Ce duo audacieux, Musk et Ramaswamy, a pour mission d’économiser 2 000 milliards de dollars, avec pour objectif un gouvernement plus léger d’ici 2026.
Coup de tonnerre à Washington ! Donald Trump, fraichement réélu et désormais seul maître à bord, vient de surprendre la planète entière en confiant à Elon Musk, le magnat de Tesla et SpaceX, la mission de réinventer le gouvernement américain. Son arme secrète ? Un tout nouveau ministère de l’« efficacité gouvernementale », surnommé avec une touche d’humour très « Muskienne » : le Department of Government Efficiency ou… « Doge » ! Ce clin d’œil au célèbre mème du chien Shiba Inu est à la fois une déclaration d’amour à la culture web et un pied de nez audacieux à la bureaucratie traditionnelle.
Le duo de choc : Musk et Ramaswamy, pour un gouvernement plus léger et agile
Aux côtés du climatosceptique Vivek Ramaswamy, autre homme d’affaires et soutien inébranlable du Parti républicain, Elon Musk s’attaque désormais à la bureaucratie comme il l’a fait pour les voitures électriques et les fusées : avec audace et passion. Investissant plus de 100 millions de dollars dans la campagne de Trump, Musk n’a pas hésité à plonger tête baissée dans ce défi d’envergure, fermement décidé à couper dans les dépenses « inutiles » du gouvernement. Donald Trump, avec son enthousiasme habituel, a déclaré : « Ces deux génies vont faire souffler un vent de liberté et d’efficacité dans nos agences fédérales. »
L’objectif ? Pas moins de 2.000 milliards de dollars d’économies dans un budget annuel d’environ 7.000 milliards. Avec cet argent « libéré », Trump promet de donner un nouvel élan à l’économie et de réduire le poids de la dette publique. « Apurer les dépenses excessives et rationaliser l’administration, voilà ce que veut le peuple ! » a affirmé Trump. Pour lui, ce ministère inédit, confié à deux alliés de premier plan, représente une véritable révolution, qu’il n’hésite pas à qualifier de « Projet Manhattan de notre temps ».
Le ministère Doge : quand la bureaucratie rencontre la culture internet
Le choix du nom « Doge » pour ce ministère a fait sourire plus d’un observateur. Ce clin d’œil au dogecoin, cryptomonnaie née d’une blague sur internet mais adoptée avec ferveur par Elon Musk, est le reflet d’une culture de l’innovation, mais aussi d’un humour mordant. Imaginez le ministère fédéral de l’efficacité orné d’un logo Shiba Inu ! Si Musk a souvent flirté avec l’absurde et les mèmes, il semble prêt à injecter une bonne dose de fantaisie dans la machinerie étatique. Le message est clair : l’administration Doge ne reculera devant rien pour bousculer les conventions.
Un « cadeau parfait » pour l’Amérique du 4 juillet 2026
Le duo Musk-Ramaswamy se voit confier une mission avec un timing qui fait déjà sourire : transformer le gouvernement d’ici au 4 juillet 2026, date symbolique du 250e anniversaire de la Déclaration d’Indépendance. Un objectif que Trump qualifie de « cadeau parfait » pour l’Amérique.
Alors que Musk et Ramaswamy s’attellent à cette tâche titanesque, la capitale bruisse déjà des ambitions et des changements à venir. Ce ministère, né sous le signe de l’audace, pourrait bien insuffler un vent nouveau et décoiffant dans les couloirs feutrés de Washington. D’ici là, chacun se demande : jusqu’où iront Musk et Ramaswamy pour faire de l’administration américaine une institution à la fois efficace… et un brin excentrique ?
Les prochains mois s’annoncent captivants – et qui sait, peut-être que le célèbre Shiba Inu finira par trôner dans les bureaux fédéraux.
Bonne nouvelle mes amis !
Enfin bonne, pas pour toutes les âmes sensibles de gauche qui pleurent la défaite de Kamalaty Jane, dont personne n’a voulu voir le manque de valeur face à Trump, un tantinet combattif (et que l’on peut ne pas aimer, tel n’est pas le sujet).
