L’actualité écologiste, c’est aussi la culture. Au programme :
- Les Fées scientifiques
- Les vies autonomes, une enquête poétique
- Carnets de campagne
- Si les hommes avaient leurs règles
- Vivre en terres contaminées
- Je vous écris du front de la Somme
- Santé planétaire
- Cartographier l’Anthropocène
- Vivre autrement
- La voie de la sobriété
- Film et documentaire
Selon un scénario alarmiste très répandu dans les médias, la calotte glaciaire du Groenland est sur le point de perdre ses attaches sous l’effet de la chaleur féroce et sans précédent de l’Arctique et d’arriver dans le salon du lecteur d’un jour à l’autre (j’exagère, mais pas beaucoup).
Pendant ce temps, dans le monde scientifique, les chercheurs s’efforcent de comprendre les causes naturelles du ralentissement soudain du réchauffement estival et de la perte de glace au Groenland depuis 2010. La reconstitution de la glace de mer arctique d’été a été spectaculaire ces derniers temps, le National Snow and Ice Data Center, basé aux États-Unis, signalant que le minimum de septembre de cette année était supérieur de 1,28 million de kilomètres carrés au minimum de 3,39 millions de kilomètres carrés atteint en 2012.
Moi qui ai consacré une partie de ma vie au « changement climatique », j’ai fini par comprendre que cette thématique était également une manipulation des élites mondialistes pour parvenir à leur Agenda de dictature mondiale transhumaniste.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de problème écologique, mais ce n’est en fait pas le sujet puisque leur intention n’est pas d’y remédier.
Je ne suis donc pas surpris que les mêmes qui veulent :
• soigner l’ensemble de la population à coup d’injection,
• combattre toutes les « dictatures » du monde en renversant les régimes,
• éteindre la désinformation en censurant tous les discours alternatifs,
• sauver la démocratie en achetant les médias et les élections ;
veulent également sauver la planète en imposant des restrictions climatiques.
« Tout ce que les dirigeants ont à faire, c’est de dire au peuple qu’ils ont quelque chose à craindre. Pointez du doigt la source de leur peur, et vous pourrez obtenir des humains qu’ils fassent tout ce que vous désirez. Vous pouvez les rendre obéissants. »
Qui n’aimerait pas ça ? Le Vert est beau. Il prétend protéger la Terre Mère et l’humanité. Au fil des ans, il devient de plus en plus populaire et se transforme en un parti politique. « Les Verts ». De plus en plus fort dans le monde occidental.
Ils parlent et prédisent contre le style de vie gaspilleur des hommes. Ils font la promotion de l’alimentation biologique et luttent contre les aliments génétiquement modifiés ou OGM.
Ils font des incursions dans les parlements des pays occidentaux et deviennent des décideurs importants.
Ils transforment le « réchauffement de la planète », vieux de deux décennies, en « changement climatique » dans leur programme.
Le changement climatique devient bientôt la force motrice des Verts. Le changement climatique d’origine humaine – c’est-à-dire les niveaux de dioxyde de carbone (CO2) causés par les combustibles fossiles – culminera en 2022 à près de 420 parties par million (PPM). C’est ce qu’indique la station météorologique de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) située à Mauna Loa, sur l’île d’Hawaï. Le budget de la NOAA pour 2022 est estimé à 6,9 milliards de dollars.
S’agit-il d’un niveau dangereux ? On nous fait croire qu’il l’est.
[ENQUÊTE 1/4]
Décembre 2021, Saint-Chamas, au bord de l’étang de Berre, au nord de Marseille. Un hangar métallique gigantesque vomissait des déchets en fusion dans une odeur épouvantable. Des fumées toxiques saturaient l’air des environs. Les taux de particules fines mesurés étaient « équivalents à ceux de Pékin », dit Dominique Robin, directeur général d’AtmoSud, l’organisme de contrôle de qualité de l’air dans la région. Pendant près d’un mois, l’incendie a ravagé cet entrepôt rempli jusqu’au toit de déchets industriels banals, des DIB dans le jargon administratif : des emballages carton, du plastique, de la ferraille dont des entreprises cherchent à se débarrasser, moyennant finance. Recyclage Concept 13, la société à qui appartient le hangar, détenait une autorisation d’en stocker 1 000 mètres cubes. Sur place, les pompiers en ont découvert trente fois plus…
En procès le 19 septembre, il sera fixé sur son sort le 3 octobre. Un cas illustrant bien la complexité qui entoure les habitats légers.
