Suite à la publication en août 2024 d’un rapport du gouvernement américain établissant un lien entre des niveaux plus élevés de fluorure dans l’eau potable et un QI plus faible chez les enfants, une nouvelle étude menée par les National Institutes of Health semble confirmer ces résultats.
La nouvelle analyse, publiée lundi dans JAMA Pediatrics, révèle que l’exposition au fluorure dépassant 1,5 milligramme par litre (mg/L) est associée à une diminution de l’intelligence chez les enfants.
L’étude, menée par le National Toxicology Program (NTP) des États-Unis, a duré neuf ans et constitue la plus grande méta-analyse réalisée à ce jour sur les effets du fluorure sur la santé.
Les études examinées ont mesuré les niveaux de fluorure dans l’eau potable et dans l’urine. Les auteurs ont utilisé le fluor urinaire comme indicateur de l’exposition totale au fluor.
74 études examinées
Parmi les 74 études examinées, 64 ont établi un lien entre des niveaux d’exposition au fluorure plus élevés et un QI plus faible chez les enfants. La force de cette association est considérée comme modérée à importante.
Trente et une études ont constaté une relation dose-réponse, c’est-à-dire qu’une augmentation des niveaux de fluorure dans l’eau de boisson était liée à une diminution supplémentaire des résultats de QI chez les enfants.
Toutefois, la relation entre le fluor et les résultats inférieurs en matière de QI ne persistait que lorsque les concentrations de fluor dans l’eau de boisson étaient supérieures à 1,5 mg/l, soit plus que la norme actuelle de 0,7 mg/l pour l’eau de boisson fluorée.
Le seuil de 1,5 mg/l est la même concentration que celle identifiée dans le rapport du NTP d’août 2024. Ce rapport a été cité plus de 120 fois dans un procès qui a conduit le tribunal à statuer que l’Environmental Protection Agency (EPA) devait réviser sa norme actuelle de 0,7 mg/L pour l’eau potable.
En évaluant le fluor urinaire, les chercheurs ont constaté que chaque augmentation de 1 mg/L de fluor urinaire était associée à une diminution moyenne de 1,14 à 1,63 point de QI.
Le fluorure peut traverser la barrière hémato-encéphalique et s’accumuler dans les zones du cerveau responsables de la cognition et de la mémoire, bien que ses effets sur le cerveau ne soient pas encore clairs.
Les résultats de l’étude éclairent les futures évaluations des risques et des avantages liés à l’exposition au fluorure, écrivent les auteurs, en soulignant notamment la contribution significative de l’eau et des boissons fabriquées avec de l’eau fluorée, comme les sodas, les jus de fruits, la bière et certaines eaux en bouteille, à l’ingestion totale de fluorure.
Aux États-Unis, on estime qu’environ 40 à 70 % des apports en fluor proviennent de l’eau de boisson fluorée.
L’Organisation mondiale de la santé a fixé à 1,5 mg/l la dose maximale de fluorure dans l’eau de boisson et le service de santé publique des États-Unis recommande une concentration de fluorure de 0,7 mg/l dans l’eau de boisson. Cependant, « des niveaux de fluorure supérieurs à 1,5 mg/L sont trouvés dans les puits et les systèmes d’eau communautaires qui desservent près de 3 millions de personnes aux États-Unis », a déclaré Christine Bruske Flowers, directrice de la communication aux Instituts nationaux de la santé, au Epoch Times.
Food & Water Watch contre l’EPA
En septembre 2024, devant un tribunal fédéral californien, l’organisation environnementale à but non lucratif Food & Water Watch a poursuivi l’EPA, arguant que l’ajout de fluorure à l’eau potable était nocif. Le juge a donné raison à Food & Water Watch, estimant que le niveau actuel de fluorure dans l’eau potable (0,7 mg/l) pose un « risque déraisonnable » pour le quotient intellectuel des enfants.
Cette décision se fonde sur le rapport du NTP, qui a constaté que les concentrations de fluorure proches de la norme actuelle de l’EPA présentaient un risque pour le développement neurologique.
L’EPA est désormais tenue de prendre des mesures pour remédier à ce risque, ce qui pourrait entraîner des changements importants dans la manière dont nous traitons l’eau potable.
Désaccord des experts
Malgré les conclusions de l’étude, les experts ne s’entendent pas sur la signification des résultats.
Les études qui ont suggéré un lien entre l’exposition au fluor pendant l’enfance et la réduction du QI « ont leurs limites », a déclaré au Epoch Times Suparna Mahalaha, professeur adjoint à l’école de médecine dentaire de l’université Case Western, qui n’a pas été associée à l’étude.
