La polémique autour des compteurs Linky a été relancée par la publication, discrète, d'un arrêté ministériel, le 22 septembre dernier. Selon certaines analyses un peu rapides, le texte permettrait à Enedis, le gestionnaire du réseau de distribution du courant, de « couper votre eau chaude à distance cet hiver » via les fameux compteurs Linky.
Voici, en images, de quoi il en est exactement.
Quant au bouclier tarifaire c’est une escroquerie et un vol en bande organisé
Alors certes il faut faire un bouclier, mais l’aimable Maire de Neuilly se trompe, involontairement sans doute, mais il se trompe tout de même.
Encore une fois, le MW d’électricité en France coûte 50 euros à produire. Il peut donc être vendu à 51 euros allez disons même 65 euros prix auquel le payait la Mairie de Neuilly et tout le monde gagnerait de l’argent. Mais au nom du mode de fixation des prix de vente de l’énergie décidé par Bruxelles et la grosse commission de Bruxelles il faut payer des milliers d’euros le MW.
Cela provoque ce que nos technocrates complètement tarés et malades appellent des surprofits !
Pour s’en convaincre, il suffira d’aller lire le court décret en application depuis samedi dernier et dont le texte, rédigé avec toute la légèreté des intestins législatifs habituels, est sinon limpide au moins peu ouvert à extrapolation : son premier article explique qu’il sera désormais possible de couper l’électricité à volonté pendant une durée ne dépassant pas deux heures, entre 11h et 15h30, au bon vouloir des pouvoirs publics pardon je veux dire en fonction des besoins énergétiques patati et des tensions du réseau patata.
Ici, l’idée est toujours la même : les zotorités, les pouvoars publics et le gouvernemaman vont multiplier les vexations puis le retour à la normale, alterner en somme claques et caresses dans une succession rapide afin de désarçonner les individus en les faisant passer d’une émotion négative (peur de manquer, d’avoir froid ou faim, etc.) à une émotion positive (soulagement d’un retour à la « normale ») pour les rendre émotionnellement malléables, prêts à accepter différentes pertes plus ou moins importantes de dignité et de liberté.
L’Agenda 2030 des Nations unies pour le développement durable est présenté comme un « plan commun pour la paix et la prospérité des peuples et de la planète, maintenant et à l’avenir ». Les 17 objectifs de développement durable, ou ODD, sont au cœur de ce programme.
Bon nombre de ces objectifs ont l’air sympathiques en théorie et brossent le tableau d’une utopie mondiale émergente – comme l’élimination de la pauvreté, de la faim dans le monde et la réduction des inégalités. Pourtant, comme c’est souvent le cas, la réalité qui se cache derrière la plupart – sinon la totalité – des ODD est constituée de politiques enveloppées dans le langage de l’utopie qui, dans la pratique, ne profiteront qu’à l’élite économique et renforceront son pouvoir.
L’alimentation est un marqueur des inégalités sociales en France. D’après une étude de l’Anses [2], les plus pauvres mangent moins et plus mal que les classes aisées, consommant davantage de sodas, viande, produits industriels. La précarité alimentaire [3] explose, en particulier depuis la crise sanitaire. D’où l’ambition de Vrac et Cocinas, créée en décembre 2020.
Vrac et Cocinas accompagne trois autres groupes, à Montpellier. À l’échelle nationale, le réseau Vrac — Vers un réseau d’achat en commun — compte aujourd’hui plus de 4 500 adhérents et 70 groupements d’achats dans des quartiers prioritaires de la politique de la ville.
« Nous voulons lutter contre les inégalités alimentaires »
Le mari polonais d’Anne Applebaum, la conseillère néo-conservatrice de l’administration Biden et de Hillary Clinton, célèbre l’attaque contre Nord Stream comme un acte de terrorisme d’Etat des Etats-Unis qui condamnera des millions d’Européens à un hiver glacial.
Les gazoducs Nord Stream 1 et 2, qui relient la Russie à l’Allemagne, ont-ils fait l’objet d’un sabotage ? La question ne semble plus faire de doute ce mardi soir. Lors d’une conférence de presse, la première ministre danoise Mette Frederiksen a évoqué des «actes délibérés» : «On ne parle pas d’un accident», a-t-elle ajouté sans toutefois désigner un suspect. Pour Copenhague, les trous par lequel s’échappe le gaz sont «trop gros» pour être de cause accidentelle ; ces derniers auraient été provoqués «par des détonations», a expliqué le ministre de l’Energie Dan Jørgensen. Les fuites devraient durer «au moins une semaine», selon Copenhague.
S’il faut y voir essentiellement un coup de communication, le chef de l’État prépare surtout les Français à une nouvelle cure d’austérité. Décryptage.
Le président français a d’abord évoqué la fin des « liquidités sans coût » dont il faudra « tirer les conséquence en terme de finances publiques ». Comme prévu, le gouvernement reprend donc son agenda austéritaire. Une nouvelle fois, « la crise » fera office de parfaite excuse pour mettre en place une politique néolibérale. Pour essayer de montrer qu’il n’est pas un idéologue, le président rappelle son plan de solidarité lors de la crise du Covid-19, le fameux « quoi qu’il en coûte ». Toute honte bue, ce plan a largement été instrumentalisé pour tenter de démontrer l’existence d’une fibre sociale dans ce gouvernement. Le ministre de l’économie, Bruno Lemaire, n’a d’ailleurs de cesse de répéter que la France a été la plus généreuse d’Europe lors de cette crise.
Les soldats ukrainiens n’ont jamais eu la moindre chance de résister à la puissance de l’armée russe. Pas la moindre. Cela était évident dès le début de la guerre. Il est illogique que le gouvernement ukrainien et ses partisans aient tenté de résister à cet assaut.
L’« Occident » aurait dû abandonner et faire les concessions que la Russie avait exigées. Il devra les faire de toute façon.
Les marchés américains étant fermés hier pour la fête du travail, toute l’action s’est déroulée en Europe – et étant donné que Nord Stream 1 a été fermé et que la Commission européenne a proposé des réglementations de type économie de guerre, et que la Russie a ensuite clairement indiqué qu’à moins que les sanctions à son encontre ne soient levées, aucun gaz ne circulera *jamais* à nouveau par Nord Stream 1, il n’est pas étonnant que les Eurostoxx aient baissé et que l’euro soit passé sous la barre des 0,99 pour la première fois en 20 ans, alors que le mouvement de démolition du dollar se poursuit.
Toute la presse se précipite dans la brèche ouverte par on ne sait qui, mais on peut penser qu’il y a eu autorisation hiérarchique, entre la direction de la Santé, le ministère du même nom, et le Conseil de l’Ordre des médecins. La presse fait où on lui dit de faire.
On le voit avec Casasnovas, qui n’a rien fait de mal mais qui a été persécuté par l’ensemble des forces du Système, entre les médias mainstream, la justice et des représentants de la médecine allopathique. En France, aujourd’hui, on n’a pas le droit ou on a de moins en moins le droit de se soigner autrement, c’est-à-dire avec des remèdes de grand-mère, les plantes, l’homéopathie, les compléments alimentaires ou tout simplement une nourriture adaptée.
Selon le président Vladimir Poutine lors de son entrevue avec le directeur du fisc russe, Daniil Yegorov, les revenus de la Fédération de Russie lors du premier semestre 2022 ont augmentés de 32 %, principalement en raison de la hausse des prix de l’énergie.