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Odessa Transnistrie

VoltairenetLa défaite de l’Ukraine ne signifie pas la fin de la guerre

Voltairenet - 24 fév 2023

On raisonne à tort en pensant que la défaite du président Zelensky à Donetsk et à Lougansk, à Kherson et Zaporijjia, puisse marquer la fin des combats.

   

Face à la résistance que Moscou a rencontrée pour faire appliquer la résolution 2202 du Conseil de Sécurité, le président Poutine a déclaré qu’il lui restait à libérer Odessa et à joindre la Transnistrie. C’est précisément ce que cherche le Pentagone depuis 2019. D’ores et déjà, il prépare une seconde manche en Moldavie. Non pas qu’il veuille défendre les Ukrainiens, puis les Moldaves, mais parce qu’il entend dépouiller ses propres alliés.

Les chiffres de l’Alliance atlantique, relayés par les agences de presse occidentales, permettent de penser que le peuple ukrainien est uni et résiste grâce aux armes occidentales. Cependant, ceux du Mossad, diffusés par le site turc Hürseda Haber attestent qu’ils sont sans rapport avec la réalité.

Ce phénomène n’est pas nouveau. Pour avoir édité durant la guerre du Kosovo un bulletin quotidien relayant les dépêches des agences de presse occidentales croisées avec celles des agences de presse des Balkans, je n’en suis pas surpris. L’Otan a une longue expérience du mensonge à ses concitoyens. Il ne s’agit pas ici d’exagérations, mais bien de mensonges éhontés. Les lecteurs plus âgés se souviennent qu’ils ont conquis le cœur de tous les Occidentaux, y compris de ceux qui les ont imaginés. À la fin de ce conflit, l’Alliance accepta généreusement de laisser les restes de l’armée serbe (on disait « yougoslave » à l’époque) se replier sous la protection de l’armée russe. C’est alors qu’à la stupéfaction de tous, on vit quantité de chars et d’avions sortir intacts de leurs abris souterrains.

Il n’est certes pas possible, durant une guerre, de savoir les choses avec précision sur un champ de bataille. Les armées elles-mêmes comptent leurs pertes, mais ignorent si les hommes manquants sont morts ou blessés, prisonniers ou en fuite. Les officiers doivent toujours décider dans le flou de la guerre, sans jamais disposer de statistiques précises comme il en existe en temps de paix.

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Discours de Vladimir Poutine

Le Media en 4-4-2Discours de Vladimir Poutine, un an après le début de la guerre en Ukraine

Le Media en 4-4-2 - 23 fév 2023

Le président russe Vladimir Poutine a pris la parole ce mardi devant la Douma, un an après le début de la guerre en Ukraine.

   

Chers citoyens de Russie !

Avec l’allocution d’aujourd’hui, je prends la parole à un moment difficile – nous le savons tous très bien – un moment charnière pour notre pays, à une époque de changements cardinaux et irréversibles à travers le monde, les événements historiques les plus importants qui déterminent l’avenir de notre pays et nos citoyens, alors que chacun de nous a une énorme responsabilité.

Il y a un an, afin de protéger les personnes sur nos terres historiques, d’assurer la sécurité de notre pays, d’éliminer la menace posée par le régime néonazi qui a émergé en Ukraine après le coup d’État de 2014, il a été décidé de mener une Opération militaire. Et étape par étape, avec soin et cohérence, nous résoudrons les tâches qui nous attendent.

À partir de 2014, le Donbass s’est battu, a défendu le droit de vivre sur sa propre terre, de parler sa langue maternelle, s’est battu et n’a pas abandonné dans des conditions de blocus et de bombardements constants, de haine non déguisée du régime de Kiev, le Donbass a attendu que la Russie vienne à la rescousse.

Pendant ce temps – et vous le savez bien – nous avons fait tout notre possible, vraiment tout notre possible pour résoudre ce problème par des moyens pacifiques, nous avons patiemment négocié une issue pacifique à ce grave conflit.

