« Les mandataires russes de quatre régions – Donetsk et Lougansk dans l’est, et Kherson et Zaporijia dans le sud – ont annoncé en début de semaine leur intention d’organiser des référendums étalés sur quatre jours, à partir de vendredi. La Russie contrôle la quasi-totalité de deux de ces quatre régions, Lougansk et Kherson, mais seulement une fraction des deux autres, Zaporijia et Donetsk. …
Les responsables ukrainiens ont qualifié le vote de théâtre grotesque, car les scrutins sont organisés dans des villes dévastées par les forces russes et abandonnées par la plupart des habitants. …
Le président Volodymyr Zelensky a remercié les alliés de l’Ukraine pour leur soutien indéfectible et a déclaré que la « farce » de ces « référendums fictifs » ne changerait rien à la lutte de son pays pour chasser la Russie d’Ukraine. »
Joe Biden a fait ces remarques lors d’une apparition dans l’émission 60 Minutes dimanche.
Ce n’est pas la première fois que la déclaration de M. Biden ne semble pas avoir été planifiée, et la Maison Blanche s’est précipitée pour limiter les dégâts.
À la grande surprise de tous, l’administration refuse de renoncer aux pouvoirs qu’elle s’est octroyés en imposant une urgence de santé publique, qui ne sera pas levée.
« Nous avons toujours un problème avec le Covid. Nous y travaillons encore beaucoup. C’est – mais la pandémie est terminée »
Les normes de sécurité des essais cliniques et le consentement éclairé seront éradiqués car ils empêchent de libérer universellement les technologies d’édition de gènes nécessaires pour fusionner les humains avec L’IA. Afin d’atteindre les objectifs sociétaux du Nouvel Ordre Mondial, les crimes contre l’humanité ne sont pas seulement légaux, mais obligatoires.
Le 17 septembre 2022, l’armée ukrainienne a bombardé le centre de Donetsk, en RPD (République Populaire de Donetsk) avec des canons automoteurs Caesar et des canons TRF1 français de 155 mm, tuant quatre civils, et en blessant huit autres.
C’est à l’heure du déjeuner que l’armée ukrainienne a décidé de bombarder le cœur de Donetsk, la place Lénine, qui grouille de voitures à cette heure là, avec des canons français de 155 mm. Un premier obus touche la rue Artioma, juste à côté d’une fourgonnette Gazelle, qui prend feu, brûlant vif le conducteur qui se trouvait à bord.
D’autres obus frappent le bâtiment de la Poste, ainsi que celui de l’administration du district de Vorochilovski, les studios d’Oplot TV, et le monument dédié à Pouchkine, l’auteur russe, situé derrière le théâtre, à quelques mètres de la place Lénine. Là trois civils seront tués, dont une femme qui marchait juste à côté d’un parc pour enfants habituellement très fréquenté lorsqu’il fait beau comme aujourd’hui. Le bilan initial de trois civils blessés, est finalement monté à huit, dont un journaliste de TeleSur.
Et le bilan parmi les journalistes aurait pu être bien pire. Alors qu’ils arrivaient sur place rapidement après le bombardement les journalistes de War Gonzo ont assisté en direct à la deuxième frappe, qui a de nouveau visé la place Lénine, frappant une deuxième fois la fourgonnette déjà en flammes. Heureusement leur voiture se trouvait derrière un autre véhicule et ils ont pu s’extraire de là sains et saufs.
Après avoir organisé quantité de guerres depuis celles de Yougoslavie, ils ont imaginé celle d’Ukraine. Il manipule désormais l’Union européenne et s’apprête à la priver de sources d’énergie. Si les dirigeants européens n’ouvrent pas les yeux, leur alliance avec Washington conduira à l’effondrement de l’économie de l’Union. Il ne sert à rien de croire que les Européens seront épargnés parce que développés. Les straussiens ont écrit, dès 1992, qu’ils n’hésiteraient pas à détruire l’Allemagne et l’UE.
Avec l’aide et la complicité du président Xi, Poutine est en train de prendre le contrôle du continent asiatique. Cette mission est en bonne voie. Il attend maintenant les mois d’hiver pour forcer enfin l’UE à rejeter l’hégémonie américaine. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’extrémité occidentale du continent eurasien sera véritablement libérée de l’ingérence américaine.
