noté que les auteurs avaient minimisé les données les plus alarmantes, mais a déclaré au Defender que l’étude était par ailleurs “très solide”.
Selon M. Hooker, plusieurs autres études montrent également des liens entre les troubles auto-immuns – y compris le lupus systémique – et la vaccination par ARNm.
L’article de Nature Communications fait suite à une autre étude sud-coréenne publiée en mai, qui a révélé une augmentation significative de l’incidence de la maladie d’ Alzheimer et des troubles cognitifs légers à la suite de la vaccination par l’ARNm COVID-19.
L’une des plus grandes études de ce type
L’étude sud-coréenne, l’une des plus importantes de ce type, a examiné le risque à long terme de maladies auto-immunes du tissu conjonctif après une vaccination contre le SRAS-CoV-2 à base d’ARNm.
Les chercheurs ont analysé les données de 9 258 803 personnes ayant reçu au moins une dose d’un vaccin COVID-19 à ARNm. Les chercheurs ont ensuite divisé ce total de manière aléatoire en une cohorte de vaccination de 4 445 333 personnes et une cohorte de contrôle historique de 4 444 932 personnes.
En raison du taux élevé de vaccination en Corée du Sud (96,6 % des adultes avaient terminé la série primaire COVID-19 en octobre 2022), les chercheurs ont étudié les antécédents médicaux de la cohorte de contrôle pendant les deux années précédant leur première dose de vaccin, jusqu’au 31 décembre 2020, juste avant le lancement de la vaccination. Le groupe vacciné a été observé jusqu’au 31 décembre 2022.
Karl Jablonowski, docteur en sciences, chercheur principal au CHD, a critiqué la période d’observation du groupe de contrôle historique, soulignant que cette période chevauche la première année de la pandémie de SRAS-CoV-2.
“Il est donc impossible (ou très difficile) de distinguer les résultats basés sur la vaccination ou l’infection”, a-t-il déclaré au Défenseur. “Idéalement, cette étude devrait inclure une cohorte contemporaine non vaccinée pour un examen scientifique.
Cependant, les chercheurs ont choisi de ne pas étudier les personnes non vaccinées en raison de préoccupations liées à une “sélection inappropriée de la cohorte et à un biais de sélection potentiel”.
Les durées moyennes de suivi étaient de 471,24 ± 66,16 jours pour la cohorte vaccinée et de 471,28 ± 66,15 jours pour la cohorte de contrôle historique.
Les chercheurs ont utilisé des données démographiques complètes et des dossiers médicaux provenant des bases de données du Service national d’assurance maladie (NHIS) et de l’Agence coréenne de contrôle et de prévention des maladies (KDCA), qui couvrent plus de 99 % de la population sud-coréenne.
Ils ont attribué des pathologies lorsqu’elles étaient confirmées par les codes diagnostiques correspondants de la Classification internationale des maladies (CIM-10) lors d’au moins trois visites de patients hospitalisés ou ambulatoires au cours de la période d’observation.
Pour garantir des comparaisons équitables entre le groupe vacciné et le groupe témoin historique, les chercheurs ont utilisé des méthodes statistiques pour équilibrer les différences entre les deux groupes :
Âge et sexe
Niveaux de revenus et lieu de résidence
Les habitudes de santé comme le tabagisme et la consommation d’alcool
les problèmes de santé existants, de l’hypertension artérielle au VIH
Ils ont également tenu compte des changements survenus au fil du temps, par exemple lorsque les personnes ont reçu des vaccins de rappel.
Risque élevé de myocardite chez les femmes : l’un des principaux résultats de l’étude
Les chercheurs ont utilisé leur évaluation des risques accrus de myocardite, de péricardite et de syndrome de Guillain-Barré comme “résultats de contrôle positifs” pour valider leur méthodologie d’étude.
En mettant en évidence les augmentations connues du risque pour ces résultats, les chercheurs ont voulu montrer que leur modèle d’étude était capable de détecter les effets indésirables liés aux vaccins.
Les résultats négatifs du contrôle comprenaient des tumeurs cutanées bénignes, un mélanome in situ (stade 0) et une perforation de la membrane ty mpanique (rupture du tympan) – des conditions moins susceptibles d’être associées à la vaccination par le COVID-19.
Cette approche donne de la crédibilité à leurs conclusions sur les maladies auto-immunes du tissu conjonctif, suggérant que les augmentations observées du risque de certaines maladies auto-immunes du tissu conjonctif sont probablement des effets réels plutôt que des artefacts de la conception de l’étude ou des méthodes d’analyse.