Avec ses murs en terre-paille et ses formes arrondies, le logis d’Amalia et Harald ressemble à une maison de hobbit, tout droit sortie d’un film. Nichée dans une ancienne carrière, la maisonnette surplombe un petit coin de paradis où chèvres, oies, poules et chiens cohabitent en liberté. Protégé des animaux par une clôture, un espace est consacré au maraîchage en permaculture. Tomates, courges et butternut : le conte de fées continue dans ce potager, où tout n’est qu’abondance et profusion. « C’est la magie du compost fabriqué aux toilettes sèches ! » plaisante Amalia, en cueillant des tomates juteuses au goût sucré. Pourtant, l’aventure pourrait bientôt s’arrêter.
Le 19 septembre, Harald et Amalia ont été convoqués devant le tribunal correctionnel de Quimper : il leur est reproché d’avoir fait des aménagements sur une zone non constructible sans autorisation de la mairie. Leur maison risque d’être détruite, et leur beau projet abandonné. Sans avocat, et peu préparé aux rouages de la justice, le couple a eu du mal à se faire entendre pendant l’audience : « Ça a été un fiasco total... », témoigne Amalia au téléphone, la voix encore tremblante à la sortie du tribunal. Comment en sont-ils arrivés là ? Pour comprendre, il faut remonter trois ans en arrière.
Toutes les installations de cet éco-lieu sont conçues pour économiser l’eau au maximum, ne pas produire de déchets, se chauffer au bois, utiliser de l’électricité obtenue par des panneaux solaires et un fournisseur d’énergies renouvelables. La flore est laissée à l’état sauvage et les animaux peuvent entrer et sortir librement de l’éco-lieu. Un gîte proche de la nature et respectueux de la planète.
Pascale Nottaris est une femme qui a décidé de créer un gîte proche de la nature et respectueux de l’environnement. Une façon de lutter contre le tourisme de masse en proposant des vacances engagées, et un nouvel écolieu à recenser en France. Près de Saumur, dans la région du Val de Loire, elle a créé le gîte du Bois Davy. Situé en plein milieu de la forêt, cet éco-lieu est s’étale sur 11 hectares. Orienté vers l’éco-tourisme, il propose des logements insolites comme des cabanes dans les arbres ou des couchages sous un toit transparent, des emplacements de camping ainsi que quatre bâtiments principaux où peuvent loger des visiteurs à l’année.
L’Amazonie : 390 milliards d’arbres, plusieurs millions d’espèces d’insectes, un nombre incalculable d’oiseaux, de mammifères et de reptiles, pour certains encore inconnus de l’être humain. Un trésor de biodiversité qui, malheureusement, s’effondre. Selon un rapport publié le 6 septembre par un regroupement d’organisations environnementales amazoniennes (RAISG) et la Coordination des organisations indigènes du bassin amazonien (Coica), la forêt pluviale a atteint son « point de bascule ». Certaines zones commencent déjà à se transformer en savane.
Toute donnée qui contredit le récit du changement climatique causé par l’homme est entourée d’une machine à opinion qui soit rejette l’information, soit l’occulte dans un déluge de propagande sur le réchauffement climatique, inoculant au lecteur, bien avant qu’il n’ait la chance de digérer la nouvelle, que le changement climatique n’est peut-être pas si évident que cela.
Chaque fois que des températures élevées sont signalées aux États-Unis ou en Europe, la nouvelle est extrapolée par les médias et donne lieu à des théories délirantes d’apocalypse climatique, mais l’histoire météorologique suggère que la panique est fabriquée plutôt que justifiée.
Nous prenant pour des débiles mentaux profonds ou des séniles précoces, il nous a expliqué qu’en coupant toutes les veilleuses de nos appareils électriques, nous pouvions économiser 15 % de notre consommation. Faux, nous économiserions alors 2 à 3 %.
Le même nous a expliqué qu’en remplaçant nos lampes traditionnelles par des lampes à économie d’énergie, nous pouvions économiser 30 à 35 % d’énergie. Faux c’est de 4 à 5 % que l’on peut économiser.
Il est temps d’arrêter de nous rabâcher tous les soirs à la météo « c’est bon pour la planète », parce que là, on ne sait plus trop où est le bien et le mal, et on va finir par penser que ceux qui donnent des conseils sont, en plus d’être malhonnêtes ou incompétents, les plus dangereux.