Dans un éditorial publié en même temps que la nouvelle étude, le Dr Steven Levy, un dentiste qui n’a pas participé à l’étude, souligne qu’il n’y a « aucune preuve » d’un effet néfaste aux niveaux de fluorure inférieurs couramment utilisés dans les systèmes communautaires de fluoration de l’eau.
Un exemple qu’il a cité en opposition à l’étude du NTP est l’utilisation par les chercheurs du fluorure urinaire comme moyen de mesurer l’exposition au fluorure à long terme, déclarant que de telles mesures ne sont pas valables parce que « le fluorure a une courte demi-vie et qu’il y a une variation substantielle à l’intérieur des jours et d’un jour à l’autre ».
Flowers a souligné l’importance de l’eau fluorée et son utilisation depuis des décennies pour réduire les caries dentaires et améliorer la santé bucco-dentaire en général.
Cependant, l’augmentation des modes d’exposition au fluor peut également mettre en danger les femmes enceintes et les enfants.
La consommation de fluor par le biais d’aliments et de boissons préparés avec de l’eau fluorée, de dentifrices et de bains de bouche peut augmenter l’exposition totale au fluor des enfants et des femmes enceintes « et peut affecter le développement neurologique du fœtus, du nourrisson et de l’enfant », a ajouté Flowers.
Mahalaha note que la concentration de fluorure dans l’eau potable est bien inférieure à celle qui est ajoutée au dentifrice et aux bains de bouche, c’est pourquoi il est essentiel de s’assurer que les enfants n’avalent pas ces produits.
Les tubes de dentifrice portent des avertissements contre l’ingestion, car un apport excessif de fluorure peut être nocif.
[...]
A la fin de la vidéo Ana Milhacea fait mention de deux solutions pour annihiler l'autoassemblage des nanostructures dans le sang.
« Si vous voulez empêcher les nanoparticules de s'autoassembler, vous devez utiliser un agent chélateur et un agent réducteur. Et que mentionnent ils dans leur brevet ? EDTA et acide ascorbique. C'est de là que je l'ai tiré et ça fonctionne. »
Le lecteur remarquera que nous écrivons LE Covid-19 et non LA Cov-19 car nous n’ignorons pas, contrairement à certains, que le Covid-19 était UN virus ; tandis que si nous parlions d’une bactérie, nous pourrions dire alors LA bactérie !
Tout d’abord, une bonne nouvelle
Un rapport de plus de cinq cents pages en provenance des Etats-Unis tord le cou des fanatiques du Covid-machin ! Ce sont, principalement, des parlementaires républicains qui l’ont rédigé, après deux ans de recherches diverses.
Vous ne le trouverez certainement pas en France, surtout dans la presse classique qui ne s’intéresse jamais à la vérité !
Le Journal de Montréal (Québec), il y a quelques jours en a révélé quelques extraits :
Le virus aurait, très probablement, été le résultat d’un accident de laboratoire à Wuhan (Chine), dans le cadre de recherches sur le gain de fonction financées par l’État américain. Les gouvernements américains et chinois, le Dr Fauci, ainsi que des membres de la communauté scientifique, auraient alors tenté de dissimuler les faits ;
Les « 6 pieds » (un peu moins de deux mètres) de distanciation sociale, recommandé par les dirigeants mondiaux, ne reposaient sur aucune base scientifique ;
Encore plus interpellant, aucune preuve scientifique n’aurait permis de démontrer que les masques avaient été efficaces pour contrôler la propagation du virus ; en réalité, les virus, minuscules, passent à travers les mailles des masques ;
Le gouvernement n’aurait pas tout dit, et a même volontairement mésinformé les citoyens, en qualifiant, notamment, la théorie de l’accident de laboratoire de « théorie du complot » ; en réalité, ce sont les scientifiques et les gouvernants qui ont fait preuve de complotisme ;
L’efficacité du vaccin aurait été (largement) exagérée…
Et, bien d’autres vérités sont ainsi mises en lumière dans le rapport.
Celles et ceux qui étaient traités autrefois (parfois encore maintenant) de complotistes n’avaient pas tort. Cette enquête explosive vise à le prouver… et à se préparer pour la prochaine pandémie !
Autre sujet : les odeurs
Certaines personnes, de plus en plus nombreuses confient qu’elles peuvent sentir les odeurs émises par les vaxxés.
Deux chercheurs, Jeff Rense et Erica Khan pensent que la plupart de ces odeurs sont certainement des composés organiques volatils (ou COV), c’est-à-dire des gaz et des aldéhydes émis par la peau et tous les fluides corporels des injectés.
[...]
