02:00 Joyeux anniversaire Vladimir Vladimirovitch
02:30 Economie
Shutdown aux Etats-Unis
Explosion de la dette US
Destruction industrielle en Allemagne
Indice PMI : Russie en tête
Pénurie de main-d’œuvre en Russie
06:45 Politico-diplomatique
13 milliards pour Orban
Forum de Valdaï
De Gaulle en force
Nord Stream 2 prêt à fonctionner
Doctrine nucléaire russe
Wagner
Approche orientale des relations internationales
19:10 Armement
4 Léopard en 4 mois
Visite de Lecornu à Kiev
Gamelin Trinquand
28:38 Considérations militaires générales
Le retour de Wagner
335 000 volontaires russes
France : 15 jours de réserve
Offensive des plagistes kiéviens en Crimée
Attaques massives russes dans la profondeur
Considérations sur la guerre palestino-israélienne
36:45 Carte des opérations militaires
Le président russe Vladimir Poutine a prononcé un discours le 5 octobre lors de la session plénière de la 20ème réunion du Club de discussion international Valdai à Sochi et a souligné les changements tectoniques et irréversibles qui se produisent dans l’ordre mondial.
Selon Poutine, les mondialistes, dont Schwab et ses proches conseillers, sont des «cibles militaires légitimes» parce qu’ils ont activement tenté de prendre le pouvoir illégalement par le biais d’un coup d’État mondialiste.
Il y a seize ans, lors de la conférence de Munich sur la sécurité, Poutine a déclaré aux dirigeants occidentaux que le type naturel de système international était la multipolarité, montrant clairement que la Russie s’opposerait à la création d’un nouvel ordre mondial fondé sur l’ordre international libéral basé sur des règles et poussé agressivement par l’élite mondialiste et ses politiciens libéraux dans les démocraties occidentales.
L’heure de vérité a sonné, selon Poutine, et les plans de l’élite mondiale pour un nouvel ordre mondial reculent sous nos yeux tandis qu’un nouveau monde multipolaire, dans lequel les cultures traditionnelles conservent leur héritage à l’intérieur de leurs propres frontières, se lève comme un phénix.
Poutine expose six principes de civilisation pour le monde de l’après-Nouvel Ordre Mondial...
Pour dissocier le faux du vrai dans les témoignages d’apparitions d’ovnis, les médias grand-public occidentaux s’appuient sur les conclusions d’organismes d’études officiels, dont le but essentiel est d’élaborer un dogme uniforme et policé auprès de leur population. En fonction des objectifs des gouvernements, ces comptes rendus peuvent soit nier l’évidence, soit alimenter la peur.
Ce résumé s’appuie sur la perception du phénomène aux Etats-Unis et en France, car aucun regroupement des commissions d’enquête n’a lieu à un niveau international. Le peu d’informations qui transpirent laisse à penser qu’il en est ainsi dans tout le monde occidental.
Les comités « Théodule » qui se sont succédé depuis 1950 ont tous employé des techniques équivalentes pour expliquer les phénomènes ovnis : décrédibiliser le témoin par ses antécédents, objecter un manque d’informations fiables, associer l’observation à un phénomène physique banal (ballon sonde, avion, météorite, reflet sur l’eau, lune, lampadaire…)
Le petit nombre d’événements qui ne rentre manifestement pas dans le cadre de ces explications simplistes est tout simplement ignoré.
Les commissions sont à sens unique, elles pompent tous les témoignages, mais ne restituent rien. La commission Majestic12, très secrète, a la particularité d’être privée, et agit pour le compte de Rockfeller and Co, au cas où il y aurait quelque chose à breveter.
Le phénomène Ovni a récemment été à juste titre requalifié en PAN (Phénomène Aérien Non-identifié) ou UAP (Unidentified Aerial Phenomena). Néanmoins, on n’a pas souhaité faire allusion dans le sigle au comportement intelligent du phénomène.
La solution radicale employée par les armées du monde entier est de lancer sans sommations la chasse aérienne avec ordre de tirer pour abattre l’intrus, alors qu’un ovni ne devient agressif que si le témoin est, le premier, l’agresseur. Vous avez dit fraternité galactique ?
La doxa officielle ignore que le phénomène UAP existe depuis la nuit des temps et a arbitrairement fixé à juin 1947 le début des premières observations. Tous les pays occidentaux (et wikipédia) centrent la genèse du phénomène essentiellement sur les Etats Unis, alors que les observations ont lieu dans le monde entier, sous les mers, dans l’espace, autour de la lune et des planètes.
