Quelles seront les grandes préoccupations du monde dans les prochaines années ? Quels seront les défis mondiaux auxquels nous devrons faire face dans l’avenir, comme la guerre, l’énergie, la Chine ou les nouvelles technologies ?
Les actionnaires de The Economist sont la famille Agnelli (Exor), Rothschild, Cadbury (Kraft Foods : Vanguard, BlackRock, Morgan Stanley, State Street, etc.), Schroders (banques : Lloyds, Guinness Mahon, G30). Ils nous présentent donc leurs vœux pour l’année qui vient. Des désirs à la réalité… Ainsi les prévisions de The Economist pour 2017, démenties par les faits, ont été qualifiées par son propre rédacteur en chef de « conspirationnistes ».
Elon Musk a déclaré mardi 20 décembre qu’il quitterait ses fonctions de directeur général de Twitter après avoir trouvé un remplaçant.
Moins de huit semaines après sa prise de contrôle du réseau social pour 44 milliards de dollars, Twitter ne voit pas la tempête s’apaiser. L’entreprise est au bord du gouffre financier, ayant perdu un certain nombre d’annonceurs face au risque que représente pour les marques la volonté du milliardaire de réduire la modération des contenus.
Un peu plus tôt dans la journée, Elon Musk avait retweeté le résultat d’une enquête d’opinion réalisée par l’institut HarrisX, auprès de son propre échantillon d’utilisateurs de la plateforme, et qui donnait 61% des personnes interrogées en faveur de son maintien au poste de directeur général. « Intéressant, cela semble suggérer que nous avons bien un léger problème de bots sur Twitter ».
Les journalistes du mainstream aiment y piocher les informations introuvables ailleurs. Mais ce labeur effectué de main de maître a un coût. Dénicher des vérités peut vous coûter cher, voire très cher : fermeture de compte bancaire personnel et professionnel sur demande du gouvernement, visite de votre domicile, accusation d’antisémitisme, de raciste, de complotisme, convocation à la police, plaintes en tous genres, maison incendiée… Voici l’interview de Xavier Poussard qui vous plonge dans la réalité du travail journalistique jusqu’à toucher le seuil interdit où le mainstream ne s’aventure jamais, au bord de la vérité. Les fans de Truman Show connaissent le scénario…
Condamné en première instance et en appel pour « injures publiques » au président de la République, Michel-Ange Flori s'était pourvu en cassation. Emmanuel Macron et les tribunaux l'ont poursuivi jusqu'en appel. La condamnation a paradoxalement prouvé le bien-fondé de Michel-Ange Flori, puisque jamais Hitler et Pétain, auxquels Emmanuel Macron était comparé, n'auraient permis la critique. La cour de Cassation, elle, a jugé que l'humour était légal. Un petit pas dans la jurisprudence, mais un grand pas pour la liberté d'expression.
Petit rappel des faits.
Au cours de ce podcast en direct animé par des personnalités indépendantes du monde des médias et de la société, suite à la publication des « Twitter Files » la semaine dernière, Elon Musk a été interrogé par un groupe important de détenteurs de coches bleues sur une variété de sujets relatifs à la plateforme de réseau social.
Le milliardaire de la technologie a été interrogé sur son plan pour gérer les bots sur Twitter 2.0. Les bots représentent 50 % du trafic internet mondial.
« Je vais vaincre les bots », a-t-il déclaré, « C’est une guerre, et nous allons la gagner. »
« Nous allons démasquer ceux qui veulent manipuler les gens », a-t-il ajouté.
Il a expliqué que les bots agissaient « de concert », mais il a l’intention de développer un logiciel qui lui permettra de contrôler l’influence des bots.
« Ces outils logiciels n’ont pas été écrits, mais nous les ferons », a-t-il dit.
Selon l’humoriste et commentateur politique Russell Brand, les débats sur la récente acquisition de Twitter par Elon Musk ont fait rage entre les défenseurs de la liberté d’expression qui se réjouissent de cette opération et les démocrates néolibéraux qui s’inquiètent de voir un seul milliardaire contrôler la plateforme.
Dans sa dernière vidéo, Russell Brand soulève des questions sur les plans de Musk pour Twitter qu’aucun des deux camps ne pose.
Brand fait valoir que le paysage médiatique a changé. Aujourd’hui, de nombreux journalistes et personnalités des médias sont de plus en plus opposés à la liberté d’expression.
