La Russie se rapproche d’un système de surveillance extensive comparable à celui de la Chine. La région de Perm est la première à imposer aux propriétaires de caméras vidéo privées d’intégrer leurs appareils dans un réseau de surveillance régional, une pratique appelée à être reproduite à l’échelle nationale.
Cette initiative, prise par décret du gouverneur de Perm, Dmitry Makhonin, est entrée en vigueur le 25 janvier. Cette mesure s’aligne sur la déclaration de loi martiale du président Vladimir Poutine dans les territoires occupés de l’Ukraine en octobre 2022, accordant aux gouverneurs régionaux des pouvoirs accrus pour assurer la « sécurité » de leurs régions.
La surveillance des citoyens par la Russie s’est intensifiée depuis l’invasion de l’Ukraine. Les autorités scrutent de plus en plus les médias sociaux et utilisent des caméras de surveillance pour traquer les citoyens activistes. Moscou a récemment testé des feux de circulation à reconnaissance faciale. Alexander Bykov, chef de l’Inspection nationale de la sécurité routière de Moscou, a même suggéré que la fourniture de données biométriques devrait être obligatoire.
La reconnaissance faciale est un élément essentiel de la stratégie de surveillance de la Russie. Elle a été utilisée pour détenir des militants de l’opposition et pour identifier des personnes ayant ignoré des convocations à l’appel militaire, des arrestations ayant été signalées dans le métro et les gares. Sergey Suchkov, PDG de NtechLab, indique que la reconnaissance faciale est opérationnelle dans 62 régions, contribuant ainsi au projet « Data Economy » du ministère du développement numérique, qui vise à dresser un profil complet des activités des citoyens.
Actuellement, les caméras privées sont inaccessibles aux autorités régionales, et seule la moitié des 1,2 million de caméras de rue appartiennent à l’État, comme l’a indiqué le département du développement numérique en novembre 2023. L’un des principaux objectifs est de centraliser la surveillance des rues, les caméras privées jouant un rôle important.
Comment est-il possible qu’une nation comme la France qui dépense plus de 300 milliards d’euros chaque année dans son système de santé ne peut pas se payer un Data Hub afin de sécuriser toutes ses données de santé ? C’est inconcevable, nous avons les moyens de le faire mais nous ne le faisons pas afin d’offrir les données de santé aux géants US du Big Data. C’est extrêmement humiliant mais ça montre parfaitement quel est l’agenda politique du régime actuel.
Faute de prestataire européen, la Cnil a validé l’hébergement de données de santé des Français chez Microsoft, pour une durée de trois ans. Et ce, malgré “le risque de communication à des puissances étrangères”.
La Cnil a autorisé l’hébergement temporaire chez l’américain Microsoft d’un entrepôt de données de santé pour la recherche alimenté par l’Assurance maladie, une première pour la gardienne française des libertés numériques, selon une décision parue mercredi sur Legifrance.
Jusqu’à présent, la Cnil n’avait jamais accepté d’autoriser des entrepôts alimentés par des données du Système national des données de santé (SNDS, géré par l’Assurance maladie), si ceux-ci devaient être hébergés sur une plateforme “cloud” – infrastructure informatique dématérialisée – non européenne.
Risque d’accès par les autorités américaines
La Cnil mettait en avant le risque d’accès aux données par des autorités étrangères, avec dans le collimateur les lois américaines à portée extraterritoriale notamment. Grâce à ces lois, les autorités américaines peuvent exiger dans certains cas que les opérateurs de cloud américains leur fournissent les données stockées chez eux, où qu’elles se trouvent dans le monde…
06:40– Économie :
• Tchernoziom à vendre
• Moscou vs pêcheurs anglais
• Centrale nucléaire russe en Égypte
• Semi-conducteurs en Chine
• Confiscation des actifs russes
16:50– Politico-diplomatique :
• 2024 : année de la famille
• Zelensky à l’assaut de la Russie
• Idriss Déby à Moscou
• Suède dans l’OTAN
• Rencontre Raïssi-Erdoğan
• Il y a 950 ans à Manzikert
• Fico & Orban
25:50 – Terrorisme :
• Mercenaires français
• Bombardement de Donetsk
• Destruction de l’IL-76
• Empire du mensonge
• Ancel : Gamelin mythomane
39:32 – Armement :
• Cavalerie ukrainienne
40:30 – Considérations militaires générales
• Mille soldats russes par jour en plus
• Esprit corps franc russe
42:45 – Carte des opérations militaires
Vous le ressentez sans doute tous.
