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les injections Covid et leurs effets psychiatriques

Revolution 2030 : autre sourceLes « vaccins » anti-Covid changent le comportement humain !

Revolution 2030 : autre source - 12 déc 2024

Une nouvelle étude alarmante sur les « vaccins » à ARNm contre le Covid a secoué la communauté scientifique après que des chercheurs ont confirmé que les injections modifiaient le comportement humain.

   

L'étude révolutionnaire réalisée par d'éminents chercheurs sud-coréens a révélé que les émotions, la personnalité, les sentiments, les peurs, les niveaux de stress, le bien-être mental et la vision générale de la vie des gens ont changé après avoir reçu l'injection du « vaccin ».

L'étude évaluée par des pairs, portant sur plus de 2 millions de personnes, a été publiée dans la prestigieuse revue Nature .

L'étude a été dirigée par le professeur Hong Jin Kim du département de chirurgie orthopédique de l'hôpital Sanggye Paik de l'université d'Inje et du collège de médecine de l'université d'Inje à Séoul, en République de Corée.

Les chercheurs ont confirmé que les injections de Covid sont responsables de l’augmentation des rapports faisant état de changements significatifs de personnalité et de comportement chez les personnes dans le monde au cours des quatre dernières années.

Ils expliquent que les « vaccins » provoquent des « manifestations psychiatriques » chez les vaccinés.

L’étude a révélé que ces changements psychiatriques entraînaient une augmentation des troubles mentaux.

Les patients ont décrit des sentiments de troubles intérieurs, d’anxiété, de peur et de dépression.

L’étude a révélé que la vaccination contre le Covid a provoqué une augmentation de 68,3 % des dépressions, de 43,9 % des troubles anxieux et de 93,4 % des troubles du sommeil.

Les chercheurs ont recruté 50 % de la population basée à Séoul.

Les participants ont été sélectionnés au hasard dans la base de données du Service national coréen d'assurance maladie (KNHIS).

Le nombre total de participants était de 2 027 353.

Ils ont été divisés en deux groupes après la vaccination contre le COVID-19.

Les incidences cumulées pour 10 000 événements indésirables (EI) psychiatriques ont été évaluées une semaine, deux semaines, un mois et trois mois après la vaccination contre le Covid.

Les rapports de risque (HR) et les intervalles de confiance (IC) à 95 % pour les événements indésirables psychiatriques ont été mesurés pour la population vaccinée, écrivent les chercheurs.

Ils affirment à juste titre que la protéine Spike pourrait être la principale cause de l’augmentation des troubles psychiatriques provoqués par la vaccination :

« Notre étude suggère que la neuroinflammation provoquée par les protéines de pointe pourrait contribuer à l’apparition de certains troubles psychiatriques tels que la dépression et l’anxiété, les troubles dissociatifs, liés au stress et somatoformes. »

Cela s’inscrit dans le contexte où les taux de dépression aux États-Unis ont atteint un niveau record depuis 2020/2021. (Voir Gallup )

Certains ont fait valoir que cette augmentation pourrait être due en partie aux mesures draconiennes de réponse à la pandémie, telles que le confinement, l’obligation de porter un masque et la suppression d’emplois.

La nouvelle étude de Kim et al. Cependant, cela suggère maintenant que les « vaccins » à ARNm contre le Covid pourraient en être responsables.

L'étude a été publiée à un moment où des experts de renom du monde entier réclament de plus en plus l'interdiction des injections.

Comme Slay News l'a précédemment rapporté, l'ancien vice-président de Pfizer a averti le public dans un témoignage explosif que les « vaccins » anti-Covid étaient « intentionnellement conçus pour nuire aux personnes qui les reçoivent ».

Dr. Mike Yeadon a témoigné que les injections d’ARNm du Covid sont « déguisées en vaccins ».

Yeadon a publié sa déclaration dans une vidéo qu'il a partagée avec le Parlement de l'Île du Nord.

Cependant, au lieu de compter sur les législateurs et les représentants du gouvernement pour faire passer son message au public, Yeadon a publié l'intégralité de sa déclaration vidéo en ligne.

Dans les 15 prochaines minutes, je voudrais m'adresser à ceux d'entre vous qui ont subi des blessures causées par les vaccins ou à ceux qui sont restés sur place, ainsi qu'à ceux d'entre vous qui sont impliqués dans le processus politique en Irlande du Nord et partout ailleurs dans le monde et qui pourraient m'entendre.

À la fin de ce processus, j’espère que vous croirez ce que je vous dis.

Il est choquant que le matériel déguisé en « vaccin » ait été intentionnellement conçu pour nuire aux personnes qui le reçoivent.

Je suis probablement l’ancien directeur de recherche d’une société pharmaceutique le plus qualifié pour commenter ce sujet.

Ayant passé toute ma carrière à travailler avec des équipes développant des molécules pour de nouveaux médicaments potentiels, je me sens qualifié pour commenter ce sujet.

Et tel est mon verdict choquant, qui n’a fait que se renforcer au cours des quatre dernières années depuis que je l’ai prononcé pour la première fois.

J’ai également quelques suggestions sur ce que nous pouvons faire ensemble pour lutter contre la criminalité mondiale qui persiste. »

Dr Mike Yeadon

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Pesticides :les fleuristes Bio montrent une autre voie

BastamagPesticides : des productrices bio montrent une autre voie

Bastamag - 06 déc 2024

À l’heure où l’opinion découvre que les fleuristes aussi souffrent des pesticides, cette alternative intéresse de plus en plus de clients.

   

C’est ce 4 décembre que la famille d’Emmy saura si la justice reconnaît les souffrances de cette enfant décédée à 11 ans des suites d’une longue leucémie. Pour le moment, la maladie d’Emmy a été reconnue par le Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides comme directement liée à l’exposition aux pesticides de sa mère fleuriste, quand celle-ci était enceinte.

