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JFK Junior

Égalité et RéconciliationJohn F. Kennedy Jr. et la malédiction kabbalistique

Égalité et Réconciliation - 18 juil 2024

Laurent Guyénot : John Fitzgerald Kennedy, Jr. est mort il y a 25 ans, avec sa femme et sa belle-sœur. Ce n’était pas un accident, mais un assassinat.

   

JFK Jr. a été assassiné parce qu’il était le fils de JFK, et qu’il avait des ambitions politiques motivées par une intense piété filiale.

Il devait mourir pour la même raison que son oncle Robert Francis Kennedy (RFK) devait mourir en 1968 : aucun Kennedy ne devait plus jamais s’approcher de la Maison-Blanche – à moins de s’appeler aussi Schlossberg, selon l’avis du rabbin Jeffrey Salkin. Et JFK Jr. aurait pu accéder à la Maison-Blanche en huit ans (il aurait eu 48 ans en novembre 2008 ; son père était devenu président à 43 ans). Je vais expliquer cela aussi.

« La famille Kennedy est un clan, une tribu, une souveraineté et une dynastie », a écrit Arthur Krock, qui les a bien connus [1]. Aucun des Kennedy ne peut être compris comme un simple individu. Ainsi, dans un sens plus profond, la raison pour laquelle JFK Jr. devait mourir est qu’il était le petit-fils du patriarche fondateur, Joe Kennedy. Ce point a été souligné sans ambiguïté par John Podhoretz dans un éditorial pour le New York Post, publié le jour même où le corps de JFK Jr. a été retrouvé au fond de l’océan, avec ceux de sa femme et de sa belle-sœur. Dans cette fiction des plus dégoûtantes, Podhoretz imagine que le Diable s’adresse à Joe en enfer : « Chaque fois que tu crois que ta famille est à nouveau sur le chemin de la gloire, je dois faire quelque chose, comme je l’ai fait ce week-end, avec ton petit-fils John. » Selon Podhoretz, JFK Jr. est mort en représailles pour ce que son grand-père a fait aux juifs, « lorsqu’il était ambassadeur des États-Unis en Angleterre, disant toutes ces gentillesses sur Hitler, et faisant son possible pour empêcher l’émigration juive de l’Allemagne nazie ». « Des milliers de juifs sont morts à cause de toi », selon le Diable parlant par Podhoretz.

Notez que, logiquement, c’est le dieu des juifs Yahvé, et non le Diable, qui devrait vouloir punir Joe en tuant son petit-fils. À moins bien sûr que Yahvé soit le Diable. Podhoretz n’a pas pris le temps de réfléchir à cette question ; il ne pouvait pas attendre un jour de plus pour exprimer sa joie, alors que l’Amérique pleurait le prince de Camelot.

John Podhoretz est le fils de Norman Podhoretz, l’homme qui en 2004 voulait déclencher la quatrième guerre mondiale. Les Podhoretz aiment les guerres mondiales parce que les guerres mondiales sont toujours bonnes pour Israël. C’est pour cela qu’ils ont une haine éternelle envers Joe Kennedy, l’homme qui a presque réussi à éviter la Seconde Guerre mondiale. Comme je l’explique dans le chapitre que je lui consacre dans Qui a maudit les Kennedy ?, Joe Kennedy n’était pas un ami de Hitler, mais un ami de la paix, tout comme Neville Chamberlain. « Je suis pour la paix, je prie, j’espère et je travaille pour la paix », déclara-t-il à son premier retour de Londres en décembre 1938 [2].

Pour avoir tenté d’empêcher les juifs d’entraîner l’Amérique dans la guerre, Joe Kennedy était considéré comme un antisémite de dimension holocaustique. Il est d’ailleurs étonnant que ses fils aient pu réussir si bien dans la politique américaine, malgré la réputation de leur père comme partisan de l’apaisement avec Hitler. Joe a dû déployer des trésors d’ingénuité pour laver sa descendance de la tâche antisémite.

Du point de vue d’Israël, JFK était définitivement un partisan de l’apaisement, comme son père. Israël avait eu besoin de la Seconde Guerre mondiale, et Israël avait maintenant besoin de la Troisième Guerre mondiale (c’est ainsi que Norman Podhoretz appelle la guerre froide). « Qu’est-ce qu’ils ont, tous ces Kennedy ? Pourquoi veulent-ils toujours empêcher ou mettre fin aux guerres dont Israël a besoin ? Que Yahvé les maudisse ! »

La malédiction des Kennedy est un concept kabbalistique qui a été présenté au public dans des livres tels que Les Péchés du père (Ronald Kessler) et La Malédiction des Kennedy (Edward Klein). Le titre du premier livre, écrit en 1997, fait référence à Exode 20:5 : « Moi, Yahvé, ton dieu, je suis un dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants de ceux qui me haïssent. » Le second livre, publié en 2004, évoque en introduction l’histoire « racontée dans les cercles juifs mystiques » selon laquelle, en « représailles » pour une remarque que Joe aurait faite à « un pauvre rabbin Loubavitch, et six de ses étudiants de yeshiva qui fuyaient les nazis » à la veille de la Seconde Guerre mondiale, « le rabbin a jeté une malédiction sur Kennedy, le condamnant, lui et toute sa progéniture mâle, à des destins tragiques » [8]. On voit bien le rapport entre cette « malédiction des Kennedy » et le texte de John Podhoretz : mettez la malédiction sur le compte du diable, mais sachez qu’il s’agit du pouvoir (surnaturel) des juifs.

Il est implicite dans l’histoire de Klein que la malédiction est d’abord entrée en action par la mort de Joe Kennedy Jr., l’aîné de la fratrie, tué au combat le 12 août 1944, aux commandes d’un bombardier dans une mission à haut risque. Le destin présidentiel est alors passé au deuxième fils.