L’étude a identifié les variations suivantes dans les groupes vaccinés et non vaccinés, respectivement :
- Myocardite : 164 cas contre 21 cas (risque accru de 620 %)
- Péricardite : 155 cas contre 54 cas (risque accru de 175 %)
- Syndrome de Guillain-Barré : 123 cas contre 71 cas (risque accru de 62 %)
Hooker a déclaré au Defender qu’il trouvait étrange que les risques accrus de ces séquelles “de contrôle” soient traités en passant. C’est comme si on disait : “Oh, tout le monde sait que ces vaccins provoquent des myocardites, des péricardites et des SGB… ho hum. Si vous avez cet effet indésirable, tant pis pour vous”.
M. Jablonowski a déclaré qu’étant donné l’augmentation extrême du risque de myocardite due à la vaccination constatée dans l’étude, il était “stupéfiant” que ni le titre ni le résumé de l’article n’en fassent mention. Il a attribué cette exclusion à “l’évolution de la portée de la censure dans le domaine scientifique”.
Il a dit :
“Nous savons que la myocardite est le plus souvent le résultat de la deuxième dose d’ARNm. La figure 5 de l’ article le confirme, puisque la colonne C indique que le nombre de myocardites est 9,17 fois plus élevé chez les personnes qui ne reçoivent que des vaccins à ARNm, contre 2,91 fois plus élevé chez celles qui bénéficient d’une vaccination croisée avec des vaccins à ARNm et des vaccins sans ARNm.
Jablonowski a souligné que l’article confirme d’autres études montrant que les personnes de moins de 40 ans sont presque deux fois plus susceptibles de développer une myocardite que les personnes de plus de 40 ans (risque accru de 12,53 fois par rapport à 6,18 fois).
Mais il a été surpris par les conclusions de l’étude selon lesquelles les femmes sont presque deux fois plus susceptibles de développer une myocardite que les hommes (risque 10,53 fois plus élevé contre 5,26 fois). “À ma connaissance, cela n’a jamais été démontré dans aucune population auparavant.
En ce qui concerne l’objectif principal de l’étude, les chercheurs ont constaté que la vaccination par ARNm n’augmentait pas le risque de la plupart des maladies auto-immunes du tissu conjonctif.
Cependant, ils ont identifié une augmentation statistiquement significative de 16 % du risque de lupus érythémateux disséminé chez les personnes vaccinées par rapport à la cohorte de contrôle historique.
L’analyse a également mis en évidence des risques spécifiques au genre. Les femmes ayant reçu le vaccin ARNm présentaient un risque nettement plus élevé – 167 % – de développer une pemphigoïde bulleuse, contre un risque accru de seulement 2 % pour les hommes.
La recherche a également mis en évidence les risques accrus suivants associés aux injections de rappel de COVID-19 : 12 % pour l’alopécie areata, 14 % pour la polyarthrite rhumatoïde et 16 % pour le psoriasis.
Des différences entre les types de vaccins ont également été constatées. Les personnes ayant reçu le vaccin BNT162b2 de Pfizer-BioNTech présentaient un risque accru de 18 % de développer un LED par rapport à celles ayant reçu le vaccin mRNA-1273 de Moderna, qui présentaient un risque accru de 8 %.
M. Jablonowski a déclaré qu’il n’avait aucune théorie sur la façon dont les deux marques de vaccins ont entraîné les différents risques observés. Il a émis l’hypothèse que cela pourrait être lié au moment où les doses sont administrées, les deux doses de Pfizer étant recommandées à trois semaines d’intervalle et les deux doses de Moderna à quatre semaines d’intervalle.
Les injections de rappel peuvent augmenter la quantité d’ADN flottant dans les cellules immunitaires clés
Les chercheurs ont écrit que l’association entre la vaccination ARNm et le LED n’est pas claire, mais ils ont admis que le LED associé à la vaccination a été trouvé dans d’autres études.
Les chercheurs ont noté que les vaccins ARNm peuvent augmenter les niveaux de certains anticorps dans le sang qui peuvent réagir avec l’ADN du corps. Ce processus pourrait potentiellement déclencher des maladies auto-immunes comme le lupus.
Ils ont également fait référence à une étude suggérant que les injections de rappel peuvent augmenter la quantité d’ADN flottant dans les cellules immunitaires clés. Cela pourrait potentiellement perturber la fonction immunitaire normale.
Hooker a déclaré que “des mécanismes concernant l’activation du système immunitaire inné via les DAMPS[motifs moléculaires associés aux dommages] ont été proposés pour expliquer ces relations” entre les vaccins ARNm et les troubles auto-immuns comme le LED. Ce processus implique que les cellules libèrent des morceaux de leur propre ADN et d’autres molécules, ce qui entraîne une suractivation du système immunitaire et une attaque potentielle des propres tissus de l’organisme.
Les auteurs ont appelé à la poursuite des recherches sur l’association entre les vaccins à base d’ARNm et les AI-CTD.
