Le commandant en chef de l’armée ukrainienne, le général « nationaliste intégral » Valeri Zaloujny, a écrit il y a un mois à SpaceX pour lui demander 8 000 terminaux supplémentaires. Son armée en a préalablement reçu 20 000 —les terminaux valent entre 1 500 et 2 500 dollars selon le modèle—, largement payés par la Pologne, les États-Unis et le Royaume-Uni.
Une façon de faire qui déconcerte les Américains autant qu'elle déstabilisa Napoléon.
Le mode panique est bien réel.
Entretien avec Alexandre N.
CdS: Quand nous en avons parlé il y a quelques jours, déjà, vous étiez formels: “A Washington, ils sont en mode panique”, m’avez-vous déclaré.
Alexandre N: Pour la Maison Blanche, la messe est quasiment dite, si j’ose dire : la momie vivante et son entreprise d’embaumeurs lutte de plus en plus contre une démence sénile de moins en moins contrôlable.
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Les bataillons tchétchènes se battent en Ukraine, directement sous les ordres des présidents Kadyrov et Poutine, et non pas sous celles du ministère russe de la Défense.
Traditionnellement les Tchétchènes étaient les principaux soldats des armées tsaristes et soviétiques. Il s’agit de combattants musulmans pour la Sainte Russie. Un des enjeux des deux guerres de Tchétchénie était d’en priver la Russie. Manifestement, Kadyrov est parvenu à restaurer leur rôle.
Elle promet à ses électeurs de lutter contre l’avortement, l’immigration de masse et la finance internationale. Mais elle est en même temps membre de « l’Aspen Institute », un puissant groupe de réflexion globaliste.
Sa politique ira-t-elle vraiment à l’encontre de leurs objectifs ?
[xyz-ics snippet="db-panel-meloni"]En effet, les trois voies d’approvisionnement en gaz des Européens de l’Ouest viennent d’être coupées simultanément, tandis que, toujours concomitamment, un nouveau gazoduc vient d’être inauguré à destination de la Pologne.
De même que Mikhaïl Gorbatchev avait vu dans la catastrophe de Tchernobyl la dislocation inévitable de l’URSS, de même nous pensons que le sabotage des gazoducs Nord Stream marque le début de la chute économique de l’Union européenne.
Les généraux russes perdent du terrain dans le Donbass. Incompétence ? trahison ? Le président tchétchène Ramzan Kadyrov lance l'alerte.
Le président tchétchène, Ramzan Kadyrov, n’est pas homme à garder sa langue dans sa poche, surtout quand il s’agit de soldats qui mouillent la chemise au front. Suite au retrait des troupes russes dans la ville de Lyman sous commandement du colonel-général Alexander Lapine, Kadyrov voit dans la stratégie de guerre du colonel de graves manquements en terme de communication et d’approvisionnement en munitions nécessaires pour les soldats.
Des référendums ont eu lieu dans les républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, dans les régions de Zaporozhye et de Kherson. Les gens ont fait leur choix, un choix clair. Et cela, bien sûr, est leur droit, leur droit inaliénable, qui est inscrit dans le premier article de la Charte des Nations unies, qui parle directement du principe de l’égalité des droits et de l’autodétermination des peuples.
Que dira Vladimir Poutine ? 80% des citoyens russes souhaitent que l’opération militaire se poursuive dans toute l’Ukraine pour éliminer une bonne fois pour toutes la menace de l’OTAN, à la manœuvre en Ukraine. N’oublions pas que la mobilisation d’une partie des réservistes en Russie vise à conserver la plus grande partie de nos forces pour un éventuel conflit contre l’OTAN (état des forces russes dans l’article ici).
L’OTAN justement continue d’amasser des forces dans les Pays Baltes et en Pologne. Par ailleurs les attentats contre le gazoduc Nord Stream montre qu’elle a l’intention d’en découdre.
Le 27 septembre 2022, après cinq jours de scrutin, les régions du Donbass (RPD et RPL – Républiques Populaires de Donetsk et de Lougansk), de Kherson et de Zaporojié, ont voté à une écrasante majorité pour leur intégration à la fédération de Russie.
Les personnes qui travaillaient pendant les quatre jours de vote à domicile, ou qui n’ont pas pu entendre passer les unités de vote mobile, se sont rendues aujourd’hui dans les bureaux de vote proches de chez eux, malgré les bombardements qui se faisaient entendre partout.