Cette affaire, qui a mis en lumière les risques professionnels du métier de fleuriste, invite à réfléchir aux alternatives à l’importation de fleurs cultivées à l’autre bout du monde avec des produits parfois interdits en Europe. Basta! est ainsi allé à la rencontre de floricultrices qui explorent et pratiquent des modes de cultures sans pesticides.

« Certains clients étaient en plein désarroi et inquiets en découvrant l’histoire de Emmy », évoque Isabelle Leroux, floricultrice installée depuis quelques mois à une cinquantaine de kilomètres de Saint-Brieuc, dans les Côtes-d’Armor. Les floricultrices rencontrées sont régulièrement interpellées par leurs clients fleuristes sur le sujet. Celles et ceux qui cultivent des fleurs en bio peuvent les rassurer sur leur façon de travailler.

Alors que la saison des fleurs se termine en cette fin de mois de novembre, sous la serre d’Isabelle installée au milieu de sa petite parcelle de 6000 m², seuls les alstrœmères – ou lys des Incas – sont encore fleuris. Ils colorent le tunnel de rouge, orange, blanc et rose et côtoient les semis de ce qui fera les bouquets du prochain printemps. « Cela fait trois semaines que je suis au champ à broyer les cultures annuelles, poser des bâches, nettoyer et faire du tri », détaille la productrice, qui a longtemps travaillé avec des personnes en situation de handicap.

Même scénario chez Emeline Declerck, installée près de Morlaix, dans le Finistère, depuis 2018, après avoir travaillé dans le secteur audiovisuel : « Je finis la vente cette semaine avec ce qu’il reste de fleurs séchées, puis je fais une pause côté commercialisation. » Outre le marché hebdomadaire de Morlaix, Emeline Declerck (qui travaille avec une salariée) vend ses fleurs à des fleuristes et épiceries. Elle a aussi un grossiste qui vient de Rennes.

De son côté, Isabelle fait pour le moment deux marchés par semaine. La veille, elle récolte et confectionne les bouquets. Cela ne laisse pas beaucoup de temps pour nettoyer, arroser et prendre soin de ce qui pousse. « Les semaines estivales, je fais bien mes 45 heures, même si j’ai un peu d’aide de ma famille. Je m’en sors parce que j’ai une petite surface. »

De petites fermes de fleurs

« Au sein de l’association des Fermes florales bios (FFB), nous avons toutes des structures de petite taille avec des cultures très diversifiées, remarque Emeline Declerck qui préside cette organisation et qui cultive 8000 m², dont 6000 en plein champ. Cela permet une certaine résilience. Si on se plante d’un côté, cela va marcher de l’autre. Cela fait sept ans que je suis installée et j’ai toujours eu des fleurs à vendre ; et elles sont aussi belles et souvent plus solides et vigoureuses que celles qui arrivent de l’autre bout du monde, ou de l’Europe. »

La petitesse des fermes laisse aussi la possibilité d’intervenir manuellement, ce qui est tout à fait inenvisageable dans de plus grosses exploitations. « Je suis passée enlever les chenilles à la main, c’est possible pour moi de prendre ce temps », rapporte ainsi Isabelle.

Mais en fleurs comme ailleurs, le secret quand on n’utilise pas de pesticides, c’est d’anticiper. « On n’a quasiment pas de solutions curatives pour faire face aux animaux, champignons et bactéries, explique Emeline Declerck. Cela oblige à plus penser en amont à ce qu’on fait et à observer ce qui se passe pour ne pas répéter nos erreurs d’une année sur l’autre. Mais en même temps, c’est tout l’intérêt de notre métier. »
Penser la rotation des fleurs

Choix des variétés les mieux adaptées au milieu, rotation des cultures, enrichissement de l’environnement : elle liste quelques méthodes pour éviter les galères. « Ne pas les replanter au même endroit chaque année permet de casser le cycle des ravageurs et d’en diminuer la pression, détaille Emeline. Comme un maraîcher se casse la tête à ne pas faire revenir trop souvent ses tomates au même endroit, le ou la floricultrice doit également penser la rotation de ses fleurs. L’idéal est souvent un minimum de quatre ans par famille botanique, mais il faut l’avouer c’est souvent compliqué. »

« Produire de la fleur bio en plein champ, cela augmente les difficultés, intervient Sophie Vairon, installée depuis 2019 non loin de Quimper (Finistère). Je dois gérer la pression des lièvres, chevreuils, sangliers et rongeurs sans avoir recours à aucun produit. J’ai de grosses ponctions sur ma production qui m’obligent à surestimer le nombre de plants pour qu’il m’en reste suffisamment à vendre. » Les floricultrices doivent également composer avec les aléas de la météo, a fortiori quand elles font le choix de ne pas cultiver sous serre, comme Sophie. « De ce côté-là, aucune prévision n’est possible et ça peut être dur psychologiquement », juge cette ancienne sportive de haut niveau, également passée par l’animation à l’environnement avant de s’installer, vers 40 ans.

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5G - mortel !

Profession GendarmeLes animaux meurent à cause de la 5G

Profession Gendarme - 26 nov 2024

D’après cet éleveur le carnage de la 5 G est masqué sous le fallacieux prétexte de FCO (Fièvre catarrhale ovine) qui d’après lui n’a pas cours dans sa région et par dessus le marché d’autres animaux d’élevage mais aussi domestiques (chiens et chats) meurent brusquement depuis août 2024.

   

Il semblerait que le président de la FNSEA l’ai reconnu et que cette fois-ci il a été filmé. Affaire à suivre.

On vous interdit d’enterrer un gros chien mais là on va faire des trous immenses pour cacher le massacre. Là, la nappe phréatique ne risque rien ! Pourquoi n’entend-t-on pas les escrologistes ?