Mais un tout autre scénario se préparait dans notre dos. Les promesses des dirigeants occidentaux, leurs assurances sur le désir de paix dans le Donbass se sont avérées, comme nous le voyons maintenant, a été un mensonge cruel. Ils ont simplement joué la montre, se sont livrés à des magouilles, ont fermé les yeux sur les assassinats politiques, sur les répressions du régime de Kiev et ont de plus en plus encouragé les néonazis ukrainiens à mener des actions terroristes dans le Donbass. Dans les académies et les écoles occidentales, les officiers des bataillons nationalistes ont été formés et des armes ont été fournies.

Et je tiens à souligner qu’avant même le début de l’opération militaire spéciale, Kiev négociait avec l’Occident sur la fourniture de systèmes de défense aérienne, d’avions de combat et d’autres équipements lourds à l’Ukraine. Nous nous souvenons également des tentatives du régime de Kiev d’acquérir des armes nucléaires, car nous en avons parlé publiquement.

Les États-Unis et l’OTAN ont rapidement déployé leurs bases militaires et leurs laboratoires biologiques secrets près des frontières de notre pays, maîtrisé le théâtre des futures opérations militaires au fil des manœuvres, préparé le régime de Kiev qui leur était soumis, ils avaient asservie l’Ukraine, pour une grande guerre.

Et aujourd’hui, ils l’admettent – ils l’admettent publiquement, ouvertement, sans hésitation. Ils semblent fiers, se délectant de leur trahison, qualifiant à la fois les accords de Minsk et le « format Normandie », de bluff. Il s’avère que tout le temps où le Donbass était en feu, quand le sang coulait, quand la Russie était sincèrement – je tiens à le souligner – elle s’efforçait sincèrement de trouver une solution pacifique, ils jouaient avec la vie des gens, en fait, comme on dit dans les cercles bien connus, avec des cartes marquées [NDLR : le jeu était truqué].
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OMS et Nouvel Ordre Mondial

Anthropo-LogiquesOMS et Nouvel Ordre Mondial

Anthropo-Logiques - 22 fév 2023

Une nouvelle analyse magistrale de ma consœur Françoise Bloch au sujet de ce qui se trame à l’OMS et du rôle que d’aucuns aimeraient voir jouer à cette organisation profondément corrompue au sein du nouvel ordre mondial…

   

Les manœuvres pour soumettre les pays aux décisions contraignantes (diktats) de l’OMS se déroulent déjà au grand jour depuis quelques années. Si les Occidentaux apparaissent soumis à cet agenda totalitaire mondial, la bonne surprise est venue à plusieurs reprises du reste du monde, à qui évidemment on ne la fait pas quand il s’agit d’imposer de nouvelles formes d’impérialisme.

Ceci advient à un moment où l’organisation n’en finit pas de se discréditer. En dépit de la quasi-absence de nouveaux cas, par exemple, l’OMS vient de reconduire la « variole du singe » comme urgence sanitaire internationale… Une urgence sanitaire sans cas est une innovation intéressante de plus dans le registre du théâtre de l’absurde… mais certainement pas de la santé publique !

Quant au très douteux scientifique Jeremy Farrar (directeur du Wellcome Trust) , il vient, à peine élevé à la dignité de Chief Scientist de l’OMS, de proposer qu’on renonce aux investigations quant à l’origine du Sars-CoV-2 – question en effet sans importance ! Il s’en est ensuite défendu, sachant à quel point le sujet est chaud : pas moins de dix chimères de coronavirus de chauve-souris ont été produites dans le laboratoire de Wuhan après que Barack Obama ait interdit les recherches sur les gains de fonction sur les virus – le Sars-CoV-2 apparaissant désormais bien, comme l’avait dit très vite le Pr Luc Montagnier, un produit d’ingénierie du vivant…

Au-delà de ces vilaines péripéties se déploie un réel problème de fond : la volonté de subordonner de manière contraignante la souveraineté sanitaire des pays à une organisation internationale connue aujourd’hui comme étant LA plus corrompue au monde.

