Au cours de ce podcast en direct animé par des personnalités indépendantes du monde des médias et de la société, suite à la publication des « Twitter Files » la semaine dernière, Elon Musk a été interrogé par un groupe important de détenteurs de coches bleues sur une variété de sujets relatifs à la plateforme de réseau social.
Le milliardaire de la technologie a été interrogé sur son plan pour gérer les bots sur Twitter 2.0. Les bots représentent 50 % du trafic internet mondial.
« Je vais vaincre les bots », a-t-il déclaré, « C’est une guerre, et nous allons la gagner. »
« Nous allons démasquer ceux qui veulent manipuler les gens », a-t-il ajouté.
Il a expliqué que les bots agissaient « de concert », mais il a l’intention de développer un logiciel qui lui permettra de contrôler l’influence des bots.
« Ces outils logiciels n’ont pas été écrits, mais nous les ferons », a-t-il dit.
Selon l’humoriste et commentateur politique Russell Brand, les débats sur la récente acquisition de Twitter par Elon Musk ont fait rage entre les défenseurs de la liberté d’expression qui se réjouissent de cette opération et les démocrates néolibéraux qui s’inquiètent de voir un seul milliardaire contrôler la plateforme.
Dans sa dernière vidéo, Russell Brand soulève des questions sur les plans de Musk pour Twitter qu’aucun des deux camps ne pose.
Brand fait valoir que le paysage médiatique a changé. Aujourd’hui, de nombreux journalistes et personnalités des médias sont de plus en plus opposés à la liberté d’expression.
Le badge bleu certifié indique aux utilisateurs l’authenticité d’un compte d’intérêt public. Alors que la certification des comptes Twitter ne pouvait être obtenu que par les personnalités, il sera possible au commun des mortels d’en bénéficier. Le propriétaire de Tesla et de SpaceX assure que le prix de l’abonnement — annoncé à 8 euros par mois — sera ajusté en fonction des pays et de leur niveau de vie. Voici les avantages de la certification :
- Les tweets apparaîtront en priorité.
- Possibilité de publier de longues vidéos et enregistrements audio.
- Deux fois moins d’annonces.
- Les revenus générés par Twitter permettront de rémunérer les créateurs de contenu.
« Le système actuel de seigneurs et paysans de Twitter en fonction de qui a ou n’a pas un badge bleu est une connerie. Pouvoir au peuple ! Bleu pour huit dollars par mois »
Emmanuel Macron avait jugé que les très contrôlés YouTube, BFMTV, Facebook & Cie étaient largement suffisants pour informer les Français. Or, tandis que notre information est de plus en plus limitée à des communiqués officiels, des publicités pour Pfizer et des jeux débiles, entre-temps Elon Musk a rouvert des comptes supprimés sur Twitter et viré les dirigeants qui avaient supprimé le compte de Trump après sa défaite aux élections. Un air de liberté anti-démocrate — du nom d’un parti américain fort peu démocrate — qui ne plaît guère à la macronie déjà fragilisée par les révélations de Pfizer sur ses vaccins.
Panique des démocrates à la veille des élections de mi-mandat, obéissance stricte aux ordres de BlackRock (Larry Fink a été un des premiers chefs d’entreprise reçus à l’Élysée en 2017) ont fait prendre une décision ouvertement dictatoriale.
Rares sont les chaînes qui osent dire la vérité, mais force est de constater que Pascal Praud met les pieds dans le plat sur Cnews quand les autres préfèrent se taire. Lors de l’émission L’heure des Pros du 24 octobre 2022, Pascal Praud revient sur les décisions rendues le 21 octobre 2022 par la chambre disciplinaire de première instance d’Île-de-France de l’ordre des Médecins. Le Pr Perronne y a remporté l’ensemble de ses procédures. « Je suis heureux, je ne m’attendais pas à un jugement aussi favorable. J’ai reçu un énorme soutien. Le conseil de l’ordre des Médecins m’a rendu mon honneur« , dira l’infectiologue qui a subi l’acharnement des médias.
Elon Musk devrait prendre les clés de Twitter d’ici la fin de la semaine prochaine, après une série de batailles juridiques, de prises de bec en ligne et de négociations complexes. Quel que soit le propriétaire de la plateforme, le géant des médias sociaux semble prêt à procéder à des coupes sombres dans ses effectifs.
