Les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 deviennent de plus en plus difficiles à dissimuler. Depuis le début de la vaccination de masse, dans nos colonnes, nous avons toujours alerté sur les effets indésirables et inquiétants, voire potentiellement mortels de ces vaccins. Ces injections contribuent à la détérioration du système immunitaire des personnes injectées.
De nouveau, nous rapportons les propos d’un assureur sur les taux de mortalité lié aux injections contre Covid. En janvier 2022, les propos de Scott Davison, PDG d’une compagnie d’assurance américaine basée à Indianapolis, faisaient savoir qu’il y avait une augmentation des décès de 40% au troisième trimestre 2021 et qu’elle touchait la population active des 18-64 ans, c’est-à-dire dans la période où les injections Covid ont été imposées aux populations de moins de 65 ans. Les analyses de la compagnie montraient qu’il ne s’agissait pas d’une hausse liée au Covid mais bien aux injections. De même, l’avocat Todd Callender, associé à la direction d’un groupe d’assurance, explique que depuis la vaccination de masse, « la surmortalité aurait augmenté de 84 % et les maladies de 1 100 % ». En Allemagne, l’assureur maladie BKK ProVita déclarait en février 2022 qu’une analyse des données recueillies auprès de plus de 10 millions de personnes suggère que les effets secondaires du vaccin COVID sont “significativement” sous-déclarés et qu’un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu.
Pour rappel, pour faire face à une énième vague de Covid gouvernements ont toujours opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager.
Prise de pouvoir mondiale de l’OMS : méfiez-vous du nouveau règlement sanitaire international et du traité sur la pandémie, une tyrannie sanitaire jamais connue auparavant dans l’histoire de l’humanité.
M. Andrew Bridgen, membre du Parlement britannique, dénonce le nouveau Règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS et le Traité sur la pandémie comme une prise de pouvoir sans précédent – privant les 194 pays membres de l’OMS, le monde entier, de leur souveraineté sur les questions de santé nationale.
Le nouveau Règlement sanitaire international et le Traité sur la pandémie transféreraient le pouvoir de décider ce qu’est une pandémie et ce qui exige le statut d’urgence de santé publique de portée internationale (USPPI), et littéralement comment toute question de santé doit être traitée au directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) – soit un mandat illimité de diktat.
Le directeur général de l’OMS peut décider d’une interdiction pure et simple, accompagnée de sanctions, de l’utilisation de médicaments « interdits par l’OMS », même leur efficacité a dûment été prouvée. C’est précisément ce qui s’est passé pendant la dite pandémie COVID-19. Les médecins et les pharmaciens n’étaient pas autorisés à prescrire, recommander et vendre des médicaments efficaces contre la COVID, car l’OMS l’interdisait.
Ce pouvoir de l’OMS serait élargi en tant que loi internationale, ou plutôt en tant qu’« Ordre reposant sur des règles », le nouveau concept tyrannique choisi par l’élite, pour contourner littéralement toutes les lois nationales et internationales.
Le RSI et le Traité sur la pandémie seront tous deux soumis au vote de la prochaine Assemblée mondiale de la santé, du 21 au 30 mai 2023. Le vote est prévu le 24 mai 2023. Une majorité des deux tiers est nécessaire pour que le traité soit adopté par les 194 membres de l’Assemblée.
Regardez cette vidéo de 20 minutes de M. Andrew Bridgen, député britannique, expliquant au Parlement britannique pourquoi il faut voter contre le nouveau RSI de l’OMS et le traité sur les pandémies.
Désormais baptisé "Mon Espace Santé", le carnet de santé numérique des Français semble enfin prendre son envol, après deux décennies de tâtonnements.
En un peu plus d'un an, 8,4 millions de personnes, soit 13% de la population, ont demandé les clefs (le mot de passe) de ce coffre-fort numérique, qui conserve leurs résultats d'analyse biologique et d'imagerie médicale, leurs comptes-rendus d'hospitalisation ou de consultation, ordonnances et autres documents de santé.
