La Rand Corporation dont le quartier-général siège à Washington, est “une organisation mondiale de recherche qui développe des solutions pour les défis politiques” : elle a une armée de 1.800 chercheurs et autres spécialistes recrutés par 50 pays, qui parlent 75 langues, distribués en bureaux et autres sièges en Amérique du Nord, Europe, Australie et Golfe Persique. Le personnel étasunien de la Rand vit et travaille dans plus de 25 pays. La Rand Corporation, qui s’auto-qualifie comme “organisation sans profit et non partisane”, est officiellement financée par le Pentagone, par l’Armée et l’Aéronautique USA, par les Agences de sécurité nationale (CIA et autres), par des agences d’autres pays et de puissantes organisations non-gouvernementales.
Si l’on veut bien prendre un peu de recul par rapport à des évènements très angoissants, la guerre en Ukraine n’est pas une initiative russe, même si la Russie a pris l’initiative des combats en court-circuitant les forces ukrainiennes qui s’apprêtaient à attaquer la Crimée et le Donbass. Elle a été planifiée dès 2019 comme l’atteste le plan de la Rand Corporation présenté à la Chambre des représentants le 5 septembre 2019.
Le Commandement américain pour l’Afrique a revendiqué une frappe aérienne mardi en Somalie, déclarant que l’attaque du drone avait visé « terroristes d’al-Shabaab», les accusant de «attaquant les forces partenaires dans un endroit éloigné près de Duduble», à environ 64 kilomètres (40 miles) au nord-ouest de la capitale, Mogadiscio.
La décision de l'Allemagne et la France de distribuer des armes, sans savoir exactement à qui, fait actuellement craindre le pire. L'unique solution est la négociation, ce qui semble dépasser les capacités diplomatiques des Occidentaux brandissant de façon irresponsable la menace nucléaire face à la Russie. L'escalade ne peut prendre fin qu'avec la diplomatie, si le président Zelensky, qui a fuit Kiev, n'en est pas empêché par son entourage.
Vladimir Poutine a annoncé le 24 février le début d’une "opération spéciale" pour "protéger les habitants" du Donbass. Dès le début de l’opération, la Défense russe a souligné que la population civile n’était pas menacée par les frappes, effectuées par des armes de précision et ne visant que les infrastructures militaires.
« En conformité avec un accord obtenu, la délégation russe composée de représentants de la diplomatie russe, du ministère de la Défense et d’autres instances dont la présidence, est arrivée en Biélorussie pour mener des pourparlers avec les Ukrainiens. Nous serons prêts à les lancer à Gomel. »