« Les personnes à qui l’on a injecté l’arme biologique (le sérum expérimental) commencent à souffrir des effets d’un dysfonctionnement immunitaire. En raison de la production interne et de la persistance de la protéine toxique spike, leur corps lutte pour surmonter les dommages constants infligés par ce poison métabolique dans presque toutes les parties du corps. À mesure que le sang et le système vasculaire dégénèrent, les organes et les tissus sont privés de l’oxygène et des nutriments nécessaires à leur fonctionnement, tandis que les déchets s’accumulent et empoisonnent les cellules. Avec le temps, d’autres organes et les tissus commencent à dégénérer et un processus de décomposition s’enclenche, ouvrant la voie aux infections opportunistes et au cancer. »
Il fonctionne comme un service de blanchisserie nocturne : toutes les vannes d’eau sont ouvertes et les machines à laver tournent à plein régime pour éliminer la saleté des piles de vêtements et rejeter les eaux usées dans les égouts.
Le cerveau produit en permanence divers déchets et si ceux-ci ne sont pas éliminés à temps, nous le ressentons. Les signes peuvent aller d’une sensation de brouillard et de fatigue à des troubles cognitifs.
Heureusement, il est possible de faire des efforts pour optimiser l’élimination des déchets pendant la nuit.
Éliminer les déchets
Le cerveau humain est l’un des organes les plus actifs sur le plan métabolique, puisqu’il représente environ 20 % de la dépense énergétique totale du corps. Ce niveau élevé d’activité génère des déchets importants. Les petits sous-produits, tels que le dioxyde de carbone, l’urée et l’ammoniaque, se diffusent dans les capillaires et sont éliminés par la circulation sanguine. Les protéines neurotoxiques plus importantes, notamment la bêta-amyloïde et la protéine tau, toutes deux largement associées à un risque accru de maladie d’Alzheimer, ne peuvent pas être éliminées par la seule circulation sanguine en raison de leur taille.
Dans le passé, on pensait que le cerveau ne disposait pas d’un système lymphatique pour éliminer les déchets et qu’il dépendait uniquement de mécanismes internes pour se débarrasser des déchets.
Toutefois, en 2012, des chercheurs ont découvert un mécanisme spécialisé dans le cerveau, analogue au système lymphatique et capable d’évacuer les déchets les plus volumineux des profondeurs du cerveau. Ce système a été baptisé système glymphatique, portmanteau de « glial » (en référence aux cellules gliales) et de « lymphatique ». Il est également connu sous le nom de système pseudo-lymphatique.
Les artères du cerveau sont entourées d’une structure semblable à une gaine, le liquide céphalo-rachidien circulant dans l’espace entre l’artère et cette gaine. Pendant le sommeil, les vaisseaux sanguins du cerveau se contractent, augmentant l’espace entre les vaisseaux et la gaine, ce qui permet au liquide céphalo-rachidien de s’écouler davantage. Lorsque les artères battent, le liquide céphalo-rachidien est pompé à travers le tissu cérébral, éliminant les déchets – tels que les protéines bêta-amyloïdes et tau – des espaces profonds entre les cellules cérébrales, pour finalement les éliminer du cerveau.
Sommeil profond
« Les processus d’élimination des déchets dans le cerveau fonctionnent à peine pendant l’éveil. Il s’agit plutôt d’un processus qui se produit dans les phases de sommeil profond », a déclaré à Epoch Times Moira Junge, titulaire d’un doctorat en psychologie de la santé, PDG de la Sleep Health Foundation en Australie et professeure agrégée de clinique à l’université de Monash.
Le sommeil se divise en deux états : le sommeil à mouvements oculaires rapides (REM) et le sommeil à mouvements oculaires non rapides (NREM). Ce dernier représente 75 % du temps total de sommeil et se divise en trois stades, N1, N2 et N3, chacun reflétant des niveaux de sommeil de plus en plus profonds.
Pendant le stade N3, les ondes cérébrales sont les plus lentes.
« C’est un sommeil si profond que l’on n’est pas facilement dérangé par l’environnement extérieur ; par exemple, on n’entend pas le chien aboyer à l’extérieur ni son partenaire venir au lit », a déclaré Junge.
Pendant le sommeil, le corps passe par les différents stades de manière séquentielle, formant un cycle de sommeil complet d’une durée d’environ 90 minutes. Au cours de la nuit, une personne connaît généralement quatre ou cinq cycles de sommeil.
Le système glymphatique devient plus actif pendant le sommeil, en particulier pendant le sommeil profond, ce qui permet une élimination plus efficace des déchets, a déclaré le Dr Jingduan Yang, psychiatre et fondateur du Yang Institute of Integrative Medicine en Pennsylvanie.
