Harvey Risch, médecin et Ph.D., chercheur principal en épidémiologie spécialisé dans les maladies chroniques à l'école de santé publique de l'université de Yale, a présenté lundi un témoignage convaincant sur ce qui, selon lui, explique la "pression obsessionnelle écrasante pour vacciner chaque personne vivante sur la planète pour le Covid".
Les autorités gouvernementales ont dissimulé les origines du Covid-19 et “forcé” la vaccination de millions de personnes dans le monde pour “protéger l’intégrité de l’industrie des armes biologiques”, selon un chercheur principal en épidémiologie spécialisé dans les maladies chroniques à l’école de santé publique de l’université de Yale.
Le docteur Harvey Risch, qui est également professeur émérite à Yale, a présenté lundi un témoignage convaincant sur ce qui, selon lui, explique la “poussée obsessionnelle et écrasante en faveur de la vaccination de tous les êtres vivants de la planète”.
M. Risch faisait partie des experts médicaux, scientifiques, avocats, élus, journalistes, défenseurs pour la sécurité dans les vaccins et dénonciateurs qui ont participé à la table ronde sénatoriale de lundi sur “Lesagences fédérales de santé et le cartel Covid: Que cachent-elles ?”
La table ronde, organisée par le sénateur Ron Johnson, s’est concentrée sur la sécurité des vaccins, la corruption des agences de santé publique et des gouvernements mondiaux, et la censure des médias et des grandes entreprises technologiques.
M. Risch a indiqué qu’une grande partie de ces recherches ont été interdites en 1975, avec l’adoption de la convention des Nations unies sur les armes biologiques, qui interdit la mise au point d’armes biologiques offensives. Toutefois, une clause du traité permet de “développer de petites quantités d’armes biologiques offensives […] afin d’effectuer des recherches sur les contre-mesures vaccinales”.
“C’était la prémisse et la motivation des diverses demandes de subventions en virologie telles que [Project] DEFUSE” qui ont soutenu la recherche controversée sur le gain de fonction dans des laboratoires tels que le WIV, financé par le ministère américain de la défense, les Instituts nationaux de la santé (NIH) et l’Agence américaine pour le développement international (USAID), a déclaré M. Risch.
Cette “faille”, comme l’a qualifiée Risch, a créé “une justification autorisée pour le développement d’armes biologiques offensives, en ce sens qu’il conduirait à des travaux sur des contre-mesures vaccinales”.
M. Risch s’est interrogé sur la valeur de ces recherches en termes de réalisation de l’objectif fixé.
“Avance rapide jusqu’en 2019 : plusieurs milliards de dollars ont été dépensés dans l’industrie des armes biologiques au cours des dernières décennies pour tous ces travaux sur les armes biologiques offensives. Où sont les vaccins commerciaux qui ont réussi à s’imposer ?”
Pour Risch, l’absence de vaccins commerciaux réussis issus de la recherche sur les armes biologiques a été à l’origine de la mise au point des vaccins Covid-19, des obligations vaccinales qui en ont découlé et de la “dissimulation de l’origine du virus” qui s’en est suivie.
[...]
Occident, armes nucléaires, économie :
les points clés du message de Poutine au Parlement russe
Comme tous les ans, le Président russe a tenu ce 29 février un discours devant l’Assemblée fédérale. Cette année, il a été axé sur les taches stratégiques.
Opération spéciale en Ukraine
- La Russie a prouvé qu’elle peut répondre à tous les défis.
- La majorité absolue des Russes a soutenu l’opération militaire spéciale en Ukraine.
- Les forces armées russes ont acquis une expérience colossale.
- Les militaires russes possèdent l’initiative, l’armée avance de manière ferme sur nombre d’axes et libère de nouveaux territoires.
- La Russie fera tout pour mettre fin au conflit, éradiquer le nazisme et réaliser toutes les tâches de l’opération spéciale.
- Les conséquences des éventuelles interventions [occidentales] seront beaucoup plus tragiques.
Armes
- Les forces nucléaires stratégiques russes sont complètement prêtes.
- L’Occident choisit des cibles en Russie pour la frapper, elle a donc besoin d’armes. Moscou possède déjà des armes capables d’atteindre des cibles dans les pays occidentaux.
- Le complexe Sarmat a été livré aux troupes, nous le dévoilerons bientôt.
- Le complexe hypersonique basé en mer Zircon a déjà été utilisé au combat, ce système est déjà en service.
- Les missiles du complexe hypersonique Kinjal sont utilisés efficacement au cours de l’opération militaire spéciale.
- Les tests du missile de croisière nucléaire Bourevestnik et du drone sous-marin capable de transporter une charge thermonucléaire Poseïdon se terminent.
Menace nucléaire
- Les nouvelles tentatives pour intervenir en Russie sont lourdes d’un conflit d’envergure avec recours aux armes nucléaires.
