Elle admettait néanmoins que l’épidémie de covid était à un niveau très faible. De plus, selon elle, 86 % des personnels soignants ont fait leur première dose de rappel (soit 2 doses sur 4 en tout) dans les Ehpad et 89 % chez les médecins libéraux. La réintégration souhaitée ne concernerait que 1 000 infirmiers sur 4 000 soignants non vaccinés. Le gouvernement, par la bouche du ministre François Braun, a indiqué qu’il suivra cette préconisation.
Dès le lendemain, le syndicat national des professionnels infirmiers réagissait avec virulence. Voici un extrait du communiqué du SNPI, qui s’oppose à la préconisation de la HAS de réintégrer les personnels non vax des hôpitaux et des Ehpad.
Les données catastrophiques que nous publions ici sont des données publiques et officielles de l’ONU. On les trouve dans ses tables électroniques sur la population mondiale. Elles sont très librement téléchargeables mais ne sont pas consultables en ligne. On les rencontre uniquement en chiffre dans les tableurs et seulement si on les cherche avec soin. Rien ne les relate dans les derniers écrits de l’ONU sur la population et les mouvements qui l’animent. Rien n’invite à leur investigation. Rien n’en est dit dans les presses officielles ou parallèles qui ne lisent au demeurant que les rapports sur papier glacé, rebutent à la consultation des données brutes, s’évitent l’inutile contrôle de cohérence entre les propos et les nombres même lorsqu’il s’agit de démographie.
À strictement parler, elles ne sont en aucune façon censurées mais simplement omises des écrans, des commentaires et des esprits délicats. Un peu comme « La lettre volée » de Edgar Alan Poe, bien qu’en vue, ces données de salut public sont logées avec soin hors de portée du savoir public. On confie pour cela dans la paresse à aller les débusquer de la part de ceux qui risquent bientôt de se faire happer par inadvertance ou par peur de la peur en plus grand nombre encore. Nous en fournissons ci-dessous une copie d’écran fragmentaire à mode de preuve, sans surlignage ni manipulation. Mais nous exhortons néanmoins quiconque à les auditer personnellement après téléchargement sur le site de l’ONU.
Les recherches sur les rayonnements radiofréquences (RF) de la 5G montrent qu’ils peuvent causer des lésions cérébrales et éventuellement entraîner la démence et la maladie d’Alzheimer, selon neuf experts indépendants dans le domaine des rayonnements RF.
Dans un article révisé par des pairs et publié la semaine dernière dans la revue Annals of Clinical and Medical
Les experts ont appelé les autorités à tenir compte des avis de la communauté scientifique sur les radiofréquences en établissant un « cadre réglementaire plus strict » sur les rayonnements radioélectriques et en interrompant le déploiement des technologies 5G – notamment les compteurs intelligents et les tours cellulaires 5G – jusqu’à ce qu’une équipe de « scientifiques qualifiés et indépendants de l’industrie » examine les risques de la technologie.
« La situation est absurde », a déclaré Mona Nilsson, directrice générale de la Fondation suédoise pour la radioprotection et auteure principale de l’article.
Bien que les deux premières études publiées sur les effets de la 5G sur les humains et les animaux aient fait état d’effets néfastes graves sur la santé, les autorités gouvernementales et les entreprises de télécommunications continuent d’installer des tours cellulaires 5G et des compteurs intelligents sur les habitations et autour de celles-ci, a déclaré Mme Nilsson au Defender.
Le Dr Lennart Hardell, éminent scientifique spécialiste des risques de cancer liés aux radiations et co-auteur de l’article, a déclaré au Defender : « Je pense qu’il est temps d’avoir une discussion éthique. »
« Quel type de société devrions-nous avoir ? » a demandé M. Hardell, oncologue et épidémiologiste à la Fondation pour la recherche sur l’environnement et le cancer, auteur de plus d’une centaine d’articles sur les rayonnements non ionisants.
« Le gouvernement peut-il exposer les gens à une pollution dangereuse dans leur propre maison sans qu’ils puissent s’en échapper ? » a-t-il demandé.
D’un point de vue éthique, il s’agit d’une situation sociétale très problématique, a déclaré M. Hardell.