Décidément on veut éliminer les paysans !

vidéo : https://vk.com/video623355650_456240448

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Kennedy sur le fluor

Réseau InternationalKennedy et la fluoration des eaux de boisson

Réseau International - 24 nov 2024

La nomination (envisagée) de Robert Kennedy Junior à un poste élevé de l’administration sanitaire américaine et ses premières déclarations ont suscité des réactions variées mais extraordinairement profitables à la santé des populations concernées, et même ailleurs.

   

Deux déclarations de Kennedy retiennent l’attention : 1) je n’interdirai pas les vaccins ; 2) je vais faire en sorte qu’on cesse de mettre du fluor dans l’eau de boisson.

Sur le premier point – alors qu’il a été présenté comme un antivax hystérique – c’est filou.

Il nous fait comprendre que ce qu’il veut c’est : 1) rétablir la liberté de se vacciner (ou pas) ; 2) injecter un peu de science dans la médecine des vaccins.

Dit autrement, les citoyens doivent être correctement informés et ensuite pouvoir décider eux-mêmes (Vive la Liberté !) s’ils veulent se vacciner (ou vacciner leurs bébés) ou pas.

Qui peut être contre ?

Bien sûr, les bureaucrates de ministères et des sociétés (supposées) savantes vont hurler qu’il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles.

C’est une idée stupide et Kennedy permet d’ouvrir le débat, enfin ! On pourra enfin discuter des concepts de «couverture vaccinale» et autres slogans tels «protège-toi pour protéger les autres» dont on a vu l’efficacité pendant la Covid.

Tout cela est un acquis fantastique pour quiconque aime les réalités et veut échapper à la censure.

C’est un gain important pour la santé publique et celle de chaque personne. On peut clarifier. Il était temps !

Sur le deuxième point, c’est magnifique : on analyse enfin les données existantes concernant la toxicité du fluor dans l’eau distribuée aux citoyens américains.

D’abord, je dois me confesser : je n’ai jamais travaillé sur la toxicité du fluor et j’ignorais que du fluor était administré aux américains (y compris les bébés) via les eaux de boisson.

Plus précisément, je savais que nos vallées alpines avaient été massivement polluées par le fluor utilisé dans l’industrie de l’aluminium mais je pensais l’affaire «classée».

À la suite de Kennedy déclarant la guerre aux eaux fluorées – fluoration supposément destinée à protéger contre les caries dentaires de nos chérubins – j’ai entrepris un travail d’analyse des données existantes sur le sujet ; c’est mon sport favori !

Quelle ne fut pas ma surprise !

Première constatation : si la fréquence des caries chez les enfants s’est effondrée au cours des dernières décennies, il est peu probable que ce soit dû à la fluoration des eaux.

Pourquoi suis-je affirmatif ? Parce que la même chute des caries a été observée dans les pays qui fluorent leurs eaux et ceux qui ne fluorent pas. Facile à vérifier, je copie deux graphiques extraits d’une publication de l’Université Harvard à Boston : https://www.hsph.harvard.edu/fluoridated-drinking-water

Les anglophones disent «cavitiy rates» pour fréquence des caries dentaires.

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Wi-Fi et ingénierie sociale

Aube DigitaleLe Wi-Fi peut être utilisé pour influencer les ondes cérébrales

Aube Digitale - 20 nov 2024

Avec un potentiel d’effets hypnotiques et d’ingénierie sociale.

   

Les rayonnements électromagnétiques ne sont pas seulement nocifs sur le plan physique et psychologique, ils peuvent même induire une capacité accrue à contrôler l’esprit des gens.

Dans le monde interconnecté d’aujourd’hui, l’accès à l’internet sans fil est devenu omniprésent, présent dans presque tous les cafés, bureaux et maisons. Mais les signaux Wi-Fi ne sont pas inoffensifs. Les rayonnements de radiofréquence (RF) bombardent constamment les cellules et influencent les ondes cérébrales. Les ondes extrêmement basses fréquences (ELF) sont particulièrement préoccupantes, car elles peuvent interférer avec les ondes cérébrales et amener une personne à entrer, à son insu, dans un état d’esprit suggestif. Le Wi-Fi est un vecteur d’ingénierie sociale, qui amène les individus à renoncer à leur esprit critique pour se conformer aux récits officiels et à la pensée de groupe.

Keith Cutter, critique bien connu de la technologie sans fil moderne, a passé des années à explorer le côté obscur du rayonnement Wi-Fi. Selon lui, l’impact du Wi-Fi ne se limite pas à l’exposition directe aux rayonnements, mais s’étend à des effets plus subtils et inquiétants, notamment l’entraînement des ondes cérébrales, les perturbations cognitives et ce qu’il appelle « l’effet mémoire du Wi-Fi » sur les tissus corporels.

L’effet des champs électromagnétiques de radiofréquence au fil du temps

Le Wi-Fi fonctionne à l’aide de champs électromagnétiques de radiofréquence, transmettant des données par le biais d’un rayonnement RF modulé par impulsion. Si la technologie elle-même peut sembler inoffensive – après tout, la plupart des appareils n’émettent que des niveaux relativement faibles de rayonnement RF -, Cutter estime que l’impact cumulatif de cette exposition au fil du temps est loin d’être bénin.