IVERMECTINE – Articles et protocoles pour le CANCER, études de recherche et accès aux pilules d’ivermectine
Récemment, j’ai constaté une demande énorme pour une sorte de guide initial «PAR OÙ COMMENCER» avec l’ivermectine à haute dose pour le CANCER. Je republie donc mon protocole contre le cancer à l’ivermectine. Il est très simple à utiliser. Saviez-vous que l’ivermectine est prise chaque année par près de 250 millions de personnes ?
L’ivermectine possède une douzaine de mécanismes anticancéreux, mais ils peuvent être résumés en deux principaux :
1. Inhibe les voies de signalisation de la prolifération cancéreuse (Akt, mTOR, Wnt)
2. Inhibe les cellules souches cancéreuses
L’IVERMECTINE agira contre le CANCER régulier ainsi que contre le CANCER TURBO induit par le vaccin à ARNm COVID-19 de Pfizer et Moderna (qui est très résistant à la chimiothérapie)
Voici des études récentes sur l’utilisation de l’IVERMECTINE dans certains types de cancer :
CANCER DE LA VESSIE – (2024 Fan et al) – L’ivermectine inhibe la croissance des cellules cancéreuses de la vessie et induit un stress oxydatif et des dommages à l’ADN
CANCER DU POUMON – (2024 Man-Yuan Li et al) – L’ivermectine induit une autophagie non protectrice en régulant à la baisse PAK1 et l’apoptose dans les cellules d’adénocarcinome pulmonaire
GLIOMA – (2024 Xing Hu et al) – L’ivermectine comme stratégie thérapeutique potentielle pour gliome MYÉLOME MULTIPLE – (2024 Yang Song et al) – Signatures génétiques aux thérapeutiques : évaluation du potentiel de l’ivermectine contre le myélome multiple t(4;14)
CANCER DE L’OVAIRE – (2023 Jawad et al) – L’ivermectine augmente l’activité anticancéreuse de la pitavastatine dans les cellules cancéreuses ovariennes
CANCER DE LA PROSTATE – (2022 Lu et al) – Une analyse intégrée révèle FOXA1 et Ku70/Ku80 comme cibles de l’ivermectine dans le cancer de la prostate
CANCER DU CÔLON – (2022, Alghamdi et al) – Efficacité de l’ivermectine contre le cancer du côlon induit par la diméthylhydrazine chez les rats wistar mâles
CANCER DU PANCRÉAS – (2022 Lee et al) – Le traitement combiné à l’ivermectine et à la gemcitabine induit l’apoptose des cellules cancéreuses du pancréas via un dysfonctionnement mitochondrial
MÉLANOME – (2022 Zhang et al) – La réutilisation de l’ivermectine abroge les pièges extracellulaires des neutrophiles et prévient les métastases du mélanome.
L’IVERMECTINE a prouvé son activité anticancéreuse contre une vingtaine de types de cancer, bien qu’il s’agisse d’études précliniques. Nous ne verrons jamais d’études cliniques car l’ivermectine n’est plus brevetée et est bon marché. Merck, qui détenait auparavant un brevet sur l’ivermectine, s’est associé à Moderna pour des vaccins contre le cancer à ARNm.
L’IVERMECTINE est si sûre que dans une grande partie du monde civilisé, elle est disponible en vente libre, sans ordonnance. C’est ainsi que cela devrait être. J’ai récemment écrit sur la façon dont un médecin de la Saskatchewan, au Canada, vient de se voir infliger une amende de 44 800 $ par l’Ordre des médecins et chirurgiens pour avoir prescrit de l’ivermectine à quelques patients entre 2020 et 2022. L’Ordre des médecins de l’Ontario a même demandé à un enquêteur de se faire passer pour un camionneur canadien pour piéger un jeune médecin qui prescrivait de l’ivermectine à Ottawa en 2022 lors du convoi de camionneurs.
Les Canadiens doivent comprendre que les Collèges des médecins et chirurgiens sont des sociétés privées, entièrement achetées par les grandes sociétés pharmaceutiques et dirigées par des avocats mafieux qui font pression sur les médecins pour qu’ils se conforment, sinon aucun bureaucrate ou avocat de la santé n’a le droit de refuser à quiconque l’accès à des médicaments vitaux. Et s’ils le font, ils commettent un crime très grave.
Il est temps que les Canadiens traduisent les Collèges des médecins et chirurgiens en justice pour leurs nombreux crimes liés à la COVID-19, qu’ils les reprennent, les dissolvent et prennent un nouveau départ. J’ai maintenant une source fiable et abordable pour l’ivermectine, donc si vous avez besoin d’accéder à l’ivermectine, veuillez m’envoyer un e-mail. Lien de l’article sur la photo pour éviter le shadowban, retapez simplement l’URL de la 1ère photo en haut, dans votre navigateur pour y accéder
Quand on visite des chapelles et des cathédrales, on voit souvent des halos lumineux autour des êtres divins et des saints dans les peintures murales. Cette imagerie est utilisée pour indiquer la sainteté ou la gloire de ces personnes. En réalité, tant qu’un être est vivant et qu’il métabolise, il émet une faible lumière.