Thierry Casasnovas, a été arrêté le 7 mars 2023 par les gendarmes de la section de recherches de Montpellier. Cette arrestation fait suite à plusieurs mois d’enquête de la part des autorités. Thierry Casasnovas est accusé d' »emprise mentale », d’exercice illégal de la médecine et d’escroquerie, et il sera présenté devant un juge vendredi. Une de ses associées en charge des finances a également été placée en garde à vue.
Cette enquête a débuté après des signalements adressés à la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires). Il est important de souligner que la France est le seul pays au monde à avoir une agence gouvernementale spécialement dédiée à la lutte contre les dérives sectaires, plutôt que contre les sectes elles-mêmes, une nuance qui a son importance. La Miviludes surveille les internautes et agit comme une sorte de police de la pensée pour éliminer tout contenu lié à la santé naturelle, faisant ainsi office de bras armé de l’ordre des médecins.
Plus de 174 000 décès ont été enregistrés en Australie en 2022, soit 12 % de plus que prévu.
Selon les données de l’Institut des actuaires, il s’agit de l’une des plus fortes surmortalités en dehors de la pandémie depuis 80 ans.
Sur les 20 000 décès supplémentaires, 10 300 ont été directement attribués au Covid-19 et 2 900 ont été liés au virus d’une manière ou d’une autre.
Les 6 600 décès supplémentaires restants n’étaient pas liés au Covid-19, selon les données.
Ils étaient plutôt liés aux maladies cardiaques et au cancer.
Karen Cutter, du groupe de travail de l’Institut sur la mortalité due au Covid-19, a déclaré que ces niveaux “ne correspondent pas aux niveaux normaux de fluctuation en période non pandémique”.
Elle a déclaré que l’Institut pensait que le virus jouait un rôle dans de nombreux cas de surmortalité, même ceux qui n’étaient pas directement attribués au Covid.
“Tout d’abord, le risque de mortalité est plus élevé après une infection aiguë par le Covid, et la plupart des Australiens ont maintenant contracté le Covid-19”, a-t-elle déclaré à news.com.au.
Des recherches antérieures ont montré que toute personne ayant contracté le Covid risque de mourir 18 mois après l’infection.
Des scientifiques chinois ont découvert que toutes les personnes qui contractent le virus ont un risque accru de problèmes cardiaques mortels, notamment d’insuffisance cardiaque, d’accident vasculaire cérébral, de fibrillation auriculaire, d’infarctus du myocarde et de cardiopathie.
Michel Dogna : infolettre
J’ai déjà largement parlé de ce précieux acide aminé concernant la production de glutathion tellement indispensable pour détruire l’oxyde de graphène vaccinal puisqu’ elle en est le précurseur donc le fabricant. Vu qu’elle pénètre facilement au sein des cellules, elle y est omniprésente et doit normalement se maintenir à un taux suffisant pour pouvoir affronter toutes pathogénies toxiques, bactériennes, virales, ou de peroxydation.
L’on pourrait s’étonner que le complexe médico pharmaceutique mondial ne parle guère voire pas du tout de ce couple NAC / L Glutathion en dépit de sa discrète efficacité contre la plupart des agressions extérieures en tant qu’antioxydant majeur …sauf si l’on réalise que le L glutathion est l’ennemi n° 1 du plan actuel de graphénisation généralisée des populations. Je ne vais pas revenir ici sur les désastres vasculaires entre autres dus au graphène et que vous pouvez retrouver en détail sur mon site dans ARCHIVES.
De plus, en augmentant les niveaux de L Glutathion, la NAC, permet la chasse aux radicaux libres pathogènes responsables de nombreuses maladies infectieuses chroniques.
Avant de procéder à un prélèvement d’organes, les équipes médicales ont l’obligation de consulter le registre national des refus de dons d’organes.
Aujourd’hui, la plupart des CHU refuse des greffes d’organes aux non vaccinés Covid-19, ce qui est totalement inadmissible.
Lors du Live de BonSens, a été évoqué par Maitre Diane Protat le cas d’une femme [Madame X] retirée des listes d’attente de greffes de reins par le CHU de Dijon faute d’être vaccinée contre la COVID-19. Elle a saisit le Tribunal Administratif de Dijon, mais quelques jours avant l’audience, le CHU de DIJON a pris la décision de « changer ses pratiques » et l’a ré-intégrée (ainsi que d’autres patients dans la même situation) sur la liste d’attente des greffes en lui faisant signer un document indiquant qu’elle reconnaissait les dangers de ne pas être vaccinée lorsque l’on est en attente de greffe.