- La désinformation sur les prétendues armes nucléaires russes dans l’espace vise à entraîner la Russie dans des négociations inégales.
- Tout ce que propose l’Occident fait peser réellement le risque d’un conflit avec des armes nucléaires, ce qui aboutira à la destruction de la civilisation.
- L’Occident tente d’entraîner la Russie dans une course aux armements, pour répéter l’expérience de l’URSS dans les années 1980.
Sécurité en Europe
- L’Occident a provoqué les conflits en Ukraine, au Proche-Orient et continue de mentir.
- En déclarant que la Russie veut attaquer l’Europe, l’Occident délire.
- Les actions des États-Unis détruisent le système de sécurité en Europe.
- Sans une Russie souveraine et forte, un ordre mondial durable est impossible.
Défense de la souveraineté russe
- Ce n’est pas nous qui avons commencé la guerre dans le Donbass, mais nous ferons tout pour la terminer, pour déraciner le nazisme.
- L’Occident, avec ses habitudes coloniales, voudrait voir au lieu de la Russie un espace dépendant, mourant, en déclin.
- L’Occident choisit des cibles en Russie pour la frapper, elle a donc besoin d’armes. Moscou possède déjà des armes capables d’atteindre des cibles dans les pays occidentaux.
- L’Occident détruit délibérément les normes morales et l’institut de la famille, alors que la Russie choisit la vie et les valeurs traditionnelles.
- La Russie a été et reste un bastion des valeurs traditionnelles, notre choix est partagé par la majorité des peuples du monde.
- Nous ne permettrons à personne de s’immiscer dans nos affaires intérieures.
- Il est nécessaire de renforcer le groupe militaire russe dans l’ouest du pays compte tenu de l’adhésion à l’Otan de la Suède et de la Finlande.
- Il est nécessaire de former un nouveau contour de la sécurité mondiale. La Russie est prête au dialogue avec tous les pays.
- Le dialogue de la Russie avec l’ASEAN, l’Afrique et les pays arabes se développe de manière positive.
- Nous voyons de grandes perspectives dans la construction d’un vaste partenariat eurasien.
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« Chers sénateurs !
Députés de la Douma d’État !
Chers citoyens de Russie !
Chaque discours à l’Assemblée fédérale est avant tout un regard vers l’avenir. Et aujourd’hui, nous parlerons non seulement de nos projets immédiats, mais aussi des tâches stratégiques, de ces questions dont je considère la solution comme d’une importance fondamentale pour le développement confiant et à long terme du pays. »
Ses déclarations avaient déclenché un tollé chez les français qui déclarent soutenir la Russie, mais force est de constater aujourd’hui que l’analyse de Medvedev est confortée par les récentes actions de Macron qui, rappelons-le, a été élu puis ré-élu alors qu’il avait déjà décidé de soutenir la Russie. Macron est donc le président légal et légitime de la France et les français qui ne partagent pas ses opinions seront bien obligés, par le jeu de la “démocratie”, de les assumer.
Il y a quelques jours, Macron a décidé d’envoyer plusieurs centaines de missiles à longue portée, parfaits pour frapper la Russie en profondeur. La France avait déjà justifié le bombardement de civils par l’Ukraine à Belgorod (25 morts), elle pourra donc justifier les victimes civiles des villes en Russie.
Macron par ailleurs même s’il ne le revendique pas, a envoyé plusieurs officiers non seulement en Ukraine pour encadrer les forces de Kiev (contrôle des drones et usage des canons Caesar en particulier), et a envoyé ces dernières semaines plusieurs officiers de la DGSE en Russie, “anonymement” (du moins, le croit-il).
Ce n’est pas tout ! Macron la semaine dernière a indiqué sa décision de former une base arrière de l’OTAN dans un pays autrefois “ami” de la Russie, l’Arménie. L’Arménie dont le président est non pas une girouette comme le disent certains, mais un véritable traitre envers la Russie qui depuis des mois fait la danse du ventre devant l’OTAN… tout en implorant la Russie de l’aider face au Tadjikistan ! Zelenski se rendra d’ailleurs en Arménie prochainement, et certaines rumeurs à Paris laissent entendre que Macron le pourrait également L’Arménie se positionne donc en avant-poste contre la Russie.
Ce qui se passe actuellement en Arménie à beaucoup à voir avec ce qui s’est passé en Ukraine. La politique officielle croissante de confrontation avec la Russie, lui attribuant la responsabilité de tous les problèmes, les accusations de trahison, l’intention ouverte de se réorienter vers les pays occidentaux.