Bien que la luminescence du corps humain ne soit généralement pas bien répartie, ses points saillants sont presque identiques aux méridiens, ou canaux énergétiques, décrits dans la médecine traditionnelle chinoise (MTC).
Dans les années 1980, des scientifiques ont utilisé un tube photomultiplicateur très sensible comme détecteur pour mesurer une lueur faible, mais cependant visible, émise par les organismes. Des études ont montré que les niveaux de luminescence du corps humain sont en corrélation avec la santé physique et psychologique. L’étude de la luminescence peut donc servir de méthode de détection de ces états.
La bioluminescence humaine est émise lorsque le métabolisme est actif
Des scientifiques ont découvert que le corps émet une lueur lors des activités métaboliques quotidiennes. Pour vérifier leur hypothèse, les chercheurs ont mesuré la luminescence d’une feuille de papier vierge par rapport à celle d’un morceau de porc et d’une main humaine dans les mêmes conditions d’obscurité. Si le papier brillait 10 à 1 000 fois plus que la main humaine lorsqu’il était exposé à la lumière du soleil, l’éclat s’estompait rapidement. En revanche, la luminosité de la main humaine restait la même dans l’obscurité. Le bout des doigts était le plus lumineux, suivi de la paume et de la jonction entre le pouce et l’index, respectivement. La partie la plus faible était le dos de la main. Le morceau de porc, quant à lui, n’émettait aucune lumière.
Les scientifiques pensent que plus le métabolisme du corps humain est fort, plus le niveau de luminosité est élevé. Une équipe de recherche dirigée par le scientifique chinois Yen-Chih Chiang a mesuré la luminosité du corps de 158 personnes dans l’obscurité totale. Les chercheurs ont constaté que 14 lignes de haute luminosité couvrent le corps et correspondent aux 14 méridiens, ou canaux énergétiques, mentionnés dans le Classique médical de l’Empereur Jaune de l’empereur Huangdi. Ces lignes de haute luminescence comportaient 1934 points d’acupuncture. Les points d’acupuncture totalement identiques aux méridiens d’énergie représentaient environ 93 %, tandis que les points d’acupuncture partiellement identiques représentaient environ 7 %. L’équipe de recherche était convaincue que la luminescence est l’incarnation de l’énergie et que les méridiens indiquent le dynamisme du métabolisme d’une personne.
Ces résultats suggèrent que la théorie de la MTC selon laquelle les méridiens servent de passage à l’énergie du corps pourrait être exacte.
Bien que la structure anatomique des méridiens n’ait pas encore été découverte, les chercheurs ont constaté de nombreux phénomènes acoustiques, optiques et électromagnétiques distincts liés à ces canaux d’énergie. Un méridien transmet le son, la lumière et la chaleur plus rapidement que la peau située à l’extérieur du méridien, et la résistance électrique au niveau du méridien ou du point d’acupuncture est également plus faible que dans d’autres parties du corps.
Certains scientifiques proposent que le corps d’un organisme possède différentes ondes électromagnétiques qui transmettent des informations biologiques, et que les points d’acupuncture sont des jonctions où se croisent les ondes d’interférence du champ électromagnétique.
Par conséquent, l’énergie électromagnétique devient aberrante lorsqu’une personne tombe malade. L’acupuncture peut efficacement freiner et rectifier ce type d’aberration.
Les scientifiques affirment que les ondes électromagnétiques sont des voies de communication importantes dans le corps, notamment parce qu’elles peuvent influencer les processus physiologiques, tels que le fonctionnement des nerfs et des hormones. Tout comme nous avons besoin de services de télécommunication pour connecter notre internet, notre télévision et nos téléphones portables, nous avons besoin d’ondes électromagnétiques pour envoyer des messages dans notre corps.
Une photographie qui rend l’énergie humaine visible à l’œil nu
La photographie Kirlian a été inventée par l’électricien russe Semyon Kirlian et sa femme Valentina en 1939. Cette technologie utilise un champ électrique temporaire à haute tension et à haute fréquence pour rendre visible le champ électromagnétique du corps humain. Les photos prises à l’aide de cette méthode montrent que le champ électromagnétique n’est pas uniformément réparti et qu’il peut donc être affecté par l’humeur et l’état de santé.
Le naturopathe et acupuncteur allemand, Peter Mandel, a utilisé cette technologie pour photographier sa main droite. Il a vu des anneaux complets et brillants autour de la plupart de ses doigts, et des anneaux incomplets autour de l’index et de l’auriculaire. À l’époque, il souffrait de maux d’estomac et de diarrhée. Selon la pratique de l’acupuncture chinoise et la thérapie MTC de la moxibustion, les endroits où les auréoles manquaient sur ses doigts s’alignaient sur deux méridiens liés au système digestif : les méridiens du gros intestin et de l’intestin grêle.