Dans une étude sur la souris publiée dans Science, les chercheurs ont utilisé des traceurs pour surveiller les changements dans le flux du liquide céphalo-rachidien. Ils ont constaté que pendant le sommeil, l’espace interstitiel, ou intermédiaire, s’élargissait de plus de 60 % et que l’afflux de traceurs augmentait. Le taux d’élimination de la bêta-amyloïde par le cerveau a doublé pendant le sommeil (ou sous anesthésie) par rapport à l’état d’éveil.
Accumulation de bêta-amyloïde
Malheureusement, les Américains d’aujourd’hui dorment moins que jamais.
En 2023, 42 % des Américains estiment qu’ils dorment suffisamment, selon le sondage Gallup de décembre 2023. Une personne sur cinq dort moins de cinq heures par nuit, contre seulement 3 % en 1942.
La réduction de la durée du sommeil peut également être attribuée au fait que les gens se couchent de plus en plus tard. Une étude a montré qu’en retardant l’heure du coucher d’une heure seulement, on réduit la durée totale du sommeil de 14 à 33 minutes par nuit.
Outre le fait que nous nous couchons plus tard et dormons moins, nous ne dormons pas bien non plus. Selon l’American Psychiatric Association, plus de 50 millions de personnes aux États-Unis souffrent de troubles chroniques du sommeil tels que l’insomnie et l’apnée du sommeil.
Ces problèmes réduisent et perturbent directement le sommeil profond, raccourcissant la fenêtre critique pendant laquelle le système glymphatique fonctionne de manière optimale. Cela entraîne une plus grande accumulation de déchets dans le cerveau.
Les personnes ayant un sommeil moins adéquat et plus de problèmes de sommeil avaient une charge amyloïde plus importante dans les régions du cerveau sensibles à la maladie d’Alzheimer.
Une étude menée chez l’homme en 2021 a montré que même une seule nuit de privation de sommeil peut nuire à la capacité du cerveau à éliminer les déchets.
Un essai clinique antérieur a montré qu’en dépit de la variation interindividuelle relativement importante attendue dans les niveaux d’un type de bêta-amyloïde, l’accumulation moyenne de bêta-amyloïde à partir de trois échantillons matinaux de sommeil illimité était inférieure de 6 % à celle de trois échantillons du soir.
En comparaison, les participants restés éveillés pendant 24 heures présentaient des niveaux de bêta-amyloïde jusqu’à 75,8 picogrammes par millilitre plus élevés. Cela démontre que le sommeil sans restriction réduit les protéines bêta-amyloïdes, mais que la privation de sommeil contrecarre cet effet. En outre, plus la durée du sommeil est longue – à condition qu’elle ne soit pas excessive – plus la réduction des biomarqueurs bêta-amyloïdes est importante. (…)
L'étude révolutionnaire réalisée par d'éminents chercheurs sud-coréens a révélé que les émotions, la personnalité, les sentiments, les peurs, les niveaux de stress, le bien-être mental et la vision générale de la vie des gens ont changé après avoir reçu l'injection du « vaccin ».
L'étude évaluée par des pairs, portant sur plus de 2 millions de personnes, a été publiée dans la prestigieuse revue Nature .
L'étude a été dirigée par le professeur Hong Jin Kim du département de chirurgie orthopédique de l'hôpital Sanggye Paik de l'université d'Inje et du collège de médecine de l'université d'Inje à Séoul, en République de Corée.
Les chercheurs ont confirmé que les injections de Covid sont responsables de l’augmentation des rapports faisant état de changements significatifs de personnalité et de comportement chez les personnes dans le monde au cours des quatre dernières années.
Ils expliquent que les « vaccins » provoquent des « manifestations psychiatriques » chez les vaccinés.
L’étude a révélé que ces changements psychiatriques entraînaient une augmentation des troubles mentaux.
Les patients ont décrit des sentiments de troubles intérieurs, d’anxiété, de peur et de dépression.
L’étude a révélé que la vaccination contre le Covid a provoqué une augmentation de 68,3 % des dépressions, de 43,9 % des troubles anxieux et de 93,4 % des troubles du sommeil.
Les chercheurs ont recruté 50 % de la population basée à Séoul.
Les participants ont été sélectionnés au hasard dans la base de données du Service national coréen d'assurance maladie (KNHIS).
Le nombre total de participants était de 2 027 353.
Ils ont été divisés en deux groupes après la vaccination contre le COVID-19.
Les incidences cumulées pour 10 000 événements indésirables (EI) psychiatriques ont été évaluées une semaine, deux semaines, un mois et trois mois après la vaccination contre le Covid.
Les rapports de risque (HR) et les intervalles de confiance (IC) à 95 % pour les événements indésirables psychiatriques ont été mesurés pour la population vaccinée, écrivent les chercheurs.