L’une des principales préoccupations de Cutter est l’effet des ondes extrêmement basses fréquences (ELF), que le Wi-Fi émet en plus de ses signaux RF à plus haute fréquence. Les ondes ELF se situent entre 3 et 30 Hz environ, une gamme de fréquences qui se trouve à chevaucher les fréquences d’oscillation naturelles du cerveau humain. L’activité électrique du cerveau est divisée en différentes bandes de fréquences, chacune étant associée à différents états de conscience et fonctions mentales :

Ondes delta (0,5-4 Hz) : Associées au sommeil profond, à la guérison et à la relaxation
Ondes thêta (4-8 Hz) : liées à la relaxation profonde, à la méditation et à la créativité
Ondes alpha (8-12 Hz) : Présentes dans les états calmes et détendus, tels que le rêve éveillé ou la méditation légère.
Ondes bêta (13-30 Hz) : Associées à la pensée active, à la concentration et à la résolution de problèmes.
Ondes gamma (30-44 Hz) : Impliquées dans les fonctions cognitives supérieures telles que l’apprentissage, la mémoire et le traitement sensoriel.
Cutter est surtout préoccupé par les impulsions ELF de 10 Hz émises par les balises Wi-Fi. Ces balises, qui émettent constamment des impulsions à cette fréquence, diffusent essentiellement un signal persistant pour s’assurer que les appareils restent connectés. Cutter pense que les impulsions de 10 Hz peuvent avoir un effet profond sur l’activité cérébrale, notamment en induisant un phénomène connu sous le nom d’entraînement des ondes cérébrales.

L’entraînement des ondes cérébrales par des impulsions de 10 Hz peut mettre les gens dans un état suggestif

L’entraînement des ondes cérébrales fait référence à la synchronisation des ondes cérébrales à une fréquence externe. Lorsque le cerveau est exposé à un stimulus externe constant à une fréquence particulière, comme le signal de 10 Hz émis par le Wi-Fi, il peut modifier ses propres schémas d’ondes cérébrales naturelles pour les faire correspondre. À 10 Hz, le cerveau entre dans un état plus détendu, proche des ondes alpha, qui correspond à une activité corticale réduite.

Cutter est particulièrement alarmé par cette situation, car une exposition prolongée au signal ELF de 10 Hz peut créer un « état suggestif », dans lequel le cerveau est plus sensible aux influences extérieures. Ces influences externes peuvent être les médias, le marketing ou même la programmation subconsciente, qui sont tous présentés aux gens lorsqu’ils sont sous l’influence d’appareils émettant des ondes Wi-Fi.

« Nous parlons de la possibilité de contrôler l’esprit », prévient Cutter, en suggérant que ce type de manipulation des ondes cérébrales peut rendre les individus plus vulnérables aux suggestions extérieures (comme l’hypnose). La manipulation pourrait être utilisée pour contraindre les populations à croire ou à penser d’une certaine manière, contre leur intuition, leur connaissance, leur pensée rationnelle ou leur instinct.

Le rayonnement Wi-Fi peut créer un « effet mémoire »

Une autre préoccupation soulevée par Cutter est la possibilité que le Wi-Fi ait un « effet mémoire » sur les tissus corporels. Il s’agit de la manière dont certaines fréquences électromagnétiques peuvent être absorbées et retenues par le corps, ce qui peut entraîner des changements physiques ou des problèmes de santé à long terme.

Cutter compare ce phénomène à un traumatisme stocké dans l’organisme, à l’instar du concept psychologique de « mémoire traumatique », selon lequel un traumatisme émotionnel ou physique se manifeste dans l’organisme même après la fin de l’événement. Dans le cas du Wi-Fi, il suggère que le corps pourrait absorber les radiations et les stocker dans les tissus, ce qui entraînerait des problèmes de santé permanents tels que la fatigue, les maux de tête et même des troubles plus graves associés à la sensibilité électrique.

Le Wi-Fi est loin d’être une commodité technologique bénigne. Sa prolifération dans la vie quotidienne constitue une « épidémie cachée » qui nuit silencieusement à la santé et au bien-être des individus et rend leur esprit plus vulnérable aux suggestions.

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dépistage des effets secondaires causés par les injections Covid

Echelle de JacobDépistage pour les effets secondaires des injections Covid

Echelle de Jacob - 12 nov 2024

Le prof. Bhakdi présente un test de dépistage pour les effets secondaires des injections Covid.

   

Un simple test des ongles et l’usage de la nattokinase pourraient aider à prévenir les thromboses.

Le Dr Sucharit Bhakdi propose une nouvelle méthode de diagnostic pour les personnes susceptibles de souffrir de dommages causés par la vaccination. Ce test, développé en collaboration avec le Dr Hannes Strasser, mesure la circulation sanguine dans les vaisseaux capillaires dans le lit de l’ongle, qui est indicatif des problèmes de thrombose.

Selon Bhakdi et Hannes, les tests démontrent également un effet bénéfique de la nattokinase (2000FU 2xJ) pour la prévention et le traitement des thromboses.

Le professeur Sucharit Bhakdi est un éminent microbiologiste qui s’est exprimé à de nombreuses reprises dans le cadre des politiques sanitaires “Covid-19” déployées en Allemagne. Il est également l’un des membres fondateurs de l’association Doctors for Covid Ethics qui a été parmi les premières à alerter l’Agence européenne des médicaments des risques liés aux injections Covid, notamment les thromboses.

Une annonce encourageante

Lors d’une interview récente pour Report 24, le professeur Bhakdi a présenté des essais en cours concernant la prévention de troubles vasculaires liés aux vaccins.

« C’est incroyable. Ma collègue a fait cet examen du lit de l’ongle sur toutes les personnes chez qui l’on suspectait des dommages causés par la vaccination. Chez beaucoup, je pense même la majorité, elle a effectivement observé des changements vasculaires. »

Dr Hannes Strasser

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Chlorure de magnésium - un remède vital

Jérémie MercierLes vertus insoupçonnées du chlorure de magnésium

Jérémie Mercier - 31 oct 2024

C’est le conseil d’un personnage connu à cette femme, conseillère municipale de Nice qui a voulu soulager la misère humaine à l’époque du chikungunya à la Réunion et s’est heurté aux élites qui veulent surtout les profits pour les labos.

   

Menacée personnellement au téléphone par le ministre de la santé de l’époque et même par le centre anti-poison de Marseille qui ferait mieux de s’intéresser à l’analyse des poisons des flacons de toxins covid, s’ils veulent vraiment notre bien.