Après avoir acupuncturé son point Heku ou Hegu sur le méridien du gros intestin, Mandel a vu ses symptômes de diarrhée disparaître. Il a photographié à nouveau ses doigts et a constaté que tous les anneaux autour de ses dix doigts étaient brillants et complets cette fois-ci.
Cette expérience l’a incité à poursuivre ses expériences. Il a pris des photos des doigts et des orteils de nombreux patients, en utilisant la photographie Kirlian, pour développer une méthode de diagnostic, qu’il a appelée « analyse de l’émission d’énergie », afin de détecter les variations d’énergie dans le corps et de traiter toutes les affections causées par ces perturbations.
Les ondes électromagnétiques émises par le corps peuvent refléter l’état de santé général
Ces dernières années, le chercheur russe Konstantin Korotkov1 et son équipe ont amélioré la photographie Kirlian. Ils ont mis à jour la technologie photographique et développé une méthode appelée visualisation par décharge de gaz (GDV) pour observer les biophotons. Les recherches de Korotkov ont confirmé que les ondes électromagnétiques peuvent refléter les conditions de santé sous-jacentes d’une personne. Ses études ont montré que les images GDV des doigts de patients atteints d’un carcinome du gros intestin se distinguent nettement de celles de personnes en bonne santé.
Les conclusions de Konstantin Korotkov ont également révélé que la luminosité des bagues autour des doigts est étroitement liée à l’humeur de chacun. Les bagues sont plus brillantes si la personne est heureuse, alors qu’elles sont rétrécies, imparfaites ou même absentes si la personne est d’humeur négative, ressentant de la colère, de la jalousie ou de la haine. Les champs d’énergie peuvent également s’influencer mutuellement. Par exemple, les champs peuvent être immédiatement renforcés lorsque les membres d’une famille ou d’un couple s’approchent l’un de l’autre.
Zhang Changlin, professeur de physique à l’université de Temple, a introduit l’exploration des champs électromagnétiques et des méridiens énergétiques dans le corps humain dans son livre Invisible Rainbow : a Physicist’s Introduction to the Science Behind Classical Chinese Medicine (Arc-en-ciel invisible : introduction d’un physicien à la science de la médecine chinoise classique). Il appelle le champ électromagnétique autour du corps humain un « arc-en-ciel invisible » car, bien que le spectre électromagnétique soit coloré, les êtres humains ne peuvent en voir qu’une infime partie.
Les daltoniens ne peuvent pas faire la différence entre le rouge et le vert, car le spectre électromagnétique qu’ils peuvent voir est plus étroit. Dans ce cas, existe-t-il des personnes capables de voir un spectre électromagnétique plus large que les autres ? Pourraient-elles voir l’énergie émise par les méridiens et la lueur autour du corps humain ?
Zhang Changlin pense que l’on devient plus sensible aux sons et aux ondes électromagnétiques lorsqu’on est en état de méditation. Dans l’Antiquité, les niveaux sonores étaient bien inférieurs à ceux de la société moderne, car il n’y avait pas de véhicules, d’avions, de télévisions ou de radios. En outre, on peut dire que le cœur et l’esprit des anciens étaient plus en paix, sans toutes les stimulations auxquelles les humains modernes sont confrontés. Cela pourrait signifier que les anciens étaient plus sensibles et peut-être capables de percevoir des choses que les gens modernes ne peuvent pas percevoir.
Li Shih-Chen, scientifique médical renommé de la dynastie Ming de la Chine ancienne, a écrit que « l’intérieur du corps humain contient des tunnels, et celui qui regarde mentalement à l’intérieur de lui-même peut les éclairer ». Cela signifie que la véritable nature des organes et des méridiens ne peut être observée que par un pratiquant, d’une voie de développement spirituel, qui peut regarder à l’intérieur de lui avec l’œil de l’esprit.
Selon une nouvelle étude publiée dans l’International Journal of Risk & Safety in Medicine, plusieurs jeunes filles ayant participé aux essais du vaccin contre le papillomavirus, dont certaines dans le groupe placebo, ont souffert de symptômes chroniques invalidants, ce qui soulève des questions sur les effets toxiques de l’adjuvant.
Selon une nouvelle étude publiée dans l’International Journal of Risk & Safety in Medicine, les essais cliniques de Merck sur le Gardasil au Danemark ont violé l’éthique médicale en exposant inutilement les sujets du groupe placebo à l’adjuvant en aluminium breveté par la société.