Ils affirment à juste titre que la protéine Spike pourrait être la principale cause de l’augmentation des troubles psychiatriques provoqués par la vaccination :
« Notre étude suggère que la neuroinflammation provoquée par les protéines de pointe pourrait contribuer à l’apparition de certains troubles psychiatriques tels que la dépression et l’anxiété, les troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes. »
Cela s’inscrit dans le contexte où les taux de dépression aux États-Unis ont atteint un niveau record depuis 2020/2021. (Voir Gallup )
Certains ont fait valoir que cette augmentation pourrait être due en partie aux mesures draconiennes de réponse à la pandémie, telles que le confinement, l’obligation de porter un masque et la suppression d’emplois.
La nouvelle étude de Kim et al. Cependant, cela suggère maintenant que les « vaccins » à ARNm contre le Covid pourraient en être responsables.
L'étude a été publiée à un moment où des experts de renom du monde entier réclament de plus en plus l'interdiction des injections.
Comme Slay News l'a précédemment rapporté, l'ancien vice-président de Pfizer a averti le public dans un témoignage explosif que les « vaccins » anti-Covid étaient « intentionnellement conçus pour nuire aux personnes qui les reçoivent ».
Dr. Mike Yeadon a témoigné que les injections d’ARNm du Covid sont « déguisées en vaccins ».
Yeadon a publié sa déclaration dans une vidéo qu'il a partagée avec le Parlement de l'Île du Nord.
Cependant, au lieu de compter sur les législateurs et les représentants du gouvernement pour faire passer son message au public, Yeadon a publié l'intégralité de sa déclaration vidéo en ligne.
Dans les 15 prochaines minutes, je voudrais m'adresser à ceux d'entre vous qui ont subi des blessures causées par les vaccins ou à ceux qui sont restés sur place, ainsi qu'à ceux d'entre vous qui sont impliqués dans le processus politique en Irlande du Nord et partout ailleurs dans le monde et qui pourraient m'entendre.
À la fin de ce processus, j’espère que vous croirez ce que je vous dis.
Il est choquant que le matériel déguisé en « vaccin » ait été intentionnellement conçu pour nuire aux personnes qui le reçoivent.
Je suis probablement l’ancien directeur de recherche d’une société pharmaceutique le plus qualifié pour commenter ce sujet.
Ayant passé toute ma carrière à travailler avec des équipes développant des molécules pour de nouveaux médicaments potentiels, je me sens qualifié pour commenter ce sujet.
Et tel est mon verdict choquant, qui n’a fait que se renforcer au cours des quatre dernières années depuis que je l’ai prononcé pour la première fois.
J’ai également quelques suggestions sur ce que nous pouvons faire ensemble pour lutter contre la criminalité mondiale qui persiste. »
C’est ce 4 décembre que la famille d’Emmy saura si la justice reconnaît les souffrances de cette enfant décédée à 11 ans des suites d’une longue leucémie. Pour le moment, la maladie d’Emmy a été reconnue par le Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides comme directement liée à l’exposition aux pesticides de sa mère fleuriste, quand celle-ci était enceinte.
Cette affaire, qui a mis en lumière les risques professionnels du métier de fleuriste, invite à réfléchir aux alternatives à l’importation de fleurs cultivées à l’autre bout du monde avec des produits parfois interdits en Europe. Basta! est ainsi allé à la rencontre de floricultrices qui explorent et pratiquent des modes de cultures sans pesticides.
« Certains clients étaient en plein désarroi et inquiets en découvrant l’histoire de Emmy », évoque Isabelle Leroux, floricultrice installée depuis quelques mois à une cinquantaine de kilomètres de Saint-Brieuc, dans les Côtes-d’Armor. Les floricultrices rencontrées sont régulièrement interpellées par leurs clients fleuristes sur le sujet. Celles et ceux qui cultivent des fleurs en bio peuvent les rassurer sur leur façon de travailler.
Alors que la saison des fleurs se termine en cette fin de mois de novembre, sous la serre d’Isabelle installée au milieu de sa petite parcelle de 6000 m², seuls les alstrœmères – ou lys des Incas – sont encore fleuris. Ils colorent le tunnel de rouge, orange, blanc et rose et côtoient les semis de ce qui fera les bouquets du prochain printemps. « Cela fait trois semaines que je suis au champ à broyer les cultures annuelles, poser des bâches, nettoyer et faire du tri », détaille la productrice, qui a longtemps travaillé avec des personnes en situation de handicap.
Même scénario chez Emeline Declerck, installée près de Morlaix, dans le Finistère, depuis 2018, après avoir travaillé dans le secteur audiovisuel : « Je finis la vente cette semaine avec ce qu’il reste de fleurs séchées, puis je fais une pause côté commercialisation. » Outre le marché hebdomadaire de Morlaix, Emeline Declerck (qui travaille avec une salariée) vend ses fleurs à des fleuristes et épiceries. Elle a aussi un grossiste qui vient de Rennes.
