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droguer les élèves

Aube DigitalePourquoi droguent-ils les élèves ?

Aube Digitale - 31 mai 2024

Ces dernières années ont fait éclater au grand jour un scandale qui existe depuis longtemps mais qui n’est pas très connu en dehors des spécialistes.

   

Il s’agit de la collaboration entre les entreprises pharmaceutiques, les autorités de régulation et l’industrie médicale. Le problème est si vaste qu’il est difficilement descriptible dans un court article.

Il s’avère que les inefficaces injections anti COVID n’étaient qu’un début. D’après ce que nous savons et ce que nous avons découvert au cours des enquêtes, la piqûre a été mise au point rapidement comme contre-mesure pour détourner l’attention du problème de la fuite d’un laboratoire. La population mondiale a été prise en otage pendant un an et plus, le temps que l’inoculation soit mise en place. Mais une fois le vaccin déployé, il est devenu évident qu’il ne pouvait pas réellement bloquer l’infection ou arrêter la propagation. Tout le monde a donc contracté le virus malgré tout, et nous nous retrouvons avec d’énormes dégâts causés par les vaccins eux-mêmes.

J’ai raconté cette brève histoire au Dr Drew Pinsky, le célèbre médecin spécialiste de la toxicomanie qui tient aujourd’hui un podcast vidéo très populaire. Il n’a rien trouvé à redire au scénario décrit ci-dessus. Il a immédiatement ajouté qu’il y avait de nombreux parallèles avec la crise des opioïdes qui l’a conduit à se lancer dans la défense des intérêts publics. Les sociétés pharmaceutiques ont fait de la publicité pour des médicaments miracles capables de soulager la douleur sans risque d’accoutumance.

La frénésie de prescription était si intense que certains médecins craignaient même des sanctions s’ils ne prescrivaient pas. Il en est résulté, bien entendu, une crise de dépendance désastreuse qui perdure encore aujourd’hui. Contrairement aux fabricants de vaccins, les producteurs n’ont pas été indemnisés pour les préjudices subis, et pas moins de 50 milliards de dollars ont été versés aux victimes rien que l’année dernière. Les chiffres sont ahurissants.

Juste au moment où l’on pense avoir atteint le fond du problème, de nouvelles informations arrivent. Hier soir, j’ai eu le privilège d’assister à une conférence de Sheila Matthews-Gallo, fondatrice d’AbleChild, une organisation qui défend les droits de l’enfant contre la médicalisation forcée. Pourquoi une telle chose serait-elle nécessaire ? Il s’avère que de nombreux enfants, si ce n’est la plupart, sont aujourd’hui confrontés quotidiennement à cette menace dans les écoles publiques. Ils peuvent être identifiés comme souffrant de TDAH ou de trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité.

Il s’avère qu’il n’y a rien de prouvé chimiquement pour constituer le TDAH. Il s’agit d’un diagnostic entièrement basé sur le comportement identifié à l’aide d’une liste de contrôle. La liste de contrôle porte sur l’agitation, l’oubli, l’ennui, l’achèvement des tâches, les différents comportements, l’expression de frustrations, etc. En d’autres termes, il s’agit d’une liste de tous les signes auxquels on peut s’attendre lorsqu’on demande à des garçons en particulier de rester assis sans bouger à un bureau pendant des mois et des années et d’accomplir des tâches qui leur sont assignées par une figure d’autorité.

Avec ce type de diagnostic, vous risquez d’embarquer un grand nombre d’enfants, en particulier les enfants exceptionnels et ceux qui étaient autrefois considérés comme « doués et talentueux ». Il s’avère qu’il existe aujourd’hui une vaste industrie visant à pathologiser des comportements tout à fait normaux. Les garçons sont particulièrement touchés car, en général, ils mûrissent plus lentement que les filles et ont tendance à opposer une résistance comportementale à l’adaptation à l’environnement par rapport aux filles.

Pour en savoir plus sur cette réalité étonnante, voir « La fraude du TDAH« , un livre qui ouvre les yeux.

À quoi peut bien servir un tel diagnostic ? Vous l’avez deviné : il existe des médicaments pour ce prétendu problème. Ils portent différents noms : Ritaline (méthylphénidate), Adderall (amphétamine), Dexméthylphénidate, Lisdexamfétamine, Clonidine et Atomoxétine. Il n’a pas été prouvé qu’un seul d’entre eux soit un remède chimique à une quelconque anomalie biologique. Ce sont tous des médicaments d’adaptation comportementale, c’est-à-dire des psychotropes, c’est-à-dire des narcotiques pour enfants.

Des millions d’enfants en prennent, jusqu’à 13 % des adolescents. Le taux augmente dans la population universitaire. Environ un adulte sur trois prend des médicaments psychiatriques. La situation s’aggrave. Cela commence à l’école.

En écoutant tout cela, j’ai été stupéfait. Et pourtant, d’une certaine manière, cela correspond à tout ce que nous savons. Nous avons ici une industrie qui travaille en étroite collaboration avec des institutions gouvernementales telles que les écoles publiques, les autorités de régulation et les autorités médicales, qui administrent des médicaments aux gens en leur promettant des miracles, mais avec des résultats qui ruinent en fait des vies.

Imaginez à quel point vos années d’école auraient été différentes si vous aviez développé une dépendance à la drogue et vécu de médicaments psychotropes dès l’âge de 7 ans. J’ai heureusement été épargné par un tel destin. Mais des millions d’enfants aujourd’hui ne peuvent pas en dire autant. C’est tout à fait étonnant. Il me semble qu’il s’agit d’un scandale qui ne demande qu’à éclater au grand jour.

Parmi les facteurs connexes, comme RFK Jr. l’a souligné en public récemment, il y a l’étrange relation entre les fusillades dans les écoles et la distribution à grande échelle de ces drogues. Nous connaissons déjà de nombreux cas, mais les dossiers médicaux d’autres personnes ne sont pas divulgués, même si le public comprend de plus en plus que le véritable problème n’est pas celui des armes à feu, mais celui des produits pharmacologiques. Et pourtant, les activistes eux-mêmes se concentrent entièrement sur la suppression des armes à feu plutôt que d’approfondir la question.