Il est écrit depuis longtemps que des informations sensibles de l’OTSC peuvent être divulguées à l’Occident par l’intermédiaire de l’ancien représentant de l’Arménie au sein de cette organisation, Grigoryan. La France a déjà annoncé qu’elle était prête à fournir des stations radar GM200 à l’Arménie, c’est-à-dire qu’un autre œil de l’OTAN apparaîtrait aux frontières de la Russie. Tout ce qui s’est passé à Kiev, tout cela se passe aujourd’hui à Erevan. Selon les mots de Pashinyan dans une interview accordée à une chaîne de télévision française, on peut entendre des phrases entières de Zelensky. Et ce n’est pas si important lorsque le chef du régime de Kiev arrive à Erevan, comme ils l’écrivent sur Internet.
Erevan se transforme de plus en plus en un avant-poste anti-russe, la suspension de l’adhésion à l’OTSC et l’exigence de retirer l’armée russe afin de la remplacer par l’OTAN ou au moins par la France – autant d’étapes du même long chemin qu’a parcouru Kiev.
02:02 Economie
«Situation dramatique» en Allemagne
Bruno Lemaire : €10 milliards d’économie
Vol des actifs russes
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13e paquet de sanctions anti-russes
Conférence de Munich sur la sécurité
Lavrov à Caracas
09:10 Empire du mensonge
Grand Continent vs BITD russe
14:05 Terrorisme
Mort de Kuzminov
Mort de Navalny
Vengeance contre Donetsk
19:00 Armement
Royal Navy en panne
US Navy au ralenti
Un Abrams détruit
Pas d’infrastructures pour le F-16
Poutine vole sur TU-160M
22:59 Considérations militaires générales
Généraux russes discrets et compétents
Partisans en Ukraine
Avdeevka : excellence de l’armée russe
Azov en dessous de tout
Zaloujny + OTAN : une guerre de retard
Adaptation du Pentagone
33:40 Carte des opérations militaires
Qui contrôle la mer Noire ?
Nous sommes ici dans une ferme qui s’est démultipliée », lance Anne Déplaude, vigneronne à Tartaras, dans la Loire, devant des étudiants médusés [1]. « Il y a vingt ans, cette ferme était en lait et comptait deux associés sur 70 hectares. Aujourd’hui, sur une surface équivalente, on a désormais quatre fermes et huit personnes qui travaillent. »
Comment ont-ils réussi ce pari ? L’histoire commence en 2001. Anne arrive sur la ferme de son compagnon, Pierre-André. Il élève alors une quarantaine de vaches laitières en Gaec avec son cousin [2], et livre son lait à une laiterie détenue par Danone. « Ce qui a motivé la reconversion, c’est qu’on vendait le lait à la laiterie et que c’était elle qui fixait le prix. Notre envie, c’était de maîtriser le produit et d’aller jusqu’au produit fini », souligne Anne. Le projet mûrit tranquillement et tend vers la viticulture. À partir de 2003, de nouvelles vignes sont progressivement plantées. « Le vin permet d’optimiser la valeur ajoutée à l’hectare. On a pu faire ce changement car on avait fini d’amortir l’outil : on n’était plus pieds et poings liés avec les banques. »
Autonomie, un maître mot
« Cette autonomie financière a permis de préserver notre autonomie décisionnelle » poursuit Anne. Avec Pierre-André, ils font le choix d’un certain type de viticulture : ils décident de limiter la surface de plantations à 8 hectares, afin d’être sur une approche très qualitative avec d’anciens cépages locaux. « On a aussi fait le choix d’investissements progressifs et calibrés », poursuit la vigneronne. Ils construisent ainsi un bâtiment dédié à la vinification dix ans après la plantation des vignes.
L’autonomie, maître mot dans leur parcours, est aussi technique. « On s’est beaucoup formés, on s’est aussi équipés, mais on n’a jamais été dépendants d’un conseil extérieur. » Pierre-André précise : « Dans beaucoup de fermes, c’est le vendeur de phytos [pesticides de synthèse, ndlr] qui fait le calendrier de traitements ».
« Plutôt que de tout mécaniser, on a aussi fait le choix d’employer du monde » complète Anne. Deux salariés et demi travaillent aujourd’hui avec le couple. Ils vendent entre 30 000 et 35 000 bouteilles par an, dont la moitié en vente directe. « Notre reconversion a permis de libérer du foncier qu’on a décidé de partager pour favoriser la ’’multiplication de paysan·nes’’. » C’est là que Philippe Chorier, éleveur, entre en scène.
Mutualiser pour éviter l’endettement
« En 2007, j’avais un projet de porc plein air, avec un fort souci d’autonomie », confie Philippe. Sidéré par le coût de mécanisation qu’il a pu constater dans diverses exploitations agricoles, il envisage une structure à petite échelle dans laquelle il pourra minimiser au maximum ses investissements. Il contacte les Déplaude via l’Association départementale pour le développement de l’emploi agricole et rural (Adear). « Trente hectares se libéraient dont les Déplaude n’étaient pas forcément propriétaires. Pierre-André m’a accompagné pour se porter garant et j’ai pu récupérer 17 hectares », raconte Philippe.