La malédiction des Kennedy frappa à nouveau le 22 novembre 1963. J’ai évoqué dans mon livre cet homme de 39 ans nommé Louie Steven Witt qui était venu reprocher silencieusement au président Kennedy le soutien de son père à la politique d’apaisement de Chamberlain, en se tenant avec un parapluie noir à l’endroit et au moment précis de son exécution. Cette coïncidence entre le geste symbolique de Witt et l’assassinat n’était qu’une… malheureuse coïncidence, assura Witt au House Select Committee on Assassinations en 1978, et on ne lui posa pas d’autre question.

Je n’avais pas prêté attention au fait que Witt n’était pas le seul à faire sa « mauvaise blague ». Sur le film Zapruder et sur d’autres photos, on peut voir, devant lui à droite, un homme saluant JFK. Cet homme n’a jamais été identifié, et c’est étrange, car il était visiblement avec Witt. Quelques minutes après avoir vu la tête de JFK exploser sous leurs yeux, ils étaient assis l’un à côté de l’autre au même endroit. Cela suggère que leurs actions étaient un acte symbolique coordonné et que le salut du compère de Witt était censé être un salut nazi. Le parapluie noir en lui-même n’était peut-être pas un message assez clair, et donc le salut nazi rendait le message beaucoup plus clair.

Louie Steven Witt et ses collègues étaient-ils des agents sionistes conscients de la portée de leur geste ? Je ne pense pas. Le fait qu’ils se soient assis ensemble après coup suggère qu’ils étaient stupéfaits et se demandaient ce qu’ils avaient bien fait. Je suppose qu’ils avaient été envoyés pour transmettre un message symbolique, sans savoir que cela pimenterait l’assassinat. Qui serait assez fou pour se mettre dans cette situation en connaissance de cause et se placer, de surcroît, si prêt de la ligne de mire du tireur du Grassy Knoll ? Peut-être avaient-ils été convaincus de le faire pour de l’argent, ou dans le cadre d’un pari, ou comme service rendu au patron juif de Witt à la Rio Grande National Life Insurance Co où Witt travaillait.

Je pense en tout cas que, s’il restait le moindre doute sur le fait qu’Israël était l’instigateur principal de l’assassinat de John Kennedy, Umbrella Man et Nazi-Salute Man en sont la signature ultime. Mais pour voir cela, il faut une certaine perspicacité spirituelle.

Les Podhoretz, fondateurs du mouvement néoconservateur, incarnent l’âme maléfique des États-Unis. Les Kennedy incarnaient le meilleur de l’Amérique : des valeurs familiales ancrées dans le christianisme, et le culte du service rendu au pays jusqu’au sacrifice. La famille Kennedy symbolisait l’Amérique que les Américains et le monde aimaient. Aucune autre famille américaine n’avait une telle aura dynastique.

C’est pourquoi John F. Kennedy, Jr. était le « prince héritier charismatique de la famille royale américaine », comme l’écrivait le New York Daily News au lendemain de sa mort. Il était le prince Hamlet hanté par le fantôme de son père assassiné, destiné à le venger et à sauver le royaume des usurpateurs. La tragédie de Kennedy est l’histoire la plus shakespearienne, la plus mythique, la plus paradigmatique, la plus emblématique de toute l’histoire américaine. Et l’Amérique n’a pas un seul monument digne en leur honneur. Tant de musées de l’Holocauste pour honorer les morts juifs, et pas une seule chapelle pour prier pour les Kennedy.

En fait, seul Israël a construit un mémorial Kennedy relativement important. Il a été explicitement conçu pour ressembler à « la souche d’un arbre abattu », et c’est effectivement le cas. Vous voyez l’idée ? Il symbolise le projet d’Israël pour la dynastie Kennedy. Vous pouvez faire confiance aux juifs pour choisir les symboles avec précision. Et n’imaginez pas qu’on puisse voir une statue ou même une seule photo de Kennedy à l’intérieur du monument ; il est creux comme une souche morte. C’est un mémorial pour effacer la mémoire de Kennedy, ce qui me rappelle le commandement paradoxal de « ne pas oublier d’effacer la mémoire d’Amalek » (Deutéronome 25:19 et Exode 17:14).

La haine des sionistes envers les Kennedy est ancienne et éternelle. Lors de sa rencontre avec le nouveau président le 30 mai 1961 à New York, Ben Gourion ne pouvait s’empêcher de voir en lui le fils d’un pacificateur hitlérien. Abraham Feinberg (qui organisait la rencontre) se souvient que « Ben Gourion pouvait être vicieux et qu’il avait une telle haine envers "le vieux" [Joe Kennedy] » [9]. Ben Gourion ne se faisait aucune illusion sur le fait que John était vraiment le fils de son père. N’avait-il pas, dans son livre Profiles in Courage, lauréat du prix Pulitzer en 1956, donné raison au sénateur Robert Taft pour avoir dénoncé les procès de Nuremberg comme une parodie de justice, et la pendaison de responsables allemands comme « une tache sur l’histoire américaine que nous regretterons longtemps » ? Il n’échappa certainement pas aux sionistes que, le 11 mai 1962, le président Kennedy invita à la Maison-Blanche Charles Lindbergh, celui qui en 1940 avait accusé publiquement les juifs de pousser l’Amérique à la guerre, et vivait depuis la fin de la guerre en reclus pestiféré.