La bonne nouvelle c’est que l’or baisse, il s’effondre même depuis la victoire de Trump.
Pourquoi est-ce une bonne nouvelle me direz vous si l’on est détenteur d’or ?
Simple.
Je préfère un monde en paix avec de l’or qui baisse et mes enfants en vie, que mon or qui monte, une troisième guerre mondiale avec les Russes et les Chinois et mes fils se battant sur le front de l’Est contre des Nord-Coréens…
Simple.
Je vous le dis.
Un économiste de grenier normand est un homme simple, avec des préoccupations simples.
Tout mon “or” contre la vie de mes enfants.
Qu’a dit Trump ?
Qu’il n’allait pas déclencher de guerre mais mettre fin aux guerres.
Alors dites ce que vous voulez de Trump le fasciste, le raciste, le méchant, mais s’il devient un artisan de paix, alors le monde y gagnera, surtout les fils d’Ukraine et de Russie qui tombent par centaines de milliers depuis deux ans. Les mères ukrainiennes et russes y gagneront aussi. Les mères européennes, espérons-le, n’auront pas à pleurer leurs fils.
Alors oui.
L’or baisse sur des anticipations de paix.
J’aime la paix et vous ne me ferez jamais aimer la guerre.
Poutine n’arrive déjà pas occuper l’Ukraine… alors avant qu’il s’aventure plus loin cela relève de la pure imbécilité militaire et stratégique.
L’or baisse mes amis et c’est une bonne nouvelle.
Cela nous donne aussi le “montant” et le pourcentage exact de la prime de risque “géopolitique”. Merveilleux chiffre que l’on va pouvoir calculer avec précision.
L’or baisse et c’est une bonne nouvelle, car vous allez pouvoir en racheter à un meilleur prix. Nous allons avoir notre nouveau point d’entrée, parce que… l’or va remonter encore et encore.
Pourquoi ?
Parce que les taux vont baisser et que le problème des dettes ici en Europe comme là-bas en Amérique reste entier !
Sur les réseaux sociaux, de nombreux comptes proposent des interventions sur des compteurs Linky pour faire baisser la consommation de « 50% à 70% », grâce à une manipulation très risquée et illégale. Pour voir ce que cachait ce juteux business, nous avons fait appel à l’un de ces fraudeurs via les réseaux sociaux pour une intervention dans un appartement parisien que nous avons équipé de caméras cachées.
Un aveu historique qui révèle leurs véritables craintes : la redistribution des richesses des élites vers les plus jeunes et les exclus du système financier. Découvrez comment ce document officiel trahit la panique grandissante de la BCE face à une cryptomonnaie qu'ils ne peuvent plus ignorer. Une analyse sans concession des contradictions et des biais d'une institution qui sort de sa neutralité pour déclarer la guerre à Bitcoin.
Mon Linky personnel a grillé en janvier dernier. Totalement grillé. Boum… d’un coup plus de jus dans la maison… Linky kaput !
Enedis a mis 7 mois pour venir le remplacer… en fait le technicien d’Enedis est venu le jour même nous remettre le courant, mais le nouveau compteur a mis 7 mois à être posé.
Alors je ne sais pas combien ils sont à la brigade de contrôle mais ça va mettre du temps d’aller vérifier à la main les 100 000 compteurs “suspects”.
Vous pouvez considérer que c’est du vol, mais quand on vous vend l’électricité en aucun cas au prix où elle devrait l’être, et où tous les citoyens de ce pays se font escroquer par un système inique, nous pouvons dire qu’il est compréhensible que certains, de plus en plus nombreux, fassent la distinction philosophique entre légalité et moralité. Ce n’est peut-être pas légal de tricher sur son Linky, mais cela n’étouffe plus la moralité des gens.
Vous avez donc sous les yeux, une amplification du rejet de l’ensemble du système par les gens.
C’est à bas bruit, mais c’est réel.
Et ce n’est pas la hausse de la fiscalité qui va arranger les choses.
En fait, il faudrait juste que les dirigeants fichent la paix au peuple et se souviennent qu’ils sont là pour nous servir, pas pour se servir.