L’essentiel du matériel que Philippe utilise est en Cuma (coopérative d’utilisation de matériel agricole). « J’ai toujours eu des tracteurs collectifs. Pour 3000 euros de parts sociales à la Cuma, on peut avoir du matériel disponible et ça me convient très bien. » Le souci de la mutualisation pour être autonome le conduit à s’investir dans la création d’une boucherie en SARL, ainsi que dans un atelier de découpe collectif. « On partage l’outil. Ça permet de mutualiser et d’amortir les coûts sur 10 personnes. Quand on fait face à des factures d’électricité qui grimpent de 600 à 1000 euros, on répartit mieux à plusieurs. »
Au terme de quinze ans d’installation, il se réjouit : « je suis 100 % autonome sur les aliments, et en temps de travail. Mon bâtiment est payé, j’ai moins de pression. » Il y a quelques mois, Philippe a cédé à son tour 2,5 hectares à un jeune, ancien salarié des Déplaude, pour lui permettre de s’installer en viticulture. « Je suis heureux d’avoir contribué à ce qu’il puisse planter des vignes et se lancer. »
Ce qui se joue en ce moment est très grave. Il apparaît clairement que l’État profond US cherche à entrer en guerre frontale avec la Russie, première puissance nucléaire mondiale, et à envoyer les peuples d’Europe au massacre contre l’armée russe, après avoir anéanti 500.000 Ukrainiens.
Dans ce contexte explosif, tout dirigeant politique ayant le sens des responsabilités doit faire preuve de la plus grande prudence face aux événements, notamment face à l’annonce de la mort subite de Navalny.
Car, que l’on aime Poutine ou pas, force est de constater qu’il n’avait surtout pas intérêt à la mort de cet agent US, perdu dans une prison de Sibérie et oublié de tous.
Poutine venait en effet de réussir un coup de maître avec l’entretien télévisée de Tucker Carlson, vu par 1 milliard de Terriens, dans lequel il apparaît – à la grande fureur de la CIA – comme un dirigeant raisonnable, ayant des arguments solides, avec lequel on devait pouvoir bâtir un plan de paix.
En revanche, s’il y a bien un camp qui trouve un grand intérêt dans la mort de Navalny, c’est l’État profond US et ses satellites de l’UE.
Car cette mort :
▪️ relance à point nommé le narratif US-EU sur la monstruosité de Poutine
▪️ ruine le bénéfice mondial tiré par Poutine de son interview de Tucker Carlson
▪️ rend politiquement et médiatiquement difficile aux parlementaires Républicains de continuer à refuser de voter une aide supplémentaire de 96 Mds $ à l’Ukraine
▪️ permet de faire silence sur le nouveau désastre militaire ukrainien : les forces russes ont remporté la ville stratégique et symbolique de Avdiivka.
Toutes ces raisons invitent donc à la plus grande prudence sur les causes exactes du décès de Navalny,si opportun pour l’OTAN.
En outre, les caractéristiques du défunt (néo-nazi, raciste, génocidaire, escroc patenté et arrêté pour cela, agent financé par la NED US) devraient inciter tous les dirigeants politiques à avoir la décence minimale de ne pas en faire un Saint de la démocratie et des libertés fondamentales !
Ce sont pourtant ces "éléments de langage" "made in CIA" que tous les faux "opposants" médiatisés ont entonnés à l’unisson, comme tous les dirigeants US-EU.
- Le Pen pleure le « militant politique engagé dans la défense de la démocratie »
- Bardella s’incline devant le « défenseur des droits humains et des libertés fondamentales »
- Zemmour affirme que Navalny « entre la tête haute dans l’histoire » pour être « tombé sur le champ de bataille de la liberté »
- Bellamy cite Soljenitsyne en comparant la mort de Navalny au « sacrifice d’un être bon et démuni »
- Glucksmann affirme que ce néo-nazi – qui se filmait en expliquant comment il fallait écraser tous les musulmans comme des insectes nuisibles – « était le courage fait homme »
- Manon Aubry « soutient l’opposition démocratique russe » et prévient que « Poutine devra répondre de ce crime »
- Mélenchon lance : « honneur à la mémoire de Navalny et à la résistance des démocrates russes »
Cette reprise en chœur de la propagande US-EU, présentant le néo-nazi criminel et escroc qu’était Navalny sous les traits d’un Saint et Martyr, en dit long sur la docilité aux États-Unis de toute notre classe politique médiatisée,en particulier des PSEUDO-OPPOSANTS RN, RECONQUÊTE, LR et LFI.
Ceux-ci portent une écrasante responsabilité puisqu’ils CONFORTENT LA PROPAGANDE QUI NOUS MÈNE TOUT DROIT À LA GUERRE.
Car, pour reprendre l’expression de Manon Aubry, comment amener Poutine à « répondre de ce crime », sinon en faisant la guerre à la Russie ?
