L’enquête sur l’assassinat de John Kennedy est une source d’inspiration, d’espoir et de courage. Elle nous dévoile les forces invisibles qui s’affrontent dans les coulisses de la géopolitique mondiale, et nous donne une leçon d’héroïsme, au sens d’une victoire sur la mort. Car Kennedy est vivant et n’a pas dit son dernier mot.
Laurent Guyénot évoquera le parcours et le combat de JFK, présentera les principaux personnages impliqués dans son assassinat, et expliquera pourquoi la vérité, une fois libérée de la censure, servira de levier pour la transformation du monde.
Ils ont renforcé leur confiance en soi, géré une prise de risque raisonnable, respiré le bon air, sollicité leurs sens, tonifié leur corps tout en faisant des sciences naturelles, des mathématiques et du français. Ils sont scolarisés dans une des rares Écoles de la forêt que l’on peut trouver en France, celles qui ont réussi, grâce à la persévérance et à l’énergie de leurs fondateurs, à surmonter tous les obstacles que l’administration et la société ont mis sur leur chemin.
Apparue au début du XXe siècle, l’École dans la Forêt a connu un succès notable dans les mondes anglo-saxon et scandinave. On en trouve de nombreuses aux États-Unis, en Allemagne, en Hollande ou en Suède. Au Danemark, près de 20 % des classes maternelles passent leur journée en forêt, repas et sieste compris, quel que soit le temps. Et les enfants s’en portent très bien, quand nos salles de classe surchauffées leur font enchaîner les rhumes et qu’on leur interdit de sortir en récréation quand il pleut… L’Angleterre compte aujourd’hui plusieurs centaines de Forest Schools publiques dans le primaire.
Déconnecter les enfants des écrans et les reconnecter avec la nature devient un enjeu de santé publique autant qu’une urgence sociétale. La Suisse suit le même mouvement et les collectivités locales y soutiennent la création d’écoles, qu’elles soient privées ou publiques.
Les parents et les élèves sont de plus en plus préoccupés par l’utilisation des technologies d’intelligence artificielle (IA) en classe, en particulier la technologie de reconnaissance faciale, selon une enquête du Center for Democracy and Technology (Centre pour la démocratie et la technologie, CDT ).
Le rapport du CDT, publié le 12 décembre, révèle que plus de la moitié des parents et des élèves interrogés s’inquiètent de l’utilisation de la reconnaissance faciale et d’autres technologies d’intelligence artificielle, y compris les systèmes de localisation, dans les écoles.
Les enseignants, qui ont également été interrogés, ont montré un degré d’acceptation plus élevé des technologies.
Selon le rapport, un nombre croissant d’écoles ont mis en place de tels outils.
Les partisans de ces technologies affirment qu’elles peuvent contribuer à protéger les environnements scolaires contre les menaces violentes, telles que les tireurs dans les écoles.
Les défenseurs de la vie privée soutiennent que les technologies qui présentent un risque pour la vie privée et les données personnelles des élèves n’ont pas prouvé qu’elles renforçaient la sécurité dans les écoles..
Un fossé profond entre les écoles, les parents et les élèves
Selon le CDT, “des outils de sécurité expérimentaux et potentiellement dangereux sont utilisés sans tenir compte des préoccupations des élèves et des parents”, y compris des technologies “que nous considérions auparavant comme trop extravagantes”.
Il s’agit notamment de l’analyse prédictive, de la surveillance à distance, de la reconnaissance faciale, du partage des données des forces de l’ordre, des systèmes de détection d’armes et de la géolocalisation des étudiants.
Poussées par [l’industrie de] l’IA, ces technologies “sont déployées dans les écoles pour répondre aux fusillades de masse, à la crise de la santé mentale des jeunes et à d’autres menaces permanentes pour la sécurité du personnel et des élèves”, a déclaré le CDT – une tendance “alarmante” selon laquelle les écoles poursuivent le déploiement de ces technologies en dépit des “niveaux élevés d’inquiétude” des parents et des élèves.
Ces “niveaux élevés d’inquiétude” étaient évidents dans les résultats de l’enquête:
58 % des parents et 55 % des élèves (et 33 % des enseignants) sont préoccupés par l’utilisation de caméras de reconnaissance faciale pour vérifier qui devrait être autorisé à entrer dans un bâtiment scolaire ou qui est autorisé à s’y trouver.
71 % des parents et 74 % des élèves (et 36 % des enseignants) se sont dits préoccupés par l’utilisation de ces technologies pour localiser physiquement les élèves.
