L’escalade des attaques réglementaires contre les producteurs agricoles, de la Hollande et des États-Unis au Sri Lanka et au-delà, est étroitement liée aux objectifs de développement durable de l' »Agenda 2030″ des Nations unies et aux partenaires de l’ONU au Forum économique mondial (FEM), ont déclaré de nombreux experts à The Epoch Times.
En effet, plusieurs des 17 objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU sont directement impliqués dans les politiques qui mettent à mal les agriculteurs, les éleveurs et les réserves alimentaires dans le monde entier.
Des membres de haut niveau du Parti communiste chinois (PCC) au sein du système de l’ONU ont contribué à la création des ODD et aident actuellement à diriger la mise en œuvre du plan mondial par l’organisation, comme l’a précédemment documenté The Epoch Times.
Selon de nombreux experts, si l’on n’y prend garde, les politiques de durabilité soutenues par l’ONU en matière d’agriculture et de production alimentaire entraîneront une dévastation économique, des pénuries de biens essentiels, une famine généralisée et une perte dramatique des libertés individuelles.
Mise en danger de la vie d’autrui et tromperie sur les « vaccins » Covid
À L’ENCONTRE DE :
– L’AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ DU MÉDICAMENT ET DES PRODUITS DE SANTÉ
– L’AGENCE NATIONALE DE SANTÉ PUBLIQUE
– LE CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES MÉDECINS
– LE CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES PHARMACIENS…
Cette plainte a été vue 100 000 fois à la date d’hier et 283 personnes ont déposé plainte à ce jour devant divers tribunaux.
Ces deux sommets ont rassemblé de part et d'autre les grandes puissances mondiales mais leurs visions du monde s'opposent de plus en plus.
Sobriété heureuse. Moins de biens, plus de liens. Comment vivre de manière plus éco-responsable, dans le respect de soi, de l'autre et de la nature ?
Autonomie, éco-construction, école alternative, maraichage en permaculture et/ou agro-écologie, gouvernance partagée, monnaie locale, communication non violente... des initiatives de vie en communauté privilégiant convivialité, entraide et décroissance existent déjà un peu partout en France et dans le monde.
Voici un tour d'horizon des initiatives et terrains d'expérimentation les plus inspirant·e·s.
En substance, le texte prévoit la fin du régime d'exception (couvre-feu, confinements, etc.), mais le maintien d'un éventuel contrôle aux frontières, ainsi que des systèmes de suivi SI-DEP et Contact Covid. Par ailleurs, il envisage la réintégration des soignants suspendus. Prochaine étape : la commission mixte paritaire.
Redditions, désertions, refus d’aller au combat, rien ne va plus pour l’armée de Zelensky, qui devait soi-disant bouter hors d’Ukraine l’armée de Poutine, jugée au-dessous de tout par des Occidentaux incompétents, qui ont oublié qu’ils ont perdu toutes leurs guerres depuis 1945. À Washington, on ne doute de rien.
Sylvain Ferreira nous livre les dernières nouvelles du front.
Il semble désormais tout à fait possible que l’Ukraine ne regagne pas son territoire à l’est, qu’elle ne reçoive pas les niveaux d’aide dont elle a besoin pour se reconstruire rapidement, qu’elle soit confrontée à des menaces permanentes de la Russie à l’est qui limiteront sa capacité à recréer une zone industrialisée, et qu’elle soit confrontée à des problèmes majeurs en termes de commerce maritime.
L’Occident, à sa manière cavalière, s’est lancé dans la guerre avec l’axe Russie-Chine, sans y prendre garde. Il s’attendait à des « victoires » faciles grâce à des sanctions qui feraient imploser l’économie russe et à des tactiques militaires de guerre urbaine empruntées à la Syrie, qui saigneraient l’armée russe. Au lieu de cela, il s’agit d’une débâcle monumentale. Plus encore, ses multiples échecs et sa propagande insultante constituent un point de rupture, ouvrant une nouvelle ère plutôt que de figer l’ordre ancien, comme l’Occident l’avait espéré.
On serait tentés de le croire, d’autant que, comme on peut l’observer depuis le début de la guerre en Ukraine, l’ONU a été carrément mise de côté dans cette guerre de sous-traitance. Dès lors qu’il s’agit de puissances en jeu, l’ONU n’a plus de voix. Ce sont les puissants qui s’expriment, qui bougent, qui ont le droit à la parole. Et aux actes. Pas l’ONU.
Avec un groupe de voisins et voisines, depuis plus de dix ans, on se réunit une journée par mois pour donner un coup de main à l’un ou l’une d’entre nous. Ça peut être n’importe quoi : évacuer des gravats, isoler des combles, déménager, débroussailler un terrain, poser un carrelage, enduire des murs, décaisser un sol, réparer une voiture.
« Cette forme d’échange entre foyers, une pratique courante chez les Adivasi, s’appelle madaïti (“aide”). Les Adivasi s’entraident pour construire leurs maisons, semer leurs champs, faire les récoltes des uns et des autres sans être payés — en sachant seulement que leur bonne volonté leur sera rendue quand ils en auront besoin. À la fin de la journée, le foyer qui a accueilli le chantier organise toujours une fête en signe de gratitude pour cette solidarité. »
Pourtant, en juillet 2020, la Fondation Rockefeller l’avait déjà prédit et appelait à une refonte du système alimentaire dans son ensemble pour y remédier.
Il semble que rien n’échappe aux esprits prophétiques des concepteurs autoproclamés de l’avenir. Ils prévoient avec précision les « catastrophes naturelles » et prédisent les « actes de Dieu » fortuits. Ils savent tout avant que cela n’arrive. Peut-être sont-ils vraiment des prophètes. Ou peut-être décrivent-ils simplement les résultats inévitables de leurs propres actions.
Le document en question, intitulé « Reset the Table: Meeting the Moment to Transform the U.S. Food System « 1, publié par la Fondation Rockefeller le 28 juillet 2020, décrit comment la pandémie de COVID a provoqué « une crise de la faim et de la nutrition » aux États-Unis « sans équivalent dans ce pays depuis des générations ».
« Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle le peuple ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. »
Ce n’est pas une guerre entre nations mais celle de la caste – puissante et arrogante – contre le peuple qu’il veut soumettre et dominer. Une résurgence de l’Egypte ancienne contre le peuple hébreu soumis à l’esclavage ou, plus récemment, le mythe de la race aryenne supérieure aux autres, illustrent le retour d’une idéologie du mal finalement assez banale sur le fond mais innovante sur la forme.
« La mondialisation et le commerce sans frontières sont utilisés pour établir un gouvernement mondial unique. Essentiellement, il s’agit d’instaurer un gouvernement mondial. »