« Chaque année, le groupe Enedis doit faire une croix sur 250 millions d’euros en raison de la fraude Linky, qui consiste à tromper le boîtier en y apposant par exemple un câble. Une pratique frauduleuse qui peut exposer à de la prison et une lourde amende. »
Enedis alerte sur la recrudescence d’actes de fraude au compteur Linky. Dans certains foyers, les appareils sont trafiqués pour que les compteurs ne détectent plus de consommation d’électricité.
Les appareils connectés Linky, aussi intelligents soient-ils, n’échappent pas à la fraude. Enedis l’a d’ailleurs constaté à ses dépens : contacté, le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité s’inquiète de la hausse de trafics de compteurs Linky. L’objectif : faire baisser la note sur les factures d’électricité dans un contexte de hausse continue des prix dans le secteur de l’énergie.
Et pour ce faire, tous les moyens sont bons. Les trafiquants passent entre autres par des réseaux sociaux de type Snapchat ou Telegram pour trouver preneur. En échange de quelques centaines d’euros, ces derniers mettent en place un système de dérivation pour tromper le compteur. L’opération, qui ne nécessite qu’un tournevis et des gants isolants, ne prend que deux minutes. L’appareil est par la suite refermé à l’aide d’un scellé parfois volé chez Enedis, parfois reproduit à l’aide d’une imprimante 3D. Lorsque la procédure est achevée, Enedis n’est alors plus en mesure de détecter la consommation d’électricité du logement concerné. Les occupants peuvent dans certains cas économiser jusqu’à 75 % de la facture.
Des dizaines de milliers de compteurs concernés ?
L’opération elle, représente "un surcoût financier pour l’ensemble des clients", rappelle le gestionnaire, qui évoque par ailleurs une pratique dangereuse : "La modification non conforme d’une installation électrique présente un risque sérieux pour la sécurité des biens et des personnes, tant pour les clients que pour les techniciens intervenant sur les installations".
En 2023, le procureur de la République de Besançon estimait que le « vol d’énergie » concernait des « dizaines de milliers de compteurs » en France. Enedis affirme de son côté avoir répertorié plusieurs milliers de cas. Trafiquer un compteur Linky pour soi ou pour le bénéfice d’une autre personne est une pratique illégale passible d’un million d’euros d’amende et de dix ans d’emprisonnement, pour les peines les plus lourdes.
La Dépêche
La décroissance «choisie» comme modèle de vie !
Ou la décroissance «subie-choisie» comme thérapie !
Ou la décroissance «totalement subie» comme conséquence de l’effondrement !
«La décroissance c’est la vie ! Ce mot débute par le préfixe «dé» : il sonne comme une chaîne que l’on brise. C’est la fin d’un mode de production primaire et mortifère basé sur le pillage des ressources naturelles, la puissance des machines, la consommation forcenée des énergies fossiles, le culte du profit et l’aggravation générale de l’inégalité entre les hommes. Je me délecte à l’idée de venir, un jour, humer le parfum des fleurettes qui crèveront l’asphalte des autoroutes abandonnées ou le béton des parkings déserts». – Yves Paccalet
Disons-le franchement la plupart des gens ne sont pas à l’aise avec ce mot «décroissance», se taisent, fuient, sans que jamais personne ne se risque à l’expliquer honnêtement, sauf à la présenter comme un épouvantable retour en arrière et traiter ses partisans de complotistes et pessimistes – bref, ce sujet est quasiment inaudible dans le camp occidental – voici, sans aucune prétention, pour faire court, mon interprétation et tant mieux pour ceux auxquels ça déplaira :
1. La seule décroissance heureuse, efficace et quasiment indolore, positive, donc aisément supportable et fortement souhaitable c’est quand on n’a pas besoin de décroissance, c’est la «décroissance choisie dès le départ et soutenue comme modèle de société» ;
Cela correspond au fonctionnement normal des écosystèmes depuis toujours qui ont pour ainsi dire été réglés comme cela depuis le big-bang ; c’est la norme, le respect des équilibres fondamentaux, originels ; Ce serait donc davantage une «stagnation», une «modération», ou éventuellement une «décélération» comprise comme une correction de trajectoire qui n’aurait que très légèrement dévié, dans un écosystème sain !
