01:49 Victoire économique de la Russie
03:15 Succès hypersonique américain
04:25 Frénésie polonaise et destruction de la Russie
09:30 La Russie face à la duplicité occidentale
11:51 Nouvelles de Kiev : chasse à l'homme et corruption
16:30 Nordstream, les aveux de Victoria Nuland
18:00 Carte des opérations militaires
Ce projet mondial vise à transformer complètement tous les aspects de l’existence humaine : alimentation, sexualité, famille, travail, finances, santé, éducation, tout ! Il est censé mettre fin à la pauvreté, à la faim, aux inégalités, aux maladies et à bien d’autres maux. Un ancien directeur exécutif qui a travaillé à l’ONU pendant deux décennies raconte une histoire différente. Il explique que l’ONU est contrôlée par des criminels qui l’utilisent pour s’enrichir et asservir l’humanité.
Tout est balancé dans cette vidéo sur le fonctionnement de l’ONU, l’OTAN, l’OMS, les ONG au service exclusif des oligarques via le WEF (entre autres).
Cette vidéo est une confirmation pour les gens éveillés même si on y apprend des choses.
En la regardant, vous aurez la conviction qu’il est plus que temps de dire NON à tout ce système d’esclavage et de destruction en grande partie dirigé par les USA.
Une vidéo qui vous permettra une montée en conscience et en vibration. Un avenir d’humanité nous attend si nous sommes de plus en plus nombreux à combattre ces criminels, à dire NON.
La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a déclaré ouvertement que les États-Unis et l'OTAN "mènent une guerre contre la Russie", suscitant de vives réactions.
La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, n’hésite pas à mettre les pieds dans le plat lors de son discours d’ouverture mardi à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe à Strasbourg, en France, concernant le conflit qui oppose la Russie et l’Ukraine. « Nous menons une guerre contre la Russie et non les uns contre les autres.« , a-t-elle déclaré.
Incompétence, folie pure, déclaration de guerre ? Ces déclarations interviennent dans un contexte où l’Allemagne et les États-Unis fournissent des armements lourds à l’Ukraine, ce qui pourrait être considéré comme une provocation pour la Russie et entraîner une escalade de la situation. Quand la plus haute diplomate allemande, Annalena Baerbock, déclare que l’Union européenne « mène une guerre contre la Russie », il est probable que le Kremlin prenne cela très au sérieux et réagisse en mettant en alerte son pays et son armée.
00:30 Legrand quitte la Russie
03:30 Wagner = Washington
04:40 Mobilisation forcée en Ukraine
07:45 Corruption généralisée en Ukraine
11:22 Nouvelles armes et rideau de fer
14:19 SOS déroute ukrainienne
19:42 Armée russe vs OTAN
23:39 Des armes magiques pour Zelenski
28:02 Cartes des opérations militaires
Ce qui est frappant lorsque l’on regarde l’histoire et les enchaînements qui ont mené à la boucherie de 14/18, c’est que finalement personne ne voulait véritablement la guerre. Mais la guerre eut lieu.
Aujourd’hui, aucun peuple d’Europe ne veut la guerre, et si l’on met de côté le vacarme de la propagande, rares sont les citoyens européens qui vont déclarer spontanément qu’ils ont très envie d’aller mourir pour l’Ukraine, de Kiev… à Tchernobyl.
En réalité personne ne veut la guerre parmi les peuples ce qui est très différent chez les dirigeants qui, eux, font tout objectivement pour alimenter l’escalade.
La Fédération des Scientifiques Américains (FAS) confirme en janvier l’information donnée par Grandangolo en décembre 2022 sur la base d’un document de l’US Air Force : l’avion C-17A Globemaster a été autorisé à transporter en Italie et d’autres pays européens la bombe nucléaire USA B61-12. Des fonctionnaires de l’Administration Biden ayant annoncé que l’envoi des B61-12 aurait été anticipé en décembre, nous estimons que les nouvelles bombes nucléaires USA sont déjà en train d’arriver en Europe pour être déployées contre la Russie.