De son côté, Isabelle fait pour le moment deux marchés par semaine. La veille, elle récolte et confectionne les bouquets. Cela ne laisse pas beaucoup de temps pour nettoyer, arroser et prendre soin de ce qui pousse. « Les semaines estivales, je fais bien mes 45 heures, même si j’ai un peu d’aide de ma famille. Je m’en sors parce que j’ai une petite surface. »
De petites fermes de fleurs
« Au sein de l’association des Fermes florales bios (FFB), nous avons toutes des structures de petite taille avec des cultures très diversifiées, remarque Emeline Declerck qui préside cette organisation et qui cultive 8000 m², dont 6000 en plein champ. Cela permet une certaine résilience. Si on se plante d’un côté, cela va marcher de l’autre. Cela fait sept ans que je suis installée et j’ai toujours eu des fleurs à vendre ; et elles sont aussi belles et souvent plus solides et vigoureuses que celles qui arrivent de l’autre bout du monde, ou de l’Europe. »
La petitesse des fermes laisse aussi la possibilité d’intervenir manuellement, ce qui est tout à fait inenvisageable dans de plus grosses exploitations. « Je suis passée enlever les chenilles à la main, c’est possible pour moi de prendre ce temps », rapporte ainsi Isabelle.
Mais en fleurs comme ailleurs, le secret quand on n’utilise pas de pesticides, c’est d’anticiper. « On n’a quasiment pas de solutions curatives pour faire face aux animaux, champignons et bactéries, explique Emeline Declerck. Cela oblige à plus penser en amont à ce qu’on fait et à observer ce qui se passe pour ne pas répéter nos erreurs d’une année sur l’autre. Mais en même temps, c’est tout l’intérêt de notre métier. »
Penser la rotation des fleurs
Choix des variétés les mieux adaptées au milieu, rotation des cultures, enrichissement de l’environnement : elle liste quelques méthodes pour éviter les galères. « Ne pas les replanter au même endroit chaque année permet de casser le cycle des ravageurs et d’en diminuer la pression, détaille Emeline. Comme un maraîcher se casse la tête à ne pas faire revenir trop souvent ses tomates au même endroit, le ou la floricultrice doit également penser la rotation de ses fleurs. L’idéal est souvent un minimum de quatre ans par famille botanique, mais il faut l’avouer c’est souvent compliqué. »
« Produire de la fleur bio en plein champ, cela augmente les difficultés, intervient Sophie Vairon, installée depuis 2019 non loin de Quimper (Finistère). Je dois gérer la pression des lièvres, chevreuils, sangliers et rongeurs sans avoir recours à aucun produit. J’ai de grosses ponctions sur ma production qui m’obligent à surestimer le nombre de plants pour qu’il m’en reste suffisamment à vendre. » Les floricultrices doivent également composer avec les aléas de la météo, a fortiori quand elles font le choix de ne pas cultiver sous serre, comme Sophie. « De ce côté-là, aucune prévision n’est possible et ça peut être dur psychologiquement », juge cette ancienne sportive de haut niveau, également passée par l’animation à l’environnement avant de s’installer, vers 40 ans.
[...]
Il semblerait que le président de la FNSEA l’ai reconnu et que cette fois-ci il a été filmé. Affaire à suivre.
On vous interdit d’enterrer un gros chien mais là on va faire des trous immenses pour cacher le massacre. Là, la nappe phréatique ne risque rien ! Pourquoi n’entend-t-on pas les escrologistes ?
Décidément on veut éliminer les paysans !
vidéo : https://vk.com/video623355650_456240448
Deux déclarations de Kennedy retiennent l’attention : 1) je n’interdirai pas les vaccins ; 2) je vais faire en sorte qu’on cesse de mettre du fluor dans l’eau de boisson.
Sur le premier point – alors qu’il a été présenté comme un antivax hystérique – c’est filou.
Il nous fait comprendre que ce qu’il veut c’est : 1) rétablir la liberté de se vacciner (ou pas) ; 2) injecter un peu de science dans la médecine des vaccins.
Dit autrement, les citoyens doivent être correctement informés et ensuite pouvoir décider eux-mêmes (Vive la Liberté !) s’ils veulent se vacciner (ou vacciner leurs bébés) ou pas.
Qui peut être contre ?
Bien sûr, les bureaucrates de ministères et des sociétés (supposées) savantes vont hurler qu’il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles.
C’est une idée stupide et Kennedy permet d’ouvrir le débat, enfin ! On pourra enfin discuter des concepts de «couverture vaccinale» et autres slogans tels «protège-toi pour protéger les autres» dont on a vu l’efficacité pendant la Covid.