Mais plus que ce nombre d'utilisateurs, somme toute encore modeste (l'objectif est de couvrir toute la population), le ministère de la Santé se félicite de la forte croissance du nombre de documents stockés dans les Espaces de santé des Français.
Aujourd'hui, près de 10 millions de documents sont déposés chaque mois par hôpitaux, laboratoires et praticiens. C'est à peu près la moitié de l'objectif fixé à terme pour Mon Espace Santé (soit 250 millions de documents stockés par an), souligne le ministère.
Et c'est déjà autant, en un mois, que ce qu'avait rassemblé dans toute son existence le Dossier médical partagé (DMP), prédécesseur de Mon Espace de Santé, lui-même énième avatar d'un projet lancé en 2004 et refondu à plusieurs reprise.
Ce qui différencie Mon Espace Santé des tentatives précédentes? Il a été créé automatiquement pour chaque assuré social, sauf opposition écrite de celui-ci. Et il est approvisionné en documents, là encore automatiquement, grâce à l'effort de mise à jour de l'armada de logiciels médicaux utilisés par les soignants.
Pour l'instant, les établissements hospitaliers et les laboratoires d'analyse médicale sont les principaux pourvoyeurs, avec respectivement 34 et 33% des documents expédiés sur les Espaces des Français. L'enjeu est désormais de convaincre les praticiens libéraux d'approvisionner plus largement l'Espace santé de leur patients.
Nouvelles fonctionnalités
Mon Espace Santé est "un progrès majeur en France", selon Arthur Dauphin, chargé de mission à France Assos Santé, qui fédère les associations d'usagers du système de santé.
"Chaque usager peut bénéficier" de ce regroupement au même endroit de tous ses documents médicaux, et ce, même s'il les garde pour lui-même, en refusant de le partager avec ses soignants, indique-t-il. Pour apaiser les craintes d'un "Big Brother" sanitaire, les usagers ont en effet la possibilité s'ils le veulent d'occulter certains, voire tous les documents versés dans leur coffre-fort numérique.
Des associations de défense des libertés ont mis en garde contre Mon Espace Santé, dont La Quadrature du net, qui avait appelé les Français à refuser expressément la création d'un compte. "Tout fichier centralisé, toute base de données, présente le défaut de centraliser des données dont la dispersion peut paradoxalement être un avantage", estimait-elle lors du lancement public de Mon Espace Santé. La Quadrature critiquait notamment la manière dont ce coffre-fort numérique gère les consentements des utilisateurs, qui n'est selon elle ni "respectueuse", ni "fiable", ni "réaliste".
L'appel au boycott semble avoir été peu entendu, puisque seuls 2% des Français ont expressément refusé la création d'un compte, selon les chiffres du ministère.
Les spéculations vont également bon train sur le fait que les injections de Covid-19 pourraient contenir des traces d’oxyde de graphène, une substance hautement toxique et conductrice.
Les régulateurs des médicaments, avec le soutien des médias grand public, ont nié à plusieurs reprises ces allégations.
Mais ils vous mentaient.
Parce que des preuves récentes ont émergé qui confirment la présence d’oxyde de graphène, une substance hautement toxique et conductrice, dans le vaccin de Pfizer. Et il est venu de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis qui a été contrainte de publier les documents confidentiels de Pfizer sur ordre de la Cour fédérale des États-Unis.
La FDA avait initialement tenté de retarder la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer pendant 75 ans, malgré l’approbation de l’injection après seulement 108 jours d’examen de sécurité le 11 décembre 2020.
Cependant, un groupe de scientifiques et de chercheurs médicaux a poursuivi la FDA en vertu de la FOIA pour forcer la publication de centaines de milliers de documents liés à l’homologation du vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19.
Début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois et, depuis lors, PHMPT a publié tous les documents sur son site Web au fur et à mesure de leur publication.
L’un des documents les plus récents publiés par la FDA, enregistré sous le numéro 125742_S1_M4_4.2.1 vr vtr 10741.pdf, confirme l’utilisation de l’oxyde de graphène dans le processus de fabrication du vaccin Pfizer Covid-19.