C’est la deuxième fois que le joueur serbe est victime de cette discrimination arbitraire et injuste ! Le sénateur Rick Scott de Floride et son collègue Marco Rubio ont tenté de sauver la situation en demandant à l’administration Biden de faire preuve de bon sens et d’humanité en accordant une exception à Djokovic. Ils ont rappelé les propos hypocrites de Biden sur la fin de la pandémie et une lettre du Dr Anthony Fauci qui reconnaît l’efficacité limitée des vaccins. Mais leur requête a été ignorée !
Les États-Unis se comportent comme un pays autoritaire en interdisant les voyageurs étrangers non vaccinés jusqu’au 11 mai.
Djokovic a déjà raté six événements majeurs en 2022 à cause de son courageux refus de se faire vacciner. Cette situation révolte les fans de tennis et relance le débat sur la vaccination obligatoire des athlètes pour les événements sportifs internationaux. Est-ce cela le respect du sport et des valeurs olympiques ?
Amol Rajan - journaliste : « Êtes-vous prêt à renoncer à la chance d’être le plus grand joueur […] parce que vous êtes fermement opposé à ce vaccin ? »
Novak Djokovic : « Oui ! »
Dimanche, un membre du comité éditorial du Wall Street Journal (WSJ) a reproché à la presse et aux responsables de la santé publique – qui affirment aujourd’hui que l’« immunité naturelle » protège contre la COVID-19 – d’avoir passé trois ans à dénigrer l’immunité naturelle malgré les preuves accablantes qui la soutiennent.
Dans son article d’opinion du WSJ intitulé « Three Years Late, the Lancet Recognizes Natural Immunity ? » – Allysia Finley a écrit :
« La défense de l’immunité naturelle par l’étude du Lancet correspond à un modèle pandémique : La cléricature de la santé publique rejette un argument qui menace ostensiblement son autorité ; elle est finalement contrainte d’assouplir sa position face à des preuves irréfutables ; et pourtant, pas une seule fois elle ne reconnaît que ses opposants avaient raison. »
Mme Finley a commencé son éditorial par une citation d’un article de la NBC du 16 février décrivant les conclusions du Lancet :
« L’immunité acquise à partir d’une infection Covid est aussi protectrice que la vaccination contre les maladies graves et le décès, selon une étude. »
L’étude a montré qu’une infection antérieure offrait une protection de 78,6 % contre la réinfection par les variantes originales Wuhan, Alpha ou Delta à 40 semaines, et de 36,1 % contre Omicron. La protection contre les maladies graves est restée autour de 90 % dans toutes les variantes après 40 semaines. Ces résultats signifient que l’immunité naturelle offre une protection égale ou supérieure à deux ou trois doses de vaccins à ARNm, comme le rapporte The Defender.
Un pilote a perdu la vie en plein vol et son partenaire a cru qu’il lui faisait une blague.
Un instructeur de vol est décédé des suites d’une crise cardiaque lors d’un vol. Son copilote pensait que son partenaire lui faisait une blague en faisant semblant de dormir. Les événements se sont produits le 29 juin 2022, mais cette histoire a récemment été rapportée par la UK Air Accidents Branch (cellule d’enquête sur les accidents d’avions civils au Royaume-Uni).
Le pilote avait les artères bouchées.
Selon le rapport, le copilote de l’avion a passé quelques minutes à côté du cadavre de son collègue qui avait posé sa tête sur son épaule. Au bout d’un certain temps et après s’être rendu compte que ses tentatives de réanimation étaient vaines, l’homme a effectué un atterrissage d’urgence. Il a appelé les services médicaux et les pompiers, mais rien n’a pu être fait pour ranimer le pilote.
Les vaccins anti Covid peuvent déclencher des tumeurs à croissance rapide et des maladies auto-immunes – telle est la mise en garde d’une pathologiste spécialisée depuis 25 ans dans le diagnostic du cancer du sein, le Dr Ute Krüger. Tout au long de sa carrière, elle a toujours rencontré une marge de fluctuation normale en ce qui concerne la taille et le degré des tumeurs. Cette marge a toutefois été brutalement interrompue par l’introduction sur le marché des vaccins Covid (2021), réputés sûrs. Les cas de tumeurs cancéreuses à croissance rapide et de types multiples se sont accumulés…