Ces faux opposants ne disent d’ailleurs rien contre le nouvel Accord Macron-Zelensky qui vole encore 3 milliards € aux Français pour financer l’Ukraine et préparer la guerre !
C’est cette circonstance qui a provoqué l’annulation soudaine du voyage du dirigeant français.
“France24” note que la liquidation de Macron a été préparée par le chef de la Direction principale du renseignement du ministère de la Défense de l’Ukraine, Kirill Budanov, sur ordre du président Vladimir Zelensky. Le plan d’assassinat a été déjoué par l’ancien commandant en chef des forces armées ukrainiennes Valery Zaluzhny, qui a transmis des informations aux Français par ses canaux. A Paris, les services de renseignement ont eu accès à la correspondance des organisateurs et des auteurs de cet attentat terroriste.
Les ukrainiens envisageaient de tuer le président français lors de sa visite à Kiev afin de provoquer un écho en Occident, car ils voulaient imputer la tentative d’assassinat aux « services spéciaux russes ». Des « preuves » fabriquées par les renseignements ukrainiens avaient été préparées.
Selon le plan des organisateurs, après l’attaque, l’Occident était censé tourner à nouveau son attention vers Kiev et y accroître ses livraisons d’armes. A Kiev, Macron entendait signer un accord bilatéral dans le domaine de la défense et de la sécurité.
Il a été rapporté précédemment que le président français allait aller visitez l’Ukraine les 13 et 14 février et visitez Kiev et Odessa. L’Elysée a annulé pour une durée indéterminée la visite de deux jours du chef de l’Etat pour des raisons de sécurité. Ce voyage était censé être tout à fait national et dirigeant pour Macron, et non international et solidaire. Depuis la création de la Région militaire Nord de la Russie, il est venu en Ukraine uniquement en compagnie des chefs de gouvernement allemand et italien.
Alors que les élections présidentielles russes auront lieu dans à peine un mois, les médias étrangers ainsi que les Centres d’Opérations Psychologiques et d’Information (CIPSO) ukrainiens tentent de déstabiliser la situation en fédération de Russie à coup de fausses nouvelles, et de provocations.
Les opposants pro-occidentaux de Russie ayant sombré dans les limbes médiatiques, et ne pouvant pas participer aux élections car ils sont incapables de réunir les conditions requises pour être candidats, il ne reste que ceux se trouvant à l’étranger, les CIPSO ukrainiens et les médias occidentaux pour organiser la guerre informationnelle contre les élections présidentielles russes de 2024. Et de ce point de vue-là, le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils sont actifs, et prêts à tout pour déstabiliser la situation du pays.
Les médias étrangers jouent comme d’habitude la carte de «l’absence de démocratie», en brandissant un obscur inconnu, Nadejdine (qui a été disqualifié comme candidat par la commission électorale centrale car il y avait plus d’erreurs – comprendre falsifications – dans les signatures d’électeurs recueillies que ce qui était toléré, il y avait même des morts parmi les signataires), comme étant prétendument le seul opposant à Vladimir Poutine lors de ces élections.
Or, en consultant le site de la commission électorale centrale russe, on constate facilement qu’il y a quatre candidats : Vladislav Davankov (Nouvelles Personnes), Vladimir Poutine (indépendant), Leonid Sloutski (parti LDPR), et Nikolaï Kharitonov (parti communiste). Ce qui fait trois opposants à Vladimir Poutine. Oups.
Je rappelle d’ailleurs pour ceux qui croient encore ce qu’écrivent les médias occidentaux, que le parti communiste est depuis longtemps le principal parti d’opposition au parlement russe (ils ont reçu presque 19% des voix lors des dernières élections législatives bien loin devant les partisans de Navalny, Iabloko et autres partis pro-occidentaux, qui n’ont jamais eu des pourcentages à plus d’un chiffre).
Ce genre de mensonge ne pouvant marcher sur les Russes, qui savent ce qu’il en est, il reste alors les CIPSO ukrainiens pour essayer de provoquer des troubles dans le pays. Leurs moyens de pression de choix sont de jouer sur les relations interethniques et sur les jeunes, qui n’ont pas encore acquis un sens critique aiguisé face aux informations, comme le souligne Alexandra Vrembiak, analyste au Centre national d’information sur la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme dans l’environnement éducatif et sur Internet.
00:00 – Opération littéraire spéciale
Ukraine : pourquoi la Russie a gagné
Géopolitique profonde
LOGIOS
Planet VPN
02:12 – Économie
Croissance russe 2023 et 2024
Aéronautique civile russe
Joe Biden sauve la planète
Bananes sous sanctions
Démographies russe et ukrainienne
11:50 – Politico-stratégique
Vladimir Poutine par Tucker Carlson
15:35 – Terrorisme
Suède vs Nord Stream
Bombardements sur Lissitchansk, Donetsk et Belgorod
Guardian vs bandéristes
18:40 – Armements
Coalition d’artillerie
Gamelin LGBT
Protection anti-drone pour les chars russes
Mini-missiles anti-drones
Bayraktar en Ukraine
25:35 – Considérations militaires générales
Vision globale du front
Avdeeka bastion bandériste
26:58 – Carte des opérations militaires
Ce pourrait être le cas, mais cela ne l’est pas. Tous les protagonistes du Levant agissent avec retenue, chacun évitant l’irréparable, tandis que les suprémacistes juifs de la coalition de Benjamin Netanyahu avancent inexorablement leurs pions.