Les USA et l’Otan sont en train de déverser en Ukraine d’énormes quantités de munitions pour l’artillerie lourde fournie aux forces armées de Kiev. Les États-Unis —selon les données officielles— ont jusqu’à présent envoyé en Ukraine plus d’un million de munitions pour obusiers de 115 mm, plus des dizaines de milliers de missiles. Environ 300 000 projectiles proviennent de dépôts militaires US en Israël. L’envoi d’armes est géré par un réseau international dans lequel Camp Derby joue un rôle central. C’est le plus grand arsenal des USA hors de la mère-patrie, relié au port de Livourne et à l’aéroport militaire de Pise. Le Royaume-Uni, la France, la Pologne et la Finlande sont en train de fournir des chars d’assaut à Kiev, et la Pologne acquiert aux USA des chars Abrams dont une partie peut être destinée à l’Ukraine.
Il n’y a aucune autre interprétation possible de la poursuite des inutiles « sanctions » contre Moscou et des vains combats meurtriers en Ukraine.
Cela fait presque un an que l’armée russe est entrée en Ukraine pour appliquer la résolution 2202 du Conseil de sécurité. L’Otan, rejetant ce motif, considère au contraire que la Russie a envahi l’Ukraine pour l’annexer. Dans quatre oblasts, les référendums d’adhésion à la Fédération de Russie semblent confirmer l’interprétation de l’Otan, sauf que l’Histoire de la Novorossia confirme l’explication de la Russie. Les deux narrations se poursuivent en parallèle, sans jamais se recouper.
Pour ma part, ayant édité un bulletin quotidien durant la guerre du Kosovo [1], je me souviens que la narration de l’Otan à l’époque était contestée par toutes les agences de presse des Balkans, sans que j’aie le moyen de savoir qui avait raison. Deux jours après la fin du conflit, des journalistes des pays membres de l’Alliance atlantique purent se rendre sur place et constater qu’ils avaient été bernés. Les agences de presse régionales avaient raison. L’Otan n’avait cessé de mentir. Par la suite, alors que j’étais membre du gouvernement libyen, l’Otan, qui avait un mandat du Conseil de Sécurité pour protéger la population, l’a détourné pour renverser la Jamahiriya arabe libyenne, tuant 120 000 des personnes qu’elle devait protéger. Ces expériences nous montrent que l’Occident ment sans honte pour couvrir ses actes.
Je vous recommande de le regarder 2 ou 3 fois jusqu’à ce qu’il soit bien assimilé et de le transmettre à tous vos amis et parents. Il n’y a aucun autre endroit où vous pouvez obtenir autant d’informations solides et importantes en 12 minutes.
Carlson pense que Biden, qui n’est plus utile à l’establishment, est actuellement en passe d’être destitué.
J’ai rapporté la vérité sur la destitution des présidents Kennedy et Nixon pendant des décennies. J’ai trouvé passionnant de voir, après un demi-siècle, Tucker Carlson donner les mêmes explications à un public aussi large. Si les Américains pouvaient seulement se réveiller et s’impliquer, il serait peut-être possible de sauver notre pays et la liberté des Américains.
Le président John F. Kennedy a été assassiné par la CIA et les chefs d’état-major américains lorsqu’il a compris que le gouvernement qu’il dirigeait n’était pas le vrai gouvernement. Son prédécesseur, le président Eisenhower, un général 5 étoiles, avait mis en garde contre la menace que représentait le complexe militaro-industriel pour un gouvernement démocratique. Le président Kennedy avait l’intention de faire quelque chose à ce sujet alors qu’il avait encore un certain pouvoir, mais il a été terrassé avant d’avoir pu faire plus que congédier le directeur de la CIA, Allen Dulles, et le président des chefs d’état-major interarmées, le général Lyman Lemnitzer. Le président Kennedy n’a pas réussi à se débarrasser du général Lemnitzer, qui est devenu commandant suprême des forces alliées de l’OTAN. Dulles et Lemnitzer sont tous deux soupçonnés d’avoir dirigé le complot visant à assassiner Kennedy.
00:47 Interview avec les volontaires de la DNR
02:00 Nouvelles économiques
- Fin du pétrodollar
- Cryptomonnaies en Russie
- Pétrole russe pour Washington
07:19 Ukrobolchévisme vs christianisme
08:15 Général Bertrand Toujouse Gamelin
13:57 Blast vs Sergeï Munier
17:17 Le corps franc Wagner
21:16 Guerassimov au commande de l'Opération spéciale
23:29 Carte des opérations militaires
Dans un discours très attendu mercredi à l’occasion du 80e anniversaire de la rupture par l’Armée rouge du siège nazi de Saint-Pétersbourg (à l’époque soviétique : Leningrad) le 18 janvier 1943, le président Vladimir Poutine a déclaré que la victoire en Ukraine est « inévitable ».
