Ce projet avance. Nous publions aujourd'hui la version "conceptuelle" de ce texte, qui doit entrer en négociation avec les Etats à partir de février 2023.
Ce texte d’une grosse trentaine de pages devrait donc être discuté, si l’on en croit l’OMS, en février 2023.
On notera qu’il pose quelques principes très mondialistes.
En voici le contenu...
Malgré ce flop monumental, cette défaite historique de l’idéologie dite dominante, ou qui le croit, la presse aux ordres, comme un poulet sans tête, continue à défendre une injection qui fait peur, et à raison, aux populations qui ont eu un an pour en voir les effets nocifs. Tous ceux qui sont morts, tous ceux qui ont été touchés par les effets secondaires des trois premières injections ont été comme des bombes qui ont frappé l’esprit des sceptiques, et même des provax. Cela a réveillé les consciences. Et il fallait malheureusement en passer par là pour que les Français reprennent leurs esprits. C’est chose faite : si seulement 10 % des plus de 60 ans ont accepté de recevoir cette dose de rappel dite bivalente, alors, pour les 90 % restants, ce sera plus dur, très dur de les traîner vers les médecins qui gagnent 25 à 45 euros (le week-end !) par shoot. Les salles de shoot, elles sont là et elles sont vides !
Le médecin naturopathe suisse George Della Pietra estime que les gens du monde entier devraient être libres de choisir de se faire injecter ou non le vaccin contre le COVID-19.
Il estime qu’il devrait en être de même pour les personnes recevant des transfusions de sang « vacciné ».
« Le problème est qu’à l’heure actuelle, nous n’avons pas le choix », a déclaré Della Pietra, fondateur du service à but non lucratif Safe Blood Donation en 2021, qui met en contact des receveurs de sang non vaccinés avec des donneurs dans 65 pays.
Il y a actuellement une pandémie électrohypersensible. En France par exemple on est à peu près à 5% d'électrosensibles en France et ce pourcentage ne fait que croître ce qui représente plusieurs millions d'individus qui sont intolérants à des basses intensités de champs électromagnétiques. Et c'est la même chose au niveau du monde c'est des centaines de millions d'électrohypersensibles dans le monde.
Le Dr Masanori Fukushima a publié plusieurs articles sur la recherche biomédicale et la médecine translationnelle. Professeur émérite à l’université de Kyoto, il travaille également au Translational Research Informatics Centre Foundation for Biomedical Research and Innovation, à Kobe, au Japon. Il a également rédigé plus de 200 articles qui ont été cités plus de 7 000 fois.
Fort d’une expérience approfondie des trois dernières décennies en tant qu’oncologue médical au centre anticancéreux d’Aichi et à l’hôpital universitaire de Kyoto, le Dr Fukushima s’est engagé dans la pratique et la diffusion du traitement standard du cancer et dans la réforme du système de soins médicaux japonais. Il contribue activement à ce jour à la mise en place de l’infrastructure des essais cliniques axés sur la recherche translationnelle.
« Les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial. Des milliards de vies en danger »
C’est l’automne 2010 et le Québécois Jean Gagnon vient d’être interné contre son gré pendant neuf jours à l’hôpital de Montmagny. « Parlez-moi de vos ondes », demande un juge qui doit décider si Gagnon sera maintenu en observation 21 jours de plus, comme l’a demandé un psychiatre qui a conclu qu’il avait « des délires psychotiques concernant des ondes maléfiques ».
Critique de la politique sanitaire durant l’épidémie de Covid-19, le Dr Louis Fouché fonde dès l'automne 2020 le collectif ReinfoCovid, un site de ré-information qui interroge les décisions des autorités de santé : masques, confinements, vaccination. Très vite, suivent d’autres initiatives dont CoviSoins, un réseau de soins pluridisciplinaires et ambulatoires destiné à permettre une prise en charge à tous les stades de la maladie afin d’assurer une meilleure réhabilitation des patients. Aujourd’hui, Louis Fouché publie un nouveau livre intitulé « Agonie et renouveau du système de santé : mirage d’une médecine algorithmique transhumaniste et frémissement d’un retour au soin » paru aux éditions Exuvie et préfacé par le professeur Didier Raoult.
Le médecin revient sur notre plateau pour nous le présenter dans ce nouvel "Entretien essentiel".
Le naturopathe suisse George Della Pietra a lancé un nouveau service « SafeBlood Donation » pour fournir du sang propre et non vacciné aux patients ayant besoin de transfusions.
Étant donné que l’approvisionnement général en sang est désormais contaminé par du sang chimique « entièrement vacciné » et chargé de protéines de pointe, la demande de sang pur monte en flèche. Pietra a apparemment vu là une excellente occasion de fournir du sang pur, qui est maintenant plus demandé que jamais.
Qualifiant la campagne d’injection massive du coronavirus (Covid-19) de Wuhan de « crime du siècle », Pietra estime que les injections de covidés à ARN messager (ARNm) « contaminent » le sang et détruisent le système immunitaire.
Si une personne non vaccinée reçoit une transfusion de sang contenant de l’ARNm, des protéines de pointe et tout ce qui est contenu dans ces flacons, elle pourrait également être contaminée, d’où la création du service SafeBlood Donation.
Encore un article qui ne fera pas long feu sur les réseaux sociaux. Hélène Banoun se lance ici sur le terrain miné de l’état des connaissances sur la pharmacocinétique des vaccins, c’est-à-dire leur biodistribution, métabolisme et excrétion. Cet article a été régulièrement publié après expertise par les pairs mais il fait l’objet d’une demande (pour l’instant anonyme) de relecture par d’autres experts. En effet, il aborde la question de l’excrétion du vaccin ou de ses produits et de la plausibilité biologique de sa transmission de personne à personne. Un énorme article foisonnant de rappels scientifiques essentiels et de prudence oubliée pour des raisons stupidement mercantiles.
Bonne lecture.
Emma Kahn
Vidéo assez terrifiante qui parle d’une étude réalisée par un collectif de scientifiques internationaux qui a analysé des milliers de doses de vaccin Covid-19 afin de savoir ce qu’elles contenaient. Surprise !
Aucune ne contenait de l’ARN messager comme on pouvait s’y attendre. Ils ont plutôt retrouvé beaucoup de graphène, molécule ultra toxique qui n’a strictement rien à faire dans ces injections. On comprend mieux, beaucoup mieux, pourquoi ils veulent absolument injecter la planète entière, même les tranches d’âges qui ne sont pas du tout concernées par la maladie. L’étude a été réalisée avec un microscope électronique au laser qui permet des agrandissements très importants avec des résultats d’une grande précision (Raman Microscopy). Et encore, comme confirmé par d’autres études, un nombre important de métaux lourds a été trouvé dans ces échantillons comme le tungstène, le chrome, le fer, le sodium (hautement électroconducteur), le strontium, le magnésium, les nanoparticules d’or et d’argent, le plomb, l’antimoine, l’aluminium, l’étain !