Le problème, ou plus précisément le risque majeur, ce n’est pas juste la fronde ou la jacquerie agricole en cours aussi légitime soit-elle.
C’est la convergence des luttes et surtout des mécontentements.
La révolte des Gilets Jaunes n’a jamais trouvé de solution politique. Elle a été écrasé par la répression d’un Etat qui a instrumentalisé la police devenant milice dès qu’il y a confusion entre maintien de l’ordre et maintien au pouvoir. La police est au service de la population. Pas d’un gouvernement bien mal choisi par un président fort mal élu à la popularité douteuse depuis le départ.
Un climat révolutionnaire
Le gouvernement sait donc très bien qu’il marche sur des œufs.
De l’inflation quotidienne à la hausse injustifiée de l’électricité devenue un produit de première nécessité pour toutes les familles de ce pays, des difficultés d’emplois aux problèmes quotidiens, de l’effondrement du système de santé à notre école, et je n’ose même pas évoquer les problèmes de violences quotidiennes dans notre pays, la cote d’alerte a été dépassée il y a bien longtemps.
Notre pays est un volcan qui peut rentrer en éruption à la moindres étincelles.
Routiers comme chauffeurs de taxis sont déjà par endroits rentrés dans le mouvement.
Partout les blocages se multiplient.
Enfin, et c’est également très important à saisir pour anticiper la manière dont ce mouvement pourrait évoluer, il y a dans notre pays une immense démission.
Cette démission massive des gens est silencieuse.
J’ai évoqué rapidement ce que j’ai vu pendant l’épisode neigeux que nous venons de vivre.
5 centimètres de neige qui ne bloquaient pas les voitures sans chaînes des managers et autres entrepreneurs ou dirigeants, mais qui empêchaient toutes les voitures des salariés plus très engagés (et c’est un euphémisme) de rouler pendant deux jours.
J’ai vu des écoles désertées aussi bien par les profs que par les élèves.
J’ai vu des lycées et des collèges vides, y compris de ceux qui pouvaient venir à pieds.
J’ai vu la France rester au chaud et ne plus faire le moindre effort.
Lorsque je vous parle de cela je ne suis pas dans une forme de jugement.
Je constate et je pose un mot. La grande démission.
Je pose un autre mot.
L’effondrement de la croyance imaginaire dans la république.
C’est la fin de la fiction imaginaire.
Ce que nous vivons c’est la Russie de Gorbatchev. L’illusion de la force, alors que le colosse va s’effondrer.
Notre pays va s’effondrer car plus personne n’y croit.
Si le grogne est réprimée, alors la colère rentrée s’exprimera par encore plus de démission silencieuse et plus rien ne fonctionnera plus.
Macron est un imbécile et sa clique aussi.
On ne dirige pas un pays à coups de triques et de flash-ball.
On ne dirige pas un pays à coups de communication et de manipulations médiatiques.
On ne dirige pas un pays contre son peuple avec des auto-attestations et des passes sanitaires et autre QR codes .
Macron est un imbécile politique, car ce qu’il a fait peut donner l’illusion du maintien au pouvoir.
Mais Macron ne dirige plus rien en réalité.
Vous savez pourquoi ?
Parce que dans la vraie vie, sur le terrain, partout, ce pays est en grève.
En grève silencieuse.
En grève du zèle.
Mais en grève quand même.
Dans tous les cas Macron et sa clique ont déjà perdu, mais plus grave encore, la France a perdu, car la France a cessé de travailler, de rêver, d’avoir envie de construire un monde meilleur.
Si la France est en grève, la raison est simple à comprendre.
On ne gouverne pas contre la population mais avec elle.
