Ou alors, très vaguement, comme d’une sorte de hold-up plus ou moins légal, dirigé à grande échelle par une minorité d’ultra-riches. De fait, La (Très) Grande Évasion représente sans doute, à ce sujet, le film qui manquait à notre siècle. Un film puissant, étonnamment limpide et exhaustif, s’offrant même le luxe d’un humour incisif, à propos d’un système déloyal qui ne cesse de se prétendre trop technique pour le commun des mortels.
La (Très) Grande Evasion est le nouveau film de Yannick Kergoat, écrit en collaboration avec Denis Robert (lanceur d’alerte dans l’affaire Clearstream) et produit/distribué par Wild Bunch, Le Bureau et La Grande Distribution.
Un film à présenter sans tarder, puisqu’il sera en salles dès ce 7 décembre.
Afin de garantir la sécurité énergétique cet hiver, la Suisse pourrait devenir le premier pays à limiter la conduite et l’utilisation des VE, rapporte le quotidien allemand Der Spiegel, citant de multiples médias sur le plan d’action suisse en quatre étapes visant à éviter les pannes d’électricité.
La conduite de VE pourrait être interdite en Suisse, sauf en cas de « trajets absolument nécessaires », selon la troisième étape des plans d’économie d’énergie. Le pays prévoit également une limitation de vitesse plus stricte sur les autoroutes dans le plan d’action récemment proposé, qui doit encore être adopté.
La Suisse importe généralement de l’électricité de France et d’Allemagne pour répondre à l’ensemble de ses besoins en électricité, mais cette année, l’offre de ses voisins est limitée.
La récente réunion gouvernementale du G20 à Bali, la réunion de la COP27 de l’Agenda 2030 des Nations unies en Égypte, le Forum économique mondial de Davos et Bill Gates sont tous complices. En général, ils utilisent un cadre linguistique dystopique pour donner l’illusion qu’ils font le bien, alors qu’ils font en réalité avancer un programme qui conduira à la famine et à la mort de centaines de millions, voire de milliards de personnes si on le laisse se poursuivre. Il est dirigé par une coalition d’argent.
Neuf mois après le début de la guerre en Ukraine, l’Europe se révolte contre les Etats-Unis (jusqu’ici son principal allié) accusant Washington de s’être enrichi de la guerre en vendant son gaz à l’Europe à un prix plus cher (que celui de la Russie) et en inondant le continent d’armes américaines. Un scénario que les Russes avaient pourtant prédit dès le début du conflit
L’Europe s’est-elle réveillée trop tard? La question a toute sa pertinence. Car, plus de 9 mois après la guerre en Ukraine, tout laisse à croire que les Etats-Unis d’Amérique sont les plus grands gagnants de ce conflit qui a complètement bouleversé l’ordre (géopolitique) mondial.
En tout cas, du côté de l’Europe, la colère gronde et à Bruxelles, certains ne se font pas de doute que Washington est le seul à avoir tiré les marrons du feu. C’est du moins la révélation faite par le média Politico.com ce 24 novembre. En effet, d’après cette source, de hautes personnalités au sein de l’Union Européenne accusent, en coulisse, Joe Biden, président des Etats-Unis, de s’enrichir de la guerre pendant que l’Europe est au bord de l’implosion.
D’après la source, l’une des premières causes de cette colère européenne est due aux subventions massives que les Etats-Unis ont récemment accordées aux entreprises présentes sur leur sol. Une décision américaine qui fait trembler l’Europe qui a peur de voir des centaines d’entreprises quitter le Vieux Continent pour s’installer au Pays de l’Oncle Sam.
Revenons aux faits : comme le montrent les graphiques ci-dessous, pendant la grave crise de 2008 le baril était monté jusqu’à 145 $ et pourtant le litre de sans plomb 95 était à 1,55 €. Aujourd’hui, ce même baril de pétrole brut est à 82 $ et pourtant le sans plomb 95 dépasse les 2 € le litre. En d’autres termes, avec un prix du baril 40 % moins cher, le litre d’essence coûte 0,50 € de plus !
Il faut vraiment être totalement décérébré, atteint d’une profonde dégénérescence irréversible pour accepter de payer aussi cher le litre d’essence sans se révolter et demander des comptes au gouvernement ainsi qu’aux distributeurs !
Eh bien, il faudrait évacuer les douze millions d’habitants de la région. Car pas d’électricité, c’est pas d’eau courante, pas d’essence dans les stations services (les cuves sont enterrées, et les pompes sont électriques), les supermarchés (3 jours de réserve) non approvisionnés, les hôpitaux idem etc. Après trois jours maximum, il faut commencer à vivre sur ses réserves, ou alors avoir un point de chute bien approvisionné quelque part, et les moyens d’y aller.
Pas de téléphone (les antennes-relais fonctionnent à l’électricité), pas d’Internet, pas de télé ni de radio non plus, sauf la radio par ondes courtes, mais qui a un poste de radio à ondes courtes ? Je vous dis pas la panique. La zombie apocalypse en live.