De plus, JFK voulait empêcher Israël de se doter de la dissuasion nucléaire indispensable pour empêcher les Arabes de commettre un nouvel Holocauste. C’est ce que Ben Gourion voulait dire en décrivant Nasser comme un nouveau Hitler et les Arabes comme les nouveaux nazis, dans l’une de ses dernières lettres à Kennedy, le 12 mai 1963, en réponse à la demande de Kennedy d’inspecter immédiatement Dimona : « Les connaissant, je suis convaincu qu’ils sont capables de suivre l’exemple nazi… Monsieur le Président, mon peuple a le droit d’exister… et cette existence est en danger. » Il termina sa lettre par une remarque cryptique sur le roi Hussein de Jordanie : « Il y a toujours le risque qu’une balle mette fin à sa vie et à son régime. » [10]

Ben Gourion avait de bonnes raisons de craindre, non seulement une présidence de John Kennedy jusqu’en 1968, mais la dynastie Kennedy, car on imagine aisément que Robert Kennedy prenne sa succession pour huit ans et, pourquoi pas, Ted Kennedy ensuite. Il fallait non seulement éliminer John Kennedy, mais détruire la dynastie Kennedy. Pour cela, il fallait également tuer le fils unique du président Kennedy. Tuer son avenir politique n’était pas suffisant, et probablement pas possible.

J’ai écrit un très long article sur JFK Jr. en janvier 2019, intitulé « Le destin présidentiel brisé de John Kennedy Junior », que je vais maintenant résumer.

Les preuves de l’assassinat

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Trump - Vance

Le courrier des stratègesPourquoi Trump a choisi James David Vance comme vice-président

Le courrier des stratèges - 17 juil 2024

A peine remis de l’attentat qui a failli lui coûter la vie, Donald Trump a désigné celui qui entrerait comme vice-président à la Maison Blanche avec lui en janvier 2025. Il s’agit de James David Vance, sénateur de l’Ohio.

   

Il est intéressant de regarder de plus près les raisons pour lesquelles l’ancien président a fait ce choix. Un célèbre libertarien américain, Wayne Roote, a son idée sur la question.

Le choix d’un vice-président est toujours complexe pour un candidat à la présidence des Etats-Unis. Et Donald Trump a fait une mauvaise expérience, puisqu’il a été trahi, en fin de premier mandat, par Mike Pence, un homme politique catholique, très opposé à l’avortement mais qui a refusé d’aider Trump à démasquer la fraude du camp Biden lors de l’élection présidentielle de 2024.

Certains s’étonnent, pour cette raison, que l’ancien président ait chois, cette fois, un homme qui le critiquait durement il y a quelques années. Mais écoutons ce qu’a à en dire Wayne Root, célèbre libertarien américain...

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Tubiana Blackrock

Égalité et RéconciliationBlackRock présente : Laurence Tubiana !

Égalité et Réconciliation - 17 juil 2024

La probable future première ministre proposée par la gauche, Laurence Tubiana, est comme par hasard proche de BlackRock et des élites mondialistes. Les électeurs voulaient dégager le système, il se renforce.

   

Je vous présente Laurence Tubiana. Elle a été choisie par le NFP (hors LFI) pour devenir 1° ministre. Laurence Tubiana porte le pin’s de Bill Gates « global goals» et participe au forum de Davos.

«Il faut que tout change pour que rien ne change »

Le Guépard de Visconti

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Stratpol : bulletin n°194

StratpolLe nationalisme c’est la paix ! Sauvagerie kiévienne, dette socialiste

Stratpol - 16 juil 2024

STRATPOL : Bulletin n°194 de Xavier Moreau

   

00:00 – Ukraine pourquoi la Russie a gagné
Géopolitique profonde
Octobre 1795 : décret des deux tiers
La dette

07:50 – Économie
MBS vs les voleurs européens
Ariane VI & RD 191-M
KAMAZ : robotisation

12:10 – Politico-diplomatique
Orban : nationaliste pour la paix
Visite de Narendra Modi à Moscou
Sommet de l’OTAN
Géorgie : le chemin vers la liberté

19:05 – Empire du mensonge
Kiev : bombardement de l’hôpital pour enfants
ISIDA et le trafic d’esclaves
Pertes russes sur la BBC

25:10 – Terrorisme
Sauvagerie kiévienne vs christianisme russe

27:40 – Armement
Drones US en mer Noire
Chine : fournisseur de l’US Army
Thierry Breton : bureaucrate incompétent

30:52 – Considération militaire général
Azov : guerre totale !

32:22 – Carte des opérations militaires

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Pourquoi avoir voulu assassiner Trump ?

Nouveau MondeDonald Trump échappe à un attentat lors d’un meeting politique

Nouveau Monde - 15 juil 2024

Comment un homme a-t-il pu se trouver sur un toit, avec une arme, à moins de 200 mètres d’un ancien président américain et lui tirer dessus ?

   

La question de la sécurité autour de Donald Trump agite l’Amérique après la tentative d’assassinat qui a visé le candidat républicain à la présidentielle ce samedi 13 juillet, lors d’un meeting à Butler, en Pennsylvanie. « Clairement, nous allons avoir beaucoup de questions à poser sur ce qu’il s’est passé », a réagi Steve Scalise, chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants.

Donald Trump a été touché à l’oreille. Exfiltré par les agents du Service secret, l’ancien président a été examiné par des médecins et se porte bien. Mais un militant présent dans le public, également touché, est décédé. Le FBI dit avoir identifié le tireur comme étant « Thomas Matthew Crooks, 20 ans, de Bethel Park, Pennsylvanie ». Il a été abattu après avoir tiré.

[…]

Plusieurs témoins ont affirmé avoir aperçu le tireur avant qu’il n’ouvre le feu et avoir tenté d’alerter la police de la ville, qui a rapporté avoir « répondu à un certain nombre de rapports d’activité suspecte », sans donner plus de précisions. Un témoin interrogé par la BBC assure avoir vu « un homme ramper sur le toit » et l’avoir montré « pendant plusieurs minutes » aux forces de l’ordre. « On pouvait clairement le voir avec son arme », a-t-il ajouté, expliquant que la police semblait ne pas comprendre ce qu’il se passait. Selon lui, l’inclinaison du toit faisait que les agents du Service secret ne pouvaient probablement pas le voir de là où ils se trouvaient.

