La conclusion de l’étude est sans appel : "Contrairement à l'idée reçue selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques puisqu’ils permettent de réduire les taux d’infection, les résultats de cette étude démontrent que ce n’est pas le cas". Et pour cause : le nombre de morts aurait augmenté en raison de l’obligation du port du masque, peut-on lire : "Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50% par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure".
Voici l'article initial, ou il réfute ladite hypothèse ainsi qu'un autre intitulé « Parades à l'empoisonnement ».
L’ONS a publié les données sur les décès par statut vaccinal le 16 mai. Le rapport comprenait un graphique intitulé “Nombre de décès dans les 28 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 en Angleterre”.
« Il était clair dès le départ que la plupart des données publiées par les gouvernements – pas seulement le gouvernement britannique, mais la plupart des gouvernements dans le monde – étaient trompeuses parce qu’elles étaient basées sur des statistiques très facilement manipulables »
L’article suggérait que le programme de vaccination pour l’éradication de la variole parrainé par l’OMS (Organisation mondiale de la santé) était responsable du déclenchement du SIDA en Afrique. Près de 100 millions d’Africains vivant en Afrique centrale ont été inoculés par l’OMS (Organisation mondiale de la santé). Le vaccin a été tenu pour responsable du réveil d’une infection virale sida “dormante” sur le continent.
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