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Fabrication de l’ennemi dans les démocraties qui vendent la guerre

Dialogue Franco-RusseFabrication de l'ennemi dans les démocraties qui vendent la guerre

Dialogue Franco-Russe - 20 fév 2023

par Dialogue Franco-Russe avec Pierre Conesa et Jean-Robert Raviot

   

Pierre Conesa : spécialiste des questions stratégiques et géopolitiques, membre des Econoclastes
01:05 Décision politique
02:41 Année 1991
03:12 Invention de l'ennemi
03:42 La guerre du Golf
04:02 La guerre en live
05:00 Gendarme de la planète
06:15 Le 11 septembre
07:17 Plateaux-télé
09:00 Légitimation des guerres
10:00 Néoconservateur et évangélistes
11:35 Colin Powell
12:38 Logique militaire des Etats-Unis
13:55 Chirac
15:00 Destruction des pays
16:20 Limite de l'action militaire

Jean-Robert Raviot : docteur en science politique, professeur et maître de conférence à Paris-Nanterre
17:19 Dialogue Franco-Russe
18:20 Meilleur ennemie de l'Occident
19:54 Russie-ennemi commode
21:21 Ennemi efficace
21:53 Nouvelle guerre froide
25:11 Editorialisme
27:07 Idée dominante occidentale
27:39 Idée russe
29:10 Occidentalisme
30:00 Patriotisme russe
34:10 Virtualisation de l'ennemi
37:10 Qui vote en Russie?
39:58 Justin Trudeau*
41:10 Effet des sacntions
42:02 Guerre classique
44:50 Discours sur la victoire
Pierre Conesa
50:42 Médias
52:34 Vocation donner des leçons
Irina Dubois
53:39 Comment arriver à la paix?
P Conesa
54:07 Macron
55:14 Histoire longue d'un pays
56:10 Stalingrad

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Stratpol : bulletin n°121

StratpolBulletin N°121 : Cocaïne Zelenski tour, plus de munitions, dictature moldave

Stratpol - 20 fév 2023

STRATPOL : Bulletin n° 121 de Xavier Moreau

   

00:10 Amélioration matériel, aide à la Syrie, manifestation anti-guerre.
02:13 Informations économiques : investissements en Russie, hydrocarbures russes
06:45 Plus de munitions
10:12 Nord stream et MH-17, Cui bono ?
13:45 Dictature policière moldave
18:00 carte des opérations militaires

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armes thermobariques

InsolentiaeArmes thermobariques russes en action. Guerre propre ? Non, un massacre.

Insolentiae - 18 fév 2023

Je ne sais pas si vous connaissez, mais il y a de gros progrès qui ont été effectués dans l’art de s’entretuer et les armes thermobariques sont extraordinaires pour atteindre une mortalité accrue sur le champs de bataille.

   

Ce sont des armes qui chauffent, qui brûlent, qui aspirent l’oxygène et vous vident les poumons, puis qui après la sous-pression génère une onde de choc provoquant une sur-pression qui termine de vous faire exploser les poumons si vous aviez eu la mauvaise idée de ne toujours pas mourir. C’est vraiment chouette la guerre moderne.

C’est exactement comme la guerre ancienne et d’autrefois, mais en pire. En bien pire.

Alors avant de venir m’expliquer qu’il faut que je j’aille mourir pour l’Ukraine, ou mieux, que je doive envoyer mes fils mourir pour Kiev, j’aimerai bien que ceux qui sont actuellement aux manettes, envoient d’abord les leurs sous les armes thermobariques russes.

Que chacun mesure bien la puissance de feu.

Que chacun comprenne bien la violence de la guerre.

Non, elle n’est pas belle. Elle n’est pas romantique.

C’est un massacre de centaines de milliers de jeunes garçons, de fils de mères russes, ou ukrainiennes et c’est un drame écœurant.

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Rand Corp. - Ukraine

Guy BoulianneRAND Corporation et son plan de paix : Éviter une longue guerre

Guy Boulianne - 13 fév 2023

RAND Corporation et son plan de paix : « Éviter une longue guerre — La politique américaine et la trajectoire du conflit russo-ukrainien »

   

Le laboratoire d’idées (think tank) américain RAND Corporation vient de publier une nouvelle analyse intitulée “Avoiding a Long War. U.S. Policy and the Trajectory of the Russia-Ukraine Conflict” (Éviter une longue guerre. La politique américaine et la trajectoire du conflit russo-ukrainien). Celle-ci a été rédigée par le politologue principal Samuel Charap et la directrice du Centre d’analyse de la grande stratégie américaine Miranda Priebe.

