Thierry Casasnovas, a été arrêté le 7 mars 2023 par les gendarmes de la section de recherches de Montpellier. Cette arrestation fait suite à plusieurs mois d’enquête de la part des autorités. Thierry Casasnovas est accusé d' »emprise mentale », d’exercice illégal de la médecine et d’escroquerie, et il sera présenté devant un juge vendredi. Une de ses associées en charge des finances a également été placée en garde à vue.
Cette enquête a débuté après des signalements adressés à la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires). Il est important de souligner que la France est le seul pays au monde à avoir une agence gouvernementale spécialement dédiée à la lutte contre les dérives sectaires, plutôt que contre les sectes elles-mêmes, une nuance qui a son importance. La Miviludes surveille les internautes et agit comme une sorte de police de la pensée pour éliminer tout contenu lié à la santé naturelle, faisant ainsi office de bras armé de l’ordre des médecins.
Plus de 174 000 décès ont été enregistrés en Australie en 2022, soit 12 % de plus que prévu.
Selon les données de l’Institut des actuaires, il s’agit de l’une des plus fortes surmortalités en dehors de la pandémie depuis 80 ans.
Sur les 20 000 décès supplémentaires, 10 300 ont été directement attribués au Covid-19 et 2 900 ont été liés au virus d’une manière ou d’une autre.
Les 6 600 décès supplémentaires restants n’étaient pas liés au Covid-19, selon les données.
Ils étaient plutôt liés aux maladies cardiaques et au cancer.
Karen Cutter, du groupe de travail de l’Institut sur la mortalité due au Covid-19, a déclaré que ces niveaux “ne correspondent pas aux niveaux normaux de fluctuation en période non pandémique”.
Elle a déclaré que l’Institut pensait que le virus jouait un rôle dans de nombreux cas de surmortalité, même ceux qui n’étaient pas directement attribués au Covid.
“Tout d’abord, le risque de mortalité est plus élevé après une infection aiguë par le Covid, et la plupart des Australiens ont maintenant contracté le Covid-19”, a-t-elle déclaré à news.com.au.
Des recherches antérieures ont montré que toute personne ayant contracté le Covid risque de mourir 18 mois après l’infection.
Des scientifiques chinois ont découvert que toutes les personnes qui contractent le virus ont un risque accru de problèmes cardiaques mortels, notamment d’insuffisance cardiaque, d’accident vasculaire cérébral, de fibrillation auriculaire, d’infarctus du myocarde et de cardiopathie.
Michel Dogna : infolettre
J’ai déjà largement parlé de ce précieux acide aminé concernant la production de glutathion tellement indispensable pour détruire l’oxyde de graphène vaccinal puisqu’ elle en est le précurseur donc le fabricant. Vu qu’elle pénètre facilement au sein des cellules, elle y est omniprésente et doit normalement se maintenir à un taux suffisant pour pouvoir affronter toutes pathogénies toxiques, bactériennes, virales, ou de peroxydation.
L’on pourrait s’étonner que le complexe médico pharmaceutique mondial ne parle guère voire pas du tout de ce couple NAC / L Glutathion en dépit de sa discrète efficacité contre la plupart des agressions extérieures en tant qu’antioxydant majeur …sauf si l’on réalise que le L glutathion est l’ennemi n° 1 du plan actuel de graphénisation généralisée des populations. Je ne vais pas revenir ici sur les désastres vasculaires entre autres dus au graphène et que vous pouvez retrouver en détail sur mon site dans ARCHIVES.
De plus, en augmentant les niveaux de L Glutathion, la NAC, permet la chasse aux radicaux libres pathogènes responsables de nombreuses maladies infectieuses chroniques.
Avant de procéder à un prélèvement d’organes, les équipes médicales ont l’obligation de consulter le registre national des refus de dons d’organes.
Aujourd’hui, la plupart des CHU refuse des greffes d’organes aux non vaccinés Covid-19, ce qui est totalement inadmissible.