Tout ça pour dire qu’il faut faire et pas dire publiquement et il faut contourner la malfaisance des élites.

« Passe par le bas » injonction à retenir pour sauver notre peau. C’est un peu ce que font les sites de réinformation comme PG.

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La Quinta avec Astrid Stückelberger

La Quinta ColumnaEntretien avec la Dr. Astrid Stückelberger et La Quinta Columna

La Quinta Columna - 10 oct 2024

Ce qui se cache derrière le CERN, la multidimensionnalité, les énergies et les fréquences. Tout s'explique en introduisant le facteur E.

   

Collaborer avec La Quinta Columna

Depuis La Quinta Columna, nous souhaitons demander la collaboration de tous ceux qui souhaitent lutter pour la vérité et mettre un terme à cette situation dystopique que nous vivons depuis 2019, à l'ère de ce qu'ils ont appelé la « nouvelle normalité ».
Notre travail est axé sur la recherche et le développement d'actions civiles pour lutter contre cette situation que nous avons malheureusement dû vivre.
Nous travaillons sans relâche, jour après jour, pour recueillir des informations, réaliser des études et développer des initiatives afin de mettre un terme à cette folie que l'on tente de nous faire vivre jusqu'à ce que nous atteignions ce qu'ils appellent la « quatrième révolution industrielle ». L'ère transhumaniste, l'ère de l'agenda 2030, l'ère de l'anormalité.
Nous créons un programme, pratiquement tous les jours, d'une durée de 4 heures et diffusé sur Twitch, informant la société de la réalité qui est en train de se produire, en nous consacrant pleinement à elle et à la recherche sur le terrain de ce qu'ils ont appelé les vaccins.

Pour cette raison, comme nous n'avons pas d'autres moyens de soutien économique et que nous pouvons nous consacrer pleinement à ce travail, le travail que tous les êtres humains conscients de la situation veulent arrêter, nous, à La Quinta Columna, demandons votre aide, afin que, grâce à vos dons ou souscriptions, nous puissions continuer à développer notre activité sans repos comme nous l'avons fait jusqu'à présent.

Merci beaucoup à vous tous pour votre collaboration.

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science - religion

Aube DigitaleAugmentation des prescriptions de médicaments contre la démence

Aube Digitale - 21 sep 2024

Les prescriptions de médicaments contre la démence ont augmenté de 46 % en dix ans en Australie

   

Les cas de démence enregistrés, ainsi que les décès et les prescriptions pour cette maladie, sont en augmentation dans toute l’Australie, qui doit faire face aux effets du vieillissement de sa population.

Le rapport Dementia in Australia de l’Institut australien de la santé et du bien-être, publié le 13 septembre, estime que sur 1 000 Australiens, 15 souffrent de cette maladie neurodégénérative.

Au total, 688 000 ordonnances de médicaments contre la démence ont été délivrées à environ 72 400 Australiens âgés de 30 ans et plus en 2022-23, contre 472 000 ordonnances délivrées en 2013-14.

Selon Dementia Australia, plus de 100 maladies différentes peuvent entraîner une démence, la maladie étant généralement associée à la maladie d’Alzheimer.

Si elle touche principalement les personnes âgées, diverses formes de démence peuvent également affecter les enfants et les personnes plus jeunes, en fonction de la cause.

La démence est actuellement la deuxième cause de décès en Australie, derrière les maladies cardiaques, et les décès déclarés dus à la démence augmentent régulièrement, passant de 8 500 en 2009 à 17 899 en 2022.

Selon l’AIHW, l’amélioration des systèmes de déclaration et une plus grande sensibilisation à la démence pourraient influer sur ces chiffres. Néanmoins, le nombre de décès dus à la démence reste élevé en Australie.

Selon le rapport, la pandémie de COVID a également joué un rôle important dans les décès dus à la démence, les malades étant plus susceptibles de souffrir d’une réaction fatale au virus.
Demande de soins pour les personnes âgées

Les conclusions du rapport donnent du poids à un système de prise en charge des personnes âgées déjà en plein essor en Australie, le Premier ministre Anthony Albanese ayant récemment dévoilé une réforme du système de prise en charge des personnes âgées d’un montant de 10 milliards de dollars (6,7 milliards de dollars américains).

Les chiffres publiés par le Bureau australien des statistiques en juillet ont montré que 17,1 % des Australiens étaient âgés de plus de 65 ans.

Le nombre d’Australiens âgés de plus de 85 ans triplera au cours des quatre prochaines décennies.

La prise en charge des personnes âgées est l’une des principales pressions sur le budget et, si aucune mesure n’est prise, les dépenses devraient plus que doubler en pourcentage du PIB au cours des 40 prochaines années.

Les réformes, annoncées le 13 septembre, investiront davantage dans l’aide aux soins à domicile afin de permettre aux personnes âgées de rester chez elles plus longtemps.

Cette mesure pourrait profiter aux établissements de soins pour personnes âgées en libérant des soins pour les personnes souffrant de démence, qui doivent souvent déménager dans des établissements surveillés.

En 2021-22, plus de 242 000 personnes vivaient dans des établissements permanents de soins pour personnes âgées, dont plus de la moitié (54 %, soit environ 131 000) étaient atteintes de démence.

Les réformes, qui bénéficient d’un soutien bipartisan de la part de la coalition libérale-nationale, comprennent de nouvelles normes pour améliorer la qualité des services, de nouvelles protections pour les dénonciateurs et un nouveau commissaire indépendant chargé des plaintes.

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transfusion à risque

Réseau InternationalLes transfusions sanguines à partir de personnes vaccinées sont risque

Réseau International - 19 sep 2024

Les scientifiques mettent en garde contre les risques de transfusions sanguines à partir de personnes vaccinées contre le COVID-19.

