Ils mettent en péril l’emploi paysan et l’agriculture biologique. La France a perdu plus de 100 000 fermes en dix ans et 80 000 emplois agricoles, d’après le dernier recensement agricole datant de 2020.
En France, chaque année, de plus en plus de sociétés financiarisées font main basse sur des milliers d’hectares de cultures agricoles. Un accaparement qui progresse et qui inquiète les associations environnementales Terre de liens et Les Amis de la Terre. Car, qui dit agrandissement des terres, dit généralement destruction de l’emploi paysan et ralentissement des pratiques agroécologiques. Celles-ci détaillent le phénomène dans deux rapports publiés ce mardi 28 février, en marge du Salon de l’agriculture.
L’étude de Terre de liens dévoile des chiffres inédits sur l’état de la propriété des terres agricoles françaises, les derniers rapports sur le sujet remontant à 1982 et 1992. Alors qu’à l’époque, l’accaparement des terres était quasiment inexistant, le phénomène de concentration est aujourd’hui en pleine expansion. Pour l’analyser, l’association a agrégé les rares données disponibles. Deux conclusions s’en dégagent. La première est que quatre millions de petits propriétaires privés, dont la majorité ne sont pas des agriculteurs et ne connaissent pas le métier, se partagent 85 % des surfaces agricoles françaises. Le terrain qu’ils possèdent tourne en général autour des cinq hectares seulement.
La dette américaine est irremboursable, sauf si une hyperinflation se met en place. Avec cette dernière, la valeur de la dette peut être divisée tout simplement par deux, et c'est EXACTEMENT ce que veulent les États-Unis, détourner l'attention de leur dette.
Et si vous regardez bien cette carte, on voit clairement quels sont les pays qui soutiennent la guerre contre la Russie (dont l'endettement n'est que de 30% vs 130% des US).
Décryptage de la guerre en Ukraine : Catherine Austin Fitts dévoile les véritables motivations économiques cachées derrière le conflit. L'objectif est de dépeupler l'Ukraine et de la reconstruire comme point central sur la Route de la Soie, tout en empêchant une alliance économique entre l'Europe et la Russie.
Dans une interview (voir vidéo ci-dessous) avec la journaliste Taylor Hudak du média acTVism Munich, l’ancienne secrétaire adjointe au Logement et au Développement urbain des États-Unis sous l’administration Bush, Catherine Austin Fitts, affirme que la guerre en Ukraine est due à une combinaison de facteurs.
Tout d’abord, elle pense que la situation géographique stratégique de l’Ukraine et ses terres agricoles très précieuses suscitent un grand désir de contrôle de la part de diverses parties intéressées, notamment en raison de l’augmentation des investissements dans la « Route de la Soie » et de l’ascension de l’Asie. En conséquence, elle pense qu’il y a une tentative de dépeupler l’Ukraine et de la reconstruire comme un point central sur la Route de la Soie.
D’autre part, selon Mme Fitts, la guerre en Ukraine est également un moyen pour l’alliance anglo-américaine de maintenir sa position de pouvoir sur le marché européen, en empêchant une alliance économique entre l’Europe et la Russie. Elle soutient que ce que nous observons n’est pas une guerre en Ukraine, mais une guerre entre le dollar et l’euro.
N’oubliez pas ce que disait Coluche, il suffit que les gens n’achètent pas pour que ça ne se vende pas !
Simple et frappé au coin du bon sens.
Lorsque les gens en auront assez de payer 30 % plus cher le même produit parce que c’est dimanche, et bien ils l’achèteront soit à d’autres moment, soit plus du tout. Quand les supermarchés seront vides le dimanche, ils les fermeront faute de rentabilité.
Aidons-les à redonner au plus grand nombre le repos dominical !
« Les hypermarchés Casino testent une tarification dynamique en proposant des produits plus chers le dimanche qui est pourtant un jour de faible fréquentation des magasins. Un essai mis en pause depuis la fin-janvier.
Combien coûte le lot de 4 Danettes pistache dans un hypermarché Géant ? Cela dépend du jour où vous l’achetez. Dans le même magasin, vous la paierez 2,10 euros le samedi à 18h. Mais revenez le dimanche matin à 10h et vous devrez débourser 2,85 euros pour le même produit, soit une augmentation de 36 %.
Révélée par le spécialiste de la consommation Olivier Dauvers qui a mesuré l’évolution des prix de 676 produits dans cinq hypermarchés du groupe Casino (dont Angers, Lanester ou encore Aix-en-Provence), cette pratique peut s’apparenter à de la tarification dynamique (ou yield management) largement utilisée dans les secteurs de l’aérien et de l’hôtellerie.
L’idée est d’optimiser le chiffre d’affaires en faisant varier les prix en fonction de la demande et du comportement des consommateurs. Si dans les transports, la stratégie paraît logique (faire payer plus cher quand l’avion est plein, moins cher quand il est vide), elle est inverse dans les hypermarchés Casino qui sont bien plus fréquentés le samedi que le dimanche.
Comme le rapporte Axios, « après des années de battage médiatique, le vent tourne contre la première génération de fabricants de protéines d’origine végétale ».
L’année dernière, les deux entreprises étaient en plein essor – avec un emplacement de choix dans les rayons des supermarchés, et Burger King a même ajouté un Whopper Impossible à son menu.