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who is they

Profession GendarmeLa mafia mondiale : Qui sont-ils ?

Profession Gendarme - 14 juil 2024

Corey Lynn : Qui sont ceux qui Dirigent le Monde Discrètement, à Travers de Nombreuses Organisations Internationales, pour mettre en Place le « Nouvel Ordre Mondial » ?

   

La question numéro un qui circule constamment sur les réseaux sociaux et qui exaspère des millions de personnes est : « Qui sont-ils ? »

Non pas « qui sont-ils », mais « qui sont-ils », comme si « ils » était une force unique fonctionnant comme un seul.

Alors que « ils » fonctionnent souvent comme une force unique, de nombreux individus et acteurs sont impliqués.

Les gens veulent savoir qui se cache derrière l’argent, le pouvoir, le contrôle, les récits et la destruction du monde – les guerres incessantes, l’inflation artificielle, les attaques contre le système alimentaire et l’agriculture, les grandes sociétés pharmaceutiques et la folie médicale, la surveillance constante, l’IA et le transhumanisme, l’ensemble du système financier, etc.

Cela ne se limite pas à un ou même à dix pays – c’est un programme mondial qui remonte à des siècles et même les chercheurs, historiens et enquêteurs les plus brillants ne peuvent pas nommer toutes les personnes impliquées au sommet de cette hiérarchie.

Cependant, il y en a des milliers qui peuvent être nommés, et presque tout le monde a reconnu le fait qu’il s’agit d’un très petit pourcentage qui tente de diriger le monde sous son « Nouvel Ordre Mondial ».

Il existe plusieurs termes utilisés pour désigner ces mauvais acteurs, tels que « État profond », « cabale mondiale », « Illuminati » et « gouvernement de l’ombre ».

Les individus qui orchestraient cette tentative de prise de contrôle mondiale opèrent en secret au sein du gouvernement pour modifier les politiques publiques et les lois tout en façonnant la culture et les récits. Plus récemment, beaucoup de ces mauvais acteurs n’opèrent plus en secret – ils ont plutôt adopté un style plus direct.

Ils sont tous impliqués, essayant désespérément d’éliminer les masses grâce à leur manuel de jeu, et bien qu’ils semblent avoir un plan A, B et C pour chaque programme, les gens ripostent et voient clair dans leurs tactiques de manipulation.

Il est vrai que cela crée un champ de dissonance cognitive assez large, mais chaque mois qui passe, de plus en plus de gens prennent conscience du jeu qui se joue sur l’humanité et refusent de le tolérer.

C’est la grande arnaque et ils ne peuvent y arriver que si vous y croyez, si vous tombez dans le panneau, si vous acceptez qu’ils ont du pouvoir sur vous et que vous vous laissez devenir l’esclave obéissant qu’ils veulent que vous deveniez.

C’est la plus grande dose de vérité. Ils ont besoin que tout le monde croie qu’ils sont l’autorité, qu’ils ont vos intérêts à cœur et que ce qu’ils vous disent est vrai.

Ils veulent que vous vous sentiez impuissant et dépendant d’eux.

C’est leur plus grand obstacle et c’est celui auquel vous ne devriez jamais céder.

Plus on remonte loin dans le temps, plus il est difficile de les suivre. Pourquoi ?

Parce que les lignées riches ont tendance à se mélanger, changeant souvent de nom et d’orthographe, d’origine et de liens familiaux.

Pour couronner le tout, des centaines de campagnes psychologiques sont menées simultanément, provenant de plusieurs pays et sources, pour semer encore plus la confusion.

Une chose est sûre : ces gens planifient cette prise de pouvoir ultime depuis très longtemps, ont tous leurs sbires et leurs outils utiles pour se coordonner, ont lavé le cerveau de millions de personnes avec leurs plans, sont astucieux et calculateurs avec leurs méthodes et bien plus intelligents que la plupart ne voudraient l’admettre.

Les gens veulent des noms, alors commençons par là.

C’est une grande partie de la hiérarchie, qui laisse quelques inconnues cachées derrière la Banque des règlements internationaux (« BRI »).

Dans le rapport en trois parties de Corey Lynn sur « Le blanchiment avec immunité« , il explique en détail comment et quand la BRI est née et comment la BRI et 63 banques centrales ont conçu un plan pour détenir des immunités et des privilèges.

Peu de temps après, en 1945, l’ONU a été manifestée par certains des comploteurs de cette grande prise de contrôle, et les immunités et privilèges sont arrivés avec elle le lendemain.

C’était le début du cadre de contrôle et de la façon dont ils seraient en mesure de mener à bien leurs programmes tout en opérant entièrement en dehors de la loi.

Toutes les branches de l’ONU bénéficient de ces immunités et peuvent les étendre aux organisations qui travaillent avec elles.

Bien avant la création de l’ONU, l’Organisation des États américains (« OEA ») a été créée.

Eux aussi ont été les premiers à bénéficier d’immunités et de privilèges, aux côtés de l’ONU, car ils travaillent en collaboration les uns avec les autres.

Elles peuvent également étendre ces immunités aux organisations avec lesquelles elles travaillent.

Outre les banques, l’ONU et l’OEA, le Fonds mondial, Gavi et le Forum économique mondial ont également bénéficié de ces immunités, ainsi que de nombreuses autres organisations internationales clés.

Au total, 76 organisations internationales bénéficient de ces immunités et privilèges, sans compter la BRI et les banques centrales.

Alors que l’ONU et l’OEA ont conclu des traités avec de nombreux pays qui leur confèrent des niveaux de protection à toute épreuve, les autres organisations internationales détiennent des immunités, des privilèges et des accords de siège de manière indépendante avec chaque pays qui a choisi de le faire, et ils sont nombreux !

