Selon une dépêche de tagesschau.de du 13 juin 2023, le ministre allemand de la Santé Karl Lauterbach a annoncé vouloir élaborer un plan de protection contre la chaleur pour l'Allemagne. « Nous devons constater », a déclaré Lauterbach, « que nous ne sommes pas bien positionnés en Allemagne contre la mort due à la chaleur ». Selon le ministre de la Santé, un plan canicule que la France aurait développé devrait servir de modèle. Mais qu'en est-il des problèmes de chaleur dans d'autres pays ? Voici quelques exemples : Inde : Le 4 mai 2023, la capitale indienne New Delhi a enregistré le troisième matin de mai le plus froid depuis 1901. Comme dans le reste du monde, le froid hivernal est un problème plus important que la chaleur estivale à Delhi. Selon des études, 6,5 % de tous les décès en Inde sont dus à des températures extrêmes de courte durée, 88 % dus à un temps froid et seulement 12 % dus à un temps chaud.
Alaska : Avril 2023 a été un mois historiquement froid dans tout l'Alaska, avec une température moyenne de -8,7° Celsius. Il s'agissait du quatrième mois d'avril le plus froid depuis les années 99, date des premiers relevés de température. La neige est tombée encore jusqu'en mai.
Australie : En mai 2023, la tendance au refroidissement qui dure depuis des années s'est poursuivie en Australie. Dès le début du mois, les températures de mai les plus basses depuis 85 ans ont été enregistrées dans un grand nombre d'endroits.
Argentine : Fin mai 2023, des milliers de voyageurs chiliens se sont retrouvés bloqués par la neige dans la province argentine de Mendoza. Le chemin Cristo Redentor, qui relie l'Argentine au Chili, a été fermé en raison des fortes chutes de neige.
Russie : Des températures historiquement basses ont été enregistrées à Yubileinaya, en Iakoutie, où la température est descendue bien en dessous des valeurs saisonnières habituelles. Le 13 mai, le thermomètre y est descendu à -24,5°C, dépassant ainsi le précédent minimum de mai de -24,1°C, enregistré il y a 70 ans, en 1958. La région a également connu de fortes chutes de neige.
Ukraine : L'Ukraine a connu des conditions inhabituelles de froid et de neige ce printemps.
Mongolie : La Mongolie a dû faire face à un hiver glacial en 2022/23 qui, selon Save the Children, a entraîné des pertes massives de bétail et la souffrance de 212 000 personnes. Même à la fin du printemps, le pays a continué à être frappé par des tempêtes de neige meurtrières.
La Grande-Bretagne : Au Royaume-Uni, l'année 2023 a été froide et humide jusqu'à la fin mai, et le printemps refusait toujours de débuter à la mi-mai. Même les météorologues confirmés ne pouvaient pas expliquer pourquoi les sombres conditions de l'hiver s'éternisaient, et étaient eux-mêmes choqués par - je les cite - « toutes les fortes gelées que nous avons eues ce printemps ».
Espagne : Les précipitations parfois record en Europe ont continué à être accompagnées d'un froid anormal qui a fait qu'à des altitudes plus élevées, une grande partie de la pluie est tombée sous forme de neige printanière. C'était même le cas dans le sud de l'Espagne.
C’est une drôle de façon de faire de l’écologie…
En effet, Mairi Gougeon, la secrétaire aux Affaires rurales, a estimé que 15,7 millions d’arbres avaient été abattus depuis 2000 sur des terres actuellement gérées par l’agence Forestry and Land Scotland (FLS) – l’équivalent de plus de 1 700 par jour. Un chiffre qui donnera le tournis aux écologistes qui combattent le nucléaire et prônent l’installation des éoliennes.
Mairi Gougeon a insisté sur le fait qu’il y avait une présomption de planification en faveur de la protection des forêts et que les promoteurs d’éoliennes étaient censés entreprendre une « plantation compensatoire ailleurs ». À la bonne heure !
En effectuant ces démarches administratives vous permettriez à la municipalité d'entamer automatiquement une procédure juridique contre vous.
Xavier Marmier avait procédé de cette façon suite à une demande de la mairie pour sa cabane et il s'est fait piégé, comme l'explique son avocat : https://bit.ly/3fPJSNg
Qui plus est, nous n'avons pas à attendre qu'une mairie nous donne le droit de nous installer sur nos terrains lorsqu'il s'agit d'y vivre dans le respect de la nature; c'est bien ce que propose l'habitat léger.
