Elon Musk devrait prendre les clés de Twitter d’ici la fin de la semaine prochaine, après une série de batailles juridiques, de prises de bec en ligne et de négociations complexes. Quel que soit le propriétaire de la plateforme, le géant des médias sociaux semble prêt à procéder à des coupes sombres dans ses effectifs.
C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport du Washington Post, qui a enquêté sur le rachat de Twitter au moyen d’un certain nombre d’entretiens et de documents obtenus. M. Musk aurait déclaré à des investisseurs potentiels que son rachat de l’entreprise impliquerait le licenciement de près de 75 % des 7 500 employés de Twitter. En réponse à cette information, le principal avocat de Twitter, Sean Edgett, a envoyé un courriel aux employés jeudi pour leur dire que l’entreprise n’avait pas prévu de licenciements, rapporte Reuters.
Musk et Twitter souhaitent tous deux conclure l’accord d’ici le 28 octobre, à l’issue d’une période de négociation controversée qui s’est étalée sur plusieurs mois.
L’Office fédéral de la justice a affirmé que la plate-forme de messagerie a refusé de créer un moyen pour les utilisateurs de signaler les contenus illégaux ou d’établir un bureau physique où les plaintes peuvent être déposées, comme l’exige la législation allemande régissant les plates-formes de médias sociaux.
Les autorités allemandes ont ajouté que leurs tentatives de contacter les dirigeants de Telegram aux Émirats arabes unis ont échoué. Un cabinet d’avocats basé en Allemagne a déclaré qu’il représentait Telegram, mais cela ne constitue pas une conformité adéquate, selon l’Office fédéral de la justice.
« Les opérateurs de services de messagerie et de réseaux sociaux portent une responsabilité particulière pour agir contre l’incitation à la haine et à la violence sur leurs plateformes », a déclaré le ministre de la Justice Marco Buschmann dans un communiqué. « Ces exigences légales et cette responsabilité ne peuvent pas être évitées en essayant d’être injoignable ».
On n’évoque donc pas ici des titres faussement rebelles comme Le Canard Enchaîné ou Charlie Hebdo. En quelques mois, plusieurs périodiques de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne se retrouvent en difficulté.
La façon dont le cartel de la presse subventionnée a volé au secours d'Enedis a démontré, s'il le fallait encore, combien le régime s'appuie sur des "journalistes de confiance" pour convaincre les gueux de ne pas s'inquiéter et d'obéir sans broncher à tous les délires qui ont pris le pouvoir.
Les réactions à une dépêche de l’AFP publiée mardi, annonçant qu’Enedis interromprait l’alimentation électrique des ballons d’eau chaude entre 12h et 14h pendant six mois ont constitué un puissant révélateur du malaise français qui devrait fortement inquiéter le pouvoir. Jamais encore les citoyens ordinaires n’ont autant exprimé de défiance vis-à-vis des mensonges incessants de la caste qui les dirige et les manipule.
Nous le savions déjà mais il est toujours bon de le rappeler : l’entreprise multirécidiviste criminelle Pfizer finance le Centre international des journalistes (ICFJ) que Facebook va utiliser afin de vérifier l’information de sa plate-forme ! Rien que ça !
D’ailleurs, nous pouvons trouver également dans la liste des partenaires de l’ICFJ l’entreprise Johnson & Johnson qui est également productrice d’un autre vaccin comme le démontre la capture écran ci-dessous. C’est à peine croyable et pourtant c’est ce que tout le monde peut constater en allant sur leur site et en vérifiant tout ce qui est écrit ici.
On peut trouver également dans la longue liste des sponsors une ribambelle de délinquants mondialistes comme la banque Goldman Sachs par exemple, sans oublier bien entendu l’ubiquitaire fondation Bill et Melinda Gates, Soros, Google… !
Quelles accréditations et laissez-passer faut-il avoir ? Quelles différences y a-t-il entre les correspondants de guerre russes et les correspondants indépendants comme ceux de Donbass Insider ? Comment Insider fait-il pour aller sur le front ? Pourquoi les journalistes sont-ils toujours encadrés ? Pourquoi ne peuvent-ils pas filmer les visages des soldats russes ? Peut-on perdre ses accréditations ? Qui assure la sécurité des journalistes sur le terrain ? Pourquoi toute l’armée russe n’est-elle pas en Ukraine ?