Impossible Meat a même commencé à se diversifier, en cherchant à étendre son offre à des viandes hautement transformées comme les nuggets de poulet et les saucisses.
Les ventes se sont toutefois effondrées, ce qui, selon un récent rapport de Bloomberg, a conduit Impossible Foods à envisager de licencier environ 20 % de ses employés.
Nous sommes à la veille, très certainement, d’une nouvelle offensive russe d’envergure, et nous ne savons pas quelle forme cette dernière prendra.
Nous avons déclaré la guerre économique à la Russie et une guerre, est toujours, toujours économique ! Les guerres ont toutes des mobiles économiques au sens large, le sens large incluant par exemple les ressources naturelles nécessaires à pays.
Il ne faut pas s’imaginer un seul instant que la Russie de Poutine le vive bien ou le prenne de la même manière. Nous sommes bien en guerre contre la Russie et la Chine sait très bien qu’elle est la prochaine cible des Etats-Unis.
COVID-19 : Une opération financière mondiale.
L’histoire de la pandémie du COVID-19 n’a pas de sens si on la considère sous l’angle de la santé, de la sécurité et de la science. En revanche, si on la considère sous l’angle de l’argent, du pouvoir, du contrôle et du transfert de richesse, tout est parfaitement logique.
Les confinements, les muselières obligatoires, la distanciation antisociale et la pléthore de mesures complémentaires n’ont rien fait pour protéger ou améliorer la santé publique – ils n’ont jamais été conçus pour le faire.
Les nombreuses obligations nées au début du scénario Covid-19 ont toutes été conçues pour briser délibérément l’économie mondiale et écraser les petites entreprises, ainsi que pour briser l’esprit et la volonté des gens, détruire le tissu social, afin de « reconstruire une société meilleure » conforme aux visions dystopiques des psychopathes qui mènent cette guerre des classes.
Le résultat souhaité est une utopie de milliardaires, dans laquelle ils posséderont et contrôleront la planète sous la forme d’un fief techno-féodal où l’humanité sera marquée numériquement et régulée comme du bétail dans une technocratie super-surveillée.
Ce que cette crise fabriquée camoufle commodément, c’est que nous sommes au milieu d’un effondrement économique total planifié – un effondrement qui était inévitable.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Lorsque je parle autour de moi, je n’entends pas grand monde se réjouir de cette réforme des retraites poussant l’âge à 65 ans.
Pour quoi?
Tout simplement parce que l’écrasante majorité des gens sait très bien qu’au delà même des capacités physiques, il y a une évidente lassitude qui s’installe avec le temps, l’âge et les années.
Evidemment quand on gagne 50 000 euros par mois, la lassitude est souvent moindre.
Vous avez en effet, comme pour la météo, la température réelle et la température ressentie.
A 50 K€ par mois, le ressenti est nettement plus favorable, mais comme cela concerne 0.01 % de la population excluons ces cas-là et parlons des vrais gens.
Le prof qui va jeter ses élèves par la fenêtre bien avant l’âge de 65 ans d’ailleurs ou partir en dépression .
Reprenons quelques chiffres avant d’aller faire travailler ceux qui travaillent déjà.
Inflation en Espagne : L’Obs rapporte que, en Espagne, le prix des produits alimentaires a augmenté de 15 % en un an. Le pain, le lait, le fromage, les fruits, les légumes et les céréales seront concernés par la suppression de la TVA.
Le gouvernement de gauche espagnol a annoncé ce mardi 27 décembre la suppression de la TVA sur les denrées de première nécessité afin de compenser la forte hausse des prix, ainsi qu’une aide de 200 euros pour les familles les plus modestes.
Ces annonces font partie d’une nouvelle série de mesures d’une valeur de 10 milliards d’euros. Cela porte à 45 milliards d’euros le montant des dispositions prises cette année par le gouvernement pour aider les Espagnols à faire face à l’explosion de l’inflation, a précisé le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez lors de sa dernière conférence de presse de l’année.
Vous aviez prévu de prendre le train pour les fêtes de Noël, mais votre trajet vient d’être annulé ? Il peut y avoir un moyen de tout de même vous déplacer. Le mouvement social des contrôleurs de la SNCF, qui réclament une meilleure reconnaissance de la spécificité de ce métier, touche essentiellement les lignes à grande vitesse : deux TGV sur cinq sont supprimés. Cela signifie qu’il est encore possible de voyager en train, avec le réseau Intercités – qui est, au passage, le plus vaste réseau ferroviaire de France — ou bien via le réseau TER.
Comment voyager par Intercités : le guide
Le bélier de la mythologie grecque était paré d’une toison d’or. Aujourd’hui, la laine des moutons de nos campagnes ne vaut pas plus de quelques centimes le kilo... quand elle ne finit pas au fumier. « Cette année, les ballots de laine sont partis pour 15 centimes le kilo. Et encore, le négociant ne prend que la plus belle laine, raconte Rémi, éleveur de quelque 700 brebis à Mornand-en-Forez dans la Loire. J’avais deux gros sacs de laine rava, une race avec beaucoup de jarre [poil long et raide, peu adapté pour le textile], il n’en a pas voulu. Je l’ai utilisé comme litière pour mes bovins, et elle a donc fini au fumier. »