J’ai fait l’expérience personnelle de jeunes adultes qui sont dépendants de l’Adderall. À bien des égards, lorsque l’on est étudiant, l’Adderall semble être un médicament miracle. À l’université, la discipline concernant l’utilisation du temps n’est plus une priorité. Au lieu de cela, on exige de rendre de longs travaux dans les délais, de mémoriser de vastes connaissances que l’on peut recracher lors d’un examen et oublier le lendemain, et de rester intensément concentré de manière sporadique. Pour de nombreux étudiants, cette drogue est exactement ce que le médecin a prescrit : elle permet de passer des nuits blanches hyperconcentrées suivies d’un jour ou deux où l’on se sent comme un zombie, sans que personne ne le remarque.

J’ai connu de nombreuses personnes qui développent des dépendances, non seulement physiques mais aussi psychologiques : la vie sans la drogue semble ennuyeuse en comparaison, et qui veut cela ? Ces étudiants transposent ce phénomène dans leur vie professionnelle et tentent de reproduire le même schéma. Ils peuvent travailler toute la journée et rester éveillés toute la nuit pour obtenir quelque chose qui semble époustouflant mais qui n’est pas tout à fait ce que vous aviez demandé. Vous demandez des solutions, mais elles n’arrivent pas. En fait, vous n’entendez plus parler d’eux pendant des jours, jusqu’à ce qu’ils réapparaissent sans aucun souvenir du travail qu’ils ont accompli. Ce schéma se répète.

Peu à peu, j’ai compris que le vrai problème était la drogue. J’en ai conclu que je préférais avoir un employé modérément productif qui avait au moins un rythme de travail régulier et un léger souvenir des compétences qui pouvaient être développées au fil du temps. Le problème, c’est que lorsqu’on embauche quelqu’un, il n’est pas très correct de poser des questions telles que : quelles sont les drogues que vous prenez ? On finit par deviner, et parfois par se tromper.

Ma longue expérience me permet de vous dire que ces médicaments sont une catastrophe pour la vie professionnelle. Personne ne devrait jamais en prendre. C’est en tout cas mon opinion réfléchie, et je mets souvent en garde les étudiants contre ces médicaments. Et ce qui est vrai pour les collégiens l’est des milliers de fois plus pour les lycéens et les écoliers. Il est tout à fait scandaleux que ces drogues soient distribuées comme des bonbons aux écoliers. Les parents ont le droit et l’obligation de résister.

Il est d’autant plus étonnant d’apprendre, comme je l’ai fait hier soir, que le diagnostic de TDAH n’a jamais eu de fondement scientifique, pas plus que la distanciation sociale. Tout a été inventé pour servir l’État et les acteurs adjacents du secteur privé qui bénéficient de divers mandats qui, d’une manière ou d’une autre, aboutissent toujours à droguer la population. Tout cela me stupéfie.

Pensez à la situation dans son ensemble. Nous avons créé ces écoles publiques, forcé les enfants à les fréquenter, leur avons interdit tout travail rémunérateur, avons mis les garçons et les filles ensemble, avons imposé des programmes uniformes comme si tous les élèves apprenaient au même rythme, avons retiré leur pouvoir discrétionnaire aux enseignants et avons truffé les institutions de bureaucraties massives. Lorsque les enfants ne s’adaptent pas bien à l’environnement, nous les qualifions de malades mentaux et nous les droguons de manière à ce que les entreprises pharmaceutiques liées à l’État puissent en tirer profit.

Ce niveau de cruauté est réellement intégré au système. Il est étonnant qu’une société civilisée puisse l’accepter. Et une fois que l’on découvre l’ampleur du scandale, il faut commencer à poser d’autres questions sur les médicaments amaigrissants, d’autres vaccins et remèdes miracles, ainsi que sur l’ensemble des rouages de la médecine allopathique elle-même. Oui, le terrier est très profond.

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une semaine sans smartphone

Aube DigitaleSuite à l'interdiction des téléphones portables dans plusieurs écoles

Aube Digitale - 13 mai 2024

L’interdiction des téléphones portables dans les écoles a permis d’améliorer les résultats scolaires, de réduire les brimades et de diminuer le besoin de conseil des élèves, selon une étude norvégienne de 73 pages.

   

Ce sont les filles qui ont le plus bénéficié de ces politiques.

« L’interdiction des smartphones réduit considérablement le recours aux soins de santé pour les symptômes psychologiques et les maladies chez les filles », écrit Sara Sofie Abrahamsson, chercheuse postdoctorale et seule auteure de l’article, dans le résumé. Après l’interdiction, les brimades entre les deux sexes diminuent ».

L’étude s’est appuyée sur les données des dernières décennies, en se concentrant principalement sur la période 2010-2020.

La chercheuse n’a observé aucun impact négatif de l’introduction d’une telle politique.

« Les téléphones sont une distraction absolue. Même si un enfant a son téléphone dans sa poche pendant les cours, s’il vibre à chaque fois, ce qui est le cas en permanence, son esprit se détourne automatiquement de l’enseignement du professeur pour se concentrer sur le téléphone », a déclaré Tom Kersting, psychothérapeute qui a été conseiller scolaire pendant 25 ans, à Epoch Times, en accord avec les conclusions du rapport.

En tant que partisan de l’interdiction des téléphones à l’école, M. Kersting pense que la Norvège constatera une amélioration des résultats scolaires, de la santé mentale et des compétences sociales et émotionnelles des élèves.
Principales conclusions

Il n’existe pas de directives nationales sur l’utilisation des smartphones en Norvège. Les écoles décident elles-mêmes d’autoriser ou non l’utilisation des smartphones.

Par conséquent, Mme Abrahamsson a utilisé une enquête pour collecter des données auprès des collèges norvégiens sur l’utilisation des smartphones et pour savoir si et quand ils avaient mis en place des réglementations sur les smartphones.

Ces données ont ensuite été comparées aux données de l’école, notamment les notes attribuées par les enseignants et les examens externes, les moyennes pondérées des élèves, les visites des élèves chez les psychologues et les médecins généralistes, ainsi que les mesures de harcèlement.

