Ces différents concepts dépendent autant des praticiens que des malades.
Qui pratique ? Guidé par quelles intentions ? Avec quels moyens ?
Qu’est-ce qui anime celui qui consulte ? Quelle écoute a-t-il de lui-même ? Que désire-t-il vraiment ?
Complotisme ? Non, c’est officiel !
Parmi les auteurs figurent Flávio Cadegiani, endocrinologue certifié par le conseil d’administration, et Pierre Kory, un spécialiste franc de la médecine pulmonaire et des soins intensifs, ainsi que président et médecin en chef de la Front Line Critical Care Alliance.
L’étude, publiée le 31 août dans le Cuerus Journal of Medical Science, a été menée via une étude observationnelle prospective d’une « population strictement contrôlée » de 88 012 sujets dans la ville brésilienne d’Itajaí.
« Les personnes qui prenaient de l’ivermectine comme médicament préventif avant l’infection COVID ont vu des réductions remarquables des hospitalisations ainsi que des décès, selon la publication. »
Cette première rencontre du Conseil Scientifique Indépendant a accueilli plus de 600 visiteurs le 23 juillet 2022 à Le Fossat en Ariège, et de répondre aux nombreuses questions du public sur le sujet abordé « Quelle santé pour demain ? »
« Nous en temps qu'individus, nous pouvons refuser le système de santé déshumanisé basé sur l'intelligence artificielle et le transhumanisme que certains veulent nous imposer. Et pour le refuser quoi de mieux que de construire à côté, juste à côté, notre propre système basé sur le relation soignant-soigné. Et où la population, les malades seront impliqués dans le système, et surtout sur les choix thérapeutiques qui peuvent leur être proposés ...»
18 septembre 2022, le président américain, Joe Biden, a déclaré sur CBS : « la pandémie est terminée » au grand dam des commentateurs des médias complices de la propagande terrorisante du gouvernement depuis plus de 30 mois. Les fabricants de vaccins ont immédiatement perdu 9 milliards de dollars avec la chute de 9% de la valeur marchande de leurs actions.
Il n’y avait aucune raison médicale objective de se faire injecter ces médicaments préventifs abusivement présentés fallacieusement comme « vaccin » et mis sur le marché trop rapidement alors que leurs essais n’étaient pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).
Maintenant que ces pseudo vaccins se sont révélés inefficaces tant pour la protection individuelle (vacciné, vous n’êtes pas protégé !) que pour la prévention de la transmission (vacciné, vous pouvez quand même contaminer vos proches) et potentiellement dangereux et que l’épidémie est terminée, il est scandaleux de continuer à promouvoir ces injections expérimentales inutiles dont la balance avantages/risques penche indiscutablement du côté des risques.
Les pays européens connaissent actuellement un taux de mortalité anormalement élevé, et les décès dus au coronavirus ne sont pas la raison directe de cette augmentation. Connue sous le nom de « surmortalité », la mortalité est anormalement élevée aux Pays-Bas, en Allemagne, en Espagne, au Portugal et en Grande-Bretagne.
Depuis avril, le taux de mortalité a fortement augmenté en Europe, de 11 % en moyenne. Ce qui intrigue les experts, c’est que ces décès ne sont pas directement liés à la pandémie de coronavirus.
Des médecins en Italie ont étudié le sang de patients qui avaient reçu une injection de vaccins à ARNm COVID-19 et ont trouvé des corps étrangers longtemps après la vaccination, selon étude récente.
Les trois médecins et chirurgiens, Franco Giovannini, MD, Riccardo Benzi Cipelli, MD et Giampaolo Pisano, MD, ont examiné le sang fraîchement prélevé de plus d’un millier de patients en utilisant l’observation directe au microscope pour observer ce qui se produit dans le sang.
Après l’alerte initiale des espagnols de la Quinta Columna c’est enfin un labo anglais qui confirme la présence non déclarée de graphène dans les « toxins ».
Presque en fin d’article lien d’une une revue indépendante qui démontre la toxicité du graphène.
Les vaccins Covid-19 ont fait l’objet d’un examen médico-légal au Royaume-Uni et un rapport de laboratoire confirme qu’ils contiennent des nanomatériaux de graphène, qui peuvent pénétrer les barrières naturelles de l’organisme et endommager le système nerveux central, et de l’oxyde de graphène qui peut endommager les organes internes, endomager le sang, déclencher un cancer et provoquer des mutations génétiques, parmi nombre d’autres effets délétères.
Une analyse plus approfondie du Dr Phillipe van Welbergen conclue que le graphène se transmet des vaccinés aux non vaccinés, pouvant détruire les globules rouges et provoquer des caillots sanguins.
- Un vaccin efficace doit ralentir la progression des décès, mais ce n’est pas le cas pour les vaccins « COVID ».
- L’absence d’efficacité est visible à tous les niveaux, de mondial à une classe d’âge en France.
- Les vaccins ne ralentissent pas l’apparition de nouveaux décès mais ils auraient même tendance à l’accélérer.
La première est une maladie grave. Ce n’est pas vraiment le cas pour la COVID puisque les taux de létalité sont, au pire, comparables à ceux de la grippe, et souvent inférieurs, notamment pour les populations de moins de 75 ans.
La deuxième est évidemment l’efficacité du vaccin.
Pour évaluer l’efficacité d’un vaccin, plusieurs méthodes sont possibles comme le calcul de l’efficacité vaccinale (VE). Mais pour faire de tels calculs, il faut connaître la proportion de la population qui est vaccinée mais surtout le statut vaccinal des gens décédés ou hospitalisés en raison du COVID.
Au contraire, les cancers précoces constituent une menace croissante pour la population mondiale, selon un nouveau rapport publié cette semaine dans la revue Nature Reviews Clinical Oncology.
« Au cours des dernières décennies, l’incidence des cancers précoces, souvent définis comme des cancers diagnostiqués chez des adultes de moins de 50 ans… a augmenté dans de nombreux pays », ont constaté les auteurs de l’étude.
Si les auteurs admettent que l’accès accru aux dépistages a contribué à cette hausse, ils affirment que l’exposition précoce à des produits chimiques nocifs, parfois même in-utero, contribue probablement à l’augmentation des taux de cancer. Le coupable, selon eux, est que l’environnement humain a considérablement changé au cours du siècle dernier et que, combiné à des modifications du régime alimentaire, du mode de vie et du microbiome, la cause de cette hausse pourrait bien être la civilisation elle-même.
A côté des ré-étiquetages multiples des maladies respiratoires habituelles il y a toutes les fraudes des médecins générées par les incitations financières au ré-étiquetage y compris lorsqu’il ne s’agissait pas d’affections respiratoires ou carrément d’assassinats (Rivotril, sur ordonnance ministérielle) ou soins inadaptés promus par les labos (Remdésivir etc…).
Natalité : « Une baisse significative des naissances caractérise le premier semestre 2022. Dans 15 pays, cette baisse est supérieure à 4%, et dans 7 pays, supérieure à 10%. »
Est-elle liée aux campagnes de vaccination covid ? « Une corrélation négative significative entre la baisse des taux de natalité et la fréquence des vaccinations est constatée dans 14 des 18 pays ». Attention : rho de Spearman = basé sur le rang, pas sur les données chiffrées.
Le cas de la Suisse est l’une des plus spectaculaires. La baisse de la natalité y est massive, et intervient dans une période qui correspond très bien à la vaccination des femmes en âge de procréer avec un décalage de 9 mois.
Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé "Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech", mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.
La section "Conclusions sur la toxicité" du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes.