"L'homme le plus riche de l'histoire" cristallise bien des fantasmes autour de ses nombreux projets industriels. Qu'en est-il vraiment ? Quelle est sa vision du monde ? Qui sont les gens qui l'entourent ?
Les réponses à ces questions se trouvent dans les numéros 535 et 536 de votre lettre d'informations.
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Pavel Durov, récemment arrêté, prétendument co-créateur (avec son frère) de l’application de messagerie « sécurisée » Telegram, a été présenté comme une victime de la guerre mondiale contre la liberté d’expression.
Cette affirmation repose sur l’idée que Durov et Telegram étaient des défenseurs de la liberté d’expression.
Cette affirmation semble de plus en plus douteuse au fur et à mesure que l’on s’intéresse à Durov et à son application de messagerie dite « cryptée ».
Telegram : une application qui n’a pas tout d’une grande
Telegram nous a été présenté comme une application sécurisée et cryptée, la réponse des amoureux de la liberté à la surveillance des grandes entreprises.
Non seulement elle permettait une messagerie prétendument cryptée, mais les personnes partageant les mêmes idées pouvaient former des groupes de discussion et échanger le type d’informations régulièrement supprimées sur les plates-formes traditionnelles. L’application est devenue la préférée des manifestants, qui l’ont utilisée pour organiser des rassemblements.
La popularité de Telegram est montée en flèche pendant la tyrannie du COVID.
Mais les signaux d’alarme n’ont pas tardé à apparaître.
Les chats de groupe étaient saturés de messages de Q, nous assurant que Donald Trump gouvernait toujours dans les coulisses et qu’Hillary Clinton et les frères Podesta avaient été sommairement jugés et exécutés à Guantanamo Bay.
Il n’est pas nécessaire de faire quoi que ce soit, nous rassurent les Q-tards1. Il suffit de « faire confiance au plan », car les « chapeaux blancs » ont tout sous contrôle.
Il n’est pas difficile de comprendre à qui cette approche pacifiste profiterait.
Le terme « White Hats » désigne d’ailleurs les francs-maçons du 33e degré.
Lorsque j’étais sur Telegram, je recevais parfois de faux messages d’individus se faisant passer pour le propriétaire d’un compte, qui tentaient de m’attirer dans des conversations privées. Ces messages sentaient le piège ; je ne peux que supposer qu’il s’agissait d’agents du gouvernement ou des forces de l’ordre qui essayaient de m’inciter à dire quelque chose de compromettant ou à rejoindre un groupe haineux aux idées farfelues.
L’application « cryptée » qui n’est pas cryptée par défaut
Telegram a ensuite appris que les messages n’étaient pas cryptés par défaut. Il fallait activer manuellement la fonction de chat crypté.
La « sécurité » de Telegram n’était qu’une question de relations publiques. Telegram ne chiffrait rien de bout en bout par défaut et ne chiffrait pas du tout les discussions de groupe, mais se présentait comme l’application la plus sûre de la planète.
Telegram nous a raconté des bobards.
Pavel Durov : le « combattant de la liberté » aligné sur les mondialistes
C’est alors que survient la véritable surprise : Pavel Durov est un « Young Global Leader » du FEM.
Il faisait partie de la promotion 2017 des jeunes marionnettes mondiales du FEM.
Anthony Colpo
Sous couvert de coopération avec les autorités judiciaires, Telegram a discrètement modifié ses règles de modération. Désormais, l’application pourra partager les adresses IP et numéros de téléphone de ses utilisateurs en cas de violation présumée des règles, ouvrant la porte à une surveillance généralisée.
Telegram, Nouveau Porte-Parole des Autorités ?
Ce lundi, Pavel Durov, fondateur de Telegram, a annoncé une modification significative dans les politiques de l’application, autrefois considérée comme un bastion de la liberté d’expression. Désormais, toute demande judiciaire validée permettra aux autorités d’accéder aux informations personnelles des utilisateurs, tels que leurs adresses IP et numéros de téléphone, si ceux-ci sont suspectés d’enfreindre les règles de la plateforme. On peut difficilement passer à côté de l’ironie : Telegram, qui prônait la confidentialité et la protection des utilisateurs, se soumet aujourd’hui à l’État, facilitant ainsi une surveillance accrue.
« Nous avons clarifié que les informations de ceux qui violent nos règles pourront être transmises aux autorités en cas de demande légale, » a déclaré Pavel Durov. Une phrase qui résonne comme un adieu à l’esprit originel de la plateforme.
Un Changement Subtil… Mais Profond
Inscrit noir sur blanc dans les conditions d’utilisation de Telegram, ce changement marque un tournant dans la relation entre la plateforme et ses utilisateurs. Si l’on pensait jusqu’alors que la divulgation d’informations ne concernait que les terroristes, cette nouvelle règle élargit drastiquement les types de violations pouvant entraîner une collaboration avec les autorités. Désormais, toute « infraction » définie par Telegram, même ambiguë, pourra conduire à une surveillance par l’État.
« Si Telegram reçoit une ordonnance valide des autorités judiciaires, nous pourrons divulguer votre adresse IP et votre numéro de téléphone, » précise le texte. À croire que la notion de « liberté d’expression » s’arrête là où commence l’intérêt des gouvernements.
Un Revirement Total pour une Plateforme Jadis Rebelle
Depuis sa création en 2013, Telegram se vantait de défendre bec et ongles la confidentialité de ses utilisateurs. L’entreprise avait pris l’engagement solennel de ne jamais partager d’informations avec les autorités, sauf dans les rares cas où un tribunal déclarait un utilisateur suspecté de terrorisme. Mais visiblement, les temps ont changé et la rébellion numérique de Telegram semble avoir fait place à une soumission en bonne et due forme.
Une Première Brèche en Septembre
Ce n’est pas la première fois que Telegram flirte avec les autorités. En septembre, Durov avait déjà promis d’améliorer la modération de la plateforme, annonçant une série de mesures censées garantir une utilisation plus « sécurisée ». Parmi elles, la fonction « Businesses Nearby », remplaçant « People Nearby », introduisait des entreprises légitimes et vérifiées à la place de simples utilisateurs géographiquement proches. Un premier pas vers une modération plus serrée, mais ce dernier changement va bien plus loin.
Un Contrôle Qui Rime avec Surveillance
Derrière cette façade de bonne volonté, on peut s’interroger sur les véritables intentions. Ce type de mesure, sous couvert de lutte contre les abus, ouvre surtout une voie royale à l’État pour surveiller de plus près les opinions dissidentes, les contestations politiques, et les activités qui ne cadrent pas avec les visions officielles.
Est-ce que cette mesure va réellement protéger les utilisateurs ? Ou bien, comme on peut le craindre, va-t-elle servir d’outil pour museler la liberté d’expression, dans un contexte où la surveillance des citoyens devient la norme ? Telegram, autrefois érigé en symbole de résistance à la censure, semble aujourd’hui faire partie du système qu’il critiquait autrefois.
Des plateformes comme Telegram, Facebook, et même X (anciennement Twitter), ne sont plus de simples outils de communication, mais des leviers de pouvoir que les autorités mondiales cherchent à maîtriser.
Bienvenue sur Radio 2.2 ! Aujourd’hui, nous plongeons au cœur des enjeux qui lient réseaux sociaux et pouvoir politique. En compagnie de Momotchi, experte en technologie et médias, nous analyserons comment l’arrestation de Pavel Durov à Paris pourrait révéler une lutte féroce pour la domination des réseaux sociaux. Nous aborderons également les pressions croissantes exercées par les gouvernements, illustrées par les récentes déclarations de Mark Zuckerberg sur les tentatives de l’administration Biden pour influencer les contenus de Facebook. Enfin, nous parlerons du rôle de plus en plus déterminant d’Elon Musk dans la politique américaine, notamment son soutien controversé à Donald Trump. Cette émission décrypte comment ces géants du web sont devenus des armes de pouvoir, convoitées par les forces politiques du monde entier.
Yen a commenté l’évolution de la situation dans le contexte de la position qu’occupe la France pour les entreprises technologiques, qu’il s’agisse de faire des affaires dans ce pays ou simplement d’y faire venir leurs fondateurs.
À la suite de l’arrestation de Durov et compte tenu de la nature des accusations portées contre lui, la perception de la France en tant que destination souhaitable pour l’industrie technologique est en train de changer « rapidement et de façon permanente » pour les investisseurs et les fondateurs – et ce n’est pas dans le bon sens.
La France a commis un « suicide économique » – c’est ainsi que Yen décrit la situation, en plus de l’atteinte à son image de pays libre.