Les États-Unis ont préparé le terrain pour cela, en les distribuant à 76 organisations au cours de chaque présidence, à l’exception de celles de Trump et de Biden.

Lisez « Blanchir avec immunité » pour saisir toute l’étendue de ce que ces immunités et privilèges impliquent.

Pour commencer, toutes leurs archives sont inviolables, leurs biens et actifs sont à l’abri des perquisitions et saisies, ils sont exemptés de tout type d’impôt que paient les citoyens ordinaires, y compris les impôts fonciers, les dirigeants et employés sont exemptés de poursuites judiciaires, les employés et les membres de leur famille peuvent voyager dans le monde entier sans contrôle des douanes, les militaires et la police ne sont pas autorisés à entrer dans leur quartier général, et bien plus encore.
Une fois que les gens comprennent que CECI est le cadre de contrôle – la structure qui a été créée il y a près de 80 ans pour qu’ils puissent opérer en dehors de la loi et ne jamais être tenus responsables, il est facile de voir comment tous les autres éléments se mettent en place.

Qui sont-ILS ?

Voilà à elle seule la liste des 76 organisations, de la BRI et des 63 banques centrales au sommet de la pyramide, sachant que derrière cette pyramide se trouvent des acteurs riches et stratégiques dont nous ne connaîtrons peut-être jamais les noms.

Ceux qui dirigent ces organisations sont les noms clés délibérément placés en position de pouvoir pour mener à bien des programmes spécifiques.

Ces acteurs clés se déplacent au sein de ce groupe d’organisations et dirigent parfois des organisations affiliées afin de maintenir leur stratégie.

Certains de ces programmes proviennent directement des organisations pyramidales, tandis que d’autres sont sous-traités à leurs affiliés dans des ONG, des entreprises, des universités, des législateurs, des gouvernements, des agences de presse à trois lettres, des médias d’information et des sociétés de capital-investissement. Par exemple, les agents de la CIA accèdent souvent à des postes dans les médias d’information, les directeurs de la FDA passent souvent dans les grandes sociétés pharmaceutiques, les directeurs des CDC passent à la Fondation Rockefeller ou à la Fondation Bill & Melinda Gates, etc.

Ils maintiennent leurs acteurs clés à des postes dont ils ont besoin à des moments précis, puis les déplacent vers d’autres postes de direction lorsqu’ils ont besoin que certaines actions soient menées.

Jim Yong Kim en est un parfait exemple, depuis la cofondation de Partners in Health jusqu’à la fonction de conseiller auprès du directeur général de l’OMS et du directeur du département VIH/SIDA, puis à la réalisation des résultats requis à Harvard à divers postes, jusqu’à la présidence du Dartmouth College, puis à la présidence de la Banque mondiale – démissionnant par coïncidence début 2019, et maintenant associé chez Global Infrastructure Partners.

Kim a joué un rôle déterminant dans des actions néfastes en Haïti, dans le programme de lutte contre le sida, dans les vaccins, dans la recherche des contacts du covid, dans la pression exercée sur les pays pour qu’ils reçoivent un financement de la Banque mondiale et dans le programme climatique, et chaque poste était au bon moment.

Ce n’est pas une coïncidence si BlackRock acquiert Global Infrastructure Partners au 3e trimestre 2024.

Vous pouvez en savoir plus sur les relations et l’implication de Jim Yong Kim dans les rapports de Corey Lynn ICI , ICI et ICI.

Ils ont fait un travail incroyable pour tenter d’enterrer son enfance et sa famille.

Le PDG de BlackRock, Larry Fink, a également fait des pieds et des mains pour cacher ses liens familiaux et son enfance, avec un père qui semble être un fantôme.

Il est compréhensible de vouloir garder sa famille à l’abri des regards du public lorsqu’on occupe des postes importants, mais ces chats ont bien plus à offrir que ce que l’on voit.

Il existe d’innombrables petites entreprises qui ont eu la bonne volonté de fournir des produits et des services de qualité aux gens ou à la terre, mais à mesure qu’elles ont commencé à se développer et à attirer l’attention, ces organisations corrompues sont intervenues pour tenter de les récupérer et finalement de les acquérir.

Le rachat de Whole Foods par Amazon en est un bon exemple.

Ces organisations, y compris les soi-disant philanthropes milliardaires, sont derrière chaque grande industrie et la « réimaginent » pour essentiellement exclure tout le monde de la prospérité financière afin que tout le monde puisse devenir la proie de leur système d’esclavage planifié.

En fin de compte, le Congrès doit révoquer ces immunités et privilèges.

Tout législateur qui affirme que les États-Unis doivent retirer le financement de l’OMS (qui fait partie de l’ONU) ou de l’ONU elle-même n’est manifestement pas au courant de ce cadre de contrôle, car s’il l’était, il saurait que retirer le financement ne résoudra rien.
Comment « Ils » opèrent et listes de qui « Ils » sont !

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les qataries à Paris

Le Media en 4-4-2Les forces qataries sont déployées à Paris pour sécuriser des Jeux Olympiques 2024

Le Media en 4-4-2 - 13 juil 2024

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 bénéficient de la sécurité renforcée par le Qatar.

   

Alors que les préparatifs des Jeux Olympiques de Paris 2024 battent leur plein, l’arrivée des forces de sécurité qataries dans la capitale française suscite autant d’intérêt que de questionnements. En effet, ces derniers jours, des vidéos montrant des véhicules de sécurité qatariens circulant dans les rues de Paris ont émergé sur internet, témoignant de l’implication directe du Qatar dans la sécurisation de cet événement planétaire.