L’établissement prévoit de vacciner les Américains par le biais de l’approvisionnement alimentaire depuis des décennies, explique Tom Renz.
« Pour tous ceux qui sont restés forts et ont dit non à ces vaccins à ARNm. Eh bien, vous les recevrez de toute façon directement par votre nourriture. »
Aux États-Unis, les porcs ont déjà reçu des injections de vaccins à ARNm depuis 2018 et les approvisionnements en bœuf et en poulet sont les prochains, prévient l’avocat et militant Thomas Renz.
Les sociétés pharmaceutiques Merck et Moderna ont déjà développé un vaccin à ARNm pour les porcs qui est utilisé depuis 2018, et la technologie expérimentale non réglementée pourrait bientôt s’étendre à l’ensemble de l’approvisionnement alimentaire pour vacciner en masse la population américaine.
« En ce moment, nous avons confirmé que ce truc d’ARNm est dans l’approvisionnement alimentaire. Nous savons que Merck propose un produit appelé Sequiivity. Ils injectent de l’ARNm à des porcs depuis 2018 », a déclaré Renz samedi à Real America’s Voice.
« Nous savons qu’ils peuvent réellement fabriquer ce qu’on appelle de l’ARNm transmissible. Et ce que cela signifie, c’est qu’ils peuvent mettre ce truc dans un animal pour qu’il transmette à quiconque ingère ce qu’il ingère et qu’il soit vacciné.
« Ainsi, ils pourraient transformer cela en plantes, en animaux, en diverses choses », a-t-il noté.
Renz a attiré l’attention sur le Missouri House Bill 1169, qui exigerait simplement l’étiquetage des produits alimentaires pouvant altérer vos gènes.
« Et si nous n’obtenons pas de divulgation, si nous n’adoptons pas de lois sur le consentement éclairé, ce qui va se passer, c’est que pour tous ceux qui ont résisté et ont dit non à ces vaccins à ARNm, eh bien, vous allez obtenir de toute façon à travers votre nourriture », a déclaré Renz.
La National Cattleman’s Beef Association, qui s’oppose au projet de loi sur la transparence de l’étiquetage des aliments, a confirmé que les vaccins à ARNm pourraient bientôt être utilisés sur l’ approvisionnement en bœuf des États-Unis .
Et en plus de l’injection d’ARN de la grippe aviaire pour les poulets autorisée en 2015, de nouvelles injections de nanoparticules d’ARNm et de lipides pour la grippe aviaire sont également en cours de développement.
par Guillaume Girard
1. Les précédents du Sars et le détournement de la recherche virologique
Les coronavirus sont étudiés de longue date
Les coronavirus (virus à « couronne ») sont une grande famille connue depuis les années 301, commune aux hommes et aux animaux2, tels ceux de la bronchite humaine ou l’hépatite de la souris par exemple. Les études dédiées se sont multipliées à partir de la première épidémie de Sars en 2002.