60 % des parents et 58 % des élèves (et 31 % des enseignants) s’inquiètent de l’utilisation de caméras d’IA “pour remarquer des mouvements physiques inhabituels ou irréguliers”.
55% des parents et 45% des élèves (et 27% des enseignants) ont exprimé leur inquiétude quant à l’utilisation de ces technologies pour détecter les coups de feu dans l’enceinte de l’école.
69 % des élèves et des parents (et 36 % des enseignants) sont préoccupés par le fait que les données relatives aux élèves sont analysées afin de prédire quels élèves sont les plus susceptibles de commettre un crime, un acte violent ou un acte d’automutilation.
66 % des parents et 65 % des élèves (et 38 % des enseignants) ont exprimé leur inquiétude quant à la possibilité que les informations scolaires des élèves, telles que leurs notes et leur assiduité, soient communiquées aux forces de l’ordre.
68 % des parents et 71 % des élèves (et 37 % des enseignants) s’inquiètent de l’utilisation de ces technologies pour surveiller les comptes de médias sociaux des élèves.
Ces résultats montrent “un profond décalage entre les priorités des écoles, des parents et des élèves en ce qui concerne les décisions d’achat d’edtech [educational data and technology] “, écrit le CDT.
Les écoles utilisent les fonds de récupération COVID pour acheter des technologies de surveillance
Chapitres de la Vidéo
00:00-00:50 Introduction
0:51-2:47 Les polarités de 2024
2:48-5:26 Approche astrologique 2024
5:27-8:31 L'Année 8
8:32-12:23 Pluton & les Noeuds Lunaires
12:24-15:35 Jour de l'An un Lundi
15:36-23:47 Excès et Manques du 8
23:48-26:43 Conjonction Jupiter & Uranus
26:44-36:19 Epreuves & Travail sur soi
Le président syrien Bashar El-Assad a affirmé en début de semaine qu’il n’existait aucune preuve que six millions de Juifs avaient été tués pendant la Shoah et a accusé les États-Unis d’avoir financé le parti nazi allemand.
Dans la vidéo d’un discours d’El-Assad traduite et diffusée par l’Institut de recherche sur les médias du Moyen-Orient (MEMRI) lundi, on voit El-Assad déclarant à une foule attentive « qu’il n’existe aucune preuve que six millions de juifs ont été tués » pendant la Shoah. « Il est vrai qu’il y avait des camps de concentration, mais ce qui prouve qu’il s’agit en réalité d’une revendication politique, et non d’une question humanitaire ou réelle, c’est que nous parlons de ces six millions, mais pourquoi ne parlons-nous pas des 26 millions de Soviétiques qui ont été tués pendant cette guerre ? Les six millions sont-ils plus précieux ? »
Plus de 8,5 millions de Soviétiques, morts pendant la Seconde Guerre mondiale, ont péri lors de combats au front.
De nos jours, dans les écoles, l'image d'élèves absorbés par leurs téléphones est devenue la norme, qu'ils soient jeunes ou adolescents. Cependant, la Russie vient d'opérer un changement radical : l'interdiction des smartphones dans les écoles primaires et secondaires.
La Douma a approuvé un amendement à la « loi sur l’éducation », imposant une interdiction stricte des outils de communication, dont les smartphones, au sein des établissements scolaires. Cette modification entrera officiellement en vigueur dès le 1er décembre 2024, marquant ainsi un tournant radical dans les politiques éducatives du pays.
Le document a été publié sur le portail officiel d’information juridique.
Conformément à cette réglementation, l’utilisation des téléphones portables sera strictement réservée à des fins éducatives ou en cas d’urgence. L’année dernière, la Russie avait déjà proscrit l’usage des téléphones portables en classe dans les écoles primaires et secondaires, une mesure visant à prévenir la distraction des élèves et à maintenir leur concentration sur le contenu des cours.
Il a été consacré en juin 2020 et se situe dans le district d'Odintsovo près de Moscou. Les militaires ont consacré un film d'une demi-heure aux étapes de sa construction.
Il raconte comment la mise en œuvre de ce projet grandiose a été réalisée en un temps record, quelles technologies ont été utilisées à cette fin, l'histoire et la décoration intérieure du temple, ainsi que la contribution apportée à cette cause commune par des personnes et des militaires ordinaires.
Sophie Cha a récemment choisi de rendre sa blouse blanche, démissionnant de son rôle de médecin-conseiller au sein de la DRAJES de Bretagne. Son départ programmé pour le 31 décembre s'avère être un cri d'alerte percutant.
Durant huit ans, elle a occupé cette fonction cruciale au sein de la Délégation Régionale Académique Jeunesse Engagement et Sport de Bretagne, relevant une détérioration constante de la situation. Le constat est grave : la condition physique des jeunes s’est amenuisée de 25% en 40 ans, un déclin inquiétant aux conséquences potentiellement fatales.
Sophie Cha met en lumière le constat alarmant des professeurs d’éducation physique : les jeunes ne parviennent plus à des prouesses simples, comme courir plus d’une minute sans être essoufflés, ou réaliser des mouvements de base comme une roulade. Cette tendance, constatée depuis plus de deux décennies, menace sérieusement la santé future de cette génération.
Les recommandations de l’OMS indiquent que les enfants et adolescents devraient pratiquer au moins 60 minutes d’activité physique soutenue par jour, ainsi que des activités musculaires et osseuses trois fois par semaine. Cependant, plus de trois quarts des adolescents ne respectent pas ces recommandations, constate Sophie Cha.
Cette dégradation se manifeste dès le plus jeune âge : les enfants sont de plus en plus sédentaires, préférant être transportés en poussette plutôt que de marcher. Ce manque d’activité impacte la constitution osseuse et la santé globale des enfants, alerte la médecin.
Elle pointe du doigt les dispenses d’éducation physique, pourtant officiellement abolies depuis 1988, mais toujours appliquées en pratique. Pour Sophie Cha, le sport devrait être traité comme toute autre matière obligatoire, sans dispensation systématique. Elle souligne le paradoxe : on n’exempte pas un élève en difficulté en mathématiques, on l’aide à progresser, pourquoi ne serait-ce pas le cas pour le sport ?
Cette régression physique des jeunes a des répercussions non seulement sur leur santé physique, mais aussi sur leur santé mentale. Les enquêtes épidémiologiques révèlent une augmentation alarmante des troubles mentaux chez les jeunes, avec des prescriptions d’antidépresseurs et d’anxiolytiques en hausse exponentielle.
Imaginer un seul instant que des imbéciles incultes vont devenir plus intelligents avec l’intelligence artificielle alors qu’ils n’auront pas développé leur intelligence naturelle est une énorme erreur.
Wikipédia n’a pas rendu plus cultivés les gens, alors que la culture n’a jamais été aussi accessible de même que toutes les formes de connaissances.
Pire.
Croyant que tout est disponible on en perd l’utilité d’apprendre et de retenir puisque « YAKA » regarder sur Internet.
Sauf, que l’on ne peut regarder que ce dont on a connaissance le reste étant de la chance !
Si vous vous penchez un peu sur l’IA ou le fonctionnement de ChatGPT, vous vous rendrez compte très rapidement que l’IA va changer le monde exactement comme Internet a changé le monde.
La culture et les connaissances des masses n’y ont pas gagné ! Loin de là même.
Jamais le niveau n’autant décroché que depuis que nous avons tous les outils numériques.
Les outils numériques sont une immense fabrique à crétins et notre effondrement n’en fini pas.
Les livres sont parfois l’étincelle qui déclenchera des initiatives bénéfiques aux biens communs. Ainsi, les librairies itinérantes et d’occasion, les villages du livre et les cafés-librairies sont précieuses et à protéger… face aux mastodontes du capitalisme comme Amazon.
Le plaisir semble être le maître-mot des petits libraires qui proposent une alternative aux grandes enseignes du produit culturel. Du bouquiniste qui lit deux à trois heures par jours et s’extasie de faire des découvertes tous les jours à la libraire itinérante qui voit son métier à l’image d’un marchand de glaces, les occasions de savourer l’instant pour le vendeur comme pour le client ne manquent pas.
Pleine de gratitude d’offrir un espace de discussions passionnantes entre ses clients sous les parasols de son stand en Charente-Maritime, Mariel Moulin, 58 ans, explique au journaliste de Kaizen que sa librairie itinérante valorise les petits éditeurs, propose ses sélections coups de cœur et écume les marchés, manifestations locales, festivals, et même les maisons de services pour personnes âgées. Les petites enseignes du livres peuvent survivre à la mise en concurrence globale grâce à une poignée de passionnés.
Imaginer, innover, réinventer, les férus de lecture devenus libraires ne sont pas à court d’idées et ne cessent de nous étonner par leur façon de combiner fraîcheur, bonne humeur et travail. Ces « passeurs de culture en milieu rural (…) amoureux des livres et des gens » comme l’affiche le numéro 39 du magazine, semblent s’amuser avec le livre comme avec les rencontres, jouer avec la vie et les mots…
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