Ce grand homme a sauvé plusieurs milliers de vies d’enfants et d’adultes en France et en Égypte au début du 20e siècle en utilisant un sérum (Plasma marin) qui porte aujourd’hui son nom.
L’eau de Quinton est une solution liquide dont la composition se rapproche très fortement de celle de l’eau de mer. En effet, la mise au point de celle-ci résulte du travail de René Quinton (1866-1925), qui fit en 1897, le constat que notre plasma sanguin ainsi que les liquides qui entourent nos cellules avaient une composition très similaire a celle de l’eau de mer au niveau de la concentration en oligo-éléments et en minéraux exception faite de l’iode bien entendu.
Ceci pourrait aussi expliquer les excès de mortalité observés depuis le début des campagnes de vaccination.
L'enquête que nous vous présentons a débuté par une intrigante publication de l'ancien banquier suisse Pascal Najadi. L'auteur d'une plainte pénale pour abus de pouvoir contre le président de la Confédération Alain Berset est triplement vacciné et autant de fois remonté contre les autorités sanitaires depuis qu'une analyse de son sang lui a révélé que son corps continue de produire de la protéine spike vaccinale plus de 18 mois après sa dernière injection Pfizer/BioNTech.
Contacté, l'intéressé nous a fourni les résultats du laboratoire ainsi qu'une lettre du Prof. Sucharid Bhakdi confirmant que « les résultats des tests indiquent clairement que M. Najadi souffre d'effets irréparables à long terme provoqués par le produit ARNm injecté fabriqué par PfizerBiontech »
Les analyses sanguines du banquier révèlent la présence de protéine de pointe mais pas de capsules nanolipidiques que l'on trouve dans les injections. Pour le scientifique, ceci indique qu'il ne s'agit pas de protéine de pointe résultant de l'administration d'un « vaccin » mais qu'elle a été produite récemment par le corps du vacciné.
Quelques recherches plus tard, nous trouvons un avocat allemand, Me Tobias Ulbrich, représentant plusieurs clients qui ont également fait analyser leur sang pour arriver aux mêmes conclusions que Pascal Najadi : leur corps produit en permanence de la protéine de pointe, une substance toxique, et personne ne peut leur dire si et quand ça s'arrêtera.
(…) La pandémie que nous croyions survenue ces dernières années ne s’est pas produite soudainement en 2020.
1965 : Dans le cadre de développement de futures guerres bio- chimiques, isolement du corona Virus et choix comme agent pathogène de base en tant que modèle viral infectieux réplicable et modifiable. Au départ il était associé à un simple rhume.
1966 : Premières manipulations génétiques du CoronaV et échanges de données d’expérimentations humaines entre les USA et le royaume uni.
1967 : Premiers essais d’inoculation de coronavirus modifiés à des êtres humains –
La conclusion : succès pathogène (infectieux) immédiat.
Années 70 : La combinaison du corona V à la protéine de pointe spike aboutit à une chimère (modèle moléculaire qui n’existe pas dans la nature)
[...]
L'on parle déjà d'un partenariat "historique" entre l'OMS et la Commission européenne, signé lundi 5 juin à Genève. Une "initiative historique pour renforcer la sécurité sanitaire mondiale", d'après leur propre communiqué.
Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, déclarait lors de la cérémonie de signature : "La pandémie de Covid-19 a montré l'importance des solutions de santé numérique pour faciliter l'accès aux services de santé". Ainsi, il veut faire du pass européen un "bien public mondial".
Ce futur système de certification numérique mondiale devrait, comme le rapporte l'AFP, "contribuer à faciliter la mobilité et à protéger les citoyens du monde entier contre les menaces actuelles et futures pour la santé, y compris pandémies". Or, il ne s'agirait que d'un premier élément.
À plus long terme, le projet n'est ni plus ni moins qu'un réseau mondial de certification sanitaire numérique de l'OMS, qui doit mettre au point "un large éventail de produits numériques pour améliorer la santé de tous". Là, s'ajoute au pass sanitaire le carnet de vaccination numérique.
"Restreindre les libertés individuelles" pour lutter contre les pandémies à venir, c'était déjà le plan affiché par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le temps n’est plus à l’information mais à la communication et le "spinning" (l’angle ou interprétation des faits choisi) en est une pratique constante. L’importance de l’angle choisi permet de créer un biais qui enferme le lecteur ou auditeur dans un certain nombre de biais qui entraînent de "vraies vérités et de faux mensonges".
Et d’ailleurs, pour première preuve de l’enfermement de l’esprit, voyons l’usage de plus en plus croissant de l’Intelligence Artificielle qui telle la réalité virtuelle enferme le lecteur dans un biais de situation.
Autant, au cinéma, on paie un billet pour aller voir une histoire et peu importe si la personne dans la voiture qui conduit à réellement les cheveux au vent ou si elle est dans un studio enfermé à Bobigny, le spectateur sait à quoi s’en tenir.