Le profil en forme de soucoupe devient rare, alors qu’il était fréquent dans l’antiquité. Les très nombreuses observations actuelles font essentiellement référence à des sphères lumineuses ou métalliques, parfois à proximité de sites militaires sensibles, de centrales nucléaires ou lors de catastrophes (tremblements de terre, tsunami, incendies, Tchernobyl, 11 septembre, Fukushima…)
Cas des abductés (enlèvements) Seuls 7 cas d’enlèvement sont officiellement référencés (voir Wikipédia), bien que la plupart des 7 soient totalement bidonnés. Depuis 1997, aucun enlèvement ou contact rapproché n’a été officiellement enregistré, alors qu’ils se comptent par centaines. Il faut savoir que des revues spécialisées, comme LDLN de Joel Mesnard (1), ont pendant des années (1988 à 2014) enregistré tous les témoignages de terrain par l’intermédiaire d’un réseau d’ufologues indépendants. Ils n’ont jamais rencontré de cas similaires à l’affaire montée en icône par Betty et Barney Hill en 1961. Enlevés et violés dans une soucoupe carcérale, qui présente toutes les caractéristiques d’une séance satanique bien de chez nous. Les cas documentés d’enlèvements font plutôt état d’une inspection médicale bienveillante, quoique traumatisante.
A l’opposé du sensationnel malsain, la presse néglige les observations rapprochées d’ovnis multiformes et stupéfiants par leur originalité qui vont parfois jusqu’à la distorsion de l’espace-temps, la paralysie ou même une communication interactive intelligente de type hypnotique avec les témoins.
Children’s Health Defense (CHD) Europe et le groupe suédois de défense de la liberté médicale Doctors’ Appeal se réuniront le 30 septembre à Stockholm pour un symposium sur la liberté médicale.
Le symposium, intitulé “En garde pour la liberté de l’humanité“, fait partie d’un événement plus large de trois jours qui réunira plus de 25 intervenants – des personnalités éminentes du mouvement mondial pour la liberté en matière de santé. L’événement sera également retransmis en direct.
Les principaux thèmes du symposium sont les suivants:
“Il se passe tellement de choses en ce moment – des développements au sein de l’Union européenne, du Parlement européen, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et dans toute l’Europe”, a déclaré Mary Holland, présidente de la CHD. “Je suis très heureuse qu’un groupe clé de dirigeants du secteur de la liberté de la santé se réunisse pour analyser les développements et élaborer des solutions pour l’avenir.
Le Dr Michael Palmer, microbiologiste canadien qui est l’un des signataires fondateurs de Doctors for COVID Ethics, sera l’un des orateurs du symposium. Il a déclaré au Défenseur: “The Doctors Appeal a organisé un grand symposium sur le Covid-19 en janvier. Il est formidable de les voir s’associer à la CHD pour ce symposium dont le programme est plus vaste.
Doctors Appeal (l’appel des médecins), lancé en mars 2021, s’oppose aux restrictions liées au Covid-19 et aux passeports vaccinaux. Le groupe demande une protection accrue des groupes à risque. Récemment, elle a lancé une initiative pour que les pays quittent l’OMS.
Catherine Austin Fitts, ancienne commissaire fédérale au logement du ministère américain du logement et du développement urbain et éditrice du “rapport Solari“, interviendra également lors du symposium. Elle a indiqué que l’Appel des médecins avait déjà “organisé une conférence sur la médecine et la santé en Suède avec CHD Europe”, qui “a connu un grand succès”.
“Nous voulons prolonger ce succès en réunissant des dirigeants dans les régions clés où le contrôle est mis en œuvre (…) pour discuter des possibilités de modifier le cours des événements et pour discuter et partager des tactiques susceptibles d’inverser la tendance vers la liberté”, a déclaré Mme Fitts.
00:00 Intro
- Géopolitique profonde
- Logios
- Planet VPN
- UE vs Elon Musk
03:49 Economie
- Croissance russe vs croissance de l’UE
- Augmentation des revenus pétroliers
- Blocage des exportations russes de carburants.
- Dédollarisation
07:59 Politico-diplomatique
- Encore une tribune hystérique pour Kiev
- La Pologne et les Polonais
- SS à Ottawa
- Des Nazis en Ukraine ?