Cet article explique comment il atteint ses objectifs stratégiques. Il examine la géopolitique de la masse continentale asiatique et des nations qui y sont liées et qui, sur le plan commercial et financier, tournent le dos à l’alliance occidentale dirigée par les États-Unis.
Le 2 août, le président Biden a nommé le docteur Demetre Daskalakis au poste de coordinateur adjoint de la Maison Blanche pour la réponse nationale à la variole du singe. Également directeur de la division des CDC pour la prévention du VIH, il a précédemment travaillé au sein de l’administration du maire Bill de Blasio, au département de la santé de la ville de New York.
Daskalakis est connu pour ses efforts dans le monde du VIH et d’autres maladies affectant la communauté LGBTQ+, ayant fréquenté la faculté de médecine de l’Université de New York, suivie d’une résidence, d’une bourse et d’un master supplémentaire à la faculté de médecine de Harvard.
La présence de Daskalakis sur les médias sociaux est pour le moins troublante. Avec son partenaire Michael MacNeal, ils ont lancé une salle de sport « gothique » à New York, qui dépendait à l’origine de la célèbre chaîne de salles de sport Equinox, avant de devenir une marque à part entière basée dans une ancienne boîte de nuit gay qui avait elle-même investi une ancienne église de Manhattan : Monster Cycle.
Les pages des médias sociaux de Monster Cycle sont pleines de références au satanisme, au diable, aux croix enflammées et aux pentagrammes, entre autres. Alors que la salle de sport a bénéficié d’une couverture élogieuse du New York Times (ci-dessous) en 2014, sa critique sur « SweatConcierge » faisait référence à une imagerie « alarmante » et à des vestiaires mixtes « terrifiants ».
Aussi riches qu'ils soient, tous ces gens vont mourir dans d'horribles souffrances, par ce qu'ils n'ont pas d'empathie, pas de spiritualité, ce sont des matérialistes athés, et ils devraient toutes et tous lire Jean....
En tant qu'humaniste qui écrit sur l'impact de la technologie numérique sur nos vies, on me prend souvent pour un futurologue. Les personnes les plus intéressées à m'engager pour mes opinions sur la technologie sont généralement moins préoccupées par la création d'outils qui aident les gens à vivre mieux dans le présent que par l'identification de la prochaine grande chose qui leur permettra de les dominer dans le futur. Je ne réponds généralement pas à leurs demandes. Pourquoi aider ces types à ruiner ce qui reste de l'internet, et encore moins la civilisation ?
Billet de Markku Siira.
Le président russe Vladimir Poutine est désormais considéré sans rire en Occident comme le plus grand mal de la planète, comme le nouvel Hitler, etc. Si vous ne dénigrez pas la Russie ou ses dirigeants, vous êtes immédiatement étiqueté « poutiniste » et « antipatriotique ». La dissidence et la remise en question du récit officiel de l’OTAN soutiendraient les objectifs de Poutine.
Dans ses discours, Poutine a pris position contre l’élite occidentale. Au cours des six derniers mois en particulier, le président russe a parlé ouvertement du fait que les politiciens démocratiquement élus ne gouvernent pas en Occident, mais que le véritable pouvoir est exercé par « l’élite mondialiste occidentale », en d’autres termes, par un petit cercle de banquiers centraux et de grands investisseurs.
Or il s'avère que comme Pékin, Washington, Londres et Bruxelles, Moscou répète le même mantra onusien de « développement durable », de « changement climatique », de numérisation et de nécessité de combattre la « pandémie » avec des vaccins.
Trois de ces tentatives pour gagner du terrain détenues par les troupes russes ont échoué. Un axe a été arrêté après avoir pris quelques petits villages sans valeur stratégique. La seule attaque « réussie » a traversé la rivière Inhulet près d’Andriivka en direction du barrage et de la traversée de la rivière qui ferme le réservoir de Kakhovka.
Le plan était fou au départ. Toute la région est une steppe plate et ouverte. Les troupes auraient dû créer un couloir de 50 kilomètres (30 miles) de long à travers des terres hostiles non protégées, sans abri ! Les agglomérations sur le chemin sont pour la plupart des mini-villages agricoles à une ou deux rues avec des maisons à un étage qui offrent peu de protection. Les forces ukrainiennes n’ont aucune capacité de défense aérienne ou d’attaque aérienne pour couvrir l’avancée des troupes. Leurs capacités d’artillerie représentent un dixième de ce que l’armée russe peut fournir dans la région.
Il était évident dès le début qu’il s’agissait d’une mission suicide.