Lors du Live de BonSens, a été évoqué par Maitre Diane Protat le cas d’une femme [Madame X] retirée des listes d’attente de greffes de reins par le CHU de Dijon faute d’être vaccinée contre la COVID-19. Elle a saisit le Tribunal Administratif de Dijon, mais quelques jours avant l’audience, le CHU de DIJON a pris la décision de « changer ses pratiques » et l’a ré-intégrée (ainsi que d’autres patients dans la même situation) sur la liste d’attente des greffes en lui faisant signer un document indiquant qu’elle reconnaissait les dangers de ne pas être vaccinée lorsque l’on est en attente de greffe.
C’est la deuxième fois que le joueur serbe est victime de cette discrimination arbitraire et injuste ! Le sénateur Rick Scott de Floride et son collègue Marco Rubio ont tenté de sauver la situation en demandant à l’administration Biden de faire preuve de bon sens et d’humanité en accordant une exception à Djokovic. Ils ont rappelé les propos hypocrites de Biden sur la fin de la pandémie et une lettre du Dr Anthony Fauci qui reconnaît l’efficacité limitée des vaccins. Mais leur requête a été ignorée !
Les États-Unis se comportent comme un pays autoritaire en interdisant les voyageurs étrangers non vaccinés jusqu’au 11 mai.
Djokovic a déjà raté six événements majeurs en 2022 à cause de son courageux refus de se faire vacciner. Cette situation révolte les fans de tennis et relance le débat sur la vaccination obligatoire des athlètes pour les événements sportifs internationaux. Est-ce cela le respect du sport et des valeurs olympiques ?
Amol Rajan - journaliste : « Êtes-vous prêt à renoncer à la chance d’être le plus grand joueur […] parce que vous êtes fermement opposé à ce vaccin ? »
Novak Djokovic : « Oui ! »
Dimanche, un membre du comité éditorial du Wall Street Journal (WSJ) a reproché à la presse et aux responsables de la santé publique – qui affirment aujourd’hui que l’« immunité naturelle » protège contre la COVID-19 – d’avoir passé trois ans à dénigrer l’immunité naturelle malgré les preuves accablantes qui la soutiennent.
Dans son article d’opinion du WSJ intitulé « Three Years Late, the Lancet Recognizes Natural Immunity ? » – Allysia Finley a écrit :
« La défense de l’immunité naturelle par l’étude du Lancet correspond à un modèle pandémique : La cléricature de la santé publique rejette un argument qui menace ostensiblement son autorité ; elle est finalement contrainte d’assouplir sa position face à des preuves irréfutables ; et pourtant, pas une seule fois elle ne reconnaît que ses opposants avaient raison. »
Mme Finley a commencé son éditorial par une citation d’un article de la NBC du 16 février décrivant les conclusions du Lancet :
« L’immunité acquise à partir d’une infection Covid est aussi protectrice que la vaccination contre les maladies graves et le décès, selon une étude. »
L’étude a montré qu’une infection antérieure offrait une protection de 78,6 % contre la réinfection par les variantes originales Wuhan, Alpha ou Delta à 40 semaines, et de 36,1 % contre Omicron. La protection contre les maladies graves est restée autour de 90 % dans toutes les variantes après 40 semaines. Ces résultats signifient que l’immunité naturelle offre une protection égale ou supérieure à deux ou trois doses de vaccins à ARNm, comme le rapporte The Defender.
Un pilote a perdu la vie en plein vol et son partenaire a cru qu’il lui faisait une blague.
Un instructeur de vol est décédé des suites d’une crise cardiaque lors d’un vol. Son copilote pensait que son partenaire lui faisait une blague en faisant semblant de dormir. Les événements se sont produits le 29 juin 2022, mais cette histoire a récemment été rapportée par la UK Air Accidents Branch (cellule d’enquête sur les accidents d’avions civils au Royaume-Uni).
Le pilote avait les artères bouchées.
Selon le rapport, le copilote de l’avion a passé quelques minutes à côté du cadavre de son collègue qui avait posé sa tête sur son épaule. Au bout d’un certain temps et après s’être rendu compte que ses tentatives de réanimation étaient vaines, l’homme a effectué un atterrissage d’urgence. Il a appelé les services médicaux et les pompiers, mais rien n’a pu être fait pour ranimer le pilote.