Lucija Tomljenovic, consultante en recherche pour Children’s Health Defense, et Leemon B. McHenry, bioéthicien et professeur émérite de philosophie à l’université d’État de Californie à Northridge, ont cosigné l’étude, qu’ils ont basée sur l’examen du consentement éclairé et des brochures de recrutement des essais du vaccin FUTURE II Gardasil de Merck au Danemark.
Plusieurs filles ayant participé aux essais, dont certaines dans le groupe placebo, ont souffert de symptômes chroniques invalidants, ce qui soulève des questions sur les effets toxiques de l’adjuvant.
Les adjuvants, des substances ajoutées aux vaccins pour augmenter la réponse immunitaire, peuvent avoir des effets indésirables. Bien que l’aluminium soit un adjuvant efficace, les scientifiques s’interrogent depuis longtemps sur sa sécurité dans les vaccins, car il s’agit d’une neurotoxine et d’un agent inflammatoire connus.
L’adjuvant à base d’aluminium breveté par Merck – le sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium amorphe ou AAHS ou SHAA – est encore plus puissant que les adjuvants à base d’aluminium traditionnels, selon les chercheurs, qui ont constaté que son innocuité n’avait jamais été correctement évaluée avant qu’il ne soit ajouté au vaccin Gardasil et au placebo utilisé dans le cadre de l’essai vaccinal.
Les chercheurs ont également interrogé les participants et les médecins qui ont pris part aux essais et ont examiné les directives réglementaires relatives aux essais et à l’utilisation des adjuvants.
Ils ont constaté que Merck avait fait de fausses déclarations sur le contenu du placebo dans les documents de recrutement et les documents de consentement éclairé remis aux participants, leur faisant croire que le placebo était une solution saline ou inactive et que le vaccin avait déjà été jugé “sûr”, alors que ce n’était pas le cas.
Au lieu d’administrer un placebo salin, ils ont donné aux femmes du groupe placebo une injection contenant du SHAA.
Tomljenovic a expliqué à The Defender, dans un courriel, que cette situation était problématique pour deux raisons :
“Premièrement, cette pratique expose inutilement les sujets d’essai à des risques uniquement, sans aucun bénéfice possible, et constitue donc une violation manifeste des lignes directrices en matière d’éthique médicale qui exigent que les recherches impliquant des sujets humains soient conçues de manière à minimiser les inconvénients et à maximiser les bénéfices.
“Deuxièmement, l’administration d’un composé réactogène ayant des effets indésirables systémiques démontrés en tant que placebo de comparaison va entraver la découverte de signaux de danger liés au vaccin.
Ils ont également constaté que Merck n’était pas transparent avec les autorités de réglementation en ce qui concerne l’utilisation de la SHAA.
Les chercheurs ont découvert que l’entreprise utilisait l’adjuvant dans ses vaccins depuis des années tout en décrivant ces vaccins dans des publications et des documents soumis aux autorités de réglementation américaines et européennes comme contenant de l'”hydroxyde d’aluminium”, un autre adjuvant à base d’aluminium utilisé dans les vaccins depuis des décennies.
Études contrôlées par placebo et adjuvants vaccinaux dans les essais de Gardasil
Les études randomisées en double aveugle contre placebo sont considérées comme l’étalon-or des essais cliniques de vaccins, permettant aux chercheurs d’évaluer les différences dans les résultats de la maladie et les effets indésirables susceptibles d’être causés par le vaccin.
L’utilisation d’un placebo qui peut indépendamment produire les effets indésirables fausse les résultats de l’essai et “annule le concept même d’un essai contrôlé par placebo”, écrivent les chercheurs, ce qui rend impossible l’évaluation de la sécurité du vaccin.
Merck a mené de nombreux essais cliniques pour Gardasil, approuvé pour la première fois en 2006, en testant le médicament sur environ 30 000 femmes et hommes.
Les allégations d’innocuité des vaccins fondées sur ces essais ont servi de base à une campagne internationale massive de l’Organisation mondiale de la santé visant à vacciner 90 % des filles dans le monde d’ici à 2030 et 80 % des adolescentes américaines d’ici à 2030.
Cependant, dans tous ses essais cliniques pré-autorisation du vaccin Gardasil contrôlés par placebo, sauf un, Merck a utilisé son adjuvant SHAA comme placebo.
Même dans le petit essai où elle n’a pas utilisé de SHAA, Merck a utilisé la solution porteuse de Gardasil, qui contient également des allergènes potentiels, ont rapporté les chercheurs.
En ce qui concerne l’utilisation de la SHAA dans les autres essais, ils ont écrit : “Nous pensons qu’elle a compromis l’évaluation de la sécurité des vaccins et qu’elle était scientifiquement et éthiquement injustifiable”.
La notice du Gardasil affirme que le taux de nouvelles pathologies pouvant indiquer un trouble auto-immun après l’essai était le même, soit 2,3 %, dans le groupe vacciné et le groupe placebo lors des essais du Gardasil.