Le badge bleu certifié indique aux utilisateurs l’authenticité d’un compte d’intérêt public. Alors que la certification des comptes Twitter ne pouvait être obtenu que par les personnalités, il sera possible au commun des mortels d’en bénéficier. Le propriétaire de Tesla et de SpaceX assure que le prix de l’abonnement — annoncé à 8 euros par mois — sera ajusté en fonction des pays et de leur niveau de vie. Voici les avantages de la certification :
- Les tweets apparaîtront en priorité.
- Possibilité de publier de longues vidéos et enregistrements audio.
- Deux fois moins d’annonces.
- Les revenus générés par Twitter permettront de rémunérer les créateurs de contenu.
« Le système actuel de seigneurs et paysans de Twitter en fonction de qui a ou n’a pas un badge bleu est une connerie. Pouvoir au peuple ! Bleu pour huit dollars par mois »
Emmanuel Macron avait jugé que les très contrôlés YouTube, BFMTV, Facebook & Cie étaient largement suffisants pour informer les Français. Or, tandis que notre information est de plus en plus limitée à des communiqués officiels, des publicités pour Pfizer et des jeux débiles, entre-temps Elon Musk a rouvert des comptes supprimés sur Twitter et viré les dirigeants qui avaient supprimé le compte de Trump après sa défaite aux élections. Un air de liberté anti-démocrate — du nom d’un parti américain fort peu démocrate — qui ne plaît guère à la macronie déjà fragilisée par les révélations de Pfizer sur ses vaccins.
Panique des démocrates à la veille des élections de mi-mandat, obéissance stricte aux ordres de BlackRock (Larry Fink a été un des premiers chefs d’entreprise reçus à l’Élysée en 2017) ont fait prendre une décision ouvertement dictatoriale.
Rares sont les chaînes qui osent dire la vérité, mais force est de constater que Pascal Praud met les pieds dans le plat sur Cnews quand les autres préfèrent se taire. Lors de l’émission L’heure des Pros du 24 octobre 2022, Pascal Praud revient sur les décisions rendues le 21 octobre 2022 par la chambre disciplinaire de première instance d’Île-de-France de l’ordre des Médecins. Le Pr Perronne y a remporté l’ensemble de ses procédures. « Je suis heureux, je ne m’attendais pas à un jugement aussi favorable. J’ai reçu un énorme soutien. Le conseil de l’ordre des Médecins m’a rendu mon honneur« , dira l’infectiologue qui a subi l’acharnement des médias.
Elon Musk devrait prendre les clés de Twitter d’ici la fin de la semaine prochaine, après une série de batailles juridiques, de prises de bec en ligne et de négociations complexes. Quel que soit le propriétaire de la plateforme, le géant des médias sociaux semble prêt à procéder à des coupes sombres dans ses effectifs.
C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport du Washington Post, qui a enquêté sur le rachat de Twitter au moyen d’un certain nombre d’entretiens et de documents obtenus. M. Musk aurait déclaré à des investisseurs potentiels que son rachat de l’entreprise impliquerait le licenciement de près de 75 % des 7 500 employés de Twitter. En réponse à cette information, le principal avocat de Twitter, Sean Edgett, a envoyé un courriel aux employés jeudi pour leur dire que l’entreprise n’avait pas prévu de licenciements, rapporte Reuters.
Musk et Twitter souhaitent tous deux conclure l’accord d’ici le 28 octobre, à l’issue d’une période de négociation controversée qui s’est étalée sur plusieurs mois.
L’Office fédéral de la justice a affirmé que la plate-forme de messagerie a refusé de créer un moyen pour les utilisateurs de signaler les contenus illégaux ou d’établir un bureau physique où les plaintes peuvent être déposées, comme l’exige la législation allemande régissant les plates-formes de médias sociaux.
Les autorités allemandes ont ajouté que leurs tentatives de contacter les dirigeants de Telegram aux Émirats arabes unis ont échoué. Un cabinet d’avocats basé en Allemagne a déclaré qu’il représentait Telegram, mais cela ne constitue pas une conformité adéquate, selon l’Office fédéral de la justice.
« Les opérateurs de services de messagerie et de réseaux sociaux portent une responsabilité particulière pour agir contre l’incitation à la haine et à la violence sur leurs plateformes », a déclaré le ministre de la Justice Marco Buschmann dans un communiqué. « Ces exigences légales et cette responsabilité ne peuvent pas être évitées en essayant d’être injoignable ».
On n’évoque donc pas ici des titres faussement rebelles comme Le Canard Enchaîné ou Charlie Hebdo. En quelques mois, plusieurs périodiques de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne se retrouvent en difficulté.