   

Des chercheurs japonais ont publié un article en pré-impression qui met en garde contre les risques associés à l’utilisation de sang provenant de personnes vaccinées contre COVID-19 pour des transfusions sanguines et appellent les professionnels de la santé à être conscients de ces risques.

En outre, pour éviter ces risques et prévenir toute nouvelle contamination des produits sanguins et les complications qui en découlent, ils demandent la suspension des programmes de vaccination contre le COVID-19.

«Les dommages sanitaires causés par la vaccination génétique sont déjà extrêmement graves, et il est grand temps que les pays et les organisations concernées prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier les risques, les contrôler et les résoudre», ont-ils déclaré.

De nombreux pays dans le monde ont signalé que les vaccins dits génétiques – tels que ceux qui utilisent un ARNm modifié codant pour la protéine spike et des nanoparticules lipidiques comme système d’administration du médicament – ont entraîné des thromboses post-vaccinales et des lésions cardiovasculaires ultérieures, ainsi qu’une grande variété de maladies touchant tous les organes et systèmes, y compris le système nerveux.

Sur la base de ces rapports et du volume de preuves qui a été mis en lumière, les chercheurs attirent l’attention des professionnels de la santé sur les divers risques associés aux transfusions sanguines utilisant des produits sanguins provenant de personnes ayant souffert d’une longue covidie et de personnes ayant reçu des vaccins génétiques, y compris des vaccins à ARNm.

Toutefois, «il convient également de souligner que les questions abordées ici concernent toutes les greffes d’organes, y compris les greffes de moelle osseuse, et pas seulement les produits sanguins», écrivent les chercheurs.

Le tableau 1 de l’article résume les six principales préoccupations identifiées par les chercheurs en ce qui concerne l’utilisation de produits sanguins provenant de receveurs de vaccins génétiques. Nous avons reproduit le contenu du tableau 1 ci-dessous.

1. Contamination par la protéine spike

La protéine spike, qui est l’antigène du SARS-CoV-2 et des vaccins génétiques, s’est déjà révélée présenter diverses toxicités, notamment des effets sur les globules rouges et l’agrégation plaquettaire, la formation d’amyloïdes et la neurotoxicité. Il est essentiel de reconnaître que la protéine spike elle-même est toxique pour l’homme. Il a également été rapporté que la protéine spike peut traverser la barrière hémato-encéphalique. Il est donc essentiel d’éliminer des produits sanguins la protéine spike dérivée du vaccin génétique lui-même.

2. Contamination par les agrégats amyloïdes et les microthrombi formés par les protéines spike

On ne sait pas encore exactement comment les agrégats amyloïdes et les microthrombi formés par les protéines spike se transforment en thrombus visibles. Cependant, une fois formés, les agrégats amyloïdes peuvent ne pas être facilement éliminés et doivent donc être retirés des produits sanguins. Il a également été démontré que ces agrégats amyloïdes sont toxiques.

3. Événements attribuables à une diminution du système immunitaire du donneur et à des anomalies immunitaires dues à l’imprégnation immunitaire ou au passage à la classe IgG4, etc. résultant de doses multiples de vaccins génétiques

Lorsque la fonction immunitaire d’un donneur est altérée par la vaccination génétique, il existe un risque que le donneur soit atteint d’une maladie infectieuse (subclinique) ou qu’il soit infecté par un virus pathogène et qu’il ait développé une virémie ou d’autres conditions, même si le donneur ne présente aucun symptôme subjectif. C’est pourquoi les professionnels de la santé qui pratiquent des interventions chirurgicales, y compris des prélèvements sanguins et des transplantations d’organes, et qui utilisent des produits sanguins, doivent manipuler avec soin le sang des receveurs de vaccins génétiques afin d’éviter toute infection par voie sanguine. Il sera également nécessaire d’informer tous les professionnels de la santé de ces risques.

4. Nanoparticules lipidiques («LNP») et ARNm pseudo-uridiné (vaccins ARNm uniquement)

Dans le cas des vaccins ARNm, les LNP et l’ARNm pseudo-uridiné peuvent rester dans le sang des receveurs si le sang est prélevé sans une période d’exclusion suffisante après la vaccination génique. Les LNP sont très inflammatoires et se sont révélés thrombogènes, ce qui présente un risque pour les transfusés. Les LNP eux-mêmes ont une puissante activité adjuvante et risquent d’induire un syndrome auto-immun induit par l’adjuvant («syndrome ASIA»). Un risque supplémentaire est que si l’ARNm pseudo-uridiné est incorporé dans le sang du receveur alors qu’il est encore emballé dans des LNP, une protéine de pointe supplémentaire peut être produite dans l’organisme du receveur.

5. Contamination par des globules rouges ou des plaquettes agrégés

La protéine spike provoque l’agrégation des globules rouges et des plaquettes et, par conséquent, ces agrégats seront transportés dans le sang du receveur à moins qu’ils ne soient éliminés du produit sanguin.

6. Cellules B à mémoire produisant des IgG4 et IgG4 produites à partir d’elles

De grandes quantités (concentration sérique généralement supérieure à 1,25-1,4 g/L) de plasmocytes IgG4 positifs non inflammatoires peuvent provoquer une inflammation chronique telle qu’une maladie fibro-inflammatoire.

IgG4 est un anticorps et l’acronyme de l’immunoglobuline G4. Plus haut dans l’article, les auteurs ont écrit que «l’exposition à long terme à un antigène identique spécifique (dans ce cas, la protéine spike) provoque la transformation des immunoglobulines en IgG4 et que certaines des cellules B [ou lymphocytes] qui les produisent sont susceptibles de se différencier en cellules B mémoires qui survivent dans le corps pendant une période prolongée, le dysfonctionnement immunitaire des receveurs de vaccins génétiques devrait être prolongé (tableau 1, points 3 et 6). De plus amples détails sur ces points devraient être révélés à l’avenir».