Ce qui, pour être efficace et supportable, devrait être appliquée très tôt «dès le début et tout le long du cycle de vie» depuis l’apparition des espèces, dès que l’on s’éloigne d’un fonctionne normal, de base, qui est celui d’un refus quasi-total de toute croissance devant se traduire par une flèche de développement imperceptible, quasiment confondue avec l’horizontale ! Une a-croissance ! C’est de cela dont nous n’aurions jamais dû nous éloigner ! C’est comme cela que nous avons vécu pendant quatre ou cinq millions d’années !
Tant qu’un lac reste oligotrophe (sain et pauvre) sa durée de vie est illimitée, mais dès que commence l’eutrophisation (enrichissement), si elle se poursuit, c’est le début de la fin qui se terminera par la dystrophie (pollution), l’effondrement, la mort de tout ou partie des espèces, voire la disparition du lac !
Dans tous les autres cas (2-3), c’est lorsque l’on constate avec un certain vertige, que l’on est tout en haut de l’échelle du progrès, qu’on se retourne, et que l’on se rend-compte – avec effroi – que les échelons inférieurs de l’échelle ont disparu – pour redescendre il n’y a plus qu’à sauter ! c’est à dire «lorsque c’est le paradis des maîtres», «lorsque les fous sont devenus les maîtres de l’asile», «lorsque la connerie économique prend le pouvoir» et que la croissance qui est à son asymptote a explosé tous les compteurs pendant si longtemps – de manière exponentielle – anarchique (démographie galopante – épuisement des ressources – pollutions – déchets – casse climatique – massacre de la biodiversité – pandémie – cancers – artificialisation des sols – pénuries d’eau – canicules – sécheresses – obsolescence programmée – hors sol – hyper complexifiée – inégalités monstrueuses – guerres…) nous sommes alors en présence d’écosystèmes malades, agonisants, séniles, trop éloignés de leur point d’équilibre pour être rattrapables, ce sera une véritable sanction, extrêmement douloureuse, un effondrement au sens littéral du terme ! Et nous n’avons plus le choix, nous sommes désormais dans ce cas de figure !
Dans la journée de l’humanité il suffit à homo sapiens, de moins d’une minute pour tout bousiller !
Il ne nous reste donc que de choisir entre la peste et le choléra !
2. La peste ce sera la «décroissance subie-choisie», repartir sur de bonnes bases, changer totalement de direction et de concept, en agissant simultanément sur tous les paramètres de causalité (sinon ça ne sert à rien) en espérant en réduire les conséquences, ce qui provoquera un effondrement de la société actuelle afin d’anticiper et éviter le Big-Crunch inéluctable (le choléra) ; C’est-à-dire l’enterrement du capitalisme économique néolibéral mondialisé !
Car nous sommes allés beaucoup trop loin dans les erreurs avec le capitalisme économique néolibéral mondialisé, et qu’il n’est plus possible ni de s’adapter, ni de modifier, ni de durer, ni que ce soit indolore (ça va saigner), ce sera comme je l’ai précédemment indiqué un pré-effondrement, mais qui pourrait sauver la vie sur Terre. Ce serait un peu comme provoquer artificiellement un contre feu dans un incendie qui a déjà quasiment tout dévoré sur la planète à cause de la casse climatique ! Mais je vous vois venir, attention à ne pas accuser la décroissance dans ce cas-là ; le responsable et coupable, c’est bien le capitalisme économique néolibéral mondialisé qui nous a conduit dans cette situation inextricable !