Les quatre principales conclusions de Mme Abrahamsson sont les suivantes :

Le nombre de consultations psychologiques a été réduit de 60 % chez les étudiantes.
L’incidence des brimades a diminué tant chez les filles que chez les garçons.
Les filles ont progressé en termes de moyenne générale et de tests de mathématiques notés à l’extérieur.
Les filles étaient plus susceptibles de suivre une filière académique au lycée.

L’auteur a constaté que plus la politique en matière de smartphones était stricte, plus l’amélioration était importante chez les étudiantes. Les écoles les plus strictes interdisent aux élèves d’apporter leur téléphone à l’école ou les obligent à le rendre avant le début des cours.

Les filles issues de milieux socio-économiques défavorisés sont celles qui ont le plus progressé.

Toutefois, l’interdiction des smartphones n’a pas eu d’incidence sur la santé mentale et la moyenne générale des garçons.

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sana les GAFAM

Mr MondialisationVivre sans les GAFAM ? La liste des alternatives !

Mr Mondialisation - 12 mai 2024

Les GAFAM – ces mastodontes du web – sont régulièrement sous le feu des critiques.

   

Contrôle du marché de l’information et de la publicité en ligne, revente des données personnelles, hégémonie économique, influence de la démocratie via des lobbies surpuissants, les motifs de se méfier de ces géants ne manquent pas. Difficile pourtant de s’en défaire tant ils sont partout dans notre univers numérique. Néanmoins, voici quelques pistes pour les remplacer au quotidien.

Derrière l’acronyme de GAFAM se cachent 5 groupes tentaculaires travaillant sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication : Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft. Ces géants connus de tous et aux croissances folles sont aujourd’hui les leaders en matière de capitalisations boursières au prix de pratiques moralement douteuses. Au cœur des scandales, entre l’intrusion massive dans la vie privée des utilisateurs et la gestion peu scrupuleuse de leurs données personnelles, nous retrouvons également des collusions avec certains gouvernements comme ont pu le démontrer les lanceurs d’alerte de Wikileaks ou Edward Snowden. Une hégémonie quasi totale qui n’est pas signe de bonne santé pour nos démocraties déjà fragilisées.

Une autre vision du Web et de l’informatique

Depuis les débuts de l’informatique, un autre modèle s’organise en marge des logiques marchandes et liberticides grâce aux acteurs – ou hackteurs – des « free softwares » ou logiciels libres. De manière générale, ces logiciels peuvent être redistribués librement (gratuitement dans la majeure partie des cas, même si ce n’est pas obligatoire) et l’utilisateur peut avoir accès à leurs codes sources pour customiser et améliorer son expérience et celles des autres utilisateurs.

La plupart des logiciels ou services distribués sous licence libre sont développés de manière coopérative par leur communauté, permettant ainsi de répondre de manière efficace aux besoins des utilisateurs et de corriger un grand nombre de bugs. Bien moins avides en données personnelles, car non-financés par la publicité, ils peuvent s’avérer de bonnes alternatives aux services proposés par les GAFAM et se révèlent parfois même plus performants. VLC Media Player par exemple est un des seuls logiciels grand public permettant de lire, convertir et télécharger des fichiers audio et vidéo dans tous les formats existants.

Pour Richard Stallman, pionnier de la philosophie du Libre, ce mouvement veut poser les fondations d’une nouvelle société où les idées et la culture s’échangent librement. C’est à dire, sans soumission à une logique strictement commerciale qui oriente les actes des producteurs de contenus. L’objectif est de permettre à tout le monde de s’épanouir sans entrave, en favorisant la compréhension de la technologie et l’utilisation du matériel informatique tout en limitant le gaspillage et l’obsolescence. Bâtie sur ce modèle, la fondation Wikipédia, quotidiennement enrichie par les contributions de ses utilisateurs, en reste le meilleur exemple.
Des alternatives concrètes aux GAFAM pour se réapproprier son ordinateur et la navigation web

Dans la mesure du possible, nous tâchons de proposer ici quelques solutions libres, open-source et respectueuses de la vie privée des utilisateurs, sans prétendre que celles-ci soient qualitativement supérieures. Si nous ne pouvons pas traiter en un seul article tous les services proposés par les GAFAM, nous tenterons de mettre en avant des alternatives aux services les plus couramment utilisés.

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Pompe-Au-Cul-Thérapie

Xavier-Louis de IzarraPompe-Au-Cul-Thérapie et le wokisme

Xavier-Louis de Izarra - 02 mai 2024

Le spécialiste Xavier-Louis de Izarra présente la thérapie du « Coup de Pompe au Cul » pour soigner le wokisme.

   

Selon le spécialiste Xavier-Louis de Izarra, la ‘Thérapie du Coup de Pompe’ est une méthode révolutionnaire pour engager des échanges constructifs avec les personnes désorganisées. Son efficacité est garantie. Bilal Hassani a été choisi comme sujet pour cette expérience.

Le Média en 4-4-2

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le bulletin n°22 d'Amélie Paul

Amélie PaulAmélie Paul enquête sur les Molochs

Amélie Paul - 24 avr 2024

Les Nouvelles de La Vérité Brutale #22

   

Dans ce nouveau bulletin des nouvelles de la vérité brutale, Amélie Paul plonge dans les ténèbres pour nous parler des molochs du monde contemporain. Pour cela, elle nous donne un cours d'histoire en remontant aux anciens Grecs, précurseurs du mouvement LGBT et champions olympique des mauvaises décisions parentales, qui sont souvent dépeints comme ayant consacré la pédophilie. Amélie nous révèle les secrets les plus sombres de notre monde : préparez-vous à être secoués et peut-être même effrayés...

« Est-ce vraiment étonnant qu’il y ait maintenant un agenda mondial pour que les enfants soient initiés aux complexités du genre, de l’orientation sexuelle ou de la masturbation avant même de comprendre les mathématiques ? La culture populaire a été totalement pervertie pour infiltrer l’âme de la jeunesse et les offrir en sacrifice dans les anales de l’histoire musicale. »

Amélie Paul

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calcul mental rapide

Nouveau MondeCalcul mental rapide en fin de primaire

Nouveau Monde - 10 avr 2024

Dans les Hautes-Pyrénées pas de calculette ! … juste les doigts pour atteindre des « sommets »

   

Qui a dit que le calcul mental était rébarbatif pour les élèves?