Personne ne veut de la politique imposée par Macron, son europe, et ses copains de Davos.
Personne ne veut voir ses fils mourir pour Zelenski.
Je suis un homme simple.
Remplir les gamelles et assurer la paix.
Pour cela il nous faut notre souveraineté et un gouvernement qui protège notre population.
Notre population des villes, des banlieues et des campagnes.
Macron est un homme de Davos, en aucun cas un président des Français qu’il n’a jamais aimés, n’aimera jamais.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
C’est un héritier d’une idéologie qui n’a pas cessé de commettre de tels crimes depuis un siècle. Thierry Meyssan retrace l’histoire des « sionistes révisionnistes » de Vladimyr Ze’ev Jabotinky à Benjamin Netanyahu.
Josep Borrell, haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, recevant un doctorat honoris causa à Valadolid, a déclaré : « Nous pensons qu’une solution à deux États [israélien et palestinien] doit être imposée de l’extérieur pour ramener la paix. Même si, et j’insiste, Israël réaffirme son refus [de cette solution] et, pour l’empêcher, est allé jusqu’à créer lui-même le Hamas (…) Le Hamas a été financé par le gouvernement israélien pour tenter d’affaiblir l’Autorité palestinienne du Fatah. Mais si nous n’intervenons pas fermement, la spirale de la haine et de la violence se poursuivra de génération en génération, de funérailles en funérailles ».
Ce faisant, Josep Borrell rompait avec le discours officiel occidental selon lequel, le Hamas est l’ennemi d’Israël, qu’il aurait attaqué par surprise le 7 octobre ; justifiant la riposte israélienne actuelle et le massacre de, déjà, 25 000 civils palestiniens. Il affirmait que des ennemis des juifs peuvent être soutenus par d’autres juifs, Benjamin Netanyahu en particulier. Il refusait la lecture communautaire de l’Histoire et examinait les responsabilités personnelles.
Ce changement narratif a été rendu possible par la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, il y a quatre ans. Josep Borrell sait que l’Union européenne a financé le Hamas depuis son coup d’État de 2006, pourtant aujourd’hui il est libre de dire ce qu’il a sur le cœur. Il n’a pas évoqué les liens du Hamas avec la Confrérie des Frères musulmans, dont l’organisation revendique d’être la « branche palestinienne », ni de celle-ci avec le MI6, le services secrets britanniques. Il a simplement suggéré de se retirer de ce guêpier.
Progressivement, le voile se déchire. Un rappel historique est ici nécessaire. Les faits sont connus, mais jamais reliés entre eux, ni énumérés à la suite. Ils ont un effet cumulatif éclairant. Ils se situent principalement tout au long de la Guerre froide, lorsque l’Occident fermait les yeux sur les crimes dont il avait besoin, mais ils débutent en réalité vingt ans plus tôt.
En 1915, le ministre de l’Intérieur juif britannique, Herbert Samuel, rédigea un mémorandum sur le Futur de la Palestine. Il souhaitait créer un État juif, mais de petite taille afin qu’il « ne puisse pas être assez grand pour se défendre ». Ainsi la diaspora juive servirait sur le long terme les intérêts de l’empire britannique.
Il tenta de convaincre le Premier ministre, le libéral de l’époque H. H. Asquith, en vain, de créer à l’issue de la Guerre mondiale un État juif en Palestine. Cependant après la rencontre d’Herbert Samuel avec Mark Sykes, juste après la conclusion des Accords Sykes-Picot-Sazonov sur la répartition coloniale du Moyen-Orient, les deux hommes poursuivirent le projet et bénéficièrent du soutien des « protestants non-conformistes » (on dirait aujourd’hui des « chrétiens sionistes »), dont le nouveau Premier ministre, David Lloyd George. Ce dernier et son cabinet donnèrent instruction pour la fameuse Déclaration Balfour afin de préciser un des points des Accords Sykes-Picot Sazonov en annonçant un « foyer national juif ».
Simultanément, les protestants non-conformistes, par l’entremise du juge à la Cour suprême des États-Unis, Louis Brandeis, convainquirent le président Woodrow Wilson de soutenir leur projet.