Pour l'obtention de droits futurs, il faudra lutter collectivement; c'est toujours en mettant la pression sur les institutions que les lois ont pu évoluer en faveur des citoyens.
Et surtout, n’attendons pas que les lois changent pour changer nos lois.
www.desobeissancefertile.com
Ce projet de restauration a récemment franchi une nouvelle étape importante. Selon un message posté sur Twitter, l’organisation à but non lucratif a retiré jusqu’à 200 000 kilogrammes de débris plastiques de l’océan Pacifique Nord. Cette zone, connue sous le nom de « Great Pacific Garbage Patch » (GPGP) (vortex de déchets du Pacifique nord), est située entre la Californie et Hawaï.
Cet exploit a été accompli lors du Trip 13, au cours du premier déploiement de nettoyage de 2023.
Lors de la première campagne d’extraction de déchets de l’année, l’organisation a pu extraire 6 260 kilogrammes de déchets d’un grand amas de plastiques flottants, qui comprenaient tout, des grands filets de pêche aux minuscules microplastiques. Selon une étude, plus de 75 % de la plaque de déchets est constituée de déchets plastiques liés à la pêche.
L’enlèvement des déchets a été rendu possible grâce à des systèmes de nettoyage spécialement conçus, appelés System 002, ainsi qu’à d’autres équipements. Le système comprend également des caméras dotées d’une intelligence artificielle qui balayent en permanence la surface de l’océan à la recherche de déchets plastiques.
Pour collecter les déchets, ils utilisent une longue barrière en forme de U. Pour protéger la faune marine, le système se déplace lentement sous l’océan et minimise le bruit. Les données de surveillance fournies par l’entreprise ont révélé un « faible impact négatif du système 002 sur la vie marine au cours des 12 premières sorties ».
Mais que se passe-t-il une fois les déchets collectés ? L’entreprise a répondu dans un message sur Twitter : « Nous voulons donner une nouvelle vie au plastique océanique en travaillant avec des partenaires pour le recycler et le transformer en produits plastiques durables. » L’organisation a d’ailleurs lancé « The Ocean Cleanup Sunglasses », son premier produit fabriqué à partir de déchets plastiques en octobre 2020.
Boyan Slat, un inventeur néerlandais, a lancé ce projet unique en son genre en 2013. L’océan Pacifique Nord a été choisi spécifiquement parce qu’il reçoit une grande quantité de déchets plastiques en provenance d’Asie, d’Amérique du Sud et d’Amérique du Nord.
Léna Lazare, 24 ans, est l’une des porte-paroles de Youth for Climate. Elle est engagée dans la dynamique des « Soulèvements de la Terre » qui se mobilise notamment contre les mégabassines.
Reporterre — Face au gouvernement, le mouvement social et le mouvement écologiste semblent vivre une situation similaire : ils ne sont pas écoutés. Qu’en pensez-vous ?
Léna Lazare — Oui, c’est intéressant de faire le parallèle entre la lutte contre la réforme des retraites et celle pour le climat. Les mêmes méthodes sont utilisées par le gouvernement pour faire taire la contestation ou la contenir au maximum. Il l’ignore et essaye de lui retirer toute légitimité. Dès que le mouvement se durcit, les autorités sortent les matraques.
Ils nous traitent de « factieux » ou d’« écoterroristes », tentent de nous discréditer et nous criminalisent. À quelques jours d’écart, on a vécu une répression identique. Les manifestations à Paris contre la réforme des retraites place de la Concorde ont été interdites. Notre mobilisation antibassines aussi. Des zones rouges avec des arrêtés d’interdiction de circulation, en plus des arrêtés d’interdiction de manifestation, ont été décrétées. Il y a des amendes et des arrestations arbitraires. Le gouvernement veut nous faire peur.
Parmi les nombreux champions écologiques de nos villes, un héros bourdonnant se distingue : l’abeille urbaine.
Le monde bourdonnant des abeilles urbaines est souvent négligé, alors que ces minuscules insectes jouent un rôle crucial dans le maintien de la santé des écosystèmes de nos villes. En pollinisant les plantes, en soutenant la biodiversité et en produisant du miel, les abeilles urbaines contribuent de manière significative au bien-être de nos environnements urbains. Dans cet article, nous allons explorer la vie fascinante de ces abeilles citadines, les défis auxquels elles sont confrontées et la manière dont elles contribuent à l’écologisation de nos villes.