Démonstration de différentes techniques de C.M.R. (Calcul Mental Rapide) utilisées à l'école Sainte-Bernadette de Tarbes en C.M.1-C.M.2. La gestuelle nous est propre. Elle est librement adaptée de la gestuelle indienne "abacus finger". Les techniques d'additions et la graphie des chiffres sont inspirées de celles de Scott Flansburg, la plupart des autres techniques sont personnelles à notre école: nous les avons adaptées aux enfants à partir de techniques de Trachtenberg ou de techniques védiques.

Ces enfants ne sont pas des surdoués mais des enfants ordinaires. Et surtout, tous y arrivent, y compris des enfants encore en difficulté il y a 6 mois. Ce résultat est obtenu grâce à une équipe pédagogique professionnelle et passionnée.

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Ukraine child abuse

International ReportersUkraine : chantage sur des enfants pour leur faire commettre des crimes

International Reporters - 05 avr 2024

Une adolescente de la RPD (République Populaire de Donetsk), dont le père a été récemment capturé par les Forces Armées Ukrainiennes sur le front, nous a raconté comment l’Ukraine, usant de chantage et de menaces contre son père, veut la forcer à donner des informations et fait pression sur elle pour qu’elle commette des crimes.

   

Tout commence pour Elizaveta et sa mère Anastasia, par une longue attente angoissante. Après un appel du père d’Elizaveta (qui sert dans l’armée russe) le 8 mars, elle et sa mère se retrouvent sans nouvelles de lui, malgré les mots rassurants du commandant, qui assure que tout va bien. Puis le 26 mars 2024 c’est l’horreur. Elizaveta est appelée par un inconnu, dénommé Andreï, qui dit faire partie des Forces Armées Ukrainiennes.

L’homme explique à la jeune fille que son père a été fait prisonnier, qu’il est vivant et en bonne santé, en tout cas pour l’instant… Car si la jeune fille veut que la situation de son père ne s’aggrave pas, elle doit fournir au soldat ukrainien un certain nombre d’informations : une photo de son passeport, son adresse, les lieux qu’elle fréquente, les organisations dont elle fait partie, la liste des activistes qui en font partie, etc.

Au départ totalement paniquée par la situation, et paralysée par la peur la jeune fille comprend que les informations que les Ukrainiens lui demandent serviront ensuite à pouvoir la menacer, ainsi que ses proches, pour qu’elle travaille dans l’intérêt de Kiev et trahisse sa patrie et les siens.

Les activistes de l’organisation dont elle fait partie pourraient devenir des cibles d’assassinat comme ceux qui ont frappé Daria Douguina, ou Vladlen Tatarski si les Ukrainiens en obtenaient la liste. Ils demandent aussi si elle a d’autres proches que son père qui servent dans l’armée. Il n’est pas difficile de comprendre que ses proches pourraient devenir des cibles pour Kiev, ou Elizaveta pourrait être poussée à les espionner, ou les questionner pour obtenir des informations militaires secrètes qu’elle transmettra à l’Ukraine. Ce qui pourrait mener à des bombardements d’installation militaires, et la mort de soldats russes.

Et l’horreur nous gagne lorsque Elizaveta révèle qu’à un moment son interlocuteur lui a demandé où elle va travailler l’été dans des camps de vacances pour enfants. Une semaine après l’attentat terroriste du Crocus City Hall (lors duquel 144 personnes ont trouvé la mort, dont cinq enfants), organisé avec l’aide de l’Ukraine (le comité d’enquête a trouvé les preuves des liens entre les terroristes et les nationalistes ukrainiens), on ne peut que frissonner d’effroi à l’idée de ce que les services secrets ukrainiens prévoyaient de faire dans les camps de pionniers où Elizaveta prévoit de travailler l’été, une fois qu’ils l’auraient prise sous leur contrôle.

Mais heureusement, Elizaveta, une fois la panique initiale passée va prendre, avec l’aide de sa mère, la bonne décision : ne surtout pas leur donner d’informations qui leur permettrait de la faire chanter et de lui faire commettre des crimes, et contacter les autorités, en espérant que la médiatisation de son histoire permettra de protéger son père et accélérer son retour à la maison.

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terreur juive

Réseau InternationalLaurent Guyénot : La peur provoquée par les juifs et par leur «Dieu de la terreur»

Réseau International - 30 mar 2024

«Il est temps que les juifs soient craints !» a récemment déclaré le rabbin Shmuley. Les juifs, qui n’ont pas réussi à vaincre l’antisémitisme en essayant d’être aimés, respectés ou admirés, doivent désormais se faire craindre. C’est le nouveau mot d’ordre.

   

Le problème est que si les juifs veulent être craints, ils doivent aussi accepter d’être haïs. La «peur des juifs» peut être traduite littéralement par «judéophobie» (du grec phobos, craindre). Pour être craint, il faut avoir le pouvoir de nuire, et il faut le prouver. Donc, si les juifs veulent être craints afin de combattre l’antisémitisme, alors l’antisémitisme a un brillant avenir devant lui.

Tout cela n’a pas beaucoup de sens. Mais c’est très biblique. À ma connaissance, la Bible hébraïque ne recommande pas aux juifs de s’efforcer d’être aimés des non-juifs. Au contraire, Yahvé dit à son peuple dans Deutéronome 2 :25 :

«Aujourd’hui et désormais, je remplirai les peuples sous tous les cieux de crainte et de terreur à votre égard ; quiconque entendra parler de ton approche tremblera et se tordra d’angoisse à cause de toi».

Si Yahweh veut semer la terreur parmi les non-juifs, cela ne fait-il pas de lui un terroriste, ou le dieu des terroristes ?