S’adressant à des vétérans militaires, Poutine a déclaré :
« Les opérations de combat à grande échelle impliquant des armes lourdes, de l’artillerie, des chars et des avions n’ont pas cessé dans le Donbas depuis 2014. »
Il a ajouté :
« Tout ce que nous faisons aujourd’hui dans le cadre de l’opération militaire spéciale est une tentative d’arrêter cette guerre. C’est le sens de notre opération – protéger les personnes qui vivent sur ces territoires. »
Le discours était rempli des thèmes habituels sur lesquels il a mis l’accent depuis l’invasion de février, mais il manquait ce que de nombreux experts et responsables occidentaux avaient anticipé lorsque le discours a été dévoilé il y a un jour : une déclaration de guerre formelle.
Mais la mobilisation totale n’est pas encore arrivée ; au lieu de cela, il a de nouveau passé en revue le point de vue de Moscou sur les causes sous-jacentes du conflit.
Des négociations secrètes ont eu lieu cette semaine à Genève, en Suisse, pour discuter des modifications proposées au Règlement sanitaire international (RSI) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), considéré comme un instrument ayant force de loi du droit international.
Des négociations similaires ont eu lieu le mois dernier pour la rédaction d’un nouveau traité de l’OMS sur les pandémies.
Bien que les deux soient souvent confondus, les amendements proposés au RSI et le traité proposé sur la pandémie représentent deux ensembles de propositions distincts mais liés qui modifieraient fondamentalement la capacité de l’OMS à répondre aux « urgences de santé publique » dans le monde entier, et, selon les critiques, dépouilleraient considérablement les nations de leur souveraineté.
Selon l’auteur et chercheur James Roguski, ces deux propositions feraient passer l’OMS d’une organisation consultative à un organe directeur mondial dont les politiques seraient juridiquement contraignantes (auraient force de loi).
Elles permettraient également d’étendre considérablement la portée et le champ d’application du RSI, d’instituer un système de certificats et de « passeports » sanitaires mondiaux et de permettre à l’OMS d’imposer des examens médicaux, des mises en quarantaine et des traitements.
Selon M. Roguski, les documents proposés donneraient à l’OMS le pouvoir sur les moyens de production pendant une pandémie déclarée, demanderaient le développement d’une infrastructure de RSI aux « points d’entrée » (tels que les frontières nationales), redirigeraient des milliards de dollars vers le « complexe industriel d’urgence des hôpitaux pharmaceutiques » et supprimeraient la mention du « respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes ».
Lumières ! Action ! Réinitialisation !
Les grands médias de l’Occident collectif, à l’unisson, vont faire tourner sans discontinuer, pendant une semaine, toutes les « nouvelles » bonnes à imprimer pour vanter les nouvelles déclinaisons de la Grande Réinitialisation, rebaptisée Le Grand Récit, mais en réalité présentée comme une offre bénigne du « capitalisme participatif ». Telles sont les principales planches de la plateforme louche d’une ONG louche enregistrée à Cologny, une banlieue cossue de Genève.
La liste des participants à Davos a fait l’objet d’une fuite. Proverbialement, il s’agit d’une fête de l’exceptionnalisme anglo-américain, avec la présence de hauts responsables du renseignement tels que la directrice du renseignement national américain, Avril « Madame Torture » Haines, le chef du MI6 Richard Moore et le directeur du FBI Christopher Wray.
On pourrait écrire des encyclopédies remixées de Diderot et d’Alembert sur la pathologie de Davos – où une liste impressionnante de multimilliardaires, de chefs d’État et de chouchous du monde des affaires (appartenant à BlackRock, Vanguard, State Street et autres) « s’engagent » à vendre des paquets de dystopie démente aux masses sans méfiance.
Mais allons droit au but et concentrons-nous sur quelques panels de la semaine prochaine, que l’on pourrait facilement confondre avec des sessions « Droit vers l’Enfer ».
La liste du mardi 17 janvier est particulièrement intéressante. Elle comprend un panel intitulé « Dé-mondialisation ou re-mondialisation ? » avec les intervenants Ian Bremmer, Adam Tooze, Niall Ferguson, Péter Szijjártó et Ngaire Woods. Trois atlantistes/exceptionnalistes se distinguent, notamment l’ultra-toxique Ferguson.