C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport du Washington Post, qui a enquêté sur le rachat de Twitter au moyen d’un certain nombre d’entretiens et de documents obtenus. M. Musk aurait déclaré à des investisseurs potentiels que son rachat de l’entreprise impliquerait le licenciement de près de 75 % des 7 500 employés de Twitter. En réponse à cette information, le principal avocat de Twitter, Sean Edgett, a envoyé un courriel aux employés jeudi pour leur dire que l’entreprise n’avait pas prévu de licenciements, rapporte Reuters.
Musk et Twitter souhaitent tous deux conclure l’accord d’ici le 28 octobre, à l’issue d’une période de négociation controversée qui s’est étalée sur plusieurs mois.
L’Office fédéral de la justice a affirmé que la plate-forme de messagerie a refusé de créer un moyen pour les utilisateurs de signaler les contenus illégaux ou d’établir un bureau physique où les plaintes peuvent être déposées, comme l’exige la législation allemande régissant les plates-formes de médias sociaux.
Les autorités allemandes ont ajouté que leurs tentatives de contacter les dirigeants de Telegram aux Émirats arabes unis ont échoué. Un cabinet d’avocats basé en Allemagne a déclaré qu’il représentait Telegram, mais cela ne constitue pas une conformité adéquate, selon l’Office fédéral de la justice.
« Les opérateurs de services de messagerie et de réseaux sociaux portent une responsabilité particulière pour agir contre l’incitation à la haine et à la violence sur leurs plateformes », a déclaré le ministre de la Justice Marco Buschmann dans un communiqué. « Ces exigences légales et cette responsabilité ne peuvent pas être évitées en essayant d’être injoignable ».
On n’évoque donc pas ici des titres faussement rebelles comme Le Canard Enchaîné ou Charlie Hebdo. En quelques mois, plusieurs périodiques de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne se retrouvent en difficulté.
La façon dont le cartel de la presse subventionnée a volé au secours d'Enedis a démontré, s'il le fallait encore, combien le régime s'appuie sur des "journalistes de confiance" pour convaincre les gueux de ne pas s'inquiéter et d'obéir sans broncher à tous les délires qui ont pris le pouvoir.
Les réactions à une dépêche de l’AFP publiée mardi, annonçant qu’Enedis interromprait l’alimentation électrique des ballons d’eau chaude entre 12h et 14h pendant six mois ont constitué un puissant révélateur du malaise français qui devrait fortement inquiéter le pouvoir. Jamais encore les citoyens ordinaires n’ont autant exprimé de défiance vis-à-vis des mensonges incessants de la caste qui les dirige et les manipule.
Nous le savions déjà mais il est toujours bon de le rappeler : l’entreprise multirécidiviste criminelle Pfizer finance le Centre international des journalistes (ICFJ) que Facebook va utiliser afin de vérifier l’information de sa plate-forme ! Rien que ça !
D’ailleurs, nous pouvons trouver également dans la liste des partenaires de l’ICFJ l’entreprise Johnson & Johnson qui est également productrice d’un autre vaccin comme le démontre la capture écran ci-dessous. C’est à peine croyable et pourtant c’est ce que tout le monde peut constater en allant sur leur site et en vérifiant tout ce qui est écrit ici.
On peut trouver également dans la longue liste des sponsors une ribambelle de délinquants mondialistes comme la banque Goldman Sachs par exemple, sans oublier bien entendu l’ubiquitaire fondation Bill et Melinda Gates, Soros, Google… !
Quelles accréditations et laissez-passer faut-il avoir ? Quelles différences y a-t-il entre les correspondants de guerre russes et les correspondants indépendants comme ceux de Donbass Insider ? Comment Insider fait-il pour aller sur le front ? Pourquoi les journalistes sont-ils toujours encadrés ? Pourquoi ne peuvent-ils pas filmer les visages des soldats russes ? Peut-on perdre ses accréditations ? Qui assure la sécurité des journalistes sur le terrain ? Pourquoi toute l’armée russe n’est-elle pas en Ukraine ?
L’émission présentera du contenu drôle et viral capturé par les caméras Ring, comme « des voisins qui sauvent leurs voisins, des demandes en mariage, des réunions militaires et des animaux stupides ».
De telles vidéos peuvent être divertissantes et deviennent souvent virales. Cependant, elles détournent l’attention des gens de la surveillance de masse exercée par les caméras Ring. Les vidéos des caméras Ring ont été utilisées dans le cadre d’enquêtes menées par les forces de l’ordre aux États-Unis et à l’étranger, allant jusqu’à tirer des vidéos des caméras de sonnettes des particuliers sans mandat.
En entretenant la peur de la criminalité dans les banlieues et en s’associant avec les services de police, Amazon a déployé de manière agressive les caméras de surveillance domestique Ring.