Il faut bien comprendre que la «décroissance subie-choisie», parce qu’elle ne peut plus être une «décroissance douce», un mode de gestion, c’est déjà un constat d’échec, une horreur pour un monde qui sacralise la croissance, c’est celle cependant qui nous permettrait peut-être d’éviter le Big-Crunch – ça veut dire que malgré toute leur propagande il n’y a pas de plan B, que de toute manière il faudra expier nos pêchés, payer pour ce capitalisme économique néolibéral mondialisé le plus sauvage de tous les temps, ce sera d’autant plus douloureux que nous sommes allés beaucoup trop loin dans les aberrations, et qu’il n’y a plus de solution indolore, plus de correction possible que le chaos, pas d’autre Terre où migrer, après l’adrénaline et l’hémoglobine des trente glorieuses et au-delà, voici venu le temps de payer la note qui risque de durer beaucoup plus longtemps – ce sera la fin de la religion capitaliste néolibérale (le scientisme), la fin du progrès–marché-croissance–mondialisation–main invisible-ruissellement ! Le retour à un certain primitivisme, comme en décroissance totalement subie mais peut-être un peu moins, qui nous pend au nez, que ça nous plaise ou non ! Parce que c’est comme cela que ça fonctionne et pas autrement !
3. Le choléra : ce sera le stade ultime : «la décroissance totalement subie», par effondrement total de notre écosystème, donc de notre modèle de société (le capitalisme économique néolibéral mondialisé), rendu au bout du bout, devenu complètement sénile, que nous aurons poussé jusqu’à l’extrême, jusqu’à l’absurde, jusqu’au suicide collectif ! Ce sera terrible, probablement que peu d’entre nous survivront, ce sera le chaos, l’apocalypse pour l’ensemble du vivant mais insignifiant pour la Terre et le fonctionnement de l’univers qui est en perpétuelle expansion ! Mais attention dans ce cas de figure également ne nous trompons pas sur les causes (le déterminisme), c’est le capitalisme économique néolibéral mondialisé et son effondrement qui sont responsables et coupables et non pas la décroissance qui en résulte !
En effet, dans sa conception naturelle, environnementale, l’effondrement qui se traduit par la décroissance subie ou forte, frappe, sanctionne les sociétés qui n’ont pas su, pas voulu limiter leur développement, qui n’ont pas compris ou pas voulu admettre que la seule façon de durer c’est de consommer peu, de posséder peu, de ne croitre que très faiblement, juste ce qui est nécessaire à la perpétuation de l’espèce de telle sorte que le «climax» ne soit jamais atteint (tout le contraire de la société actuelle qui a déjà basculé du côté obscur en dépassant la capacité de charge de la Terre) !
Il est donc d’un contre sens absolu de présenter notre façon de vivre, notre modèle de société comme «la norme» «le progrès», en prônant comme remède à nos problèmes «la croissance et le retour à la normale», car rien n’est plus anormal que cette façon de faire, contraire à tout ce que j’appellerai les constantes universelles des écosystèmes !
Ce fonctionnement en dents de scie (naissance – développement – mort) est inéluctable et si notre espèce et la planète Terre ont traversé quelques millions d’années pour les uns et quelques milliards d’années pour l’autre ce n’est pas du tout en vivant comme nous le faisons aujourd’hui, c’est exactement l’inverse ! Il faut des-américaniser le monde et décroitre de toute urgence !
La preuve que personne n’a rien compris : ils ont tous la tête dans la télé, regardent le conflit Russo-Ukrainien (États-Unis-OTAN/Russie) comme si c’était un match de foot ou un jeu vidéo, excités et aliénés par la propagande Américano-Occidentale qui leur annonce les prochaines rencontres (la guerre des États-Unis et de l’OTAN contre la Chine, l’Iran, la RPDC et tous ceux qui refusent de signer la feuille de route américano-occidentale comme en Afrique par exemple) !
«Aujourd’hui, la propagande a pris des proportions inédites, car elle doit enterrer dans la conscience collective la confiscation du pouvoir mondial par une caste de prédateurs qui rançonnent les pays et les peuples grâce aux subterfuges du simulacre démocratique» ! La guerre éternelle !
Rendez-vous à la fin, puisque c’est à ce moment-là qu’on fait les comptes !
Tout le reste n’est que littérature.
Les résultats financiers de McDonald's pour le deuxième trimestre ont chuté de 8%, principalement à cause d'un boycott mondial en réaction à son soutien à Israël dans le conflit à Gaza.