Les chercheurs suggèrent également des tests spécifiques, des méthodes de test et des réglementations pour faire face à ces risques.
Dans leur conclusion, les auteurs écrivent

L’impact de ces vaccins génétiques sur les produits sanguins et les dommages réels qu’ils causent sont inconnus à l’heure actuelle. Par conséquent, afin d’éviter ces risques et d’empêcher l’expansion de la contamination du sang et la complication de la situation, nous demandons instamment que la campagne de vaccination utilisant des vaccins génétiques soit suspendue et qu’une évaluation des dommages et des bénéfices soit effectuée le plus tôt possible.

Comme nous l’avons répété à maintes reprises, les dommages sanitaires causés par la vaccination génétique sont déjà extrêmement graves, et il est grand temps que les pays et les organisations concernées prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier les risques, les contrôler et les résoudre.

Concerns regarding Transfusions of Blood Products Derived from Genetic Vaccine Recipients and Proposals for Specific Measures, Jun Ueda, Hideyuki Motohashi, Yuriko Hirai, Kenji Yamamoto, Yasufumi Murakami, Masanori Fukushima, Akinori Fujisawa, Version non revue par les pairs publiée le 15 mars 2024.

Les sources de cet article comprennent :

• Japanese Researchers Warn About Risks Associated with Blood Transfusions From Covid-19 mRNA Vaccinated Individuals, Thailand Medical News, 16 March 2024

• Ueda, J.; Motohashi, H.; Hirai, Y.; Yamamoto, K.; Murakami, Y.; Fukushima, M.; Fujisawa, A. Concerns regarding Transfusions of Blood Products Derived from Genetic Vaccine Recipients and Proposals for Specific Measures. Preprints 2024, 2024030881. https://doi.org/10.20944/preprints202403.0881.v1

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Nexus reçoit Patrick Jaulent, docteur en électronique, et Nacima Mdhafar-Bouzeroura, médecin.

Leur livre 31 octobre 2023 est disponible. Les ondes sont peu évoquées, quels sont les problèmes et quelles solutions ?

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L'iode - ses pouvoirs

Nouveau MondeLes pouvoirs de l’iode

Nouveau Monde - 14 sep 2024

La rentrée n’est plus une menace, c’est devenu du réel. Le temps de s’alanguir est terminé, tout le monde a besoin de retrouver un niveau de forme optimal et surtout de ne pas tomber malade, que ce soit de pathologies vénielles ou catastrophiques. Le Dr Vincent Reliquet fomentait un livre de longue date, il voulait explorer les tréfonds désastreux des carences en iode, il l’a réalisé avec Alix Lefief-Delcourt (*). Il fallait un grand homéopathe très au fait de la cancérologie pour pouvoir disséquer ce livre afin de tenter d’en coincer l’auteur : le Dr Éric Ménat s’est prêté à l’exercice, les jeux de questions-réponses font depuis longtemps tout le support des belles controverses. Rangez vos claquettes devenues inutiles depuis la semaine dernière et bonne lecture.

1 – Comment expliques-tu qu’il y ait autant de carences en iode actuellement dans la population ? Est-ce que ça pourrait être en lien avec des erreurs de dosages ou des critères de « normalité » à revoir ?

Ta question a l’air de sous-entendre que les critères de normalité seraient trop élevés, ce qui expliquerait que nous soyons à un niveau facticement trop bas, mais c’est exactement le contraire, je prétends depuis que j’ai terminé mon livre que les préconisations OMS ne nous proposent que de couvrir le centième de nos besoins, et nous ne les atteignons même pas ! Il faut cesser d’attendre une explosion de goitres ou de crétins au sens historique du mot pour réveiller nos élites à ce sujet, cancers, maladies infectieuses et dysimmunitaires, cardio-vasculaires, explosion de l’obésité, des dépressions, effondrement des QI, il y a vraiment le feu au lac et tout le monde s’en fiche !

2 – Les carences en iode peuvent-elles être expliquées par d’autres facteurs que la nutrition et lesquels ?

La question est compliquée, je vais essayer d’apporter une réponse simple. Nous avons barre sur un élément fondamental du problème, ce sont bien nos carences abyssales d’apport en iode. Ensuite le problème posé par les perturbateurs endocriniens halogénés (chlorures, fluor et brome) demeure manifeste, mais il ne sera résolu qu’aux échelles supranationales, on peut toujours rêver pour voir arriver une interdiction du fluor et du brome dans l’espace public. À nos niveaux individuels, nous devons nous appliquer à consommer des doses adéquates d’iode, on sait que cet élément peut reprendre sa place dans les molécules polluées par les halogénés et que ceux-ci peuvent être excrétés par voie urinaire. Pas d’iode, toujours plus de perturbateurs endocriniens à sa place dans les cellules.

3 – Tu parles des relations entre iode et développement cérébral de l’enfant et les chiffres semblent inquiétants. Peut-il y avoir un biais avec l’évolution du système éducatif qui peut aussi impacter le QI des enfants ?

Cette histoire du recul du QI de nos enfants actuels par rapport à ceux de 1889 dans une Angleterre victorienne malnutrie, c’est une bombe1. Elle frappe les esprits, évidemment elle ne permet absolument pas de désigner l’iode comme seul responsable de ce phénomène, mais d’autres travaux australiens2 ou encore de l’ALSPAC3 ont permis de tirer ces conclusions. Pas assez d’iode pendant la grossesse et les lésions fœtales se fixeront définitivement par défaut des migrations neuronales4. Pas assez d’iode pendant l’enfance et les lésions continuent de s’aggraver, je veux surtout tirer la sonnette d’alarme en direction de cette immense population d’enfants soumise au biberon, déclarée intolérante au lait de vache et qui du coup n’a absolument plus accès à l’iode, pendant des mois, voire des années…

4 – Est-ce qu’une supplémentation en iode devrait être systématique chez les enfants (elle l’est déjà chez les femmes enceintes en théorie) ?

