Dans cet article très argumenté, l’auteur ne tarit pas d’éloges et ne cache pas son admiration pour la manière « révolutionnaire » dont l’Armée Russe a conduit son opération jusqu’à présent. De quoi faire tousser le Haut commandement otanien et la « meute » mainstream.
« Dans le même temps, le programme de frappes de missiles a exploité une capacité qui n’était rien moins que révolutionnaire. Qu’ils soient nouveaux ou anciens, ces efforts ont été menés d’une manière qui démontre une profonde appréciation des trois domaines dans lesquels les guerres sont menées. En d’autres termes, les Russes ont rarement oublié qu’en plus d’être une lutte physique, la guerre est à la fois un concours mental et un argument moral. »
La désinformation a été au centre de la propagande en faveur de la « vaccination » Pfizer. Les faits resteront très têtus, mais le rapport remis à la FDA en date du 17 septembre 2021 démontrait à lui seul que ce produit avait une durée de protection limitée à quelques semaines. À la même époque, la situation en Israël apportait des preuves indubitables que la protection était éphémère. Or, beaucoup ont été manipulés par une désinformation qui a fonctionné selon deux principes très simples : affirmer sans preuve, mais affirmer toujours, et insulter tous les auteurs d’une information concrète exposant des faits contraires à la doxa.
Le scénario de la désinformation : le bon, le méchant et la solution
Dans un tweet publié le vendredi 5 août, CBS faisait la promotion d’un nouveau film-documentaire Arming Ukraine (Armer l’Ukraine) : « Le nouveau documentaire de CBS Reports explore pourquoi une grande partie des milliards de dollars d'aide militaire que les États-Unis envoient à l'Ukraine n'arrivent pas sur les lignes de front : 30% atteint sa destination », écrivait le média sur Twitter.
« Inonder un pays avec des armes modernes peut entrainer de graves conséquences, même si cela est fait avec les meilleures intentions », pouvait-on lire par ailleurs dans l’article de description du reportage sur le site Internet de la chaine.
Mais depuis, l’article a été mis « mis à jour », selon les termes employés par CBS, et le film supprimé de son site Web au cours du weekend dernier. Faisant face à une avalanche de questions concernant les motivations qui ont sous-tendu cette décision, le média s’en est finalement expliquée sur Twitter.
L'OTAN est connue pour être une structure militaire, chargée de la protection des pays ayant signé le Traité de l'Atlantique nord.
On a vu avec les réseaux stay-behind qu'elle s'est aussi mêlée de politique et de propagande, mais c'était encore discret. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas : l'OTAN dispose d'un « Centre d'excellence de la communication stratégique » (STRATCOM) qui forme les journalistes et leur fournit des outils pour exercer cette nouvelle et étrange forme de « journalisme » qu'est le « fact checking ».
On voyait bien dans les derniers exercices « pandémiques » que les préoccupations étaient de plus en plus focalisées sur le contrôle de l'information pour faire accepter les mesures liberticides variées et permettre la « vaccination ».
Comme s’il sortait d’une fiction dystopique, M. Penrose, député de Weston-super-Mare, a proposé que le gouvernement oblige les plateformes en ligne à tenir à jour un score de la véracité d’une personne, déterminé par ses déclarations passées.
Voir les amendements proposés...
Cet inventaire suffit à montrer que cela ne peut pas être le fruit du hasard.
La crise sanitaire a vu l’ensemble des médias répéter à l’unisson les mêmes mantras, invitant les mêmes savants, depuis reconnus incompétents dans les domaines où ils s’exprimaient. Tout le monde l’a observé : aucun pluralisme mais une élimination systématique des opposants, un discrédit et l’opprobre sur les savants réfractaires. L’alignement des grands médias et leur promotion des thèses des gouvernements en sont une preuve éclatante, partout en Occident.
« On a beaucoup donné la parole à des experts, des journalistes ou des éditorialistes qui n’avaient pas plus de compétences médicales que vous et moi »
Mes amis, dans ce 4-4-2, je vais vous faire découvrir une facette du président Vladimir Poutine que les médias se gardent bien de divulguer. C’est l’histoire d’un enfant qui vient de parents très modestes, vivant au milieu du peuple dans un appartement communautaire de 20 m² au fin fond de Leningrad. Le garçon turbulent va connaître deux épisodes qui vont changer le cours de sa vie et, plus tard, celui de son pays et du monde. C’est avec un très grand plaisir que je vous livre cette vidéo, afin que vous puissiez entendre un autre son de cloche, loin du brouhaha médiatique de la propagande que les intérêts des Américains manient à merveille. Il est temps d’ouvrir les yeux et de penser par vous-même.
Las, probablement soumis à quelques pressions, le journal a bien malheureusement rectifié son article en s’inspirant de et en citant l’AFP factuel, organisme de diffusion de la vérité officielle, autrement appelé « vérificateur de faits ».
C’était sans compter sur notre vigilance !
Article présenté: avant / après l’un à côté de l’autre. Simple, clair, précis, imparable.
Ainsi du côté du gouvernement, on ne peut que noter l’embarras dans lequel il se trouve de tous les côtés qu’on le prenne.
Sur le plan politique, l’absence de majorité absolue pour la Renuisance du Président ou pour le groupe Ensemble à l’Assemblée provoque des difficultés manifestement pas envisagées par Emmanuel Macron qui ne semble pourtant pas encore prêt à négocier quoi que ce soit.
Cependant comme lors de l’affaire des réseaux stay-behind, c’est en Italie que pour la première fois un document est sorti. Il permet de comprendre qui est intervenu auprès du quotidien de gauche Il Manifesto pour censurer notre collègue Manlio Dinucci ou encore auprès du Fournisseur d’accès Orange pour censurer notre site Internet, Voltairenet.org en Pologne.
Pour l’émission La Vérité prend l’Ascenseur, notre équipe est allée à la rencontre de Pierre Jovanovic pour qu’il nous donne son point de vue sur l’ouvrage de Philippe Aimar, « Covid-19, enquête sur un virus ». Pierre Jovanovic nous a plongés dans des vérités cachées et pourtant flagrantes.
En bon journaliste, Philippe Aimar a mené son enquête : la découverte d’une accumulation de « suicides » et de morts prématurées, la mise au jour de preuves de malversation l’ont tout d’abord étonné. Lui, qui voulait prouver à Pierre Jovanovic qu’il n’y avait pas de complot, va se heurter à la dure réalité.