La célèbre chaîne de restauration rapide américaine, McDonald’s, a annoncé lundi des résultats financiers bien en deçà des attentes pour le deuxième trimestre. Le chiffre d’affaires a chuté de 8%, atteignant 6,49 milliards de dollars, tandis que le bénéfice net a plongé de 12%, s’établissant à 2,02 milliards de dollars. Cette contreperformance est largement attribuée à une baisse de la fréquentation, exacerbée par le boycott généralisé en réponse au conflit à Gaza.
Depuis le début du conflit à Gaza, McDonald’s est devenu une cible privilégiée dans les pays musulmans et ceux à forte population musulmane, en raison de son soutien affiché à Israël. En novembre, sa franchise israélienne a généreusement offert des milliers de repas gratuits à l’armée israélienne, ce qui a provoqué une vague d’indignation et un appel au boycott mondial de la marque.
Quarante-six mille entreprises israéliennes ont été contraintes de fermer en raison de la guerre en cours et de ses effets dévastateurs sur l’économie, a rapporté le journal hébreu Maariv le 10 juillet, qualifiant Israël de «pays en faillite».
«Ce chiffre très élevé englobe de nombreux secteurs. Environ 77% des entreprises qui ont fermé depuis le début de la guerre, soit environ 35 000 entreprises, sont des petites entreprises comptant jusqu’à cinq employés, les plus vulnérables sur le plan économique», a déclaré Yoel Amir, PDG de la société israélienne de services d’information et de gestion des risques de crédit, CofaceBdi, au média Maariv.
Le rapport ajoute que : «les industries les plus vulnérables sont celles de la construction et, par conséquent, tout l’écosystème qui fonctionne autour d’elles : la céramique, la climatisation, l’aluminium, les matériaux de construction, etc.».
Le secteur du commerce a également été sévèrement touché. Il s’agit du secteur des services et des industries de la mode, du mobilier, des articles ménagers, des loisirs, des transports et du tourisme.
Israël se trouve dans une situation où «le tourisme étranger a pratiquement disparu», indique le rapport, ajoutant que «les préjudices subis par les entreprises s’étendent à tout le pays, et presque aucun secteur n’a été épargné».
Cela inclut le secteur agricole, principalement basé dans le sud et le nord – tous deux considérés comme des zones de combat actives en raison de la menace représentée par la résistance palestinienne et le Hezbollah libanais – dont le front de soutien contre Israël a contribué de manière significative à l’effondrement de l’économie.
Le directeur général de CofaceBdi estime que 60 000 entreprises israéliennes devraient fermer boutique d’ici à la fin de 2024.
Les attaques du Hezbollah ont gravement affecté les entreprises locales et l’éducation dans le nord. Des dizaines de milliers de colons ont été contraints d’évacuer. «Notre objectif d’assécher l’économie de l’ennemi a été atteint», a déclaré Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah, le 10 juillet.
Les opérations militaires en mer conduites par l’armée yéménite ont également contribué à l’effondrement de l’économie du pays. Les recettes des principaux ports, comme celui d’Eilat, dans le sud du pays, ont chuté de manière spectaculaire.
Au cours des derniers mois de 2023, le PIB israélien a chuté de près de 20%.
La menace d’une intensification des hostilités avec le Hezbollah a également fait craindre à Israël qu’une guerre à grande échelle avec la résistance libanaise ne pousse l’économie israélienne à plonger encore davantage. Le Hezbollah a démontré, par le biais de récents avertissements vidéo, qu’il était capable d’attaquer des infrastructures énergétiques telles que des raffineries de pétrole et des réservoirs de gaz.
En tant que première cryptomonnaie décentralisée, elle redéfinit les concepts de devise et de transaction monétaire, influençant non seulement le commerce mais aussi les échanges internationaux. Grâce à la technologie blockchain, le bitcoin offre une sécurité et une transparence sans précédent, ouvrant la voie à une nouvelle ère de finance numérique.
Quelles sont les bases technologiques du bitcoin ?