A l’issue de quatre mois de guerre à Gaza contre le peuple palestinien et contre le courant du Hamas appartenant à la Résistance palestinienne, mais jamais contre celui obéissant à la Confrérie des Frères musulmans, les différents acteurs ont affiché leur position.
Tout en prétendant à ses citoyens lutter contre le Hamas en général, la coalition de Benjamin Netanyahu œuvre à terroriser les Gazaouis pour les faire fuir. Les privations, les tortures et les massacres ne sont pas une fin en soi, juste des moyens pour parvenir à annexer cette terre.
Ansar Allah, le puissant parti politique yéménite, a pris l’initiative d’attaquer en mer Rouge des navires israéliens ou faisant escale en Israël, en exigeant l’arrêt du massacre à Gaza. Progressivement, il a également attaqué des navires liés à des États soutenant ce massacre. Le Conseil de Sécurité des Nations unies a rappelé que le Droit international interdit d’attaquer des navires civils tout en reconnaissant que le problème ne sera pas résolu tant que le massacre se poursuivra.
Les États-Unis, tout en s’opposant au massacre des civils palestiniens, se sont montrés solidaires de la population israélienne juive dans sa vengeance aveugle contre eux. Ils ont continué à fournir les FDI en obus, tout en appelant Tel-Aviv à laisser entrer l’aide humanitaire requise. Sur cette même ligne politique, ils ont pris en charge le problème posé par la résistance des Yéménites en créant l’Opération « Gardien de la Prospérité ». Ils y ont fait participer leurs affidés occidentaux en violation de l’autorité du Conseil de Sécurité des Nations unies qui n’a jamais autorisé d’intervention militaire au Yémen. Cependant l’état-major militaire français s’est retiré de cette alliance au bout de deux jours, mettant en avant son objection de conscience à couvrir le massacre de Gaza. Au demeurant les bombardements des Occidentaux ne sont pas parvenus à toucher les centres militaires d’Ansar Allah.
L’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, qui viennent de livrer une longue guerre au Yémen, se sont abstenus de rejoindre « Gardien de la Prospérité » et ont, au contraire, signé un accord de paix avec Ansar Allah. Tous se sont retrouvés sur la position de la Ligue arabe, formulée en 2002 : reconnaissance et normalisation avec Israël dès la création d’un État palestinien.
L’Égypte qui, par effet domino a perdu 45 % de ses revenus du Canal de Suez, ne s’est pas retourné contre Ansar Allah. Au contraire, Le Caire a pris contact avec lui et a publiquement salué son effort en faveur du peuple palestinien. Tout au plus a-t-il appelé ses interlocuteurs à ne pas bloquer totalement la mer Rouge. Les navires chinois et russes continuent à circuler librement et Ansar Allah a annoncé qu’il restreignait ses cibles.
L’Iran, après avoir appelé ses différents partenaires de l’Axe de la Résistance à ne pas envenimer la situation, est soudain sorti de sa réserve. Téhéran a bombardé des sites liés à Israël ou aux États-Unis dans trois États distincts : la Syrie occupée illégalement par les États-Unis, l’Iraq où leur présence est légale mais pas certaines de leurs activités, et le Pakistan où ils soutiennent un mouvement séparatiste balouchte.
La Maison-Blanche a répondu que ces attaques ne resteraient pas impunies, mais n’a rien fait dans l’immédiat. Si sa riposte est légère, tous les protagonistes en concluront que Washington n’est qu’un « tigre de papier », si elle est forte, elle risque d’ouvrir la voie à une Troisième Guerre mondiale.
La Syrie a applaudi. L’Iraq a protesté, assurant du bout des lèvres qu’il n’y a jamais eu de base du Mossad dans sa région autonome du Kurdistan. Puis il a demandé aux Forces occidentales de se retirer du pays.
