En 2021, ils ont consommé quatre à sept fois plus d’eau que ce qui avait été consigné dans les engagements, soit 84 millions de litres d’eau potable.
Les centres de stockage de données, plus communément appelés "data centers", sont les lieux où sont regroupés tous les équipements et constituants d’un système d’information. Occupé par Microsoft, le site de Middenmeer s’était engagé à ne consommer qu’entre 12 et 20 millions de litres d’eau potable par an, en accord avec la municipalité de Hollands-Kroon.
Or, bien que l’information ait été classifiée, le média local Noordhollands Dagblab a eu accès aux chiffres réels, et a révélé que 84 millions de litres d’eau ont été dépensés pour l’année 2021. Dans le détail, l’enquête indique que Microsoft a consommé 75 millions de litres d’eau pour refroidir ses centres de données, et neuf millions de litres pour d’autres usages.
Créée en 2013, l’association Feuillandrôle se donne pour objectif de promouvoir les initiatives écologiques et autonomes, et en particulier de retrouver le lien avec la nature à travers la connaissance des plantes sauvages et les pratiques naturelles.
Elle est actuellement animée par Françoise Philidet, herbaliste, formatrice et conférencière, diplômée de l’ELPM (École Lyonnaises des Plantes Médicinales). Depuis 25 ans, en Savoie au sein de l’association Calenduline et dans l’Hérault, avec l’association Feuillandrôle, elle a formé des centaines de personnes désireuses de renouer avec le monde végétal ou de parfaire leurs connaissances des plantes. Son passé d’enseignante puis d’agricultrice en biodynamie ainsi que ses engagements écologiques et dans le domaine de la santé lui permettent de proposer une vision globale de l’homme et du monde vivant. Des intervenants de la région ou d’ailleurs la rejoignent régulièrement pour proposer des stages autour du bien-être et des savoirs naturels.
Nous avons même l’impression, à la visualisation de cette vidéo, que la sécheresse de 1976 était largement plus grave que ce que nous vivons aujourd’hui et pourtant l’industrie de l’époque était beaucoup moins dense et intense qu’ aujourd’hui. À l’époque, la population mondiale dépassait à peine les 3 milliards et la Chine ne possédait par l’industrie actuelle. Il y avait infiniment moins de véhicules, d’avions dans le ciel et de bateaux, sans oublier la consommation électrique qui a explosé depuis.
Non sans risque pour la santé humaine et l’environnement, ces substances toxiques, qui appartiennent à une famille chimique composées de plus 9000 sous-produits hautement persistants dans la nature, sont régulièrement associés à de nombreux problèmes de santé et maladies graves. Alors que les limites fixées pour garantir la protection de la santé humaine et de l’environnement ont déjà été dépassées, il est essentiel d’adopter un moratoire ambitieux visant à assurer leur interdiction générale à échelle mondiale.
Au total, l’équipe a enregistré 114 incidents dans 23 pays entre avril 2020 et décembre 2021, avec une majorité importante de rencontres impliquant des oiseaux.
Les animaux les plus fréquemment signalés comme étant pris dans des EPI étaient des oiseaux, les cygnes tuberculés étant les plus souvent repérés.
« Il est crucial que nous identifiions les possibilités d’améliorer nos infrastructures de gestion des déchets, afin de prévenir des fuites similaires lors des inévitables futures pandémies »
Des décennies de recherche ont déjà prouvé que l’exposition aux rayonnements des tours cellulaires ainsi que d’autres sources de rayonnement sans fil est biologiquement nocive.
Des personnes aux États-Unis et dans le monde entier continuent de signaler des symptômes et des maladies après l’installation et l’activation d’infrastructures 5G et/ou 4G à proximité d’elles (voir 1, 2, 3, 4, 5, 6). Certains engagent des actions en justice pour désactiver les tours et arrêter le déploiement (voir 1, 2, 3, 4). Félicitations aux habitants de Mahopac, dans l’État de New York, qui ont empêché l’installation d’une tour cellulaire dans leur quartier.
Et pourtant le monde continue, regardant, mais aveugle, écoutant, mais sourd, prenant le silence pour du confort, les flammes qui avancent pour un avenir radieux.
Sur l’île néerlandaise de Texel, qui se trouve à l’extrémité sud d’une ligne d’îles séparant la mer des Wadden de la mer du Nord, une importante colonie de reproduction d’oiseaux marins appelés sternes de Sandwich (« grandes sternes » en néerlandais) a fait la une des journaux le mois dernier en mourant. Sur les 7 000 oiseaux qui nichaient dans la réserve naturelle de De Petten jusqu’à la fin mai, il n’en restait plus aucun à la mi-juin. 3 000 cadavres d’oiseaux ont été collectés, les autres étant morts ou ayant abandonné leur nid.
Depuis plusieurs décennies, les pullulations de méduses se multiplient à travers le monde. Lors de « blooms », des invasions, il arrive qu’elles dévorent les larves d’autres espèces, réduisant leur population à peau de chagrin.
L’un des exemples le plus illustres est celui du courant de Benguela, au large de la Namibie. La biomasse de méduses y a explosé depuis les années 1990. En 2006, elle était estimée à 13 millions de tonnes, soit trois fois celle des poissons de la région.
Cette zone autrefois productive est aujourd’hui une « ville fantôme », les méduses y ont supplanté la grande majorité des autres organismes vivants.
« Les méduses sont comme des germes dans une blessure ouverte, qui provoquent une infection. Elles ne sont qu’un symptôme. Un drapeau rouge, le signal d’alarme montrant que les océans sont en détresse. »
La jeune réalisatrice Alizée Dubois, accompagnée de quelques ami·e·s, est l’une des premières à essayer de vulgariser le concept juridique pas si simple qu’est l’écocide, dans un voyage studieux et engagé à travers l’Europe. Nous avons vu le documentaire : retour sur un voyage au cœur de l’injustice environnementale.
« Maintenant que le film est terminé, j’ai hâte de le montrer pour connaître les réactions et les réflexions du public. J’espère que les gens vont se saisir de la colère que suscitent ces injustices pour la transformer en action collective ! »
Le petit village marocain d’Inzerki n’y fait pas exception. Abritant le plus vieux rucher collectif du monde, ce dernier a récemment connu un effondrement sans précédent de ses colonies des suites de la pire sècheresse que le pays ait connu ces 40 dernières années. Ce nouveau désastre écologique rappelle une fois de plus l’urgence d’agir immédiatement pour ralentir les effets du changement climatique.
« De nombreuses familles n’ont désormais plus les moyens de poursuivre leurs activités apicoles et ont décidé d’abandonner complètement l’apiculture »
Lee tourisme demeure aujourd’hui la première industrie – car c’est bien d’une industrialisation des loisirs dont on parle – de la planète. Avec 1,4 milliard de touristes internationaux (contre 25 millions en 1950) et 1 700 milliards de dollars d’exportation en 2019, le secteur concentrait – avant le Covid-19 – 10 % du PIB mondial et un emploi sur dix. Première également en impact écologique : l’industrie émet à elle seule 8 % des gaz à effet de serre de la planète.
A se rappeler que le tourisme de masse fut inventé par l’Italie fasciste et l’Allemagne nazie, qui développèrent dans l’entre-deux-guerres agences de voyages et moyens de transport pour organiser et contrôler le temps libre de leurs populations et acheter la paix sociale.
« Le tourisme transforme toute réalité et tout sentiment réellement vécus en simple curiosité et, tout au plus, en émotion stimulée par sa mise en vitrine. Il transforme le réel en représentation. »