Il note que, bien que Durov ait eu des problèmes en Russie et qu’il ait refusé de se plier aux exigences des autorités russes il y a plusieurs années, c’est la France qui l’a arrêté.
« Imaginez l’indignation », poursuit Yen, si la situation était inversée – si la Russie arrêtait le PDG d’une grande entreprise technologique américaine, par exemple Mark Zuckerberg.
(L’indignation inclurait certainement le fait de qualifier la Russie de pays « autoritaire », mais ce genre de chose est totalement absent des reportages des médias traditionnels sur la France, dans le contexte de l’arrestation scandaleuse à Paris).
Yen a exprimé une autre préoccupation concernant la décision de la France de soumettre à sa juridiction une plateforme opérant sur des serveurs situés dans d’autres pays, ce qui rend les accusations extrajudiciaires.
« La seule connexion française (en ce qui concerne la juridiction sur les serveurs) est que Durov a commis l’erreur d’obtenir la nationalité française », écrit le PDG de Proton.
Certains de ceux qui ont commenté la réaction de Yen ont fait une observation intéressante : au moins jusqu’au moment où elle a été publiée, très peu d’autres fondateurs de services cryptés et respectueux de la vie privée s’étaient élevés contre l’arrestation et l’inculpation de Durov.
Ils accusent notamment Durov de fournir des « services de cryptologie visant à garantir la confidentialité sans déclaration certifiée ».
Étienne Guéreau, qui a une longue expérience en studio, a analysé la prestation de Céline Dion en détail. Il a souligné que, bien que la chanteuse ait effectivement chanté en studio, la diffusion télévisée de sa performance a été corrigée à l’aide de logiciels de justesse.
Le playback, qu’il soit complet (PBC) ou orchestral (PBO), est une pratique ancienne dans les grandes cérémonies. Cependant, l’utilisation de correcteurs de justesse comme l’Auto-tune et le Melodyne a transformé la manière dont la musique est produite et perçue. L’Auto-tune, qui donne une voix robotique, et le Melodyne, qui permet des corrections manuelles plus subtiles, sont devenus des outils incontournables pour de nombreux artistes.
Le Professeur Christian Perronne a rejoint Marcel D. sur Radio 2.2 pour discuter de la variole du singe. Il a notamment critiqué les réactions des autorités sanitaires, soulignant certains aspects qu’il juge alarmistes.
Enfin, il a lancé un appel urgent aux Français, les invitant à se battre contre le projet de passeport vaccinal mondial voulu par l’OMS, qu’il considère comme une menace directe pour nos libertés.
« Bientôt on pourra plus sortir de chez soi, prendre le métro, voyager, travailler, aller au restaurant, avoir une vie sociale si on a pas reçu tous les vaccins. Il faut vraiment que tous les Français, tous les Européens, tous les citoyens du monde soient extrêmement vigilants, se révoltent et refusent cette ignominie. »
Qui est cette Zoé Sagan qui se présente comme une intelligence artificielle, et qui publie sur Twitter et Facebook des posts acerbes et satiriques dans lesquels sont dénoncés et moqués milliardaires et figures politiques ou médiatiques ?
Nous vous présentons la récupération politique :
Ça commence se voir, car Macron ne contrôle pas la presse étrangère. Et là difficile de dire que Die Zeit ou le New-York Time sont des islamogauchistes d’ED complotistes antitout agents de Poutine.
Pierre Gentillet : Emmanuel Macron n’est pas ministre des Sports, mais Président de la République française.
Quelqu’un peut-il rappeler au Président en vacances et en séjour olympique permanent qu’il a une crise politique à résoudre ?
Encore une fois, il se moque vraiment du monde.
Macron Ordonne de Ne Pas Politiser le Sport puis Fait Exploser les Budgets pour Faire le Contraire !
Emmanuel Macron le 17/11/2022 : « Il ne faut pas politiser le sport ».
Le 22 juillet 2024, il avait réclamé une « trêve olympique » et promettait de se faire discret lors des Jeux. Macron devait se rendre au fort de Brégançon pour y passer ses vacances tranquillement, le temps de la compétition.
L’entourage du président annonçait alors « une posture de spectateur, de supporter, un Français parmi les Français » et une « présence impressionniste dans les tribunes » sans photographes ni caméras.