Toujours durant la Première Guerre mondiale, lors de la révolution russe, Herbert Samuel proposa d’intégrer des juifs de l’ex-empire russe qui fuyaient le nouveau régime dans une unité spéciale, la Légion juive. Cette proposition fut reprise par un juif ukrainien, Vladimir Ze’ev Jabotinsky, qui imagina qu’un État juif en Palestine pourrait être sa récompense dans l’après-guerre. Herbert Samuel lui confia de recruter des soldats parmi les émigrés russes. Parmi eux, il trouva notamment le Polonais David ben Gourion (alors marxiste) auquel se joignit le Britannique Edwin Samuel, le propre fils d’Herbert Samuel. Ils s’illustrèrent notamment lors de la bataille perdue contre les Ottomans à Gallipoli.
À la fin de la guerre, le fasciste Jabotinsky réclama un État comme son dû, mais les Britanniques n’avaient nullement envie de se séparer de leur colonie palestinienne. Ils s’en tinrent donc à leur engagement de « foyer national », sans plus. En 1920, une partie des Palestiniens, conduite par Izz al-Din al-Qassam (la figure tutélaire de la branche armée de l’actuel Hamas, les brigades al-Qassam) se souleva et massacra sauvagement des immigrés juifs, tandis qu’une milice juive leur répondit. C’est le début du conflit israélo-palestinien. Londres rétablit l’ordre en arrêtant des fanatiques, aussi bien des jihadistes que des juifs. Jabotinsky, chez qui un arsenal fut découvert, fut condamné à 15 ans de prison.
Cependant, le gouvernement « protestant non-conformiste » de David Lloyd George nomma Herbert Samuel gouverneur de Palestine. Dès son arrivée à Jérusalem, il gracia et fit libérer son ami Jabotinsky. Puis, il nomma l’antisémite et futur collaborateur du Reich, Mohammad Amin al-Husayni, grand mufti de Jérusalem.
Le quartier general de ces mercenaires francais avait ete installe dans les locaux de l’école maternelle et assurait le service des données des satellites et de la guerre électronique pour les forces armées ukrainiennes. En outre, les officiers aujourd’hui décédés étaient engagés dans l’amélioration et le renforcement des systèmes de contre-batterie et des radars.
Ces officiers français ont activement participé aux frappes ukrainiennes contre la ville de Belgorod le 30 décembre 2023.
Un Iskander et deux douzaines de leurres pré-lancés ont assuré une frappe de haute précision contre la position française à 04h43. La défense aérienne ukrainienne n’a pas eu le temps de réagir.
Macron dans sa fuite en avant a signé le transfert de 55 missiles SCALP aux forces armées ukrainiennes. Mais il faut encore qu’ils arrivent jusqu’en Ukraine…
« Que Macron qui a annoncé sa venue à Kiev ait au moins le courage de venir à Kharkov récupérer les corps de ceux qu’il a envoyé à la mort. Qui sait, un Iskander pourrait de nouveau passer par là et libérer le monde d’une ordure… »
03:06– Stratpol vs LCI :
06:59– Économie :
• Starlink russe
• Allemagne : économie la moins performante en 2023
• SPFS vs SWIFT
• Économie : Russie vs Japon
13:08 – Politico-diplomatique :
• La droite la plus bête du monde
• Sunak à Kiev
• Séjourné à Kiev
• Macron s’en va-t-en guerre
• Poutine à Khabarovsk
• Photo réussite à Davos
• Démonstration de faiblesse US
• Élection à Taïwan
• Corée du Nord à Moscou
27:45 – Terrorisme :
• Assassinat de Gonzalo Lira
• Mercenaires français à Kharkov
30:59 – Armement :
• Pas de Taurus pour l’Ukraine
• Kiev demande des A-10
• Ignat vs F-16
• Pas assez d’obus pour Kiev
35:09 – Considérations militaires générales
• Intelligence française vs OSINT
• Gamelin total
• NYT vs alcoolisme en Ukraine
43:33 – Carte des opérations militaires
Les définitions du Diable ont changé avec les époques, les mentalités. Le Mal n’est plus empli des mêmes choses, des mêmes peurs, il ne suscite pas le même rejet. Il y a 2000 ans, il était question d’anges déchu ou protecteurs, de Jésus, du Père, du désert, de la tentation...