Ceci étant, le pire n’est pas toujours sûr. Je vois plutôt un effondrement économique, moins dramatique mais dont le résultat final sera le même.
Le groupe de campagne pour la protection de la vie privée Digital Rights Ireland a demandé une enquête sur la collecte de données sur la consommation d’électricité par les compteurs intelligents d’ESB Networks. Le groupe affirme que la société semi-étatique recueille plus de données que ce dont elle a besoin à des fins de facturation et que les clients ne sont pas conscients de la collecte de données.
L’installation des compteurs intelligents a commencé en 2020 et a été installée dans plus de 800 000 foyers. L’objectif est de remplacer tous les compteurs par des compteurs intelligents d’ici 2024.
Le mois dernier, ESB Networks a reconfiguré les compteurs intelligents pour collecter des données détaillées toutes les demi-heures. Ces données sont stockées dans une base de données centralisée. DRI affirme que les clients n’ont pas consenti à cette collecte de données. Le groupe s’interroge également sur la base juridique de la collecte de données et demande à la Commission de protection des données (DPC), organisme de surveillance de la vie privée, d’enquêter.
La rumeur dit que l’Ukraine prenait l’argent qu’on lui donnait et le mettait à FTX et FTX le rendait aux démocrates. C’est comme ça que les démocrates ont blanchi l’argent de l’Ukraine. Si c’est vrai, cette histoire doit exploser jusqu’à ce que toutes les personnes impliquées soient enterrées.
Le 25 avril 2019 : Biden annonce sa campagne présidentielle. 13 jours plus tard, Sam Bankman-Frites, fils de Barbara Frit (professeur à Stanford et cofondateur de l’organisation de collecte de fonds politiques » l’Esprit-le-Gap « ), lance la bourse de crypto-monnaie #FTX. L’échange est magiquement des nations unies succès du jour au lendemain. SBF devient le plus grand donateur » de Joe Biden. Le jour de l »élection, FTX implose complètement. Si vous pensez que ce scandale est terminé, il est encore plus profond.
Amazon est devenu la première société au monde cotée en Bourse à voir sa valorisation perdre 1 000 milliards de dollars. Encore plus impressionnant, cette chute s’est réalisée dans un laps de temps extrêmement court : moins de 18 mois.
Amazon est aujourd’hui valorisée à 879 milliards de dollars, très loin des 1 880 milliards de dollars qu’elle valait en juillet 2021. L’entreprise avait largement profité de la crise sanitaire pour tirer son épingle du jeu en 2020 et 2021, mais connait une période bien plus troublée actuellement.
Amazon connait un fort ralentissement de la croissance du commerce électronique, les consommateurs reprenant leurs habitudes d’avant la pandémie. De plus, l’inflation fait faiblir la demande, alors que les coûts de stockage, de paquetage et de transport des produits augmentent [...].
Selon une nouvelle mise à jour d'EDF, les perspectives de production d’énergie nucléaire ont été réduites avant l’hiver, ce qui a provoqué le chaos sur les marchés de l’énergie.
EDF est le plus grand propriétaire de centrales nucléaires au monde. Elle a indiqué vendredi que son parc de réacteurs nucléaires devrait produire entre 27.5 et 28.5 térawatt/heures d’énergie cette année, contre une fourchette prévue de 28.0 à 30.0 térawattheures.
Tout a commencé lorsque Gazprom a révélé que la ligne B du NS2 était intacte ; non seulement elle a échappé au terrorisme des pipelines, mais elle pourrait « potentiellement » être utilisée pour pomper du gaz vers l’Allemagne.
Cela confirme une fois de plus que NS2 est une merveille d’ingénierie. En fait, tout le système : les tuyaux sont si solides qu’ils n’ont pas été brisés, mais simplement perforés.
Le vice-Premier ministre russe Alexandre Novak a poursuivi, avec une mise en garde : la restauration de l’ensemble du système, y compris NS, est possible, mais « nécessite du temps et des fonds appropriés ». Mais d’abord, dans l’ordre des priorités de la Russie, les auteurs doivent être identifiés de manière concluante.
Si l'on regarde froidement l'événement, on fera un double constat: en ayant recours au terrorisme, Kiev montre les limites de sa puissance; mais, comme tout acte terroriste, l'objectif est de provoquer une réaction disproportionnée de l'adversaire.
Plusieurs sources au sein de l’appareil d’Etat ukrainien ont revendiqué l’action, jusque dans l’entourage du président Zelenski.
Un acte terroriste vise toujours à être spectaculaire. Mais il signe aussi la capacité d’attaque de ceux qui commettent l’attentat. En revendiquant ouvertement la tentative de destruction du pont, le gouvernement ukrainien révèle cependant qu’il est dans une situation de faiblesse. Le terrorisme est l’arme des faibles.