- Des Nazis au Canada ?
- Institut Farceur des Relations Internationales
- Echanges Poutine-Raïssi
- Fin de la République d’Artsakh
32:30 Armement
- Satellite militaire iranien : rupture stratégique
- Arrivée des Abrams en Ukraine
- Utilisation massive des FAB-500
- Lantset & Scalpel
- Augmentation du budget militaire russe
38:30 Considérations militaires générales
- Inadaptation de la formation otanienne
- Opérations Tik-Tok ukrainiennes en Crimée
- Où est Zaloujny (chef d’état-major ukrainien) ?
45:25 Carte des opérations militaires
Désormais il apparaît comme n’hésitant pas à mentir, à tricher, et tentant par tous les moyens d’expulser certains États des organisations intergouvernementales.
Comment ne pas faire le parallèle avec Stepan Bandera qui massacra par milliers ses propres compatriotes dans les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire quand la défaite du Reich ne faisait aucun doute ?
Le temps d’un soutien inconditionnel est fini. Comme tous leurs homologues occidentaux, les parlementaires états-uniens ont réalisé que :
- les munitions manquent et l’industrie d’armement occidentale ne peut pas rivaliser, ni à court, ni à moyen terme, avec celle de la Russie ;
- la rébellion du propriétaire du Groupe Wagner, Evgueni Prigojine, contre le Kremlin a échoué ;
- la contre-offensive ukrainienne est extrêmement meurtrière, plus d’un millier de morts par jour depuis deux semaines, sans remporter de succès significatifs.
Beaucoup souhaiteraient donc négocier une sortie de crise ou, tout au moins, cesser de dépenser des sommes astronomiques pour rien. Des républicains ont écrit à l’administration Biden pour lui demander un compte rendu précis de l’usage qui a été fait des fonds déjà versés. Dans l’attente d’une réponse, ils ne voteront pas un dollar de plus. Le Pentagone imagine donc des moyens pour détourner du matériel et poursuivre l’engagement US aux côtés de l’Ukraine. Il se masque derrière le possible blocage du budget de l’État fédéral en cas de désaccord de fond entre le Capitole et la Maison-Blanche.
Au sommaire de ce cent cinquante-deuxième bulletin :
01:00 – Économie :
• Route maritime du Nord
• Baril à 95 dollars
• Croissance russe à 2,5 %
04:30 – Politico-diplomatique :
• Humiliation germano-ukrainienne à New York
• Pologne vs Ukraine
• Sergueï Choïgou en Iran
• Hector et Andromaque à Pékin
• Azerbaïdjan vs Arménie
15:10 – Terrorisme :
• Licenciement de Sarah Ashton-Cirillo
15:45 – Armement :
• Leopard 1 d’occasion
• Lantset superstar
• Coopération militaire russo-coréenne
21:30 – Double Gamelin
25:40 – Considérations générales
• Kiev, la fin du mensonge
• Gueules cassées en Ukraine
• Pertes russes selon la BBC
32:15 – Carte des opérations militaires
Il le fait avec l’aide du professeur de philosophie du droit et ancien député de Vox au Congrès Francisco J. Contreras, qui le considère comme le visage le plus visible de l’ONU agissant «en tant que gouvernement proto-mondial». Dans une conversation avec la journaliste Ana Campos, le professeur Contreras affirme que, même si les Objectifs de développement durable semblent à première vue incontestables, «le problème est dans les petits caractères».
Commençons par poser la question : qu’est-ce que l’Agenda 2030 ?
Il s’agit d’un document contenant 17 objectifs de développement durable (ODD) que l’ONU a approuvé en 2015 et dans lequel elle propose aux États membres un horizon d’action, avec une période de 15 ans pour l’atteindre. Il s’agit, disons, de l’ONU agissant comme une sorte de gouvernement mondial, ou de proto-gouvernement mondial. Tous les pays ne l’ont pas signé, mais l’Espagne a bien entendu été l’un des premiers pays à le faire. Le PP et le PSOE – parce qu’en 2015 il y avait un gouvernement du Parti populaire – rivalisent dans la ferveur des «vingt-trentenaires», dans le sens où le PP prétend avoir été le gouvernement qui a signé l’agenda, mais le PSOE affirme que ce sont eux, ceux qui ont fait le plus pour le mettre en pratique.