Il faut changer de paradigme, oublier cet effet Wolff-Chaikoff totalement imaginaire (c’est dur à croire, je l’explique dans ce livre) et ioder sérieusement toute la population, pense donc que dans les années 1950 les Américains iodaient leurs pains et recevaient 150 µg d’iode dans un seul toast, soit tout l’apport quotidien recommandé actuel ! Étaient-ils devenus tous phosphorescents ? Pas du tout, quand on leur a facticement expliqué que leurs sels d’iode étaient dangereux, ils l’ont remplacé par du bromure de potassium, interdit en Europe, car cancérigène notoire, on délire… Donc pour te répondre, oui il faut édicter des apports minimums journaliers pour tous les âges, mais sans les calculer avec les connaissances de 1950, aujourd’hui on sait que de très nombreux organes, peut-être même tous, sont authentiquement iodo-nécessitants, et pas seulement la thyroïde comme on le croyait alors.

5 – Quelle est, pour toi, la bonne supplémentation en iode pour un adulte ? Les AQR5 actuels semblent bien bas par rapport aux carences constatées ?

J’explique en fin d’ouvrage que mon statut de modeste médecin généraliste ne me permet pas de répondre à cette question, l’empirisme le plus absolu règne partout à ce sujet et la réponse doit se trouver comme pour le taux idéal de cholestérol sanguin : elle n’existe pas, car ici trop de paramètres rentrent dans l’équation : poids, sexe et cancers iodo-dépendants intercurrents, état infectieux, certainement. Mais imagine, probablement que le volume mammaire influe énormément et devrait être pris en compte dans le calcul des AQR, car ce tissu se comporte comme un véritable piège à iode, comme à brome ou à fluor d’ailleurs, ce qui peut expliquer la fréquence déraisonnable des cancers du sein en présence de brome6. Attention de plus à un point capital que j’ai abondamment souligné dans ce livre, certains tissus nécessitent de l’iode moléculaire, d’autres de l’iodate de potassium, et la protection anticancéreuse semble essentiellement conférée par cet iode moléculaire I2, totalement absent de l’écrasante majorité des compléments alimentaires mis sur le marché à ce jour ! Inutile donc de se supplémenter avec un mauvais produit, de plus insuffisamment dosé, il n’y aura aucune chance que l’état de santé de nos populations s’améliore drastiquement dans ce cas.

6 – L’importance des carences en iode est connue depuis des décennies. Elle avait été pointée du doigt par l’Institut Français de Nutrition il y a plus de 20 ans. Comment expliques-tu que des recommandations claires sur la supplémentation en iode tardent à venir de la part des agences de santé, du ministère ou de l’académie de médecine ?

Je l’explique par la trouille atavique qui saisit chaque expert de se retrouver en butte avec ce fameux effet Wolff-Chaikoff qui n’existe pas, mais qu’on leur a inculqué quand ils étaient jeunes et crédules, ça aussi j’en parle dans mon livre. L’iode 131 (radioactif) est toxique, les iodes organiques peuvent devenir toxiques aussi (amiodarone, produits de contrastes iodés, etc.), mais l’iode inorganique minéral alimentaire, l’iode 127, jamais. Et comme jamais n’existe pas, quand une fois on soupçonne une hyperthyroïdie de provenir d’une supplémentation alimentaire, ce fait demeure si rare qu’on en fait même un (très mauvais) article, qu’on le publie, et on décore même l’auteure pour son remarquable travail !7

7 – Tu dis que l’iode contenu dans le sel marin ou le sel iodé « s’évapore » et que ces sels ne sont donc pas efficaces pour participer à l’apport quotidien. Pourtant, il semble que c’est l’ajout d’iode dans le sel qui a permis de faire reculer le crétinisme des Alpes. Comment expliques-tu ce paradoxe ?

Je vois que la fin de l’interview approche alors tu cherches à me coincer avec tes questions vicieuses, mais toujours intelligentes… Je vais te répondre sans détour : au XIXe siècle, la Santé Publique naissante avait compris que la fréquence des goitres et des crétins augmentait de manière parfaitement proportionnelle avec le niveau des carences en iode, donc par une politique adroite de microsupplémentation en iode, on a réussi à effacer les deux problèmes, mais ces deux problèmes-là seulement. En 1840 l’espérance de vie des Françaises culminait à 40 ans, un peu tôt pour voir apparaître la multiplication des cancers du sein qui frappent nos compatriotes aujourd’hui. Je l’explique dans mon livre, j’ai retrouvé le premier penseur qui a pondu ce dramatique taux d’apport idéal en iode à 150 µg/j : lui aussi ne se référait qu’à la peur de l’effet Wolf-Chaikoff et il convint que pour ces faibles apports on voyait juste disparaître les goitres, mais sans réveiller le monstre WC. Ces apports sont des cache-misère propres à faire taire toute manifestation thyroïdienne liée à un manque en iode, mais ouvrent la porte à toutes les pathologies iodo-carentielles extra-thyroïdiennes, qui du coup explosent.

La médecine moderne nous fait sempiternellement vivre sous l’ère de la misère physiologique, 150 µg d’iode par jour au lieu de 10 à 50 mg, 400 UI de D3 pour éloigner l’ostéomalacie quand certains en consomment 20 000 UI sans souci et effacent de nombreuses pathologies dysimmunitaires, 300 mg de vitamine C pour éviter le scorbut alors qu’avec 100 g/j en intraveineuse, on a largement documenté la guérison de certains cancers, de certaines maladies infectieuses, de certains empoisonnements… Personne ne s’occupe de notre statut en chrome, pas beaucoup plus de celui lié au sélénium, nous sommes tous carencés en magnésium et pourtant aucune campagne de supplémentation ne se fait jour. Médecine, population, réveillez-vous !

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