S’il faut y voir essentiellement un coup de communication, le chef de l’État prépare surtout les Français à une nouvelle cure d’austérité. Décryptage.
Le président français a d’abord évoqué la fin des « liquidités sans coût » dont il faudra « tirer les conséquence en terme de finances publiques ». Comme prévu, le gouvernement reprend donc son agenda austéritaire. Une nouvelle fois, « la crise » fera office de parfaite excuse pour mettre en place une politique néolibérale. Pour essayer de montrer qu’il n’est pas un idéologue, le président rappelle son plan de solidarité lors de la crise du Covid-19, le fameux « quoi qu’il en coûte ». Toute honte bue, ce plan a largement été instrumentalisé pour tenter de démontrer l’existence d’une fibre sociale dans ce gouvernement. Le ministre de l’économie, Bruno Lemaire, n’a d’ailleurs de cesse de répéter que la France a été la plus généreuse d’Europe lors de cette crise.
Les soldats ukrainiens n’ont jamais eu la moindre chance de résister à la puissance de l’armée russe. Pas la moindre. Cela était évident dès le début de la guerre. Il est illogique que le gouvernement ukrainien et ses partisans aient tenté de résister à cet assaut.
L’« Occident » aurait dû abandonner et faire les concessions que la Russie avait exigées. Il devra les faire de toute façon.
Les marchés américains étant fermés hier pour la fête du travail, toute l’action s’est déroulée en Europe – et étant donné que Nord Stream 1 a été fermé et que la Commission européenne a proposé des réglementations de type économie de guerre, et que la Russie a ensuite clairement indiqué qu’à moins que les sanctions à son encontre ne soient levées, aucun gaz ne circulera *jamais* à nouveau par Nord Stream 1, il n’est pas étonnant que les Eurostoxx aient baissé et que l’euro soit passé sous la barre des 0,99 pour la première fois en 20 ans, alors que le mouvement de démolition du dollar se poursuit.
Toute la presse se précipite dans la brèche ouverte par on ne sait qui, mais on peut penser qu’il y a eu autorisation hiérarchique, entre la direction de la Santé, le ministère du même nom, et le Conseil de l’Ordre des médecins. La presse fait où on lui dit de faire.
On le voit avec Casasnovas, qui n’a rien fait de mal mais qui a été persécuté par l’ensemble des forces du Système, entre les médias mainstream, la justice et des représentants de la médecine allopathique. En France, aujourd’hui, on n’a pas le droit ou on a de moins en moins le droit de se soigner autrement, c’est-à-dire avec des remèdes de grand-mère, les plantes, l’homéopathie, les compléments alimentaires ou tout simplement une nourriture adaptée.
Selon le président Vladimir Poutine lors de son entrevue avec le directeur du fisc russe, Daniil Yegorov, les revenus de la Fédération de Russie lors du premier semestre 2022 ont augmentés de 32 %, principalement en raison de la hausse des prix de l’énergie.
Première librairie en ligne du monde, la firme a imposé son hégémonie au mépris de toute considération sociale et écologique. Mais de plus en plus de citoyens, conscients des dérives du modèle Amazon, sont désireux de se tourner vers des revendeurs plus éthiques. Des alternatives existent en effet, qui vendent des livres d’occasion tout en s’engageant pour la planète. Focus sur trois de ces alternatives.
Les confinements successifs, les mesures gouvernementales paradoxales et le contexte socio-économique sont d'autant de facteurs qui ont sonné le ras-le-bol du travail.
C’est aux États-Unis que ce phénomène a d'abord pris de l’ampleur. Le "Big Quit", ou grande démission, qui affecte les entreprises américaines, en est l’incarnation. Près de 48 millions d’Américains ont décidé de prendre le large en 2021. Cette année, les départs continuent de s’accélérer. Selon le département américain du Travail, 4,4 millions de personnes ont déjà donné leur démission en 2022.
Politiciens, hauts fonctionnaires, et autres experts qui nous dirigent, décident de tout pour nous, tant à l’échelle de la vie publique du pays qu'au sein des foyers et des entreprises. Pour eux, c’est certain : le doute ne subsiste pas. Ces messieurs et dames de Science Po, l’ENA, Normal Sup, Polytechnique et Cie - que Coluche regroupait sous l’appellation unique commune de « technocrates » - nos « élites », ont la science infuse.
« Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans cinq ans, faudrait qu’ils achètent du sable ailleurs. »
Dans l'article, un lien vers une carte interactive de toutes les usines et installations de transformation alimentaire qui ont récemment pris feu ou ont été détruites.
Les prix de gros sur la bourse de l’électricité EEX de Leipzig ont atteint un nouveau record de 319 euros par mégawattheure à la fin de la semaine dernière. Cela signifie qu’ils ont plus que triplé depuis le début de l’année.
L’avantage de prix des voitures électriques appartiendrait donc au passé. Les voitures électriques menacent de devenir encore plus chères à l’usage que les véhicules à essence et diesel.
Les vaccins s’attaqueraient au cancer du sein et de la peau, également connu sous le nom de mélanome.
Un traitement personnalisé pour certaines formes de cancer
Selon un résumé publié sur Clinicaltrials.gov, l’étude a débuté le 9 juin 2022 et devrait se terminer le 1er novembre 2023. L’essai de phase 1 est actuellement à la recherche de 20 patients au total, âgés de plus de 18 ans, pour tester un « produit pharmaceutique réglementé par la FDA américaine ».
L’étude a été confirmée par un représentant d’Amazon.
Qu’est-ce que cela signifie pour Amazon ? Cela signifie que l’entreprise, déjà omniprésente, pourrait ajouter un nouveau service à son actif : le traitement du cancer. Si elle y parvient, les bénéfices financiers qu’elle en tirera seront considérables.
Vous (et moi) nous avons un budget, et quand on ne le tient pas bien, généralement le banquier vous appelle (c’est quand vous vous entendez bien avec lui, sinon, il vous enverra juste les prélèvements de frais et des courriers à 15 euros pièce).
L’état c’est différent, ce qui veut dire que ce n’est pas pareil.
L’état, lui, grâce à tous les Mozarts de la finance qui se sont succédés à la tête de notre pays pour le ruiner, fait un budget. Un budget qui évidemment ne sera pas tenu, et vous trouverez toujours une bonne raison pour ne pas tenir votre budget, surtout quand c’est pas vous payez mais les « zotres ». Les « zotres » c’est les « zimpozables », les riches qui payent des « nimpots » tous beaux et tous chauds.