Éradication de la pauvreté, égalité entre hommes et femmes… N’importe qui avec un demi-cerveau accepterait ces Objectifs de développement durable, non ?
C’est clair. Une vision sinistre de l’Agenda 2030 se répand, notamment dans les secteurs conservateurs, comme s’il s’agissait d’une sorte de conspiration d’élites obscures pour dominer le monde… et quand on l’ouvre et qu’on regarde les objectifs, ce ne semble vraiment pas être ça. C’est le cas, mais c’est d’une manière plus dissimulée. Mais à première vue, les objectifs – presque tous, car il y a quelques exceptions – sont incontestables. Qui serait contre l’éradication de la faim dans le monde ? Qui s’opposerait à la fourniture d’eau potable et d’un système d’assainissement à l’ensemble de la population mondiale ? Qui serait contre la construction de systèmes de santé de qualité partout, ou contre une éducation de qualité ? Je liste les Objectifs de développement durable…
Alors, où est le piège ?
J’avais l’honneur d’être convié par Yurie Roșca à participer sur place à l’événement international organisé en décembre à Chișinău, ainsi qu’au troisième forum tenu dans la capitale moldave en septembre 2019. Quelques années plus tard, le 9 septembre 2023, à l’occasion de la quatrième édition du forum, intitulée « L’Agenda 21 de l’ONU et le Great Reset – La chute du libéralisme dans la technocratie et le transhumanisme », Yurie Roșca me faisait l’amitié de m’inviter à prendre la parole à nouveau. Je suis intervenu cette fois à distance avec un article et une vidéo pour en résumer le contenu.
La Grande Réinitialisation, ou Great Reset en anglais, est un programme d’inspiration cybernétique visant à informatiser totalement les sociétés humaines au point de « fusionner le biologique et le numérique », selon les mots de Klaus Schwab, président du World Economic Forum (WEF, forum de Davos). L’informatique doit devenir omniprésente, un passage obligé de chaque instant, un goulot d’étranglement universel, pour mener une existence normale. Plus largement, il s’agit de dépasser la condition humaine pour nous acheminer vers le transhumanisme au moyen d’un encadrement complet de la vie quotidienne par les technologies NBIC – nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Les organisations du capitalisme occidental (WEF, FMI, GAFAM) soutiennent ce programme avec enthousiasme.
La Russie fait-elle partie, elle aussi, du Great Reset et du « Nouvel Ordre mondial » ? Est-il vrai qu’aucun État ne peut résister au mondialisme et que tous les pays suivent son agenda ?
« Je voudrais remercier notre ami d’Allemagne, Peter Töpfer, d’avoir noté mon intervention lors de la récente conférence internationale sur la multipolarité. Et si ma modeste contribution a été remarquée, c’est parce que j’ai essayé de souligner qu’en ce moment, malgré des conflits majeurs entre différents pays, ils suivent tous docilement le même agenda mondialiste. J’ai mentionné qu’il s’agit de ce qu’on appelle le Great Reset, Agenda 21 ou Agenda 2030 pour le développement durable, adopté au sein de l’ONU. Et si tous les pays, sans exception, suivent le même ordre du jour, le résultat qui sera atteint sera commun à toute l’humanité. (…) Les cercles occultes qui se cachent derrière des organisations telles que le WEF (Forum économique mondial), la Commission Trilatérale, le CFR (Council on Foreign Relations), le Groupe Bilderberg, le Club de Rome, etc. et qui opèrent par le biais d’organismes internationaux officiels tels que l’ONU, l’UE, l’OMS, l’OMC, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux, etc. ont des instruments de domination, devant lesquels aucun État ne peut résister. »
Au sommaire de ce cent cinquante-et-unième bulletin :
01:18 – Économie :
• La Chine à 7 nm
• Forum économique de l’Extrême-Orient russe
• Discours de Vladimir Poutine
• Russie 2e exportateur de gaz liquéfié en Europe
11:45 – Politico-diplomatique :
• Élections municipales en Russie
• Anatoli Tchoubaïs aux commandes… en Israël
• Blinken veut négocier
• Ambassadeur chinois à Kaboul
• Piotr Tolstoï et l’OMS
• Rencontre Poutine-Kim Jong-un
• Rencontre Poutine-Loukachenko
22:00 – Terrorisme :
• Pape François et Kim Jong-un sur Mitrodvorets
• Réouverture complète du pont de Crimée
• Crimes de guerre et « tradition » bandériste
• Transgenre bandériste
26:19 – Armement :
• NYT et LCI : supériorité du CMI russe
• Choïgu et Ka-52
28:10 – Considérations militaires générales
• Trois nouveaux scénarios pour la guerre OTAN-Russie
• Pertes ukrainiennes
• 300 000 volontaires russes
33:35 – Carte des opérations militaires
L’extension de son propre record chez les hommes – Margaret Court en a gagné autant à l’époque où le tennis était comme le Tiddlywinks au jeu d’aujourd’hui – a été accomplie devant des panneaux de Moderna Inc, le fabricant des vaccins contre le COVID-19 et l’un des principaux annonceurs de l’U.S. Open de cette année.