Ces images n’ont pas disparu, elles ont été redéfinies. On peut aussi les conserver comme symboles, car elles fonctionnent toujours : ne jamais croire que la conscience humaine se soit grandement améliorée, en 2000 ans. Quand on voit le gouvernement d’aujourd’hui...
Justement, beaucoup de Français, pas forcément catho ou musulmo-croyants, rejettent ce gouvernement comme on rejette le Diable. Il y a de quoi : cette petite assemblée de créatures cyniques et méprisantes ne peut pas être aimée du peuple. En outre, elle lui tape dessus, via la force de l’État, qu’elle a privatisé, ce qui n’arrange rien : ce sont coups de Jarnac, de matraque, fausses infos, hausses des prix, insultes assumées... Macron et mini-Macron disaient qu’il faut « emmerder » les antivax, qui ont pourtant sauvé l’honneur de la France pendant le terrorisme covidiste.
Le Diable, aujourd’hui, n’est plus dans les détails, il se montre au grand jour, car il pense avoir gagné : son idéologie est partagée par le plus grand nombre. Ce sont les valeurs libérales : individualisme, féminisme, homosexualisme, antichristianisme, mercantilisme, qui mènent au désastre social et sociétal que l’on sait.
Bienvenue au forum de Diablos
La société française, fondée sur l’esprit français, doit être détruite, pour que règne le mercantilisme anglo-américain, rabaisseur des âmes. On voit qui fait du mal aujourd’hui sur Terre, qui provoque les guerres, qui exploite les conflits, qui joue sur le séparatisme, entre sexes, entre races et entre classes.
Dès lors, le tout-venant peut voir les Illuminatis pérorer en se pensant les maîtres du monde, alors qu’ils sont à une portée d’émeute. Les sociétés secrètes ne le sont plus, on se filme même en y entrant, on donne des interviews, des conseils aux pauvres, on refait le monde, quoi.
Les Illuminatis sont devenus des stars, ils montent les marches, comme à l’Élysée, Cannes ou Hollywood. Ci-joint l’arrivée des « invités spéciaux » du forum de Davos 2024. Protégés par 5000 militaires suisses, ils font semblant de craindre un attentat, mais ils ne courent aucun risque : ce sont eux les grands terroristes du monde.
En novembre 2009, une femme nommée Laura Silsby a fondé une organisation à but non lucratif appelée The New Life Children’s Refuge qui a décrit sa mission comme une tentative de sauvetage d’enfants orphelins et abandonnés en Haïti et en République dominicaine. Deux mois plus tard, le 29 janvier 2010, Silsby a été arrêté pour avoir tenté de faire sortir 33 enfants orphelins d’Haïti sans papiers. Le monde apprendra plus tard par Wikileaks que Hillary Clinton a reçu des mises à jour par e-mail de Huma Abedin et d’autres associés concernant l’incarcération de Silsby et le développement d’une affaire judiciaire .
Ce n’était pas la première fois que Silsby se retrouvait accusée de trafic d’enfants. Silsby avait déjà été arrêté une fois par la police haïtienne alors qu’il tentait de faire sortir 40 enfants du pays. Cependant, lors de cet incident, aucune accusation n’a été portée contre elle et elle a simplement été refoulée à la frontière.
Une semaine après que Silsby a été appréhendé pour la deuxième fois, le 7 février 2010, l’ancien président Bill Clinton a nommé Silsby un avocat du nom de Jorge Puello. Puello a réussi à faire réduire les charges de Silsby à 6 mois.
Jorge Puello a également eu une histoire colorée avec la traite des êtres humains. Il a été reconnu coupable d’avoir dirigé un réseau international de trafic sexuel impliquant des femmes et des filles mineures d’Amérique centrale et d’Haïti . La femme de Puello a également été arrêtée pour les mêmes accusations.