Le bitcoin repose sur une technologie de pointe appelée blockchain. Cette technologie permet de conserver toutes les transactions dans un registre public décentralisé sous forme de blocs cryptés. Une fois intégrée dans la chaîne, chaque donnée devient inaltérable et infalsifiable, assurant ainsi l’intégrité et la sécurité des transactions. Le processus de validation collective, connu sous le nom de minage, non seulement sécurise le réseau, mais distribue également de nouveaux bitcoins aux participants de manière équitable.
Le bitcoin ne se contente pas de transformer les transactions personnelles, il a un impact considérable sur le commerce international. Par exemple, les échanges économiques entre le Maroc et Israël bénéficient grandement de cette cryptomonnaie, rendant les transactions plus rapides et moins coûteuses. En éliminant les fluctuations des taux de change et en réduisant la dépendance aux systèmes bancaires locaux souvent instables, acheter des Bitcoins facilite les échanges commerciaux mondiaux.
Une opportunité pour les petites et moyennes entreprises
Pour les petites et moyennes entreprises (PME), cette monnaie représente une formidable opportunité d’accéder aux marchés internationaux. Les obstacles traditionnels posés par les transactions financières internationales peuvent être surmontés grâce à cette cryptomonnaie, offrant ainsi une entrée simplifiée et rentable sur les marchés mondiaux. En utilisant le bitcoin, les PME peuvent éviter les frais élevés associés aux transactions transfrontalières traditionnelles. Les coûts réduits sont particulièrement avantageux pour ces entreprises, leur permettant de fonctionner avec des marges de profit plus importantes et de réinvestir dans leur croissance. Les transactions en bitcoin étant généralement plus rapides, elles permettent aux entreprises de gérer leur trésorerie de manière plus efficace.
Avec la blockchain, chaque transaction est hautement sécurisée, ce qui réduit les risques de fraude et d’altération des données financières. Pour les PME opérant dans des régions géopolitiquement instables, cette sécurité accrue peut offrir une tranquillité d’esprit substantielle, sachant que leurs actifs financiers restent protégés contre les menaces locales.
Quel est l’avenir du bitcoin ?
La nature pseudonyme des transactions peut faciliter des activités illégales comme le blanchiment d’argent ou le financement du terrorisme, attirant ainsi une attention réglementaire accrue. Cela pourrait éventuellement conduire à des restrictions plus strictes à l’avenir. Les plateformes d’échange de bitcoins et les portefeuilles numériques peuvent présenter des vulnérabilités aux cyberattaques, exposant les investisseurs à des risques potentiels. De nombreuses instances régulatrices dans le monde examinent actuellement les moyens de mieux encadrer et sécuriser l’usage du bitcoin afin de protéger les consommateurs tout en encourageant l’innovation.
Il en va de même avec le temps de confirmation des transactions sur le réseau bitcoin. Selon le trafic réseau, ces confirmations peuvent prendre du temps, ce qui peut être problématique pour ceux qui recherchent des transferts rapides. À mesure que la technologie évolue, des solutions pour accélérer ce processus sont activement recherchées.
L’utilisation généralisée du bitcoin comme moyen de paiement reste encore limitée. Mais avec une numérisation croissante des économies mondiales, la demande pour des solutions de paiement transparentes et sécurisées comme le bitcoin est susceptible d’augmenter considérablement.
La Banque Centrale Européenne (BCE) s'apprête à secourir les finances publiques françaises, mais ce geste de solidarité européenne cache un tour de passe-passe financier au profit des sociétés allemandes...
Selon les analystes Tom Benoit et Philippe Béchade, la BCE va imprimer de la monnaie pour financer la dépense publique française, ce qui fera baisser la valeur de l’euro. Les Allemands, qui verront leur monnaie commune se déprécier, réclameront leur part du gâteau. C’est là qu’intervient l’Union des marchés de capitaux : elle permettra de mobiliser l’épargne privée des Européens pour financer des contrats de transition écologique et numérique, dont les sociétés industrielles allemandes seront les principaux bénéficiaires.
Un scénario qui met en péril nos démocraties libérales et annonce un avenir sombre pour l’Europe…
Yoann