C’est le cas, et cela fait des sionistes de bons Yahvistes. Dans ses mémoires de 1951, «La Révolte», Menachem Begin se vantait de «la victoire militaire à Deir Yassin», car la nouvelle de ce massacre de 254 villageois (pour la plupart des hommes, des femmes et des enfants non armés) a immédiatement conduit à la «bousculade folle et incontrôlable de 635 000 Arabes. (…) L’importance politique et économique de cette évolution ne peut guère être surestimée»1. Begin n’était-il pas un digne serviteur de son dieu national ?

Ce que Netanyahou fait aujourd’hui, c’est plus de 130 fois Deir Yassin. Et l’objectif, encore une fois, n’est pas seulement de tuer sans discernement, mais, ce faisant, de terroriser des millions de Palestiniens pour qu’ils partent «volontairement». Cela explique pourquoi ils laissent filtrer tant d’images du martyre de Gaza : c’est une crucifixion publique, destinée à tous. (Andrew Anglin a suggéré une autre raison, non contradictoire avec celle-ci).

L’une des histoires bibliques préférées de Netanyahou est le Livre d’Esther. Il l’a mentionné en 2015 devant le Congrès américain, comme argument pour justifier que l’Amérique devrait bombarder l’Iran2. Le livre d’Esther est important pour comprendre comment les juifs veulent être craints. Sous l’influence de son ministre Haman, le roi perse Assuérus publia un décret de solution définitive concernant les juifs de son royaume, car «ce peuple, et lui seul, s’oppose constamment à toute nation, suivant perversement une manière de vivre étrange et lois, et est mal disposé à l’égard de notre gouvernement, faisant tout le mal qu’il peut pour que notre royaume ne parvienne pas à la stabilité» (3 : 13). Mais grâce à Esther, l’épouse secrètement juive d’Assuérus, les juifs renversent la situation et obtiennent du roi qu’Haman soit pendu avec ces dix fils, et qu’un nouveau décret royal soit promulgué, qui donne aux juifs «la permission de détruire, massacrer et anéantir toute force armée de tout peuple ou province qui pourrait les attaquer, ainsi que leurs femmes et leurs enfants, et piller leurs biens» (8.11). C’est ainsi que les juifs massacrèrent soixante-quinze mille personnes. Dans tout le pays, conclut le livre, «il y avait de la joie et de l’allégresse parmi les juifs, avec des festins et des fêtes. Beaucoup de la population du pays est devenue juive, car désormais les juifs étaient craints» (8.17).

Cette histoire est très importante pour les juifs, car chaque année, à Pourim, ils célèbrent la pendaison d’Haman avec ses douze fils, et le massacre de 75 000 personnes, dont des femmes et des enfants.

Selon la conclusion de cette histoire, la peur des juifs produit de nouveaux juifs, c’est-à-dire des Gentils qui deviennent juifs par peur des juifs : «beaucoup sont devenus juifs, puisque maintenant les juifs étaient craints». Ou, dans une traduction plus littérale : «beaucoup de gens sont devenus juifs parce que la peur des juifs a fondu sur eux». Comme je l’ai dit, la peur des juifs est plus susceptible de produire des antisémites que de nouveaux juifs. Pourtant, il existe de nombreux exemples de personnes qui se font juives par peur des juifs : tout homme politique non juif qui s’est un jour coiffé d’une kippa sur la tête et a juré fidélité éternelle à Israël correspond à ce profil.

Il y a une autre histoire dans le livre de Josué qui va dans le même sens. Au début du chapitre 2, Josué, qui reçoit ses ordres directement de Yahvé dans le Tabernacle, envoie deux espions dans la ville de Jéricho. Ayant été repérés, ils se cachent chez une prostituée nommée Rahab. Elle les aide à s’échapper en échange d’être épargnés avec sa famille lorsqu’Israël attaque la ville, car, dit-elle, «nous avons peur de vous et tous les habitants de ce pays ont été saisis de terreur à votre approche» (2 :9).. Parce qu’Israël est si terrifiant, elle suppose que «Yahweh, votre Dieu, est Dieu».

La Bible catholique française de Jérusalem ajoute une note en bas de page disant que «la profession de foi de Rahab au dieu d’Israël a fait d’elle, aux yeux de plus d’un Père de l’Église, une figure de l’Église des Gentils, sauvée par sa foi». Je trouve perplexe l’idée de faire de la putain de Jéricho un symbole de l’Église car, par peur d’Israël, elle s’est convertie au dieu d’Israël et a aidé Israël à commettre le génocide dans sa propre ville («hommes et femmes, jeunes et vieux, y compris les bœufs, les moutons et les ânes, tous ont été égorgés», Josué 6 :21).

En revanche, c’est une bonne métaphore de la complicité du monde chrétien dans le génocide israélien des Gazaouis. Il ne fait aucun doute que chez la plupart des chrétiens d’aujourd’hui, la peur des juifs est bien plus forte que la pitié pour les habitants de Gaza. Et les chefs d’État de la plupart des nations chrétiennes préféreraient déclencher une Troisième Guerre mondiale avec la Russie plutôt que de critiquer Israël. La Russie est, après tout, un ennemi rationnel, alors que personne ne sait de quoi un Israël psychopathe est capable.

Israël est le seul pays qui menace ouvertement de faire exploser la planète. Ils appellent cela l’option Samson. L’option Samson est la combinaison de la capacité nucléaire d’Israël et de la réputation d’Israël de dangereux paranoïaque. Tout le monde sait qu’Israël possède une centaine de têtes nucléaires (80 selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm). Et tout le monde sait qu’Israël est biblique, désireux d’accomplir des prophéties, comme Zacharie 14 : 12 :

«Et voici le fléau dont Yahweh frappera toutes les nations qui auront combattu contre Jérusalem ; leur chair pourrira alors qu’ils seront encore debout ; leurs yeux pourriront dans leurs orbites ; leur langue pourrira dans leur bouche».