Les plus jeunes ne sont pas concernés par le syndrome respiratoire, seuls les très âgés décèdent
Les létalités du Sars-Cov-1 (2002) et du Mers (2012) sont limitées aux personnes âgées ou immunodéprimées, et cela vaut aussi pour le Sars-Cov-2, en dépit de mutations particulières lui conférant une plus grande contagiosité. Le taux d’infection en population générale est faible3 et la létalité est du niveau de la grippe saisonnière.4
La protéine de pointe est bien connue
La « spike », en français protéine de pointe, est une protéine commune à de nombreux virus. C’est une protéine infectieuse et inflammatoire, une virotoxine. Celle des coronavirus est très documentée5 ; elle a fait l’objet de nombreuses publications, voire de brevets6,7, parfois déposés explicitement à des finbiblioomss vaccinales8, et portant éventuellement sur un coronavirus dans leur entier9. Trois chercheurs américains, dont Ralph Baric, encore régulièrement sous contrat avec le National Institutes of Health (NIH), déposent dès début 2002 un brevet10 sur des méthodes de production de coronavirus recombinants, à l’aube de la première épidémie de Sars. En 2004 c’est au tour de l’Institut Pasteur et du CNRS de déposer un brevet sur une souche de coronavirus du Sars.11
Le « gain de fonction » est une pratique éprouvée et censée être encadrée
Les pratiques de biotechnologie consistant à insérer une ou des portions de génome dans un génome existant sont pratiquées, secrètement ou officiellement, dans tous les pays disposant de laboratoires et de scientifiques qualifiés, en particulier aux USA, mais aussi au Canada, en Chine. Étant donnés les risques sanitaires encourus un moratoire a imposé la suspension de ces pratiques sur le sol américain en 201412 ; partiellement levé en 201713, il est proposé de le renouveler en 202114. Entre 2015 et 2017, Ralph Baric et son collègue Boyd Yount déposent plusieurs versions successives d’un brevet portant sur des protéines « spike » chimériques.15
La recherche militaire est sous-traitée
De nombreux établissements effectuent des recherches autour des virus, dont les coronavirus, en particulier à l’initiative des États-Unis ou de la Chine. La DARPA16 est l’agence américaine de recherche militaire qui dispose de financements pour des programmes de recherche sur les agents biologiques depuis de nombreuses années. Un de ses principaux sous-traitants est la société Moderna, dont Stéphane Bancel l’actuel PDG est co-titulaire d’un brevet de 2017 sur un ARNm à destination oncologique17. En plus, EcoHealth Alliance, officiellement non gouvernementale, est une organisation qui bénéficie de plusieurs millions de dollars du gouvernement américain. Dirigée par Peter Daszack elle a entre autres financé le laboratoire de Wuhan pour ses recherches sur le gain de fonction, en partenariat avec l’université de Caroline du Nord (USA). Les circuits de financements de ces travaux externalisés sont détaillés dans l’ouvrage de Michel Cucchi, « Influences et pandémies »18. Parmi ces financements certains sont issus du « Pentagone », le département de la Défense19, qui soutient également diverses structures de recherche privée via des consortiums20,21 au sein desquels on retrouve nombre d’entreprises pharmaceutiques.22
L’OMS est infiltrée par le « philantro-capitalisme »
Signe des temps, le microbiologiste et infectiologue a présenté son ouvrage sur le réseau social Twitter, où il compte près d'un million d’abonnés.
Pour l’occasion, Didier Raoult cite la philosophe américaine d’origine russe Ayn Rand : "Vous pouvez ignorer la réalité, mais vous ne pouvez pas ignorer les conséquences d'ignorer la réalité".
Quelle est la réalité ? Dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire, elle n’est pas celle du politique et de son narratif. Cette réalité, celle du story-telling et de l’instant, le professeur Raoult ne s’en est jamais préoccupé.
Il claque la porte du conseil scientifique au début de la crise sanitaire. Il défie les autorités sanitaires (et une ministre), lorsqu’il leur démontre la possibilité de mettre rapidement en place, avec ses équipes et les moyens du bord, un système de testing à grande échelle. Il accueille au sein de l’IHU Méditerranée les malades de tous horizons au lieu de les laisser seuls, confinés, sans solution et dans la peur.
Dans l'urgence, il élabore un protocole de soin, en recourant notamment au repositionnement thérapeutique de molécules bien connues et libres de tout brevet. Et ce n’est aucunement à cause de ce fait d’armes dans la guerre contre la Covid que Raoult recevra un blâme de la part du Conseil National de l’Ordre des Médecins.
Selon l’Ordre, le professeur aurait été peu confraternel dans ses déclarations à l’encontre de certains de ses chers collègues…
Gagnant du prix du public du meilleur documentaire au festival Dances With Films, le film partage le parcours de la famille Tickell avec le pouvoir de guérison de la mise à la terre, alias la mise à la terre, et les personnes avec lesquelles ils ont rencontré et appris en cours de route; mettant en vedette le pionnier de la mise à la terre Clint Ober, l'auteur Deepak Chopra M.D., l'actrice / activiste Amy Smart, l'auteur / activiste Mariel Hemingway, le cardiologue Dr Stephen Sinatra, le guérisseur renommé Dr Joseph Mercola, l'ingénieur et physicien Gaetan Chevalier, PhD. et plein d'autres.