Tout cela est un acquis fantastique pour quiconque aime les réalités et veut échapper à la censure.
C’est un gain important pour la santé publique et celle de chaque personne. On peut clarifier. Il était temps !
Sur le deuxième point, c’est magnifique : on analyse enfin les données existantes concernant la toxicité du fluor dans l’eau distribuée aux citoyens américains.
D’abord, je dois me confesser : je n’ai jamais travaillé sur la toxicité du fluor et j’ignorais que du fluor était administré aux américains (y compris les bébés) via les eaux de boisson.
Plus précisément, je savais que nos vallées alpines avaient été massivement polluées par le fluor utilisé dans l’industrie de l’aluminium mais je pensais l’affaire «classée».
À la suite de Kennedy déclarant la guerre aux eaux fluorées – fluoration supposément destinée à protéger contre les caries dentaires de nos chérubins – j’ai entrepris un travail d’analyse des données existantes sur le sujet ; c’est mon sport favori !
Quelle ne fut pas ma surprise !
Première constatation : si la fréquence des caries chez les enfants s’est effondrée au cours des dernières décennies, il est peu probable que ce soit dû à la fluoration des eaux.
Pourquoi suis-je affirmatif ? Parce que la même chute des caries a été observée dans les pays qui fluorent leurs eaux et ceux qui ne fluorent pas. Facile à vérifier, je copie deux graphiques extraits d’une publication de l’Université Harvard à Boston : https://www.hsph.harvard.edu/fluoridated-drinking-water
Les anglophones disent «cavitiy rates» pour fréquence des caries dentaires.
[...]
Les rayonnements électromagnétiques ne sont pas seulement nocifs sur le plan physique et psychologique, ils peuvent même induire une capacité accrue à contrôler l’esprit des gens.
Dans le monde interconnecté d’aujourd’hui, l’accès à l’internet sans fil est devenu omniprésent, présent dans presque tous les cafés, bureaux et maisons. Mais les signaux Wi-Fi ne sont pas inoffensifs. Les rayonnements de radiofréquence (RF) bombardent constamment les cellules et influencent les ondes cérébrales. Les ondes extrêmement basses fréquences (ELF) sont particulièrement préoccupantes, car elles peuvent interférer avec les ondes cérébrales et amener une personne à entrer, à son insu, dans un état d’esprit suggestif. Le Wi-Fi est un vecteur d’ingénierie sociale, qui amène les individus à renoncer à leur esprit critique pour se conformer aux récits officiels et à la pensée de groupe.
Keith Cutter, critique bien connu de la technologie sans fil moderne, a passé des années à explorer le côté obscur du rayonnement Wi-Fi. Selon lui, l’impact du Wi-Fi ne se limite pas à l’exposition directe aux rayonnements, mais s’étend à des effets plus subtils et inquiétants, notamment l’entraînement des ondes cérébrales, les perturbations cognitives et ce qu’il appelle « l’effet mémoire du Wi-Fi » sur les tissus corporels.
Le Wi-Fi fonctionne à l’aide de champs électromagnétiques de radiofréquence, transmettant des données par le biais d’un rayonnement RF modulé par impulsion. Si la technologie elle-même peut sembler inoffensive – après tout, la plupart des appareils n’émettent que des niveaux relativement faibles de rayonnement RF -, Cutter estime que l’impact cumulatif de cette exposition au fil du temps est loin d’être bénin.
L’une des principales préoccupations de Cutter est l’effet des ondes extrêmement basses fréquences (ELF), que le Wi-Fi émet en plus de ses signaux RF à plus haute fréquence. Les ondes ELF se situent entre 3 et 30 Hz environ, une gamme de fréquences qui se trouve à chevaucher les fréquences d’oscillation naturelles du cerveau humain. L’activité électrique du cerveau est divisée en différentes bandes de fréquences, chacune étant associée à différents états de conscience et fonctions mentales :
Ondes delta (0,5-4 Hz) : Associées au sommeil profond, à la guérison et à la relaxation
Ondes thêta (4-8 Hz) : liées à la relaxation profonde, à la méditation et à la créativité
Ondes alpha (8-12 Hz) : Présentes dans les états calmes et détendus, tels que le rêve éveillé ou la méditation légère.
Ondes bêta (13-30 Hz) : Associées à la pensée active, à la concentration et à la résolution de problèmes.
Ondes gamma (30-44 Hz) : Impliquées dans les fonctions cognitives supérieures telles que l’apprentissage, la mémoire et le traitement sensoriel.