Une coopération renforcée entre la France et le Qatar

Comme le souligne Qatar News Agency, cette présence s’inscrit dans le cadre des accords signés en mars dernier, lors de la visite officielle de l’Émir du Qatar, Son Altesse Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, en France. Les ministres de l’Intérieur des deux pays, Cheikh Khalifa bin Hamad Al Thani pour le Qatar et Gérald Darmanin pour la France, ont paraphé une série d’accords visant à renforcer leur coopération en matière de sécurité. L’objectif principal : garantir la sécurité optimale des Jeux Olympiques de Paris 2024, prévus du 26 juillet au 11 août.

Un déploiement stratégique des forces qataries

Conformément à ces accords, les forces de sécurité qataries joueront un rôle clé dans diverses missions. Elles participeront notamment à des patrouilles à pied, au renforcement du centre national des opérations, à des interventions à cheval et fourniront un appui aérien par drones. Leur expertise en déminage, cybersécurité, détection canine d’explosifs, lutte antiterroriste et gestion des foules sera également mise à profit.

Une délégation qatarie s’était déjà rendue à Paris pour se familiariser avec les installations et la logistique nécessaire. Leur contribution ne se limitera pas seulement aux JO 2024, mais s’étendra à un plan d’action quinquennal (2024-2027) visant à renforcer la collaboration sécuritaire bilatérale entre les deux nations.

Sécurité ou stratégie géopolitique ?

L’implication du Qatar dans la sécurité des Jeux Olympiques soulève des interrogations. Certains analystes se demandent si ce choix ne reflète pas une volonté de prévenir des menaces d’attentats, qu’ils soient islamistes ou issus d’autres acteurs internationaux. En effet, la présence des forces qataries pourrait être perçue comme un message fort de coopération et de dissuasion envers d’éventuelles tentatives de déstabilisation, qu’elles soient d’origine terroriste ou orchestrés par des entités comme le Mossad utilisant des opérations sous faux drapeau, dans une manœuvre pour influencer l’opinion mondiale et justifier le conflit en cours à Gaza.

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renouvellement état profond français

GéopolintelMcKinsey et la CIA renouvellent l’Etat Profond en France

Géopolintel - 11 juil 2024

La French American Foundation a depuis trente ans pour fonction de recruter les jeunes leaders appelés à occuper des postes de dirigeants pour les former au soutien de la politique atlantiste.

   

Cette organisation gérée par la CIA et depuis 2015 est partenaire du Cabinet McKinsey qui a réorganisé l’agence sous le mandat de John Brennan et l’administration Obama.
L’autre relais de ces organisations est Joel Benenson, qui a formé Emmanuel Macron. Il est le fondateur et PDG du Benenson Strategy Group, qui est l’un des plus grands stratèges politiques et d’entreprises au monde.
M. Benenson a dirigé les campagnes de 2008 et 2012 du président Obama. Benenson a été le stratège principal d’Hillary Clinton.

Marguerite Cazeneuve est spécialiste française des affaires sociales, de la santé et des retraites. Elle a été conseillère d’Emmanuel Macron et est actuellement directrice déléguée de l’Assurance maladie. Elle est la fille de Jean-René Cazeneuve, député du Gers et de Béatrice Cazeneuve, ancienne cadre chez Eli Lilly France. Elle est en couple avec Aurélien Rousseau, ancien directeur du cabinet de la Première ministre et ministre de la Santé et de la Prévention du 20 juillet au 20 décembre 2023.

Ariane Komorn ancienne de McKinsey, passée par En marche d’Emmanuel Macron, est la cofondatrice de La Solive, un centre de formation consacré à la rénovation énergétique.

Cyrielle Villepelet, 36 ans, ancienne de l’Essec Business School, a passé 11 ans chez McKinsey et a été nommée directrice associée de Téthys Invest, une filiale de Téthys (holding de la famille Bettencourt et première actionnaire de L’Oréal).

Young Leaders français : le bon cru McKinsey

Elles sont 3 alumni de McKinsey, 3 femmes, dans la dernière promotion, la 43e, des 12 Young Leaders français 2024 de la French American Fondation : Marguerite Cazeneuve, Ariane Komorn, et l’ancienne partner Cyrielle Villepelet.

Depuis 1981, ce programme d’échange franco-américain sélectionne ainsi 12 Français et 12 Américains âgés de 30 à 40 ans et considérés comme remarquables dans leur domaine d’activité ou de compétence. « Ces 6 femmes et 6 hommes, issus de milieux, de parcours et de professions variés, ont été choisis parmi près de 170 candidats. Les lauréats mettent en lumière les atouts de la France, son savoir-faire et son engagement dans un monde en mutation et alors que nos deux pays viennent de rappeler leur lien indéfectible. Cette promotion incarne l’excellence française, avec un engagement significatif pour l’intérêt général, aussi bien dans les services de l’État, dans la diplomatie, que dans les engagements sociétaux. Au travers de leurs actions, ils incarnent le leadership d’aujourd’hui et de demain », partage ainsi la direction de la fondation.

Un titre honorifique certainement. Une mise en lumière de plus parmi les différentes sélections comme le prestigieux Young Global Leaders du Forum économique mondial (FEM) ou le franco-français Choiseul 100 des leaders de moins de 40 ans… Les 20 sélectionnés français et américains reçoivent en « cadeau » deux séminaires de 5 jours chacun sur 2 années consécutives en France et aux États-Unis « afin d’échanger sur des thèmes majeurs, communs aux deux pays, et d’approfondir leurs champs d’intérêts mutuels », comme le précise la fondation.

Ces anciennes consultantes de McKinsey ont toutes trois commencé leur carrière à la sortie de leurs études, à quelques mois d’intervalle.