Le résumé de cette analyse se lit comme suit : La discussion sur la guerre russo-ukrainienne à Washington est de plus en plus dominée par la question de savoir comment elle pourrait se terminer. Pour éclairer cette discussion, cette perspective identifie les manières dont la guerre pourrait évoluer et comment les trajectoires alternatives affecteraient les intérêts américains. Les auteurs soutiennent qu’en plus de minimiser les risques d’escalade majeure, les intérêts américains seraient mieux servis en évitant un conflit prolongé. Les coûts et les risques d’une longue guerre en Ukraine sont importants et l’emportent sur les avantages possibles d’une telle trajectoire pour les États-Unis. Bien que Washington ne puisse déterminer par lui-même la durée de la guerre, il peut prendre des mesures qui rendent plus probable une fin négociée du conflit. S’appuyant sur la littérature sur la fin de la guerre, les auteurs identifient les principaux obstacles aux pourparlers russo-ukrainiens, tels que l’optimisme mutuel quant à l’avenir de la guerre et le pessimisme mutuel quant aux implications de la paix. La perspective met en évidence quatre instruments politiques que les États-Unis pourraient utiliser pour atténuer ces obstacles : clarifier les plans de soutien futur à l’Ukraine, prendre des engagements en faveur de la sécurité de l’Ukraine, donner des assurances concernant la neutralité du pays et fixer des conditions pour l’allégement des sanctions à l’encontre de la Russie.

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Stratpol : bulletin n°120

StratpolBulletin N°120. Broyeuse russe en marche, confession de Naftali Bennett

Stratpol - 10 fév 2023

STRATPOL : Bulletin n°120 de Xavier Moreau

   

00:30 Désindustrialisation allemande
02:12 Menaces occidentales sur la Turquie, les EAU et la Géorgie
04:58 Général Trinquant, Gamelin gentil sur LCI
07:04 Protectorat polonais et solution coréenne
09:26 Révélations de Naftali Bennett
11:14 Pertes russo-ukrainiennes selon le Mossad
16:00 Offensives d'hiver ?
19:37 Carte des opérations militaires

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11 septembre - Israël à la manoeuvre

Sott : Sign of The Times11-Septembre — L'hypothèse d'une opération du Pentagone doublée par Israël

Sott : Sign of The Times - 08 fév 2023

Est-il vrai que « le 11 Septembre était une opération interne » (9/11 was an inside job) ? Oui, dans la mesure où Israël est « à l'intérieur » des États-Unis.

   

Mais pour les chercheurs dissidents qui ont identifié Israël comme le principal responsable, la thèse inside job est une partie intégrante de l'opération sioniste, un peu comme un faux drapeau secondaire cousu en doublure sous le faux drapeau d'Al-Qaïda.

Un authentique mouvement pour la vérité aurait désigné Israël comme le principal suspect dès le départ. En effet, dès le premier jour, il était évident qu'Israël était le principal bénéficiaire. Le jour même des attentats à 13 heures, heure de New York, George Friedman (« né à Budapest, en Hongrie, de parents juifs qui ont survécu à l'Holocauste », nous informe Wikipédia) se réjouissait sur son site géopolitique Stratfor.

C'est assez simple : le 11-Septembre peut être compris comme un cas de « triangulation », dans lequel deux parties sont amenées à entrer en conflit l'une avec l'autre par la main invisible d'un tiers. En l'occurrence, le 11 Septembre a permis à Israël de déclencher le « choc de civilisation » souhaité entre l'Occident et le monde musulman. La triangulation est la tactique préférée du Mossad, décrite par la U.S. Army School for Advanced Military Studies, à la veille des événements du 11 septembre 2001, comme ayant « la capacité de cibler les forces américaines en faisant ressembler cela à un acte palestinien/arabe » [1]. La triangulation, comme l'explique bien Lucien Cerise, est également utilisée pour créer des conflits au sein d'une nation (des chocs de civilisation internes, pour ainsi dire). Dans la plupart des cas, la main d'Israël n'est invisible que dans le cadre de la cécité volontaire des autorités et du peuple.