Mais dans les médias, il devient de plus en plus critique de dépatouiller le vrai du faux, de dépolluer l’information. Pour autant, nos gouvernants devraient savoir que le mensonge visant à masquer leurs agissements est une voie sans issue. Albert Camus le savait : "La vérité jaillira de l'apparente injustice". La vérité ne saurait être éternellement confinée.
Et cette semaine encore nous avons quelques superbes exemples de cette fraude à la communication.
En guise de mise en bouche, un premier exemple est celui de Gabriel Attal, ministre de l'Action et des Comptes publics, qui s’exprime depuis plusieurs jours sur les fraudes liées à la carte Vitale et le nombre de cartes en circulation.
En prévision d’une déclaration prochaine pour une nouvelle fausse pandémie, il était nécessaire de neutraliser les trouble-fête désormais identifiés à l’occasion de la première fausse pandémie à but essentiellement génocidaire. La chasse aux sorciers et aux sorcières était officiellement ouverte contre les Pr Didier Raoult, les Alexandra Henrion-Caude, les Pr Christian Perronne, les Dr Louis Fouché, les Dr Nicole et Gérard Delépine, les Jean-Marc Sabatier, les Pierre Chaillot, les Michel Jean-Dominique et tous les autres qui ont été la voix de l’honnêteté médicale et scientifique.
Des cohortes de fonctionnaires disciplinés et nécessairement décérébrés allaient ainsi débarquer à l’IHU de Marseille avec tambours et trompettes pour une « perquisition » spectaculaire à grand renfort de propagandes sur les médias inféodés au système. Il fallait d’urgence traîner dans la boue, la réputation du Pr Didier Raoult, déployer à tout prix la diffamation, décrédibiliser pour de bon la parole dissidente de ce scientifique et de tous ceux qui le soutiennent, car la proclamation imminente d’une nouvelle fausse pandémie devait obtenir cette fois-ci le résultat escompté.
Pour le programme génocidaire de l’OMS, il n’était plus acceptable que des gens comme Didier Raoult puissent encore avoir le droit à la parole et qu’ils puissent une nouvelle fois être à l’origine d’une résistance qui a empêché les salauds, les ordures et les pervers au pouvoir, d’obtenir ce qu’ils voulaient : un génocide suffisant, satisfaisant, efficace sur les populations maintenues dans un dressage et la croyance au narratif innocent de l’Agenda 2030 (programme pour la dépopulation)…
Les sociétés savantes médicales jouent un rôle crucial dans la promotion des connaissances médicales, l'élaboration de directives cliniques et la formation des professionnels de santé. Cependant, ces institutions sont de plus en plus critiquées pour leurs liens étroits avec l'industrie pharmaceutique, ce qui soulève des questions sur l'objectivité de leurs recommandations. En effet, les sociétés savantes médicales sont responsables de l'élaboration de directives cliniques qui influencent les pratiques médicales à l'échelle mondiale. L'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces recommandations est préoccupante, car elle peut entraîner une sur-prescription de médicaments coûteux et potentiellement inutiles, minimiser les approches alternatives non pharmacologiques et négliger les effets indésirables des traitements.
Dès lors, il n’était pas surprenant de les voir s’élever, massivement, contre l’étude rétrospective pré-publiée par les Pr Lagier, Brouqui, Million et Raoult de l’IHU Méditerranée Infection, qui montrait sur plus de 30.000 patients l’impact favorable net sur la mortalité liées à la Covid-19, d’une prescription (réalisée hors AMM) d’hydroxychloroquine et à l’azithromycine.
La fronde pris la forme d’une tribune dans Le Monde, coordonnée par le Pr Molimard du CHU de Bordeaux. Depuis 3 ans, ce dernier s’est illustré dans les médias comme un pourfendeur de toutes formes de traitement de la Covid-19. Ses critiques acerbes (« rien ne marche », « on n’atteint pas les concentrations ») ne sont pas étayées d’éléments probants scientifiques. Il se cantonnerait derrière des publications, qu’il avait la possibilité de critiquer objectivement, et de les interpréter à son gré avec moult biais qui entrainent une désinformation des lecteurs ou auditeurs. Il est aussi grand fervent des vaccins (« on ne transmet plus la covid une fois vacciné »), pour le plus grand bénéfice de l’industrie pharmaceutique qui a bien entendu très largement plus à gagner à vendre 20€ (et parfois bien plus) un vaccin expérimental à 6 milliards de personnes qu’à vendre à quelques centaines de millions un traitement à 2€. Le bénéfice pour l’industrie, le risque pour le patient. En outre, le Pr Molimard est pharmacologue et médecin, il a donc un double diplôme. Le consentement libre et éclairé, les conventions d’Helsinki et d’Oviedo ne devraient avoir aucun secret pour lui. De plus, en respect de son serment d’Hippocrate, il lui était demandé de respecter le patient.