L’émission présentera du contenu drôle et viral capturé par les caméras Ring, comme « des voisins qui sauvent leurs voisins, des demandes en mariage, des réunions militaires et des animaux stupides ».
De telles vidéos peuvent être divertissantes et deviennent souvent virales. Cependant, elles détournent l’attention des gens de la surveillance de masse exercée par les caméras Ring. Les vidéos des caméras Ring ont été utilisées dans le cadre d’enquêtes menées par les forces de l’ordre aux États-Unis et à l’étranger, allant jusqu’à tirer des vidéos des caméras de sonnettes des particuliers sans mandat.
En entretenant la peur de la criminalité dans les banlieues et en s’associant avec les services de police, Amazon a déployé de manière agressive les caméras de surveillance domestique Ring.
Dans cet article très argumenté, l’auteur ne tarit pas d’éloges et ne cache pas son admiration pour la manière « révolutionnaire » dont l’Armée Russe a conduit son opération jusqu’à présent. De quoi faire tousser le Haut commandement otanien et la « meute » mainstream.
« Dans le même temps, le programme de frappes de missiles a exploité une capacité qui n’était rien moins que révolutionnaire. Qu’ils soient nouveaux ou anciens, ces efforts ont été menés d’une manière qui démontre une profonde appréciation des trois domaines dans lesquels les guerres sont menées. En d’autres termes, les Russes ont rarement oublié qu’en plus d’être une lutte physique, la guerre est à la fois un concours mental et un argument moral. »
La désinformation a été au centre de la propagande en faveur de la « vaccination » Pfizer. Les faits resteront très têtus, mais le rapport remis à la FDA en date du 17 septembre 2021 démontrait à lui seul que ce produit avait une durée de protection limitée à quelques semaines. À la même époque, la situation en Israël apportait des preuves indubitables que la protection était éphémère. Or, beaucoup ont été manipulés par une désinformation qui a fonctionné selon deux principes très simples : affirmer sans preuve, mais affirmer toujours, et insulter tous les auteurs d’une information concrète exposant des faits contraires à la doxa.
Le scénario de la désinformation : le bon, le méchant et la solution
Dans un tweet publié le vendredi 5 août, CBS faisait la promotion d’un nouveau film-documentaire Arming Ukraine (Armer l’Ukraine) : « Le nouveau documentaire de CBS Reports explore pourquoi une grande partie des milliards de dollars d'aide militaire que les États-Unis envoient à l'Ukraine n'arrivent pas sur les lignes de front : 30% atteint sa destination », écrivait le média sur Twitter.
« Inonder un pays avec des armes modernes peut entrainer de graves conséquences, même si cela est fait avec les meilleures intentions », pouvait-on lire par ailleurs dans l’article de description du reportage sur le site Internet de la chaine.
Mais depuis, l’article a été mis « mis à jour », selon les termes employés par CBS, et le film supprimé de son site Web au cours du weekend dernier. Faisant face à une avalanche de questions concernant les motivations qui ont sous-tendu cette décision, le média s’en est finalement expliquée sur Twitter.
L'OTAN est connue pour être une structure militaire, chargée de la protection des pays ayant signé le Traité de l'Atlantique nord.
On a vu avec les réseaux stay-behind qu'elle s'est aussi mêlée de politique et de propagande, mais c'était encore discret. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas : l'OTAN dispose d'un « Centre d'excellence de la communication stratégique » (STRATCOM) qui forme les journalistes et leur fournit des outils pour exercer cette nouvelle et étrange forme de « journalisme » qu'est le « fact checking ».
On voyait bien dans les derniers exercices « pandémiques » que les préoccupations étaient de plus en plus focalisées sur le contrôle de l'information pour faire accepter les mesures liberticides variées et permettre la « vaccination ».
Comme s’il sortait d’une fiction dystopique, M. Penrose, député de Weston-super-Mare, a proposé que le gouvernement oblige les plateformes en ligne à tenir à jour un score de la véracité d’une personne, déterminé par ses déclarations passées.
Voir les amendements proposés...