Mais « l’humilité » ne fait pas partie du vocabulaire de Macron. Ni le respect des promesses.
Plutôt que de rester discret comme annoncé, il est absolument partout, dans les tribunes olympiques, essayant de gagner un peu de popularité à côté des athlètes médaillés. Il tweete plusieurs fois par jour sur les médailles, et a même demandé à son équipe de créer une application pour « suivre les résultats »…
Natation, judo et même BMX. Ce vendredi 2 août, il est allé enlacer les athlètes Romane Dicko, (médaillée de bronze en judo) et Teddy Riner (médaille d’or) devant les caméras, en leur faisant un câlin. Il a même saisi la fille du judoka champion du monde, pour la pousser dans les bras du judoka.
Jamais un homme ne nous a fait honte à ce point, (en dehors des monstres de Tsahal) que Macron jouant avec la petite fille de #TeddyRiner alors qu’elle n’en a pas envie. Regardez la vidéo jusqu’au bout… Cette façon dégueulasse de gratter le succès des autres pour remonter sa cote de popularité… Reste digne Macron.
Nous rappelons que pour aller voir les épreuves des JO, Macron a utilisé son hélico (2 machines, une le transportant et une autre en cas de problème) du fort de Brégançon à la BAN de Toulon-Hyères. Il a ensuite utilisé un Falcon 7X (deux en vol) de Toulon à la BA de Villacoublay. Et il a fini en voiture pour aller jusqu’au site olympique, avec une lourde protection.
Macron ni ne démissionnera ni ne mettra en place un gouvernement d’opposition à sa politique. Voilà pourquoi.
Selon Elon Musk, la Commission européenne aurait suggéré à X de censurer discrètement certains discours, sans en informer le public. En échange, X serait épargnée des amendes. X a refusé cet accord, contrairement à d’autres plateformes qui l’auraient accepté. Vous ne rêvez pas, l’UE demande de comploter contre ses propres citoyens !
Avec plus de 112 millions d’utilisateurs actifs mensuels en Europe, X occupe une place centrale dans le débat public et la diffusion de l’information en temps réel.
Cette accusation met gravement en cause l’intégrité et la transparence des institutions européennes. Elle soulève également des questions cruciales sur la liberté d’expression et la censure dans l’espace numérique. La censure non divulguée porte atteinte au débat public et aux fondements de nos démocraties. Des procédures légales sont actuellement en cours contre X pour non-respect des réglementations numériques, avec des sanctions potentielles à la clé.
Musk a ouvert un débat essentiel sur la transparence et la responsabilité des médias sociaux et des institutions régulatrices.Les accords de censure secrets révèlent une dérive inquiétante vers un contrôle total de l’information, manipulant l’opinion publique, influençant la politique et menaçant la liberté d’information et notre démocratie.
De l’UE du chantage à l’UE de la censure, il n’y a qu’un pas. Le Digital Services Act (DSA) était censé protéger les consommateurs européens, mais il semblerait qu’il soit en train de les sanctionner.
« La Commission européenne a proposé ???? un accord secret et illégal : si nous censurions discrètement les discours sans en parler à personne, ils ne nous imposeraient pas d’amende. Les autres plateformes ont accepté cet accord. ???? ne l’a pas fait. »
Après le succès de l'épisode 1 avec 600 000 vues, Alain Soral et Dieudonné reviennent avec l'épisode 2, abordant des sujets explosifs et livrant de nouvelles révélations. Ne manquez pas la diffusion le mardi 2 juillet à 20h.
Après un premier épisode qui a littéralement explosé les compteurs en atteignant 600 000 vues à l’heure de cet article, voici l’épisode 2 avec son lot de révélations, livré tout droit par Alain Soral et Dieudonné. Lors de cette interview, nous aborderons les sujets suivants : Les enfants Roche, La liste antisioniste, Affaire Saïd Bourarach, Intervention en Libye, La Quenelle… Face à l’urgence de la situation, Dieudonné et Alain Soral ont décidé de mettre de côté leurs différends mineurs et anecdotiques pour s’unir contre leurs ennemis communs. Ils sont tous deux convaincus que « trop c’est trop ! » et qu’il est temps de faire front commun. Ce combat qu’ils mènent contre le sionisme dure depuis plus de 20 ans et livre aujourd’hui tout ce qui s’est passé, ainsi que des révélations.