En 2011, Silsby a été nommé directeur financier de la société de logiciels Konexus et deviendra plus tard son vice-président du marketing . Konexus exploite AlertSense qui est le logiciel de notification de masse utilisé dans le système intégré d’alerte et d’avertissement public de la FEMA , ou IPAWS. L’une des fonctions de l’IPAWS est d’émettre des alertes Amber au public en cas d’enlèvement. Le système Amber Alert a été mis en place sous la présidence de Bill Clinton. En 2015, Laura Silsby a épousé Norman Gayler et a pris son nom de famille, c’est ainsi que son nom apparaît sur le site Web de Konexus.
Comment une femme qui a été surprise à plusieurs reprises en train de tenter de faire le trafic international d’enfants a-t-elle été promue à l’équipe de direction du système d’alerte aux enlèvements le plus important du pays, et pourquoi les Clinton sont-ils intervenus dans son procès ? Plus important encore, que se passe-t-il exactement en Haïti ? ( un autre article )
Le matin du 26 juillet 2019, les utilisateurs de Twitter ont vu la tendance #ClintonBodyCount , quelques semaines seulement avant que Jeffrey Epstein ne se soit suicidé dans sa cellule de prison. L’expression » Clinton body count » n’avait rien de nouveau et était devenue un mème dans les forums sur Internet des années auparavant. Il fait référence au nombre apparemment anormal d’associés de Clinton décédés de manière suspecte ou dans des circonstances mystérieuses.
Izette Folger, une amie proche de l’associé de Clinton, James Alefantis , a fait une déclaration en faveur de Silsby lors de son procès. Folger est la fille de Michael Maccoby , qui entraîne les dirigeants de Nuestros Pequeños Hermanos , ou NPH, une grande organisation qui gère des orphelinats dans le monde entier.
Le fils de Folger, Max Maccoby, est membre du conseil d’administration d’un orphelinat NPH appelé Friends of the Orphans , qui est l’un des 760 orphelinats opérant en Haïti , et se trouve être l’orphelinat exact à partir duquel Silsby a été surpris en train de trafiquer des enfants . Curieusement, Max Maccoby a fait une longue et catégorique déclaration de soutien à Comet Pizza lors d’une réunion controversée de la commission de quartier lorsque la controverse Pizzagate a explosé. (La partie pertinente du fichier audio commence à 31:40.)
Il convient également de noter ici que Frank Giustra , propriétaire de la Fondation Radcliffe, siège au conseil d’administration de la Fondation Clinton et est l’un des principaux donateurs de l’organisation. Le logo d’Elpida Home , un centre de réfugiés fondé par la Fondation Radcliffe, se trouve être presque identique en forme et en couleur au symbole boylover que le FBI a déclassifié en 2007. Wikileaks a publié ce matériel dans un dump intitulé « Symbols and Logos Used by Pedophiles pour identifier les préférences sexuelles.
La mort de Monica Petersen
Indépendamment de la véracité du Pizzagate, les scandales semblent suivre les Clinton. Leurs liens avec la pédophilie ne s’arrêtent pas là.
Monica Petersen a été stagiaire de recherche au Laboratoire de lutte contre la traite des êtres humains (LCHT) et chercheuse et directrice adjointe au Human Trafficking Center (HTC). Elle a également siégé au groupe de travail sur les données et la recherche du Colorado Human Trafficking Council. Peterson a écrit et parlé abondamment sur la traite des êtres humains .
Le 15 août 2015, Monica a annoncé son intention de se rendre en Haïti pour mener des recherches sur la traite des êtres humains et a ensuite commencé à y vivre à plein temps .
Le 3 janvier 2016, Monica a partagé avec son amie Bella certaines de ses découvertes basées sur son travail de terrain en Haïti jusque-là. À cette époque, elle avait déjà pris conscience de la corruption des Clinton en Haïti sur la base de ce que nous savons de leur correspondance. En fait, elle s’apprêtait à plonger à plein temps .