La base de données https://transparence.sante.gouv.fr, consultée via le site eurosfordocs.fr, comptabilise le montant des avantages perçus de l’industrie pharmaceutique. Les sommes comptabilisées le sont pour les sociétés savantes signataires de ladite tribune, mais également pour leurs représentants à titre individuel au cours des 4 dernières années. Les montants rapportés ne comptabilisent pas les conventions où les montants ne sont pas déclarés.
Les résultats sont édifiants...
Comme le fait remarquer l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, ce qui déclenche l’ire des promoteurs du covidisme, c’est bien sûr la parution de cette étude rétrospective, qui montre l’efficacité du « protocole Raoult », mais aussi, et peut-être surtout, la mise en ligne de l’intégralité des données de l’IHU sous-tendant l’article, soit les données brutes de tous les patients soignés pour un covid par le professeur et ses collègues. Un matériau inaltérable et accessible, qui fait à lui seul la lumière sur l’incurie, au bas mot, des dirigeants du coup d’État sanitaire et de leurs lieutenants médiatico-« scientifiques ». (E&R)
Oui les compagnies pharmaceutiques fabriquent désormais tous les vieux vaccins sous la formule d’ARNm ! Chaque gouvernement est obligé d’acheter 10 injections par personne, homme, femme ou bébé, dans chaque pays ! C’est le nouveau plan de dépopulation. Mieux, après avoir détruit notre système immunitaire, ils vont rendre le peuple d’esclaves dépendant de traitements (payants) pour pouvoir survivre ! – ce qui ne sera évidemment possible qu’aux riches…
Encore une fois comprenez que TOUS LES VACCINS, quels qu’ils soient, nouveaux ou “anciens”, SERONT DÉSORMAIS à ARNm (même ceux obligatoires pour les nourrissons)
C’est un coup d’Etat invisible impitoyable en cours. Nous savions qu’il allait arriver et il prend forme – (Hervé Juvin député européen) – Mais cet abominable nouveau crime contre l’humanité peut encore échouer si tout simplement tout le monde dit dès maintenant : NON
La publication de la série finale par l'IHU démontre que ces malfrats ont activement participé au (CENSURE) par privation de soins de dizaines de milliers de personnes en France.
On comprend qu'ils soient quelque peu stressés à la perspective de se retrouver tôt ou tard devant la justice pour répondre de leurs actes.
Tic-tac, tic-tac !
Ils nous donnent en attendant un nouvel exemple magistral de délire paranoïaque raisonnant...
Les députés britanniques craignent qu’un nouveau traité visant à accroître les pouvoirs de l’OMS ne lui permette de fermer les frontières et d’introduire les passeports vaccinaux
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) pourrait imposer des mesures de confinement au Royaume-Uni [et dans tous les pays européens] lors d’une future pandémie en vertu de nouveaux pouvoirs étendus.
Les États membres seraient tenus de suivre les instructions de l’Agence lorsqu’ils réagissent à des pandémies, notamment en introduisant des passeports vaccinaux, des fermetures de frontières et des mesures de quarantaine, selon un projet de mise à jour des règlements de l’Agence.
Un nouveau « traité sur les pandémies » en cours de discussion obligerait également la Grande-Bretagne à consacrer 5 % de son budget de santé à la préparation d’une nouvelle épidémie de virus.
Les ministres se disent alarmés par les projets visant à accroître les pouvoirs de l’OMS, ce qui permettrait à son organe directeur d’exiger des pays qu’ils lui remettent la recette des vaccins, sans tenir compte des droits de propriété intellectuelle, et de lutter contre la désinformation.
Les députés conservateurs ont écrit aux ministres pour les mettre en garde contre une « ambition évidente pour l’OMS de passer d’une organisation consultative à une autorité internationale de contrôle ».
Ce partenariat est considéré comme un moyen de lutter contre la « mésinformation » médicale observée pendant la pandémie.
Sur le moteur de recherche Google, des panneaux de connaissances figurent déjà en haut des résultats lorsque les utilisateurs recherchent certaines pathologies et maladies.
Bientôt, les panneaux de connaissances incluront davantage d’affections et de maladies telles que les troubles dépressifs, Ebola, la BPCO, le paludisme, l’hypertension, le diabète, le Mpox et d’autres encore, en utilisant des informations vérifiées par l’OMS.
Dans le cadre d’un précédent partenariat, Google a octroyé plus de 320 millions de dollars à l’OMS sous forme de subventions publicitaires pour l’aider à diffuser ses informations médicales. Dans le cadre du nouveau partenariat, Google a accordé à l’organisation mondiale de santé publique 50 millions de dollars supplémentaires pour poursuivre ses efforts.