Pourtant, comme le monde entier le sait, le plus grand joueur de tennis de tous les temps – et sans doute l’un des plus grands athlètes de tous les temps – a renoncé aux vaccins contre le COVID-19 proposés, même si cela signifiait qu’il serait interdit de participer à de nombreux tournois, dont il aurait été la tête de série numéro 1.
Il a également été banni des États-Unis et de l’Australie.
Imaginez ce que seraient ses statistiques s’il n’en avait pas été ainsi. Elles sont déjà incroyables.
Au lieu de se faire piquer, il a suivi un régime alimentaire et un programme d’exercices rigoureux que peu d’entre nous pourraient imiter. Je sais que je ne le pourrais pas.
Les résultats, cependant, parlent d’eux-mêmes, y compris, sous peu, un nombre inouï de 400 semaines à la première place mondiale.
Djoker, comme on l’appelle, est aussi un homme intelligent qui parle plusieurs langues.
J’ai donc une proposition qui n’est pas si modeste. Pourquoi ne pas faire de Novak le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé ?
Il ferait certainement un meilleur travail que le titulaire communiste objectivement pro-chinois qui traîne derrière lui toutes sortes d’erreurs d’appréciation et de déclarations erronées liées au COVID-19.
Au lieu de diktats venant d’en haut, nous aurions un exemple réel d’excellence physique pour nous refléter et nous inspirer.
Qu’est-ce qui serait mieux pour l’humanité en moyenne : être une race de gens qui ne consomment pas de gluten, qui sont pescatariens et qui font de l’exercice tous les jours, ou une race qui prend des doses de rappel anti COVID tous les ans ou tous les six mois sur les conseils de quelques étatistes totalitaires qui prétendent avoir une expertise médicale ?
N’en déplaise aux libéraux épris des mirages d’une communauté euro-atlantique, pour les États-Unis, entre le dictateur d’un pays du tiers-monde, le chef d’une milice extrémiste et un pays du Vieux Continent, il n’y a pas de différence substantielle. Les événements récents le prouvent. Avec le manque de marge de manœuvre garanti par les nécessités de la guerre froide, qui ont obligé les États-Unis à garantir la stabilité de l’Europe avec la carotte et le bâton, les pays du continent se sont retrouvés avec un maître de plus en plus encombrant derrière eux, inquiets d’un éventuel défi international représenté par l’euro, vite désamorcé, et surtout intéressés à éviter que, dans un monde qui désavoue formellement, ou renie, la politique des blocs, les États européens ne commencent à interagir avantageusement avec la Russie et la Chine.
Le cas de l’Allemagne est à cet égard emblématique. Du scandale Volkswagen à la destruction du Nord Stream, des sanctions anti-russes au soutien à la Pologne, les États-Unis ont sciemment ignoré les intérêts de leur soi-disant allié dans le double but d’éliminer un dangereux concurrent international et de renforcer le rideau de fer qu’ils voulaient à tout prix ériger aux frontières de l’Eurasie occidentale. Mission accomplie : l’Allemagne en récession et l’ennemi de ce qui aurait été un partenaire naturel, la Russie, ne représentent plus un danger. En même temps, on peut la piller sans craindre de porter atteinte à la dignité nationale. La flambée des prix de l’énergie et les milliards de dollars d’investissements attirés par l’Allemagne grâce à l’Inflation Reduction Act ont contribué à maintenir le système américain debout face à une criticité et une instabilité de plus en plus graves et manifestes.
Après avoir épuisé l’Allemagne, il faut nécessairement se tourner vers la France...
« Les États n’ont ni amis permanents ni ennemis permanents : ils n’ont que des intérêts stables »