Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé "Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech", mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.
La section "Conclusions sur la toxicité" du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes.
Signe supplémentaire que le programme de vaccination contre le covid des institutions mondialistes n’a pas eu le succès escompté, la Fondation Rockefeller a révélé qu’elle (ainsi que d’autres organisations à but non lucratif) a injecté des millions de dollars dans un projet de science comportementale visant à comprendre pourquoi de grands groupes de personnes dans le monde refusent de se faire vacciner.
« Suite à la caractérisation des informations sanitaires inexactes par L’Administrateur de la Santé des États-Unis comme une « menace urgente » et par l’Organisation mondiale de la santé comme une « infodémie », le SSRC a lancé un appel à propositions pour contrer les menaces mondiales croissantes que représentent les informations erronées et la désinformation en matière de santé publique et les faibles taux de vaccination contre le covid-19, et a reçu près de 200 soumissions du monde entier.
…Avec la prévalence et l’évolution rapide du Covid-19 partout dans le monde, il existe un besoin urgent d’identifier les interventions ayant le potentiel d’augmenter le taux de vaccination. »
Parce que les décès excédentaires (par rapport aux moyennes annuelles) sont très difficiles à cacher pour les gouvernements, ces décès excédentaires apparaissent comme la preuve incontestable qu’ils sont dus aux « vaccins » Covid.
Steve Kirsch estime qu’une personne est actuellement décédée à cause des vaccins pour 1 000 doses administrées. Or, les chiffres officiels britanniques montrent qu’en réalité, ce sont plus de 2 personnes sur 1000 qui meurent dans le mois qui suit leur vaccination covid.
Le Dr Philippe montre que des Non-Vaxxinés sont contaminés par le graphène, et il attribue cette contamination par la proximité des Vaxxinés qui émettent du graphène, mais il y a d’autres sources de graphène comme dans les masques chirurgicaux, les tests PCR, les Gels hydroalcooliques… ou même les chemtrail qui apportent du graphène !
Dans sa dernière série de lames d’échantillons de sang prélevés à la fois sur des personnes « vaccinées » et non vaccinées, le Dr Philippe van Welbergen a démontré que le graphène injecté aux personnes s’organise et se développe en fibres et structures plus grandes, acquérant des propriétés magnétiques ou une charge électrique et les fibres montrent des indications de structures plus complexes avec des stries.
Il a également démontré que des « éclats » de graphène sont transmis de personnes « vaccinées » à des personnes non vaccinées ou non vaccinées, détruisant leurs globules rouges et provoquant des caillots sanguins chez les personnes non vaccinées.
Nous avions convenu dans un précédent entretien avec Vincent Pavan, président de cette seconde association, que nous suivrons leur méthode afin de comprendre en quoi leur message « Un accident cardiovasculaire pour 100 injections (ou myocardite, péricardite, angio-œdème…). La santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux » est pertinent. Également membre du Conseil scientifique indépendant, Emmanuelle Darles l'accompagne pour détailler leur calcul à l’occasion de ce débriefing.
Jérémie Mercier : Est-ce que la spike se transmet sexuellement d’un vacciné à un non vacciné ?
Docteur Benoit Ochs : Obligatoirement oui. Pourquoi ? J’ai la chance d’avoir Hervé Seligmann qui est avec moi et qui a fait une étude justement sur la transmission de la spike et qui essaye de regarder si il y a une corrélation entre la vaccination et les les infections et la transmission des infections. Il est probable qu’il y est une contagiosité. Mais de toute façon sur la plan sexuel les spermatozoïdes peuvent obligatoirement transporter la spike et les cellules de Sertoli, qui sont des cellules très très importantes, peuvent transporter la spike mais peuvent transporter l’ARN qui est transmis par le vaccin.
L'immunologue Brigitte Autran va présider un nouveau comité qui succède au Conseil scientifique et qui évaluera les risques non plus seulement sanitaires liés aux virus, mais également aux conséquences du réchauffement climatique sur la santé. Promotrice de la vaccination de masse, elle prévient d’ores et déjà que la crise du Covid-19 n'est pas terminée : il faut s’attendre à un nouveau pic à la rentrée, alerte la médecin qui souhaite par ailleurs accélérer la campagne de vaccination contre la variole du singe.
« Il y a encore trop de personnes non vaccinées ou non revaccinées (...) Les traitements efficaces pour éviter les formes graves, comme le Paxlovid, sont trop peu proposés aux patients fragiles »
Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont publié aujourd'hui de nouvelles données montrant qu'un total de 1 350 950 rapports d'événements indésirables suite à l'administration des vaccins contre la COVID-19 ont été soumis entre le 14 décembre 2020 et le 15 juillet 2022 au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Cela représente une augmentation de 9 342 événements indésirables par rapport à la semaine précédente.
Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis.
Le cloaque des effets secondaires des vaccins en Allemagne est enfin complètement ouvert. Selon le site d’information néerlandais Blckbx, cinq mois après une demande Wob (Demander des informations au gouvernement), il apparaît que 437 593 des 11 millions d’assurés de la plus grande caisse d’assurance maladie du pays, la Techniker Krankenkasse (TK), ont dû subir un traitement médical en 2021 pour des effets secondaires du vaccin Covid. Cela représente 1 personne sur 25, soit une augmentation de 3 000 %.
Des agents de police dans des véhicules d’intervention armés, formés aux premiers secours et aux défibrillateurs, sont utilisés pour transporter les patients victimes d’un arrêt cardiaque à l’hôpital, car les ambulances sont « incapables de faire face » à la demande.
Bienvenue en Grande-Bretagne 2022 !
Nous avons maintenant la preuve scientifique que les injections d’ARNm Covid-19 peuvent causer le cancer des ovaires, du pancréas et du sein.
La voie de réparation de l’ADN de recombinaison homologue est l’un des mécanismes que le corps utilise pour empêcher vos cellules de devenir cancéreuses en réponse au stress environnemental.
L’un des composants les plus importants de cette voie est la protéine tumorale P53 (p53), la « gardienne du génome ». Il protège nos cellules des dommages cellulaires. Sous le stress cellulaire, p53 entre en action, régulant l’expression des gènes pour contrôler la réparation de l’ADN, la division cellulaire et la mort cellulaire. C’est le gène le plus souvent muté dans le cancer.
Données provenant de rapports du laboratoire Pfizer et d’études scientifiques indépendantes.
Début 2022, un juge fédéral du Texas a ordonné à la Food and Drug Administration (FDA) de rendre publique, sous huit mois, l’ensemble des données sur lesquelles elle s’est fondée pour homologuer le vaccin Covid-19 de Pfizer. Ce sont des milliers de pages réparties dans de nombreux documents et rapports qui sont maintenant publiées. Le rapport « C4591001 – Clinical Protocol 2020″ est particulièrement intéressant.
Ce rapport évoque que le simple fait de côtoyer une personne vaccinée peut-être la cause d’effets secondaires sérieux pour un individu non vacciné. La transmission se produit par le contact de la peau ou en respirant le même air qu’une personne ayant reçu le vaccin covid-19.