Cependant, comme l’adjuvant a été utilisé dans les deux groupes, les chercheurs ont déclaré qu’au lieu de prouver l’innocuité de Gardasil, les résultats “pourraient avoir indiqué un signal de risque auto-immun attribuable à l’adjuvant hautement immunostimulant du vaccin”.
Les adjuvants à base d’aluminium, le “sale petit secret” de l’industrie
Les adjuvants à base d’aluminium, utilisés dans les vaccins depuis plus de 70 ans, ont été associés à des effets indésirables allant de la douleur au point d’injection et des maux de tête post-immunisation à des syndromes auto-immuns et inflammatoires.
Dans la littérature scientifique contemporaine, les adjuvants à base d’aluminium sont encore considérés par certains comme le “sale petit secret” des immunologistes, écrivent les auteurs, car leurs mécanismes d’efficacité et de toxicité ne sont pas encore bien compris.
Les agences de réglementation de la santé publique ont conclu que les adjuvants traditionnels à base d’aluminium étaient sûrs.
Toutefois, selon M. Tomljenovic, une analyse de la littérature remontant aux années 1930 révèle “un manque flagrant de données scientifiques” pour démontrer leur innocuité.
“Ce que l’on trouve à la place, dit-elle, ce sont des affirmations non fondées et une désinformation généralisée sur l’innocuité présumée de ces composés, et malheureusement, elles sont propagées non seulement par les fabricants de vaccins, mais aussi par les agences de réglementation.
Ces résultats ont incité Tomljenovic à étudier l’utilisation de ces adjuvants dans les essais de Gardasil.
Deux types d’adjuvants à base d’aluminium sont généralement utilisés dans les vaccins : l’oxyhydroxyde d’aluminium, communément appelé “hydroxyde d’aluminium”, et l’hydroxyphosphate d’aluminium amorphe, communément appelé “phosphate d’aluminium”.
Le SHAA de Merck est une forme sulfatée de ce dernier, avec des propriétés uniques qui le rendent plus puissant et plus durable, mais aussi plus inflammatoire et moins sûr, écrivent les auteurs.
Les chercheurs extérieurs désireux d’étudier la SHAA ont été confrontés à des difficultés.
Christopher Exley, Ph.D., qui étudie l’exposition humaine à l’aluminium depuis plus de 35 ans, a déclaré au Defender que lorsque son équipe a commencé à étudier les adjuvants à base d’aluminium en 2009, le seul adjuvant auquel elle n’a pas pu accéder était le SHAA.
Ils ont demandé à plusieurs reprises à Merck de partager l’adjuvant – une demande généralement honorée par les chercheurs – mais l’entreprise a refusé sans explication.
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Pendant la pandémie, les Américains ont commencé à penser que le gouvernement était très proche de l’industrie pharmaceutique.
Aujourd’hui, nous savons à quel point ils étaient proches.
De nouvelles données des Instituts nationaux de la santé révèlent que l’agence et ses scientifiques ont perçu 710 millions de dollars de redevances pendant la pandémie, de fin 2021 à 2023. Il s’agit de paiements effectués par des entreprises privées, telles que des sociétés pharmaceutiques, pour l’octroi de licences d’exploitation d’innovations médicales par des scientifiques du gouvernement.
La quasi-totalité de cet argent – 690 millions de dollars – est allée à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, la sous-agence dirigée par le Dr Anthony Fauci, et à 260 de ses scientifiques.
Les informations relatives à ce vaste complexe royal privé sont étroitement conservées par les Instituts nationaux de la santé (NIH). Mon organisation, OpenTheBooks.com, a été contrainte d’intenter une action en justice pour découvrir les redevances payées entre septembre 2009 et octobre 2021, qui s’élevaient à 325 millions de dollars pour 56 000 transactions.
Nous avons dû intenter un second procès, avec Judicial Watch comme avocat, pour obtenir l’ouverture de cette nouvelle version.
Les paiements sont montés en flèche à l’époque de la pandémie : Ces années-là, le montant des liquidités versées aux NIH par le secteur privé a plus que doublé par rapport aux 12 années précédentes combinées. En tout, cela représente 1,036 milliard de dollars.
Il n’est pas certain que les redevances sur le vaccin COVID versées par Pfizer et Moderna, ce dernier ayant conclu un accord avec les NIH en acceptant de payer 400 millions de dollars, soient incluses dans ces nouveaux chiffres. Les NIH ne le disent pas.
Les Américains ont une dernière chance d’obtenir un peu de franchise de la part de M. Fauci, le visage de notre réponse COVID, lorsqu’il témoignera lundi devant la sous-commission de la Chambre des représentants chargée de la lutte contre la pandémie de coronavirus.