Martin van Creveld, professeur d’histoire militaire à l’Université de Jérusalem, expliquait au journal britannique The Gardian en 2003 que les Intifadas palestiniennes récurrentes ne trouveraient qu’une seule solution : le «transfert» de tous les Palestiniens hors de Palestine. Sur le risque d’une opposition de la communauté internationale à un tel projet, il a ajouté :

«Nous possédons plusieurs centaines d’ogives et de roquettes atomiques et pouvons les lancer sur des cibles dans toutes les directions… Nous avons la capacité d’emporter le monde avec nous. Et je peux vous assurer que cela se produira avant qu’Israël ne sombre».3

C’est en un mot l’option Samson. Son essence est le terrorisme nucléaire.

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image dictature

Réseau InternationalSous la dictature des images

Réseau International - 28 mar 2024

Si quelques voix de professionnels – enseignants et médecins notamment – s’élèvent contre la surexposition des enfants aux écrans, le grand public ne semble pas bien mesurer l’ampleur et le caractère délétère du phénomène.

   

Troubles de l’attention et du comportement, manque d’autonomie, angoisse, apathie, perte de la dextérité et du goût pour les travaux manuels, la liste des dommages collatéraux s’allonge à mesure que grandissent la permissivité des parents et la faillite d’un système éducatif soumis à l’idéologie globaliste, où le numérique occupe une place toujours plus importante. Un système où l’enfant n’est plus «instruit» mais «accompagné» – c’est-à-dire assisté pour les uns et abandonné pour les autres, suivant la bonne foi et les compétences de l’enseignant…

Tout n’est pas à jeter dans les nouvelles pédagogies en vigueur qui entendent faire de l’élève «l’acteur de ses apprentissages», mais à minimiser le rôle de transmission de l’enseignant, en faveur d’une présumée dynamique collaborative des enfants – qui reste, de fait, très inégale et relative -, on sacrifie la connaissance pour quelques illusions idéologiques et les lubies de communicants irresponsables.

L’enseignement à distance pendant la période du Covid l’a bien montré : hormis une minorité d’élèves particulièrement vifs, les résultats de l’expérimentation ont été désastreux, tant du point de vue de l’acquisition des savoirs que de celui de l’épanouissement personnel. Aujourd’hui encore, les professeurs tentent de combler les lacunes et gérer les troubles liés aux confinements abusifs, devant composer de façon acrobatique avec le retard des uns et des autres. Il est certain que cet épisode aura marqué un tournant dans le rapport de l’élève à son besoin de comprendre et d’apprendre, rompant en quelque sorte le lien avec son tuteur au profit de la machine et des nouveaux lobbies de l’éducation.

Comme le parent, le professeur est, plus qu’une figure d’autorité, un modèle. Un modèle certes imparfait mais doté de caractère, et surtout porteur de savoir et du sens de la justice. Dépersonnaliser le savoir n’est peut-être pas un drame – après tout, à partir d’un certain âge n’importe qui peut librement s’instruire grâce aux ressources infinies qu’offre Internet – mais il me semble que cela participe dangereusement à la déshumanisation généralisée de nos sociétés, où les nouveaux outils de communication ont bouleversé les enjeux interactifs et la temporalité des relations, au point d’amener toutes sortes de névroses liées au culte de l’immédiat et de la consommation.

Dans des sociétés où l’on est assailli d’images et de représentations, où l’information – souvent des plus futiles – est systématiquement illustrée, manipulée, mise en scène, suivant les lois sacrées de la publicité, l’être en construction se retrouve littéralement perdu entre un univers virtuel et le monde réel.

Le capitalisme numérique a fait de l’enfant un consommateur précoce, livré à la dictature des images et à la prédation d’un ultralibéralisme pervers. Si l’on observe dans les salles de classe de plus en plus d’élèves présentant des difficultés et toutes sortes de troubles «dys-», c’est aussi que le cerveau sursollicité d’images violentes et insensées, cherche désespérément une issue à la pathologie du monde ainsi exposée, n’étant plus disponible pour un apprentissage sain.

À constater au quotidien l’impact cognitif et comportemental de la violence subie en images sur les jeunes, nous pouvons résolument nous estimer chanceux de faire partie de générations qui n’ont connu l’usage privé et la généralisation des outils numériques qu’à l’âge adulte. La dépendance des jeunes aux écrans, encouragée par la tendance et le besoin d’intégration, étant un moyen d’asservir les plus vulnérables en les privant de leurs facultés créatives, d’initiative et de réflexion.

On le sait, la lecture est fondamentale dans le développement de l’imaginaire, la formation à l’esprit critique et l’affirmation de soi, autant que dans la maîtrise de la langue et l’acquisition des facultés d’expression. Et lorsqu’elle n’est pas possible ou qu’elle ne présente pas d’intérêt particulier pour l’enfant, ses bienfaits peuvent être en partie compensés par différents jeux de construction et de projection, faisant appel à l’imaginaire et la créativité. Mais lorsqu’il n’y a ni livres ni jeux, et que l’enfant se retrouve sous l’emprise d’un écran qui l’asservit, le traumatise et le rabaisse systématiquement au niveau zéro de la culture, lorsqu’on le coupe du monde et de la nature, alors rien d’étonnant à ce que l’humanité renoue avec ses fâcheuses dispositions à la guerre et au totalitarisme.

Selon le leitmotiv de notre cher président, voici venue la «fin de l’insouciance». Mais la question qui devrait se poser, de façon urgente, est la suivante : si l’on nous annonce une fin, à quoi l’insouciance doit-elle précisément laisser place ? À la terreur et au règne de la perversité ? Ou bien à une connaissance supérieure, qui nous permettrait de nous passer de nos dirigeants ?il

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Windows 11 un espion en puissance

Révolution 2030 : Autre sourceLa trouvaille scandaleuse d'un chercheur sur Windows 11

Révolution 2030 : Autre source - 24 mar 2024

Windows 11 épie tout ce que vous faites sans demander votre consentement.

   

Pour celles et ceux qui touchent un peu du clavier, cette vidéo sera instructive. Le but étant d'enrayer l'hémorragie de fuite de données vers des sites tierces et GAFAM.