Plus de 20 études évaluées par des pairs ont montré que la mise à la terre (mise à la terre) réduit l'inflammation ... l'un des processus biologiques internes les plus dommageables qui conduit à une maladie chronique. Alors sortez et mettez les pieds sur terre, et / ou augmentez votre temps de mise à la terre à l'intérieur avec des produits de mise à la terre. Votre corps et votre esprit vous remercieront! Renseignez-vous sur toutes les études et recherches sur https://earthinginstitute.net
À la fin de la première guerre du Golfe, Saddam Hussein a été dénoncé comme un méchant féroce pour avoir ordonné à ses troupes en retraite de détruire les champs pétrolifères koweïtiens, coagulant l'air de nuages toxiques de fumée noire et saturant le sol de marécages de brut. Cela a été appelé à juste titre un crime de guerre environnemental.
Mais des mois de bombardements de l'Irak par des avions et des missiles de croisière américains et britanniques ont laissé derrière eux un héritage encore plus meurtrier et insidieux: des tonnes de douilles, de balles et de fragments de bombes mélangés à de l'uranium appauvri. Au total, les États-Unis ont frappé des cibles irakiennes avec plus de 970 bombes et missiles radioactifs.
Il a fallu moins d'une décennie pour que les conséquences sanitaires de cette campagne de bombardements radioactifs commencent à se faire jour.
Et ils sont terribles, en effet. Les médecins irakiens l'appellent «la mort blanche» - la leucémie. Depuis 1990, le taux de malades de la leucémie en Irak a augmenté de plus de 600%. La situation est aggravée par l’isolement forcé de l'Irak et le régime sadique des sanctions, récemment décrit par le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, comme «une crise humanitaire», qui rend la détection et le traitement des cancers d'autant plus difficiles.
«Nous avons la preuve de traces d'uranium appauvri dans des échantillons prélevés pour analyse et ça contredit carrément ceux qui affirment que les cas de cancer ont augmenté pour d'autres raisons», a déclaré le docteur Umid Mubarak, ministre irakien de la Santé.
Le docteur Mubarak soutient que la crainte des États-Unis de faire face aux conséquences sanitaires et environnementales de leur campagne de bombardements à l'uranium appauvri est en partie à l'origine de leur échec à respecter leurs engagements dans le cadre d'un accord autorisant l'Irak à vendre certaines de ses vastes réserves de pétrole en échange de nourriture et de fournitures médicales.
«La poussière du désert transporte la mort», a déclaré le docteur Jawad Al-Ali, oncologue et membre de la Royal Society of Physicians d'Angleterre. «Nos études indiquent que plus de quarante pour cent de la population autour de Bassorah aura un cancer. Nous sommes en train d’assister à un autre Hiroshima.»
La plupart des victimes de leucémie et de cancer ne sont pas des soldats. Ce sont des civils. Et beaucoup d'entre eux sont des enfants. Le Comité des sanctions irakiennes, dominé par les États-Unis, à New York, a rejeté les demandes répétées de l'Irak pour du matériel de traitement du cancer et des médicaments, même des analgésiques comme la morphine. En conséquence, les hôpitaux débordés dans des villes comme Bassorah sont obligés de traiter les cancéreux avec de l'aspirine.
Cela fait partie d'une plus grande horreur infligée à l'Irak qui voit jusqu'à 180 enfants mourir chaque jour, selon les chiffres de mortalité compilés par l'UNICEF, à partir d'un catalogue de maladies du 19ème siècle: choléra, dysenterie, tuberculose, e. coli, oreillons, rougeole, grippe.