Il y a beaucoup de choses à expliquer.
Il a passé des années à se moquer des questions sur les conflits d’intérêts potentiels entre les responsables politiques du COVID, qui ont poussé sans relâche à la vaccination, et les bénéficiaires de royalties privées.
Aujourd’hui, il devra également rendre compte des courriers électroniques explosifs envoyés par l’un de ses adjoints, qui décrivent des stratégies internes visant à contourner la loi fédérale sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act).
M. Fauci ne pourra plus faire de fautes d’orthographe pour échapper à la surveillance, ni demander à ses collaborateurs de transmettre physiquement les messages – deux des actions de contournement de la loi sur la liberté de l’information décrites par le Dr David Morens, l’un de ses principaux adjoints.
Au lieu de cela, des caméras du monde entier seront braquées sur Fauci et il devra répondre des informations qu’il a données lors d’une déposition sous serment au début de cette année.
C’est l’occasion pour lui de dire la vérité ou de consolider la perception qu’a le public de lui et des NIH comme étant des organismes secrets et intéressés.
Au-delà de cette petite cabale de scientifiques qui dissimulent les discussions sur l’origine du virus, les NIH ont toujours traité les demandes de liberté d’information comme des attaques virales. Il n’est donc pas étonnant que nous soyons plaignants dans six affaires de liberté d’information en cours.
De manière caractéristique, les NIH caviardent encore des éléments de données qui nous aideraient à relier plus facilement les produits thérapeutiques à leurs inventeurs rémunérés par le gouvernement. Par exemple, ils refusent de nous indiquer le montant des redevances versées à chaque scientifique. Nous ne pouvons donc toujours pas suivre l’argent à la trace.
Entre-temps, le sénateur Rand Paul (R-Ky.) a parrainé la loi sur la transparence des redevances (Royalty Transparency Act), qui a franchi à l’unanimité les étapes de la procédure en commission et qui mérite d’être votée immédiatement.
Fauci peut également faire beaucoup de choses dans l’intervalle. Il pourrait indiquer qu’il soutient des projets de loi comme celui de M. Paul. Il pourrait demander aux NIH et aux Centers for Disease Control and Prevention de « démasquer » volontairement les paiements de redevances. Nous pourrions alors voir si leurs décisions ont favorisé le bien-être général ou si elles ont servi leurs propres intérêts.
M. Fauci pourrait également soutenir des modifications de la loi sur la liberté d’information qui entraîneraient des conséquences réelles pour ceux qui la violent délibérément.
Au minimum, il doit s’excuser pour le mépris total de la loi sur la liberté d’information et pour la guerre de transparence menée par ses collègues, qui a été révélée dans des communications privées.
Parmi les devoirs les plus fondamentaux du gouvernement envers le public, il y a celui d’assurer le bien-être général et de rendre compte de ses revenus et de ses dépenses.
Mon livre intitulé : The Worldwide Corona Crisis, Global Coup d'État Against Humanity a été publié pour la première fois en japonais en avril 2022. En anglais, il est disponible sous forme de livre électronique. Je reste très reconnaissant à l'éditeur japonais qui a publié mon livre en dépit des pressions politiques et de la censure. Je remercie l'éditeur et le traducteur.
Au Japon, le vaccin ARNm a été lancé en février 2021, prétendument pour protéger le peuple japonais contre un « virus tueur » inexistant. Plus de 206 millions de doses ont déjà été administrées. La population japonaise n'a pas été informée des dangers du vaccin ARNm.
En décembre 2021, le ministère japonais de la Santé a autorisé les injections de rappel des vaccins Moderna et Pfizer, soulignant le « faible taux d'effets secondaires tels que la myocardite ».
Selon le premier avis du ministère japonais de la Santé (qui était similaire à celui appliqué dans de nombreux pays), les vaccins Moderna et Pfizer ne sont pas autorisés.
« Le gouvernement recommande aux gens de se faire vacciner parce que les avantages de la vaccination sont plus importants que le risque de réactions secondaires. (accentuation ajoutée)
Ce qui précède est trompeur, comme le souligne la déclaration courageuse de Kazuhiro Haraguchi :
« Vous aviez raison, les vaccins tuent des millions de personnes qui nous sont chères.» Le récit frauduleux concernant le « vaccin » Covid s'effondre dans différentes parties du monde.
En Californie, la Cour du 9ᵉ circuit déclare que les injections d'ARNm COVID-19 ne sont pas des « vaccins ».
En Allemagne, les autorités sanitaires ont reconnu la nature et l'impact dévastateurs des fermetures de Covid, du port obligatoire du masque facial et des « vaccins » expérimentaux à ARNm.
En solidarité avec le peuple japonais.
En solidarité avec les peuples du monde entier.
Michel Chossudovsky, Global Research, 11 juin 2024