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l'effacement de la France

Égalité et RéconciliationMacron ou l'effacement de la France (extrait SAPTR 26)

Égalité et Réconciliation - 16 mar 2024

Episode complet disponible en VOD chez Kontre Kulture : kontrekulture.com/produit/soral-a-presque-toujours-raison-episode-26-mars-2024/

   

Au sommaire de ce SAPTR #26

00:27 – Suite de l’affaire « Grosse lesbienne »
02:34 – Plainte de la « Jeunesse française juive »
07:08 – Macron ou l’effacement de la France
15:47 – La destruction d’un pays par sa langue (1)
18:48 – La destruction d’un pays par sa langue (2)
20:24 – Rachida Dati ou la négation de la culture française
24:08 – Attal ou l’alliance de l’étoile et de la rondelle
28:40 – Attal vs Bardella : jeunisme contre jeunisme
37:14– BHL et Yakovleff : le déni pathologique de la victoire russe en Ukraine
42:50 – Terroir et mondialisme : le monde paysan en lutte pour sa survie
54:00 – Hautement symbolique : une famille de paysans écrasée par des OQTF
56:44 – Quand Todd dit (presque tout) comme Soral
01h03:34 – Gaza ou le grand révélateur
01h07:59 – La fin de la rente Shoah ?
01h17:33 – Le discrédit de la communication sioniste
01h25:38 – Jeunisme : les identitaires sont des gauchistes mentaux
01h29:57 – Quand Julien Dray se redécouvre hébreu
01h33:12 – Ni pardon ni oubli : la religion de la haine
01h37:26 – La purification ethnique a toujours été le projet sioniste
01h46:29 – L’avenir d’Israël ne peut être que l’Afrique du Sud
01h51:26 – Le retour aux fondamentaux de la gauche et de la droite
01h56:40 – L’honneur retrouvé de Jean-Luc Mélenchon
02h04:51 – L’incohérence utile des LGBT
02h07:34 – L’abjection sioniste d’une certaine droite catholique
02h12:26 – Les conséquences pour la France de demain ?
02h16:29 – Les solutions pour la France de demain ?
02h18:31 – La communauté juive dans la France de demain ?
02h23:12 – À l’aube d’une troisième guerre mondiale ?
02h29:29 – De la conscience malheureuse du Français d’extrême droite
02h35:02 – Élections américaines : comment voler encore Trump en 2024 ?
02h41:49 – Ne pas se tromper de choc de civilisations

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Protection des enfants : Appel aux parents

Le Media en 4-4-2Protection des enfants : Appel aux parents

Le Media en 4-4-2 - 03 mar 2024

APPEL AUX PARENTS : des enjeux de la protection de l’enfance face au programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle.

   

François DUBOIS appelle à la sensibilisation des parents sur l'hypersexualisation croissante des contenus destinés aux enfants, notamment dans les programmes éducatifs. Il met en lumière les risques pour l'enfance et plaide pour une éducation affective et relationnelle respectueuse. Soulignant l'importance de la vigilance parentale et de l'action collective pour protéger nos enfants.

Je lance cet appel à destination de tous les parents afin de les sensibiliser sur la question de la protection de l’enfance.

Nous constatons avec effarement un nombre de dérives croissantes en lien avec l’hypersexualisation des contenus destinés aux enfants et issus des programmes EAS (éducation à la sexualité, dès la primaire) de l’éducation nationale. Le nouveau Premier ministre, Gabriel Attal, fort de son sens des priorités, a annoncé peu de temps après sa nomination, le 20 janvier, qu’un nouveau programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle s’appliquera dans les établissements scolaires à la rentrée 2024.

Les enfants sont confrontés de plus en plus jeunes à une « éducation » sexuelle, dont le contenu est tributaire de l’intervenant externe qui les dispense (souvent une infirmière). Il y a absence de contrôle du message dispensé, d’où parfois la constatation de certaines dérives qui rentrent sous le joug de la loi.

Autre problème, il est difficile, voire impossible, pour un parent d’obtenir les contenus des séquences. Qui plus est, ces programmes ne sont pas systématiquement annoncés à l’avance et sont souvent insérés entre deux cours, ce qui les rend difficiles à contourner.

Restons dans l’univers scolaire (sur lequel nous, parents, n’avons que peu la main). France 3 a relayé une information relative à une classe de CM1 et une classe de CM2 de L’Union (Haute-Garonne) qui ont participé à un spectacle au cours duquel des dessins à caractère sexuel ont été projetés. La situation est malaisante : des enfants dansent devant leurs parents avec en arrière-plan des dessins édulcorés de partouzes ou de femmes se faisant caresser la poitrine… Y a-t-il eu dépôt de plainte des parents ? Je ne le sais pas, mais je l’espère.

Je vais donc commencer par faire un rappel à la loi en citant l’article 227-22 du Code pénal :

« Le fait de favoriser ou de tenter de favoriser la corruption d’un mineur est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. Ces peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende lorsque […] les faits sont commis dans les établissements d’enseignement ou d’éducation ou dans les locaux de l’administration. »

L’article du Code pénal ne définit hélas pas explicitement le terme corruption. Est-ce volontaire, sachant qu’il est bien plus précis pour définir les termes constitutifs d’autres infractions ?

On entend cependant par la corruption, l’exposition du mineur à la sexualité et l’encouragement prodigué à ce mineur d’avoir une activité sexuelle de quelques manières que ce soit.

La notion de consentement n’entre pas en jeu ici et l’intention coupable relève, bien entendu, exclusivement du majeur mis en cause. L’incrimination de la corruption de mineur a pour but de préserver le sentiment de pudeur des mineurs en le protégeant contre certains actes tendant à éveiller leurs pulsions sexuelles.

Par un arrêt de la Chambre criminelle du 8 février 2017 (16-80.102), la Cour de cassation précise que le délit de corruption de mineur n’est pénalement punissable que si l’auteur des faits a eu en vue la perversion de la jeune victime et non pas seulement la satisfaction de ses propres passions.

L’affaire de L’Union (Haute-Garonne) ne déroge pas à la règle. N’y a-t-il pas exposition perverse à des mineurs à la sexualité ? N’y a-t-il pas un encouragement, une incitation faite au mineur à s’ouvrir à ce genre de pratiques, ou du moins, à les intégrer comme une nouvelle norme ? Les adultes responsables de cette mise en scène peuvent-ils seulement prétendre n’avoir à aucun moment présumé du caractère pervers et corrupteur de cette dernière ?