Cutter est surtout préoccupé par les impulsions ELF de 10 Hz émises par les balises Wi-Fi. Ces balises, qui émettent constamment des impulsions à cette fréquence, diffusent essentiellement un signal persistant pour s’assurer que les appareils restent connectés. Cutter pense que les impulsions de 10 Hz peuvent avoir un effet profond sur l’activité cérébrale, notamment en induisant un phénomène connu sous le nom d’entraînement des ondes cérébrales.
L’entraînement des ondes cérébrales fait référence à la synchronisation des ondes cérébrales à une fréquence externe. Lorsque le cerveau est exposé à un stimulus externe constant à une fréquence particulière, comme le signal de 10 Hz émis par le Wi-Fi, il peut modifier ses propres schémas d’ondes cérébrales naturelles pour les faire correspondre. À 10 Hz, le cerveau entre dans un état plus détendu, proche des ondes alpha, qui correspond à une activité corticale réduite.
Cutter est particulièrement alarmé par cette situation, car une exposition prolongée au signal ELF de 10 Hz peut créer un « état suggestif », dans lequel le cerveau est plus sensible aux influences extérieures. Ces influences externes peuvent être les médias, le marketing ou même la programmation subconsciente, qui sont tous présentés aux gens lorsqu’ils sont sous l’influence d’appareils émettant des ondes Wi-Fi.
« Nous parlons de la possibilité de contrôler l’esprit », prévient Cutter, en suggérant que ce type de manipulation des ondes cérébrales peut rendre les individus plus vulnérables aux suggestions extérieures (comme l’hypnose). La manipulation pourrait être utilisée pour contraindre les populations à croire ou à penser d’une certaine manière, contre leur intuition, leur connaissance, leur pensée rationnelle ou leur instinct.
Une autre préoccupation soulevée par Cutter est la possibilité que le Wi-Fi ait un « effet mémoire » sur les tissus corporels. Il s’agit de la manière dont certaines fréquences électromagnétiques peuvent être absorbées et retenues par le corps, ce qui peut entraîner des changements physiques ou des problèmes de santé à long terme.
Cutter compare ce phénomène à un traumatisme stocké dans l’organisme, à l’instar du concept psychologique de « mémoire traumatique », selon lequel un traumatisme émotionnel ou physique se manifeste dans l’organisme même après la fin de l’événement. Dans le cas du Wi-Fi, il suggère que le corps pourrait absorber les radiations et les stocker dans les tissus, ce qui entraînerait des problèmes de santé permanents tels que la fatigue, les maux de tête et même des troubles plus graves associés à la sensibilité électrique.
Le Wi-Fi est loin d’être une commodité technologique bénigne. Sa prolifération dans la vie quotidienne constitue une « épidémie cachée » qui nuit silencieusement à la santé et au bien-être des individus et rend leur esprit plus vulnérable aux suggestions.
Un simple test des ongles et l’usage de la nattokinase pourraient aider à prévenir les thromboses.
Le Dr Sucharit Bhakdi propose une nouvelle méthode de diagnostic pour les personnes susceptibles de souffrir de dommages causés par la vaccination. Ce test, développé en collaboration avec le Dr Hannes Strasser, mesure la circulation sanguine dans les vaisseaux capillaires dans le lit de l’ongle, qui est indicatif des problèmes de thrombose.
Selon Bhakdi et Hannes, les tests démontrent également un effet bénéfique de la nattokinase (2000FU 2xJ) pour la prévention et le traitement des thromboses.
Le professeur Sucharit Bhakdi est un éminent microbiologiste qui s’est exprimé à de nombreuses reprises dans le cadre des politiques sanitaires “Covid-19” déployées en Allemagne. Il est également l’un des membres fondateurs de l’association Doctors for Covid Ethics qui a été parmi les premières à alerter l’Agence européenne des médicaments des risques liés aux injections Covid, notamment les thromboses.
Une annonce encourageante
Lors d’une interview récente pour Report 24, le professeur Bhakdi a présenté des essais en cours concernant la prévention de troubles vasculaires liés aux vaccins.
« C’est incroyable. Ma collègue a fait cet examen du lit de l’ongle sur toutes les personnes chez qui l’on suspectait des dommages causés par la vaccination. Chez beaucoup, je pense même la majorité, elle a effectivement observé des changements vasculaires. »
Menacée personnellement au téléphone par le ministre de la santé de l’époque et même par le centre anti-poison de Marseille qui ferait mieux de s’intéresser à l’analyse des poisons des flacons de toxins covid, s’ils veulent vraiment notre bien.
Tout ça pour dire qu’il faut faire et pas dire publiquement et il faut contourner la malfaisance des élites.
« Passe par le bas » injonction à retenir pour sauver notre peau. C’est un peu ce que font les sites de réinformation comme PG.