Le Pakistan, dont Washington espérait que le nouveau gouvernement se tiendrait prêt à entrer en guerre contre l’Iran, s’est, sous l’influence de son armée, rallié à Téhéran dans sa lutte contre les séparatistes pro-US
C’est dans ce contexte que la Cour internationale de Justice (CIJ) a rendu son ordonnance provisoire dans le cadre de l’affaire opposant l’Afrique du Sud à Israël qu’elle accuse de laisser perpétrer un génocide sous la responsabilité de certains de ses dirigeants. La Cour, présidée par une ancienne fonctionnaire du département d’État US, est parvenue à une majorité écrasante de 15 juges contre 2, à une décision correspondant en tout point à la position des États-Unis : elle a reconnu qu’il y avait une suspicion de génocide et a ordonné à Israël de veiller à laisser entrer à Gaza l’aide humanitaire requise, mais elle s’est bien gardée d’aller plus loin. Elle n’a rien dit sur les demandes de réparation vis-à-vis des victimes, ni sur la condamnation par Israël des individus coupables de génocide. Surtout, elle s’est abstenue de dire que « l’État israélien doit suspendre immédiatement ses opérations militaires à l’intérieur et à l’encontre de Gaza ».
Faisant mine d’accepter de se conformer à cette ordonnance, Israël a libéré le passage de Rafah et annoncé des mesures en faveur du passage de l’aide humanitaire internationale. Cependant simultanément, il a accusé l’Office des nations unies chargé de distribuer cette aide (l’UNRWA) d’être une annexe des « terroristes ». Il a envoyé à Washington des preuves de la participation de 12 employés de l’Agence à l’opération du 7 octobre. Sans attendre, les États-Unis ont suspendu leur aide et convaincu une douzaine d’États affidés de les imiter. Soudain dépourvue de moyens, l’UNRWA n’a donc plus la possibilité d’acheminer cette aide dans Gaza et de la distribuer.
Washington, qui jusqu’à présent plaidait pour l’aide humanitaire aux civils, a donc durci sa position en participant à la destruction de l’agence idoine des Nations unies. Il poursuit cependant son rêve d’une « solution à deux États ». En se dirigeant vers une dissolution de l’UNRWA, les Occidentaux privent les apatrides palestiniens des passeports que seuls les Nations unies peuvent leur délivrer. De fait, ils empêchent aussi l’exil « volontaire » de cette population bombardée et affamée que l’Union européenne s’apprêtait déjà à recevoir.
Enhardie par ce soutien, 11 ministres de la coalition de Benjamin Netanyahu se sont affichés lors d’un événement festif, organisé par la radio Kol Barama au Centre international des congrès de Jérusalem. Il était intitulé : « Conférence pour la victoire d’Israël - les colonies apportent la sécurité : retourner dans la bande de Gaza et le Nord de la Samarie ». Les orateurs, dont Itamar Ben-Gvir, ministre de la Sécurité nationale et président du parti Force juive (Otzma Yehudit), ont assuré qu’il n’y aurait jamais de paix avec les Arabes et que seule la colonisation de l’ensemble de la Palestine pouvait apporter la sécurité aux juifs. Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, présent sur place, a approuvé.
Ces propos belliqueux ont choqué l’opposition à la coalition, qu’elle soit hors du gouvernement de guerre (comme Yaïr Lapid) ou qu’elle y siège (comme Yaakov Margi ou le général Benny Ganz). Surtout, ils ont exaspéré Washington qui a réagi de deux manières à cette gifle. D’abord, il a prié ses affidés de ne pas recevoir de suprémacistes juifs (comme Amichai Chikli, ministre des Affaires de la diaspora, qui était attendu à Berlin), puis il a décrété des sanctions contre certains d’entre eux. Ces mesures sont plus importantes qu’il n’y paraît puisqu’elles interdisent immédiatement toute levée internationale de fonds et transfert bancaire. Elles devraient rapidement affaiblir les suprémacistes juifs et, par contrecoup, favoriser les autres.
Rapidement, on a appris que Washington avait d’abord envisagé de faire figurer les ministres Itamar Ben-Gvir et Bezalel Smotrich sur la liste des personnes sanctionnées avant d’y renoncer. Ce dernier s’est alors contenté de rétorquer que l’accusation de Joe Biden selon laquelle des colons de Cisjordanie seraient violents est « un mensonge antisémite répandu parmi les ennemis d’Israël ».
Blanchiment d’argent. Le problème essentiel d’un gouvernement est de faire rentrer de l’argent dans son économie réelle. Comment ? par exemple le RMI, l’argent est donné aux clochards qui le dépensent tout de suite (les clochards ne capitalisent pas) et ainsi est créé du cash-flow pour l’économie. C’est bien mais les sommes sont ridicules. Sur le même principe, l’État vote des aides à l’Ukraine ; l’argent est donné à des pions qui le dépensent tout de suite en armements et ainsi créent du cash-flow pour le militaro-industriel.
Mais la masse monétaire de l’économie réelle, vous, votre boulanger, le restaurant, le plombier, a une fuite ; à savoir la capitalisation et les paradis fiscaux. Quand un riche planque ses sous aux Caraïbes, c’est autant de masse monétaire en moins dans le circuit réel. Et ce n’est pas un petit ruisseau qui coule, ni une rivière, ami lecteur, une rivière que dis-je, c’est un fleuve, l’Amazone, c’est le Gulf Stream.