Si, au lieu de comparer le 11 Septembre à l'opération Northwoods qui n'a jamais eu lieu, le film complotiste le plus regardé après le 11 Septembre (Loose Change) avait rappelé aux Américains l'attaque contre le USS Liberty, le mouvement de protestation aurait évolué dans une direction totalement différente de celle qu'il a prise sous la houlette d'Alex Jones. Personne ne songerait à qualifier l'attaque du USS Liberty d'inside job ou de « blessure auto-infligée », même si Johnson autorisa secrètement l'opération.

Il aurait suffi de compléter l'arrière-plan avec d'autres opérations sous fausse bannière israéliennes bien documentées (le bombardement de l'Hôtel King David en 1946, l'affaire Lavon en 1954, Israël commettant des attentats contre ses propres ambassades en Argentine en 1992 et à Londres en 1994, etc.) pour transformer un tel mouvement en tsunami. La théorie de l'« opération interne » (inside job), en revanche, ne peut jamais atteindre une masse critique, pour une raison simple : l'idée que le gouvernement américain, de sa propre initiative, trompe et terrorise ses propres citoyens en tuant des milliers d'entre eux pour justifier des guerres au Moyen-Orient qui ne sont même pas dans l'intérêt de la nation, cela est tout simplement trop difficile à croire pour la grande majorité des Américains - plus difficile à croire que le récit officiel avec ses impossibilités matérielles. En comparaison, l'idée qu'Israël attaque l'Amérique sous la fausse identité de terroristes islamiques pour gagner le soutien de l'Amérique contre ses ennemis arabes, est immédiatement compréhensible par toute personne de bon sens. Ce n'est qu'avec le pouvoir hypnotique des grands médias contrôlés par des sayanim et avec la complicité d'une « opposition contrôlée » bien organisée, qu'une idée aussi naturelle a été supprimée de l'esprit des Américains moyens.

Néanmoins, la croyance selon laquelle « le 11-Septembre était une opération israélienne » gagne du terrain partout dans le monde. Le film réalisé par ERTV, Le 11 Septembre et le Grand Jeu israélien, devrait y contribuer.

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Ukraine - les faits

Réseau InternationalRétablir la vérité : Ce que vous devez savoir sur l’Ukraine

Réseau International - 07 fév 2023

Le 16 février 2022, une semaine entière avant que Poutine n’envoie des troupes de combat en Ukraine, l’armée ukrainienne a commencé à bombarder lourdement la zone (dans l’est de l’Ukraine) occupée principalement par des Russes ethniques.

   

Des représentants de la mission d’observation de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) se trouvaient dans les environs à ce moment-là et ont consigné les bombardements au fur et à mesure qu’ils avaient lieu. L’OSCE a découvert que les bombardements se sont intensifiés de manière spectaculaire au fil de la semaine jusqu’à atteindre un pic le 19 février, date à laquelle 2026 tirs d’artillerie ont été enregistrés. N’oubliez pas que l’armée ukrainienne bombardait en fait des zones civiles le long de la ligne de contact, occupées par d’autres Ukrainiens.

Nous tenons à souligner que les représentants de l’OSCE ont agi dans le cadre de leurs fonctions professionnelles en recueillant des preuves de première main des bombardements dans la région. Ce que leurs données montrent, c’est que les forces ukrainiennes bombardaient et tuaient leur propre peuple. Tout cela a été documenté et n’a pas été contesté.

Donc, la question que nous devons tous nous poser est la suivante : Le bombardement et le massacre de son propre peuple constituent-ils un « acte de guerre » ?

