Une récente étude publiée dans la revue Science of the Total Environment révèle pour la première fois la présence de microplastiques dans les tissus pulmonaires de personnes « vivantes ». Ces données analysées par des chercheurs de l’Université de Hull ont été obtenues auprès de treize patients ayant ont subi une chirurgie de réduction pulmonaire ou un traitement contre le cancer du poumon à l’hôpital de Castle Hill dans l’est du Yorkshire, en Angleterre.
Ces caillots sont souvent appelés « caillots de sang », mais ils ne ressemblent en rien aux caillots normaux et sont constitués de bien plus que de simples cellules sanguines. Contrairement aux caillots normaux, qui sont gélatineux, presque semblables à de la gelée, ces soi-disant « caillots » contiennent des éléments structurels extrêmement grands, complexes et répétitifs (tous illustrés ci-dessous), qui sont clairement en cours de construction dans le sang des victimes qui sont mortes de ces caillots.
« Je crains fort que chaque personne à qui l’on a injecté des instructions d’ARNm, soit en train de construire ces structures fibreuses dans son corps en ce moment même, et que ce ne soit qu’une question de temps avant qu’elles ne bloquent les artères principales ou ne provoquent des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux ou d’autres causes aiguës du « syndrome de mort subite de l’adulte » (SMA). »
Des études suggèrent un lien entre une maladie à prions incurable et mortelle, connue sous le nom de maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), et les vaccins COVID-19.
Les chercheurs pensent que la région prion de la protéine spike de la variante originale Wuhan COVID-19 a été incorporée dans des vaccins à ARNm et des vaccins à vecteur adénovirus – administrés à des centaines de millions d’humains – et qu’elle peut provoquer un nouveau type de MCJ sporadique à progression rapide.
Cet article très complet explique beaucoup de choses, de manière simple, à tout individu cherchant à y voir clair au sujet des conséquences de la « vaccinothérapie » de folie faisant rage en France et ailleurs, depuis environ un an et demi.
Depuis, toujours plus de scientifiques entreprennent des recherches sur ce sujet délicat !
Les personnes non injectées courent-elles un danger, voire un grave danger, en côtoyant des personnes « vaxxées » ?
Avec ce second article, qui se base sur des recherches scientifiques dont les résultats sont arrivés en mai 2022, nous verrons que la question ne se pose plus du tout, puisque le fabricant Pfizer lui-même reconnait que les gens « vaxxés » avec son produit projettent des « saletés » mettant en danger leur entourage.
L’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci, a versé l’an dernier 9,8 millions de dollars à des chercheurs gouvernementaux pour tester un traitement contre la variole du singe, selon le National Pulse.
Selon les National Institutes for Health (NIH), qui supervisent le NIAID, la recherche a commencé le 28 septembre 2020 et se terminera le 27 septembre 2025. Son objectif est de réaliser un “essai randomisé, contrôlé par placebo, sur la sécurité et l’efficacité du tecovirimat pour le traitement des patients atteints de la maladie du virus du monkeypox.” Il n’est pas clair si la subvention prévoyait des paiements en 2020.
La variole du singe n’est apparue en Europe et en Amérique du Nord qu’en mai 2022.
Ces exercices sont distincts de ceux organisés avec le Forum de Davos par le Johns Hopkins Center for Health Security et la Bill & Melinda Gates Foundation.
La conclusion de l’étude est sans appel : "Contrairement à l'idée reçue selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques puisqu’ils permettent de réduire les taux d’infection, les résultats de cette étude démontrent que ce n’est pas le cas". Et pour cause : le nombre de morts aurait augmenté en raison de l’obligation du port du masque, peut-on lire : "Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50% par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure".
Voici l'article initial, ou il réfute ladite hypothèse ainsi qu'un autre intitulé « Parades à l'empoisonnement ».
L’ONS a publié les données sur les décès par statut vaccinal le 16 mai. Le rapport comprenait un graphique intitulé “Nombre de décès dans les 28 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 en Angleterre”.
« Il était clair dès le départ que la plupart des données publiées par les gouvernements – pas seulement le gouvernement britannique, mais la plupart des gouvernements dans le monde – étaient trompeuses parce qu’elles étaient basées sur des statistiques très facilement manipulables »
L’article suggérait que le programme de vaccination pour l’éradication de la variole parrainé par l’OMS (Organisation mondiale de la santé) était responsable du déclenchement du SIDA en Afrique. Près de 100 millions d’Africains vivant en Afrique centrale ont été inoculés par l’OMS (Organisation mondiale de la santé). Le vaccin a été tenu pour responsable du réveil d’une infection virale sida “dormante” sur le continent.