- Mais quand l’État donne de l’argent, aux clochards, à l’industrie militaire, aux agriculteurs, d’où vient cet argent ? De la création ex nihilo, c’est-à-dire de rien. La monnaie est créée d’une ligne sur un ordi. Mais qui a ce pouvoir ? Qui a le pouvoir de faire des lignes de plusieurs milliards de mille sabords ? Qui est le bon dieu ?
Le bon Dieu appartient à ceux qui y croient. L’argent existe parce que on y croit. De la nécessité de croire c’est autre chose. Croire c’est être actif, ne pas croire est une position passive. Les bœufs ne croient pas. Une population qui ne croit en rien est le rêve du pouvoir totalitaire. La nécessité de croire est réelle pour construire une civilisation ; n’en déplaise à Harari, la croyance est réelle. Voir la fabrique du réel.
Mais revenons à pourquoi la guerre. Qui fabrique la monnaie ? Ce pouvoir a été enlevé aux rois, il appartient théoriquement aux nations, mais ce pouvoir a été soustrait aux nations. Le pouvoir de créer de la monnaie appartient aux banques privées. Les banques privées garantissent la valeur de la monnaie. Mais qui garantit les banques privées ?
Un peu d’histoire, la vraie. Depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, depuis les accords de Bretton Woods ; 22 juillet 1944, la FED – La Réserve fédérale des États-Unis – gère la quantité d’or de l’Occident.
Comme la masse monétaire se réduit perpétuellement du fait du Gulf Stream, il faut perpétuellement la recréditer, comment ? Les banques font la cavalcade, ce pas de charge des chevaux de l’armée napoléonienne. La cavalcade dans le jargon de la finance c’est l’acte de payer un crédit en prenant un autre crédit, qui sera financé par un autre crédit.
C’est-à-dire que la fortune des banques consiste en quantité de… crédits. Les banques ne possèdent que des dettes, et avec ces dettes, impriment des billets qui représentent de la valeur.
Ce qui permet d’exporter de la monnaie et de recevoir des marchandises en retour. Cela a donné à l’Occident une énorme puissance financière et lui a permis de fonctionner comme un parasite de l’économie mondiale.
Ce mécanisme d’augmentation de la dette arrive à un niveau tel que nous avons essentiellement mis en débit tout ce que nous possédons, y compris nos maisons et nos terres, pour maintenir notre niveau de vie. Nous ne possédons plus rien, maintenant que la dette a été soustraite. La dette est depuis longtemps devenue inutilisable – bien au-delà de notre capacité à payer des intérêts – ce qui explique pourquoi les taux d’intérêt en Occident sont proches de zéro. Toute augmentation rendrait la dette irréparable et nous ferions tous officiellement faillite en un jour. Nous sommes en 15 août 1971, Nixon met fin au régime de Bretton Woods, tout le monde sait cela.
Nixon signe l’arrêt de mort de Bretton Woods. La monnaie mondiale peut et doit être fabriquée en abondance, ce qui sape la confiance dans le dollar. Mais le dollar, pour recréer de la confiance, s’appuie sur le mécanisme du pacte du Quincy, soit la rencontre du 14 février 1945 du roi Saoud et de Roosevelt. Le pacte mentionne la protection de l’Arabie Saoudite par la force militaire US en contrepartie de quoi, le royaume Saoud s’engage à vendre son pétrole uniquement en dollars.
Ce pacte est fondamental car il contient l’équilibre du monde. En effet, acheter son énergie en dollars est une garantie que le dollar sera toujours demandé, donc toujours valable. Par extension, les US et leur armée ont forcé le monde à tout négocier en dollars, se garantissant le fait que le dollar soit toujours demandé. Les États-Unis s’installent dans la position de débiteurs à l’égard du reste du monde, et laissent les autres pays les financer en accumulant des dollars, concrètement c’est une position de prédateur, ou de parasite. Obama a poussé le bouchon jusqu’à imposer l’extra-territorialité de la loi américaine. C’est-à-dire quiconque utilise le dollar se trouve sous la loi américaine. Loi toute relative sur qui celle-ci s’exerce. Ce sont les fameuses règles du Nouvel Ordre mondial. « Le monde a besoin de règles » chantonnent toutes les marionnettes du pouvoir, ces règles ne sont que les ordres des dominants.
Ceci permet aux banques américaines – car la Fed appartient à un petit conglomérat de banques privées – de mettre le monde en coupe réglée. D’asservir le monde, c’est le plan. Toutes les nations refusant de se soumettre sont détruites, alimentant le militaro-indus US. Double bénéfice.
Par ailleurs les USA prennent bien soin de diviser, diviser pour mieux régner, tout groupe de nations qui pourrait faire bloc pour résister. Triple bénéfice. Seulement voilà.
Voila, tout le monde n’est pas d’accord.