Elle admettait néanmoins que l’épidémie de covid était à un niveau très faible. De plus, selon elle, 86 % des personnels soignants ont fait leur première dose de rappel (soit 2 doses sur 4 en tout) dans les Ehpad et 89 % chez les médecins libéraux. La réintégration souhaitée ne concernerait que 1 000 infirmiers sur 4 000 soignants non vaccinés. Le gouvernement, par la bouche du ministre François Braun, a indiqué qu’il suivra cette préconisation.
Dès le lendemain, le syndicat national des professionnels infirmiers réagissait avec virulence. Voici un extrait du communiqué du SNPI, qui s’oppose à la préconisation de la HAS de réintégrer les personnels non vax des hôpitaux et des Ehpad.
Les données catastrophiques que nous publions ici sont des données publiques et officielles de l’ONU. On les trouve dans ses tables électroniques sur la population mondiale. Elles sont très librement téléchargeables mais ne sont pas consultables en ligne. On les rencontre uniquement en chiffre dans les tableurs et seulement si on les cherche avec soin. Rien ne les relate dans les derniers écrits de l’ONU sur la population et les mouvements qui l’animent. Rien n’invite à leur investigation. Rien n’en est dit dans les presses officielles ou parallèles qui ne lisent au demeurant que les rapports sur papier glacé, rebutent à la consultation des données brutes, s’évitent l’inutile contrôle de cohérence entre les propos et les nombres même lorsqu’il s’agit de démographie.
À strictement parler, elles ne sont en aucune façon censurées mais simplement omises des écrans, des commentaires et des esprits délicats. Un peu comme « La lettre volée » de Edgar Alan Poe, bien qu’en vue, ces données de salut public sont logées avec soin hors de portée du savoir public. On confie pour cela dans la paresse à aller les débusquer de la part de ceux qui risquent bientôt de se faire happer par inadvertance ou par peur de la peur en plus grand nombre encore. Nous en fournissons ci-dessous une copie d’écran fragmentaire à mode de preuve, sans surlignage ni manipulation. Mais nous exhortons néanmoins quiconque à les auditer personnellement après téléchargement sur le site de l’ONU.
Les recherches sur les rayonnements radiofréquences (RF) de la 5G montrent qu’ils peuvent causer des lésions cérébrales et éventuellement entraîner la démence et la maladie d’Alzheimer, selon neuf experts indépendants dans le domaine des rayonnements RF.
Dans un article révisé par des pairs et publié la semaine dernière dans la revue Annals of Clinical and Medical
Les experts ont appelé les autorités à tenir compte des avis de la communauté scientifique sur les radiofréquences en établissant un « cadre réglementaire plus strict » sur les rayonnements radioélectriques et en interrompant le déploiement des technologies 5G – notamment les compteurs intelligents et les tours cellulaires 5G – jusqu’à ce qu’une équipe de « scientifiques qualifiés et indépendants de l’industrie » examine les risques de la technologie.
« La situation est absurde », a déclaré Mona Nilsson, directrice générale de la Fondation suédoise pour la radioprotection et auteure principale de l’article.
Bien que les deux premières études publiées sur les effets de la 5G sur les humains et les animaux aient fait état d’effets néfastes graves sur la santé, les autorités gouvernementales et les entreprises de télécommunications continuent d’installer des tours cellulaires 5G et des compteurs intelligents sur les habitations et autour de celles-ci, a déclaré Mme Nilsson au Defender.
Le Dr Lennart Hardell, éminent scientifique spécialiste des risques de cancer liés aux radiations et co-auteur de l’article, a déclaré au Defender : « Je pense qu’il est temps d’avoir une discussion éthique. »
« Quel type de société devrions-nous avoir ? » a demandé M. Hardell, oncologue et épidémiologiste à la Fondation pour la recherche sur l’environnement et le cancer, auteur de plus d’une centaine d’articles sur les rayonnements non ionisants.
« Le gouvernement peut-il exposer les gens à une pollution dangereuse dans leur propre maison sans qu’ils puissent s’en échapper ? » a-t-il demandé.
D’un point de vue éthique, il s’agit d’une situation sociétale très problématique, a déclaré M. Hardell.