Marguerite Cazeneuve, diplômée de HEC en 2013, a débuté sa carrière chez McKinsey, consultante junior durant près d’un an et demi avant d’intégrer la fonction publique : Secrétaire générale du Comité de pilotage de l’ONDAM (Objectif national de dépenses d’assurance maladie), au sein du ministère des Affaires sociales et de la Santé, conseillère au cabinet du ministre de l’Économie et des Finances et du secrétaire d’État au Budget (2016-2017), conseillère au sein des cabinets du Président de la République et du Premier ministre (2017-2021). Directrice déléguée de la CNAM depuis 3 ans, Marguerite Cazeneuve est entrée cette année directement à la 40e place du classement Choiseul 100.

Ariane Komorn a été collègue apprentie consultante chez McKinsey durant une année de Marguerite Cazeneuve ; elle a débuté sa carrière chez McKinsey en janvier 2014. Cette diplômée de l’École Normale Supérieure (2013) y a été consultante 3 ans et demi, a atteint le grade d’associate, avant de s’engager en 2017 dans la campagne du candidat Macron. Depuis 2012, elle est à la tête de La Solive, un institut de formation dédié aux métiers de la rénovation énergétique des bâtiments.

La managing director de Téthys Invest depuis mars 2023, Cyrielle Villepelet, a passé plus de 11 ans chez McKinsey, nommée partner en 2020. Une fois diplômée de l’ESSEC en 2012 et après un stage de fin d’études chez McKinsey, Cyrielle Villepelet est entrée comme consultante au sein du bureau de New York et y reste jusqu’à sa promotion comme partner en 2020, date à laquelle elle intègre le bureau parisien. En 2023, l’experte Consumer Goods/Luxe avait quitté McKinsey pour le fonds créé en 2016 par Françoise Bettencourt Meyers et Jean-Pierre Meyers, Téthys Invest, filiale de Téthys, principal actionnaire de L’Oréal, dédié à des investissements de long terme dans des projets entrepreneuriaux.

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Orban rencontre Poutine

Réseau InternationalOrban rencontre Poutine : les mondialistes furieux

Réseau International - 08 juil 2024

La Hongrie lance de vraies négociations de paix avec la Russie !

   

C’est énorme ! Viktor Orban de Hongrie vient de faire une visite surprise colossale à Moscou, rencontrant Vladimir Poutine. C’est peut-être la meilleure chose en termes d’efforts diplomatiques réels que nous ayons vus depuis les négociations ratées d’Istanbul. Oh Hongrie, beau phare d’espoir !

Ceci est très significatif pour plusieurs raisons :

• Premièrement, la Hongrie vient de prendre la présidence tournante du Conseil de l’UE, donc il a une influence significative sur l’agenda du bloc.

• Deuxièmement, il vient également de visiter Kiev et a maintenant une très bonne idée de la position de Zelensky, bien que nous ne sachions pas exactement de quoi ils ont parlé.

• Troisièmement, la Hongrie a également participé au Sommet de la Paix en Suisse, donc elle est également incluse dans ce flux de discussions.

• Et quatrièmement, n’oublions pas, la Hongrie est membre de l’OTAN, donc elle sera à la grande réunion de l’OTAN la semaine prochaine à Washington.

• Et maintenant des discussions avec le président russe. Eh bien, la Hongrie participe vraiment à tout.

Gardez tout cela à l’esprit lorsque nous lisons maintenant le document officiel que le Kremlin vient de publier sur sa page d’accueil, en anglais, avec les traductions des discours des deux dirigeants. Et encore une fois, c’est en anglais, donc bien sûr pour la consommation occidentale !

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Stratpol : bulletin n°193

StratpolPanique à Washington et à Kiev, Orban aux commandes

Stratpol - 07 juil 2024

STRATPOL : Bulletin n°193 de Xavier Moreau

   

00:00 – Ukraine : pourquoi la Russie a gagné
Lecture : maréchal Eremenko

01:38 – Économie
Russie, pays à revenu élevé
Consommation électrique chinoise
OSC vs sanctions
Monnaie commune
Raffinage record pour la Russie
Hydrocarbures russes : +50%
Inde et Pakistan et énergie russe
Gaz : négociations UE – Russie
€500 pour Ursula

10:52 – Politico-diplomatique
Organisation de coopération de Shangaï à Astana
Poutine : propositions de paix
Orban : Make Europe Great Again
Hillary Clinton à l’offensive

19:15 – Armement
F-16 magiques VS missiles russes
Autopsie d’un ATACMS

22:35 – Considérations militaires générales
Eremenko vs Manstein & Guderian
De Manstein à l’OTAN
Mythes SS vs mythes bandéristes

41:10 – Carte des opérations militaires

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Mensonges - élections

L'âge de faireL’extrême ment

L'âge de faire - 04 juil 2024

Vous aussi, vous êtes sidérés par le discours médiatique dans lequel baigne cette campagne électorale ? Ne revenons pas sur le problème de base, qui jette les médias dans les griffes des puissances de l’argent : nous en avons déjà parlé et reparlé dans cette même colonne.

   

Alors, quoi de neuf ? Deux faits majeurs : 1/ Désormais, l’un des magnats milliardaires, Vincent Bolloré, utilise très clairement ses médias (Cnews, Europe 1…) pour pousser ses idées d’extrême droite au pouvoir. 2/ Les médias publics sont de plus en plus visiblement utilisés pour servir le pouvoir en place. Là dessus, Macron dissout l’Assemblée et décide que des élections seront organisées trois semaines plus tard, alors que le RN de Bardella est en pleine dynamique. La sidération est totale : qu’est-ce qui lui prend encore ? Comment mener une campagne en si peu de temps ? Quel programme proposer ? Quelles idées mettre en avant ? Le problème, c’est que ce sont moins les politiques que les médias qui décident de ce dernier point. Et dans ce contexte, il va de soi qu’on aura plus parlé de lutte contre l’immigration, de sécurité sécuritaire – pas sociale – et de croissance économique que de solidarités, de services publics et d’écologie. Les thèmes du débat, jusque dans les mots utilisés, sont imposés par ces médias « dominants », qui bourrent les crânes au lieu d’éclairer les esprits.