Certains témoignages font parfois état de dérives flagrantes. Ainsi aurait-on largement outrepassé le stade des explications préventives (MST, contraception etc.) ou biologiques (mécanismes de la reproduction etc.) pour faire l’étalage de pratiques sexuelles, telles que la sodomie, les rapports homosexuels, ou la fellation à des enfants parfois extrêmement jeunes qui ne sont pas encore suffisamment construits et normés pour transiter de façon aussi brutale de leur monde asexué (ante puberté) vers la réalité et l’impudicité des rapports adultes.

Imposer l’explication extrêmement détaillée d’une sexualité « loisir » sans que les enfants soient prêts pour cela, et sans qu’ils soient demandeurs, est non seulement d’une grande violence, mais peut s’avérer extrêmement perturbant voir traumatisant pour eux.

N’importe quel adulte devrait être conscient de cela. Dans ce cas précis, qu’y a-t-il d’autre que de la perversion à vouloir ainsi corrompre les jeunes enfants en leur imposant de telles visions ?

Je ne m’adresse pas aux parents éveillés qui agissent déjà à leur échelle de façon concrète pour protéger leurs petits.

Mon appel s’adresse avant tout à ceux qui n’osent pas franchir le pas de la contestation en public, soit par sentiment d’impuissance, soit parce qu’ils ne voient pas le danger que représente l’hypersexualisation des rapports à l’enfance pour notre société.

Père de trois enfants et confronté il y a peu à cette situation avec mon épouse, nous nous sommes rendu compte que nous étions seuls à émettre des doutes, poser des questions et exiger les contenus de cette fameuse « éducation à la vie sentimentale et sexuelle » qui devait être dispensée à notre fillette de onze ans. Suite à cela, l’établissement a transformé le nom de l’intervention sur pronote en « éducation à la vie sentimentale »…

Après avoir sondé les autres parents d’élèves, nous nous sommes aperçus que malgré cette inertie globale, une majorité d’entre eux étaient en accord avec nous. Faute d’avoir pu obtenir (malgré nos tractations) un contenu quelconque ou un résumé de l’intervention, notre fille n’y assista pas. Principe de précaution simple pour la protéger d’une éventuelle atteinte illégale. Mais quel dommage qu’elle fut la seule absente alors que la majorité des parents n’en pensait pas moins ! L’objectif ici n’était pas un boycott intégral, mais d’exiger plus de clarifications et de transparence. Notons qu’aux dires de ma fille, certains de ses camarades lui ont rapporté s’être sentis mal à l’aise car, malgré le nom transformé par l’établissement en « éducation à la vie sentimentale » (probablement pour apaiser les autres parents), on aurait parlé exclusivement de rapports sexuels aux petits.

Pourquoi cette passivité de parents pourtant en désaccord sur le fond ? Une majorité de Français est désorientée. Tourmentée par un chaos géopolitique la plongeant dans un contexte socio-économique moribond, cette majorité vit désormais dans la peur du lendemain.

Accaparée par ses difficultés du quotidien, elle n’a plus forcément l’énergie pour se battre. Évoluant dans une société en perte de repères, victime d’une vaste entreprise de déconstruction et de propagande idéologique, elle éprouve de plus en plus de difficultés à discerner les causes pour lesquelles il serait pourtant juste et nécessaire de se battre.

Dressée depuis 2020 à se confiner, à être tracée, à obéir aveuglément au diktat médiatico-pharmaceutique, cette majorité constitue aujourd’hui un archétype de société conformiste puisque pusillanime. Ce triste constat n’est flatteur que pour Orwell, qui, hélas, avait vu juste.

C’est cette majorité à qui je m’adresse. C’est cette majorité qui a besoin d’être encouragée et d’être aidée.

C’est aussi cette majorité qui n’a parfois pas encore compris à quel point le combat pour la protection de l’enfance est essentiel à la défense de nos intérêts. Ce combat est capital pour ne pas perdre le contrôle de notre avenir. Un peuple fort est un peuple qui peut se projeter dans l’avenir et s’identifier dans le passé. Un peuple fort est un peuple qui ne se laisse pas asservir et qui demeure souverain : un peuple fort est le prérequis indispensable à toute démocratie.

De la promotion scolaire de l’idéologie transgenre[2], en passant par la découverte prématurée de pratiques sexuelles débridées, le sexe devient omniprésent et omnipotent pour nos enfants. Inévitable composante sociale de nos sociétés occidentales progressistes, il inonde le net, la télévision, la mode, et maintenant, l’école. Il doit prévaloir dès le plus jeune âge et le gouvernement actuel fait de l’hypersexualisation des enfants son cheval de bataille.

Gageons qu’il s’agira avant toute chose d’un cheval de Troyes !

La déconstruction par l’hypersexualisation de la société[3] est en ce sens une arme redoutable pour nous fragmenter dans des logiques idéologiques et individualistes de niches qui complexifieront les rapports sentimentaux, généreront de l’instabilité familiale et, bouleversement anthropologique majeur, conduiront à la disparition de la généalogie par l’ouverture des marchés de la GPA et de la PMA.

Ainsi atomisée, la société du futur sera dans l’impossibilité de constituer un bloc stable et contestataire défendant des valeurs communes pour s’opposer à une élite organisée cherchant à la spolier, à l’asservir et à l’exploiter. Le totalitarisme s’installe toujours de façon insidieuse.

Il est grand temps que la propagande idéologique nauséabonde qui s’abat sur nos enfants cesse enfin. Cela ne peut passer que par des actions de parents responsables qui osent défier le système quand ils estiment qu’il expose leurs enfants à un danger. Force doit rester à la loi tant que celle-ci œuvre encore pour la protection de l’enfance ; les parents ne doivent pas hésiter à saisir la justice dès lors que les atteintes sont suffisamment caractérisées. Il s’agit d’un combat pour nos enfants et pour leur avenir.

ADJ (e.r) François DUBOIS

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