« SP. Clinton a des affaires corrompues et sales à terminer en Haïti… C’est la théorie que ma thèse de maîtrise met en avant… c’est de l’esclavage structurel moderne.
Le lendemain, le 4 janvier 2016, Monica a de nouveau partagé avec son amie Bella quelques-unes de ses découvertes .
« Mais la véritable signification de ce scandale pour moi, je sais que tu me sens Bella, est le lien avec l’esclavage et la traite contemporains. Je ne peux pas dire dans quelle mesure, mais il y a du trafic d’êtres humains dans le complexe de Clinton [Caracol].
Bella a partagé à nouveau ce message de Monica avec un groupe Facebook auquel elle appartenait. À ce stade, Monica semblait enquêter à plein temps sur les liens de trafic d’enfants de la Fondation Clinton.
Le 13 novembre 2016, Monica Petersen a été signalée morte en Haïti, bien qu’aucun corps n’ait jamais été récupéré pour le service funéraire de la famille.
La famille de Monica a appris qu’elle s’était suicidée, mais ils n’ont pas été informés des détails exacts de sa mort. La mère de Monica a déclaré publiquement qu’elle ne croyait pas que sa fille avait une raison de se suicider.
Le professeur de Petersen, Claude d’Estrée, a dit ce qui suit à propos de sa mort ,
« (Elle) a décidé d’affronter l’un des démagogues dans le domaine de la traite des êtres humains… [Elle] a produit une analyse de 110 pages sur la traite des êtres humains en Haïti – 2 ans de recherche… Nous cherchions quelqu’un qui était assez intelligent et peut-être assez courageux pour publier son travail… Je continuerai à le rechercher et à le publier pour elle.
Après avoir fait cette déclaration, d’Estrée a soudainement désavoué tout lien entre Petersen et la traite des êtres humains et les Clinton.
« D’Estree a déclaré que Petersen s’était rendue en Haïti plusieurs fois, mais qu’elle n’était pas là pour faire des recherches sur la traite des êtres humains et n’enquêtait pas sur la Fondation Clinton. »
Pourquoi d’Estrée ferait-il un 180 en public ? Il s’avère que d’Estrée a travaillé comme superviseur au bureau du procureur américain pour le compte de DynCorp entre 1999 et 2002. Cela coïncide avec la période exacte où DynCorp a été surpris en train de trafiquer des enfants à des fins sexuelles en Bosnie et au Kosovo et aucune poursuite n’a été engagée . DynCorp a joué un rôle actif dans les abus sexuels en Haïti .
« Il s’agit d’un mini-documentaire très informatif reliant de nombreux points de personnes » suicidées « qui exposaient ou avaient potentiellement prévu d’exposer le trafic et les réseaux pédophiles d’élite. »
Le dispositif doit permettre de vérifier l’efficacité du système d’alerte et d’information des populations FR-Alert.
Selon l’Unesco, il est quasi-certain qu’un tsunami frappera la Méditerranée au cours des trente prochaines années.
Alerte ! Des milliers de téléphones portables vont sonner, vendredi à 10 heures, au même moment. Les habitants des neuf départements côtiers de Méditerranée vont recevoir un message évoquant un tsunami sur les côtes françaises. Un entraînement grandeur nature, afin de tester à la fois le dispositif FR-Alert et de sensibiliser la population.
Cet exercice « n’appelle aucune action ou réaction des destinataires », précisent les services de l’Etat. Inutile, donc, de « contacter les forces de l’ordre, services de secours, ni standards téléphoniques des préfectures et mairies concernées ». Et encore moins de « relayer de fausses rumeurs sur les réseaux sociaux ».
Initialement prévu début novembre, il avait été repoussé en raison de l’imminence du passage de la tempête Ciaran en France et du risque de confusion auprès de la population. Un exercice de moindre importance a déjà eu lieu à Frontignan (Hérault), à l’automne.
Le thème de cette année est « Reconstruire la confiance ».
« On peut presque sentir la magie de l’endroit quand on y est », a déclaré au Post un habitué de Davos.