Exemple, avec le mot « extrême », utilisé de la même façon pour décrire, à droite, le RN, et à gauche, le Front populaire. Que le RN représente l’extrême droite, cela ne fait aucun doute : son programme et son histoire le montrent. Le Front populaire, en revanche, qui compte dans ses rangs des personnalités comme François Hollande, Raphaël Glucksmann et Olivier Faure, ne peut assurément pas être qualifié d’extrême gauche ! Pourtant, la même présentation est martelée partout tout le temps depuis le lancement de la campagne : il y aurait l’extrême gauche d’un côté, l’extrême droite de l’autre, et la Macronie au milieu, seule capable d’éviter le risque de « guerre civile », selon les mots du pompier pyromane. Le moindre électeur se voulant un peu modéré n’a donc plus vraiment le choix, il doit voter au « centre ». Pourtant, qu’est-ce que le macronisme, sinon un capitalisme effréné, qui place l’argent au dessus de tout, qui oppose « ceux qui ne sont rien » à ceux qui « ont réussi », qui fait la promotion du chacun pour soi plutôt que des solidarités, qui se met au service des ultra-riches plutôt que des défavorisés ? Jusqu’à l’extrême, comme l’ont bien montré la « réforme » des retraites, celle du chômage ou la loi immigration. Ajoutons que nombre de ces décisions ont été prises en abandonnant l’esprit même de démocratie (loi Travail, retraites, 49,3…). Bref, le macronisme est, à n’en pas douter, un extrême. Aussi ces élections devraient-elles être présentées ainsi : elles opposent principalement un bloc d’extrême droite, un bloc de droite libérale extrême, et un bloc de gauche. Fais ton choix, ami·e modéré·e !

Nicolas Bérard

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Trump et les démocrates

Aube DigitaleLes démocrates évoquent l’assassinat de Trump

Aube Digitale - 03 juil 2024

Les démocrates évoquent l’assassinat de Trump en réponse à la décision de la Cour suprême concernant son immunité.

   

Personne n’aime perdre, mais les gauchistes poussent l’indignation de la défaite à un tout autre niveau. Bien qu’ils prétendent « défendre la démocratie » pendant leur temps libre, les démocrates ont également tendance à abandonner le processus démocratique lorsque celui-ci interfère avec leurs intentions de rester au pouvoir.

Exemple concret : La récente décision de la Cour suprême d’accorder l’immunité à Donald Trump dans le cas de « certains actes officiels » accomplis pendant son mandat. Les gauchistes ont réagi avec indignation à cette décision, une grande partie de leurs espoirs politiques reposant sur la stratégie consistant à enterrer Trump dans autant de batailles juridiques que possible pour l’empêcher de se présenter à nouveau à l’élection présidentielle. Les démocrates inondent à présent les médias sociaux et les fils d’actualité en suggérant que la décision de la Cour suprême permet à Joe Biden, en tant que président, d’éliminer la concurrence conservatrice « dans le cadre de ses fonctions officielles ».

Les outils permettant de punir légalement les présidents existent déjà, notamment la destitution et les accusations de trahison. Et, n’oubliez pas, si Trump ne bénéficie pas d’une immunité pour ses actions antérieures en tant que président, alors aucun autre président n’en bénéficie non plus. Combien de squelettes y a-t-il dans les placards d’hommes comme Bill Clinton, George W. Bush ou Barack Obama ?

En outre, l’assassinat d’un opposant politique ou des membres conservateurs de la Cour suprême n’est pas reconnu comme un devoir officiel de la présidence. Comme d’habitude, les démocrates poussent leurs conclusions à l’extrême afin de provoquer la peur du public par le biais d’une désinformation émotionnelle. Les gauchistes fantasment publiquement sur l’assassinat de Trump depuis un certain temps déjà. Cependant, ces « théories » sur la façon dont Biden pourrait répondre à la Cour suprême ne sont pas de simples hypothèses pour le plaisir d’argumenter, il y a un élément de désespoir et de soif de sang.

Ce qui les contrarie vraiment, c’est le fait que Trump soit libre de terminer sa course électorale contre un Joe Biden mentalement déficient. Ils sont également terrifiés à l’idée que Trump puisse lui rendre la pareille et se venger s’il retourne dans le bureau ovale.

Trois des quatre affaires pénales intentées contre Trump l’année dernière ne seront plus d’actualité, ce qui empêchera probablement la tenue d’un procès dans l’affaire de subversion électorale fédérale avant le mois de novembre. La quatrième affaire, le procès sur les pots-de-vin qui a abouti à sa condamnation cette année, est considérée comme la plus faible de toutes, car elle visait à transformer des accusations de délit mineur en accusations de crime en utilisant une loi obscure.

Il convient de noter que les présidents bénéficient déjà d’une immunité en matière de responsabilité civile pendant leur mandat et qu’ils doivent être mis en accusation en cas de violation pour que des poursuites puissent être engagées. La Cour suprême a simplement étendu cette immunité aux poursuites pénales.

Indépendamment de ce que vous pensez de Donald Trump, il est clair que les démocrates se sont engagés dans une stratégie de « guerre juridique », c’est-à-dire l’utilisation des tribunaux comme moyen de détruire un adversaire politique au lieu de l’affronter directement dans l’arène électorale. La majorité des accusations portées contre Trump sont au mieux des farces, avec peu ou pas de preuves à l’appui de la commission d’un crime réel.

Il est probable que la Cour suprême réagisse à cette guerre juridique en la limitant aux affaires pénales ne relevant pas d’actes présidentiels, ce qui n’est pas le cas. Dans le cas contraire, les chicaneries des démocrates paralyseraient la présidence pour les années à venir et chaque parti et chaque président devraient désormais s’engager dans la même bataille juridique pour être compétitifs.

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