Nous pensons que oui. Et si nous avons raison, alors nous devons logiquement supposer que la guerre a commencé avant l’invasion russe (qui a été lancée une semaine plus tard). Nous devons également supposer que la prétendue « agression non provoquée » de la Russie n’était pas du tout non provoquée mais était la réponse humanitaire appropriée au meurtre délibéré de civils. Pour affirmer que l’invasion russe n’a pas été « provoquée », il faudrait dire que le fait de tirer plus de 4000 obus d’artillerie sur des villes et des quartiers où vivent des femmes et des enfants n’est pas une provocation ? Qui défendra ce point de vue ?

Personne, parce que c’est absurde. Le meurtre de civils dans le Donbass était une provocation claire, une provocation qui visait à pousser la Russie à la guerre. Et – comme nous l’avons dit plus tôt – l’OSCE avait des observateurs sur le terrain qui ont fourni une documentation complète sur le bombardement tel qu’il s’est produit, ce qui est aussi proche que possible d’un témoignage oculaire à toute épreuve.

Il s’agit, bien entendu, d’une rupture majeure avec le « récit officiel » qui identifie la Russie comme l’auteur des hostilités. Mais, comme nous l’avons montré, ce n’est tout simplement pas le cas. Le récit officiel est faux. Malgré cela, vous ne serez peut-être pas surpris d’apprendre que la plupart des grands médias ont complètement omis de couvrir les activités d’enquête de l’OSCE dans l’est de l’Ukraine. La seule exception est Reuters qui a publié un compte-rendu délibérément opaque le 18 février intitulé « Des voix russes s’alarment de la forte augmentation des bombardements dans le Donbass ».

En voici un extrait ...

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WEF agenda 2030

Guy BoulianneLa mondialisation est morte et Davos cette année était sa cérémonie funéraire

Guy Boulianne - 05 fév 2023

La mondialisation est morte et la réunion du Forum économique mondial qui s’est tenue à Davos cette année était sa cérémonie funéraire.

   

La réunion annuelle du Forum économique mondial s’est tenue à Davos du 16 au 20 janvier 2023. Des observateurs internationaux se sont assis avec Sputnik pour formuler en quelques mots le message principal du rassemblement.

Le Forum économique mondial (FEM), organisation internationale non gouvernementale et de lobbying, a été fondé en janvier 1971 par l’économiste allemand Klaus Schwab. Initialement, l’entité s’appelait “European Management Forum” ; il a changé son nom en Forum économique mondial en 1987.

L’ordre mondial globalisé centré sur l’Occident s’effondre, d’autres pays adoptant un statut de non-aligné et mettant en œuvre leurs propres scénarios de développement en termes de politiques financières, de commerce extérieur et de politiques fiscales, selon Babkin. Le chercheur russe soutient que la réindustrialisation et le renforcement des économies nationales pourraient assurer la stabilité du monde et la diversité des modèles.

« Le forum de cette année a présenté le nouvel état du monde : divisé, plein de ressentiment et sinistre. Davos est devenu le vestiaire de l’Occident et est plus séparé que jamais du reste. Il ne représente plus les véritables préoccupations de la plupart de la population mondiale. Son obsession pour le changement climatique, la justice sociale, le genre et d’autres formes d’éveil en a fait une risée et une cible de mépris pour la majeure partie du monde. »

Gal Luft, directeur de l’Institut pour l’analyse de la sécurité mondiale

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François Ruffin

Égalité et RéconciliationQui est François Ruffin ? – Le numéro 514 de Faits & Documents est disponible

Égalité et Réconciliation - 04 fév 2023

Dans le n° 514 de F&D, première partie de notre portrait de @Francois_Ruffin, son ambition, ses réseaux, ses contradictions et sa promotion par le « système » pour torpiller à la fois Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen.

   

Inconnu du grand public en 2016, François Ruffin n'arrête pas de monter depuis lors. Au point que ce communiquant hors pair couvre désormais tout le spectre de la gauche, avec la particularité d'être à la fois très ancré localement et totalement connecté à l'intelligentsia parisienne.

D'aucuns voient en cette personnalité complexe le futur chef de file d'une « gauche plurielle » ressuscitée, ralliant, à l'intérieur comme à l'extérieur de la NUPES, tous ceux qui s'opposent à Jean-Luc Mélenchon.

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