Les vaccins anti Covid peuvent déclencher des tumeurs à croissance rapide et des maladies auto-immunes – telle est la mise en garde d’une pathologiste spécialisée depuis 25 ans dans le diagnostic du cancer du sein, le Dr Ute Krüger. Tout au long de sa carrière, elle a toujours rencontré une marge de fluctuation normale en ce qui concerne la taille et le degré des tumeurs. Cette marge a toutefois été brutalement interrompue par l’introduction sur le marché des vaccins Covid (2021), réputés sûrs. Les cas de tumeurs cancéreuses à croissance rapide et de types multiples se sont accumulés…
Il y est stipulé que « les mesures sanitaires ne sont autorisées que dans le respect des droits de l’homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes ». Or, on s’efforce aujourd’hui de supprimer cette formulation.
« L’OMS et la Suisse – quelle suite ? » C’est sous ce titre qu’une manifestation organisée par Urs Hans de « Public Eye on Science » a eu lieu le 13 janvier 2023 à Turbenthal dans le canton de Zurich. Dans la première conférence, Astrid Stuckelberger, ancienne collaboratrice de l’OMS, a présenté les principales questions fondamentales relatives à la pandémie dite de « Covid ». Ensuite, l’avocat zurichois Philipp Kruse a résumé les événements depuis 2020. Il a remis en question les mesures relevées depuis le début de leur déclaration, par exemple : sur quelles bases la pandémie s’appuie-t-elle ? Quels ont été les effets des mesures prises ?
Kruse se penche ensuite sur l’OMS, une organisation privée dont le siège est à Genève. Celle-ci publie ce qu’on appelle le « Règlement sanitaire international », auquel la plupart des États se sont conformés. Dans sa version actuelle, les mesures ne sont par exemple autorisées que dans le respect des droits de l’homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes. Or il est aujourd’hui envisagé de supprimer, entre autres, cette formulation. Qu’est-ce qui se cache derrière ces propositions d’amendement ?
Quelles en seraient les conséquences ?
Elle est utilisée en médecine vétérinaire depuis des années contre des virus comme celui de la pseudo rage porcine ou l’encéphalite équine vénézuélienne, tous deux virus à ARN comme le Sars-Cov-2. Son action sur les importines, empêchant les virus de pénétrer dans les cellules, est connue et reconnue depuis 1972, tout comme son action contre le choc cytokinique responsable des décès du Sars-Cov-2, comme le montre nombre d’études et comme l’écrit aussi le Vidal.
Alors que l’ivermectine a démontré en 2020 son efficacité dans de nombreux témoignages et dans toutes les études publiées dans l’année, début 2021 a eu lieu la plus grande manipulation sanitaire de l’histoire. La France semble y avoir joué un rôle non négligeable pour rayer l’ivermectine de la pharmacopée, bien qu’ayant démontré ses possibilités tout en étant un des médicaments les plus sûrs qui soit.
La montée en puissance de l’ivermectine au second semestre 2020, faisait qu’elle représentait un grave danger pour l’industrie pharmaceutique qui avait investi des milliards dans la recherche contre le covid. Il fallait donc mettre un terme à cette thérapeutique croissante, sans concurrence, sinon l’hydroxychloroquine que les politico-financiers aidés de « médecins » avaient déjà réussi à faire taire.
Les chercheurs ont constaté que la protection post-infection – connue sous le nom d’immunité naturelle – était forte et restait significative dans le temps. Contre les variantes Wuhan, Alpha et Delta, la protection contre la réinfection était de 85 % après quatre semaines, de 78 % après 40 semaines et de 55,5 % après 80 semaines.
Cette protection a chuté plus rapidement contre le sous-variant Omicron BA.1, tombant à 36 % à 40 semaines, et la protection contre la maladie symptomatique est également tombée en dessous de 50 %.
Mais les chercheurs ont constaté que la protection contre la maladie grave était forte contre toutes les souches, y compris la sous-variante BA.1.
Les sujets naturellement immunisés bénéficiaient d’une protection de 88,9 % contre la BA.1 à 40 semaines, ce qui était en fait plus élevé que contre les souches antérieures.