Les généraux russes perdent du terrain dans le Donbass. Incompétence ? trahison ? Le président tchétchène Ramzan Kadyrov lance l'alerte.
Le président tchétchène, Ramzan Kadyrov, n’est pas homme à garder sa langue dans sa poche, surtout quand il s’agit de soldats qui mouillent la chemise au front. Suite au retrait des troupes russes dans la ville de Lyman sous commandement du colonel-général Alexander Lapine, Kadyrov voit dans la stratégie de guerre du colonel de graves manquements en terme de communication et d’approvisionnement en munitions nécessaires pour les soldats.
Des référendums ont eu lieu dans les républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, dans les régions de Zaporozhye et de Kherson. Les gens ont fait leur choix, un choix clair. Et cela, bien sûr, est leur droit, leur droit inaliénable, qui est inscrit dans le premier article de la Charte des Nations unies, qui parle directement du principe de l’égalité des droits et de l’autodétermination des peuples.
Que dira Vladimir Poutine ? 80% des citoyens russes souhaitent que l’opération militaire se poursuive dans toute l’Ukraine pour éliminer une bonne fois pour toutes la menace de l’OTAN, à la manœuvre en Ukraine. N’oublions pas que la mobilisation d’une partie des réservistes en Russie vise à conserver la plus grande partie de nos forces pour un éventuel conflit contre l’OTAN (état des forces russes dans l’article ici).
L’OTAN justement continue d’amasser des forces dans les Pays Baltes et en Pologne. Par ailleurs les attentats contre le gazoduc Nord Stream montre qu’elle a l’intention d’en découdre.
Le 27 septembre 2022, après cinq jours de scrutin, les régions du Donbass (RPD et RPL – Républiques Populaires de Donetsk et de Lougansk), de Kherson et de Zaporojié, ont voté à une écrasante majorité pour leur intégration à la fédération de Russie.
Les personnes qui travaillaient pendant les quatre jours de vote à domicile, ou qui n’ont pas pu entendre passer les unités de vote mobile, se sont rendues aujourd’hui dans les bureaux de vote proches de chez eux, malgré les bombardements qui se faisaient entendre partout.
A travers la série « Collectifs en action », Le Média en 4-4-2 donne la parole à celles et ceux qui se mobilisent et se battent sur le terrain pour la construction d’un monde nouveau. Chaque collectif a sa vision, ses idées et ses méthodes ; cette multitude de solutions proposées permet à chaque citoyen qui souhaite s’engager de trouver le chemin qui est le sien.
« L’esprit Solaris préfigure le monde qui prendra forme demain pour tous ceux qui l’ont voulu »
Les élections législatives (Chambre et Sénat) n'ont pas réservé de surprise : le parti de Giorgia Meloni (Fratelli d'Italia, qualifié par la presse subventionnée de néo-fasciste) est sorti en tête à 26,5%, devant le parti démocratie à 19,4%. Au final, le "centre-droit' remporte 44% des suffrages, le mouvement 5 étoiles près de 15%, et la gauche seulement 26,7%.
La victoire est claire et nette. Le parti Fratelli d’Italia de Giorgia Meloni est devenu le premier parti d’Italie, 5 points devant le Parti démocrate. Certes, la Lega est tombée à 9% des voix (un score proche de Forza Italia de Berlusconi), mais l’élan donné ne trompe pas. Il est conforme aux prévisions. L’Italie sort de la séquence mondialiste conduite par le financier Mario Draghi.
« Les mandataires russes de quatre régions – Donetsk et Lougansk dans l’est, et Kherson et Zaporijia dans le sud – ont annoncé en début de semaine leur intention d’organiser des référendums étalés sur quatre jours, à partir de vendredi. La Russie contrôle la quasi-totalité de deux de ces quatre régions, Lougansk et Kherson, mais seulement une fraction des deux autres, Zaporijia et Donetsk. …
Les responsables ukrainiens ont qualifié le vote de théâtre grotesque, car les scrutins sont organisés dans des villes dévastées par les forces russes et abandonnées par la plupart des habitants. …
Le président Volodymyr Zelensky a remercié les alliés de l’Ukraine pour leur soutien indéfectible et a déclaré que la « farce » de ces « référendums fictifs » ne changerait rien à la lutte de son pays pour chasser la Russie d’Ukraine. »
Joe Biden a fait ces remarques lors d’une apparition dans l’émission 60 Minutes dimanche.
Ce n’est pas la première fois que la déclaration de M. Biden ne semble pas avoir été planifiée, et la Maison Blanche s’est précipitée pour limiter les dégâts.
À la grande surprise de tous, l’administration refuse de renoncer aux pouvoirs qu’elle s’est octroyés en imposant une urgence de santé publique, qui ne sera pas levée.
« Nous avons toujours un problème avec le Covid. Nous y travaillons encore beaucoup. C’est – mais la pandémie est terminée »
Les normes de sécurité des essais cliniques et le consentement éclairé seront éradiqués car ils empêchent de libérer universellement les technologies d’édition de gènes nécessaires pour fusionner les humains avec L’IA. Afin d’atteindre les objectifs sociétaux du Nouvel Ordre Mondial, les crimes contre l’humanité ne sont pas seulement légaux, mais obligatoires.
Le 17 septembre 2022, l’armée ukrainienne a bombardé le centre de Donetsk, en RPD (République Populaire de Donetsk) avec des canons automoteurs Caesar et des canons TRF1 français de 155 mm, tuant quatre civils, et en blessant huit autres.
C’est à l’heure du déjeuner que l’armée ukrainienne a décidé de bombarder le cœur de Donetsk, la place Lénine, qui grouille de voitures à cette heure là, avec des canons français de 155 mm. Un premier obus touche la rue Artioma, juste à côté d’une fourgonnette Gazelle, qui prend feu, brûlant vif le conducteur qui se trouvait à bord.
D’autres obus frappent le bâtiment de la Poste, ainsi que celui de l’administration du district de Vorochilovski, les studios d’Oplot TV, et le monument dédié à Pouchkine, l’auteur russe, situé derrière le théâtre, à quelques mètres de la place Lénine. Là trois civils seront tués, dont une femme qui marchait juste à côté d’un parc pour enfants habituellement très fréquenté lorsqu’il fait beau comme aujourd’hui. Le bilan initial de trois civils blessés, est finalement monté à huit, dont un journaliste de TeleSur.
Et le bilan parmi les journalistes aurait pu être bien pire. Alors qu’ils arrivaient sur place rapidement après le bombardement les journalistes de War Gonzo ont assisté en direct à la deuxième frappe, qui a de nouveau visé la place Lénine, frappant une deuxième fois la fourgonnette déjà en flammes. Heureusement leur voiture se trouvait derrière un autre véhicule et ils ont pu s’extraire de là sains et saufs.