« Tout le monde a un agenda et vous ne savez jamais sur qui vous allez tomber en sortant des toilettes. Il pourrait s’agir de Bill Gates. »Vous côtoyez certaines des personnes les plus intelligentes au monde, mais une chose que vous apprenez, c’est qu’elles ne sont pas toujours aussi intelligentes.
La ville suisse, habituellement tranquille, s’apprête à accueillir l’élite mondiale et du champagne à volonté. L’action commence au Centre des congrès (devant), qui est le point zéro de la conférence annuelle du WEF. Le caviar est en place, ici dans des cônes de gaufre, pour les cocktails d’élite du Forum économique mondial qui commencent dès que les maîtres de l’univers atterrissent.
Klaus Schwab, le président du WEF, bien que dépeint comme un véritable Dr. Evil dans les cercles d’extrême droite, est probablement plus un PT Barnum de haut vol qu’un sinistre conspirateur mondial.
L’année dernière, Vanity Fair a souligné que Schwab « a fait passer le Forum d’une réunion sérieuse de responsables politiques à une assemblée étincelante des personnes les plus riches du monde. Il y est parvenu en s’attirant les faveurs de ceux qui détiennent le pouvoir, et en particulier de la classe des milliardaires - une tribu connue sous le nom d’homme de Davos ».
Mais tous les hommes - ou femmes - de Davos ne sont pas égaux : il existe un système de castes qui sépare les personnes simplement connectées du sommet de l’élite.
Chacun doit porter en permanence un badge de couleur portant son nom complet, et la couleur est un moyen instantané de juger de son importance. La couleur est un moyen instantané de juger de son importance (la vraie flexibilité est d’être si célèbre que l’on cache son badge).
Goldie Hawn gesticulait tout en portant un badge sur un cordon devant la marque « World Economic Forum ». Les badges constituent le système de castes à Davos : même les célébrités, comme Goldie Hawn, participante en 2014, sont censées les porter en permanence. Leur couleur place le porteur dans une hiérarchie stricte. AP
FAQ sur le badge d’entrée à Davos. Qui l’obtient ? Ce que cela signifie.
Le système complexe des badges est un moyen de savoir non seulement qui est une personnalité, mais aussi si ça vaut la peine de lui parler. L’agence de presse Reuters a compilé un guide léger - mais bien informé - sur ces badges. @AndrewLawton/X
Les badges blancs sont les accréditations les plus chères, mais ils ne sont accessibles qu’aux chefs d’entreprise de premier plan.
Il ne suffit pas d’être PDG : votre entreprise doit être connue de tous, ou du moins des plus grands conseils d’administration.
Si vous cherchez « namedropping » dans le dictionnaire, vous verrez une photo de Davos", a déclaré au Post le fondateur et président de Skybridge Capital, Anthony Scaramucci, qui participe à Davos depuis 2007.
Le fondateur et président de Skybridge Capital, Anthony Scaramucci, a participé en 2019 à la soirée vinicole qu’il organise chaque année à Davos.
Naomi Campbell tout sourire, dans un long manteau noir avec un sac orné de bijoux a posé devant une grande étoile peinte avec le numéro 23. Le top model fait partie des mondialistes glamour qui se rendront à Davos en 2024.
D’autres badges plus modestes, dans un arc-en-ciel de couleurs, sont remis aux entourages des détenteurs de badges blancs, aux PDG et aux dirigeants d’organisations à but non lucratif moins importants, aux médias, au personnel du WEF et aux légions d’employés qui répondent à leurs besoins.
Des poids lourds politiques comme le premier ministre chinois Li Qiang, le président français Emmanuel Macron, le secrétaire d’État Antony Blinken, le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan et l’envoyé du président Biden pour le climat, John Kerry, se bousculeront pour obtenir des invitations aux meilleurs cocktails de l’année.
Il en sera de même pour Sam Altman, PDG d’OpenAI, Volodymyr Zelenskyy, président de l’Ukraine, Javier Milei, président argentin nouvellement élu, Naomi Campbell, mannequin, Tedros Adhanom Ghebreyesus, de l’Organisation mondiale de la santé, et Tirana Hassan, de Human Rights Watch...