L’importance des abeilles urbaines
Les abeilles urbaines sont des pollinisateurs essentiels pour les jardins, les parcs et les espaces verts des villes. Elles aident les plantes à se reproduire en transférant le pollen d’une fleur à l’autre, assurant ainsi la survie et la propagation de diverses espèces végétales. Ce n’est pas seulement vital pour la biodiversité, mais aussi pour l’agriculture urbaine, car les abeilles jouent un rôle essentiel dans la pollinisation des fruits, des légumes et d’autres cultures. En outre, les abeilles urbaines produisent du miel, une denrée précieuse qui peut être récoltée et appréciée par les citadins.
L’importance des abeilles urbaines va bien au-delà de ce que l’on pourrait penser de prime abord. En tant que pollinisateurs principaux dans les environnements urbains, ces petits insectes ont un impact profond sur les jardins urbains, les parcs et les espaces verts. Elles facilitent la reproduction des plantes en transférant le pollen d’une fleur à l’autre, assurant ainsi la survie et la propagation d’un large éventail d’espèces végétales. Cela favorise non seulement la biodiversité dans les zones urbaines, mais aussi l’agriculture urbaine, car les abeilles jouent un rôle essentiel dans la pollinisation des fruits, des légumes et d’autres cultures essentielles.
En outre, la présence d’abeilles urbaines contribue à la santé générale des écosystèmes urbains en soutenant un réseau de vie complexe. En pollinisant les fleurs, les abeilles contribuent à créer des habitats et des sources de nourriture pour d’autres insectes, oiseaux et petits mammifères, ce qui permet de maintenir une riche communauté d’animaux sauvages en milieu urbain. En outre, les abeilles urbaines produisent du miel, une denrée précieuse qui peut être récoltée et appréciée par les habitants de la ville. Ce produit durable et d’origine locale peut favoriser un sentiment de communauté et de connexion avec la nature, même dans les limites d’un paysage urbain animé.
On ne saurait trop insister sur l’importance des abeilles urbaines. Elles sont essentielles au maintien de la biodiversité, au soutien de l’agriculture urbaine, à l’amélioration de la santé des écosystèmes et à la fourniture d’une source durable de miel pour les citadins.
Ici, des conteneurs dégueulent de déchets. Là, des sacs attendent bien alignés le long d’un immeuble. Ailleurs, un énorme amas s’étale jusque sur la rue. Partout, du plastique noir, vert, jaune, bleu ou rose… Les monceaux d’ordures qui font le siège des trottoirs parisiens depuis quinze jours ont parfois l’allure d’œuvres d’art à la gloire de notre surconsommation. De quoi déclencher une prise de conscience ?
« On n’a pas besoin de la situation actuelle pour prendre conscience qu’on consomme trop ! » tranche Florent, qui réside rue de la Bienfaisance, dans le 8e arrondissement de la capitale, à quelques encablures de l’Élysée. « Ces poubelles non ramassées, c’est hyper désagréable », grimace le jeune homme, visiblement impatient de revoir les éboueurs. « C’est sûr qu’on commande beaucoup en ligne, mais on essaie de limiter nos achats, d’acheter en local. Dans nos bureaux, on a mis en place le recyclage, etc. », énumère-t-il avant de filer à un « meeting ».
Dane Wigington, chercheur en ingénierie climatique, affirme que les conditions de sécheresse extrême qui a sévi dans l’ouest des États-Unis sont en train d’être inversées par davantage d’ingénierie climatique. La Californie a été dans le mille. Ce n’est pas une bonne nouvelle parce que nous passons d’un destructeur extrême à l’autre. Voici ce que Wigington explique :
« Nous savons que la technologie existe et est utilisée pour diriger les courants de vent de niveau supérieur et, par conséquent, diriger les courants d’humidité, et ils dirigent l’humidité là où ils ont provoqué des tempêtes de neige consécutives. Il ne fait aucun doute que toutes ces catastrophes soi-disant naturelles sont voulues et conçues par des ingénieurs… Les gens agissent comme si c’était une sorte de théorie marginale, mais c’est pourtant de la science dure. On peut tester la neige et trouver les mêmes choses dans les brevets d’ingénierie climatique. On retrouve aussi de l’aluminium, du baryum, du manganèse, des fibres polymères, du graphène et des tensioactifs. Tout cela se retrouve dans notre neige. La direction de ce flux d’humidité sans nucléation chimique au-dessus de ce matériau nucléé gelé chimiquement crée des inondations en ce moment même où nous parlons. Ce n’est pas discutable, nous avons les preuves scientifiques. Quelle que soit la perspective d’une personne, peut-il y avoir une discussion légitime sur le climat sans aborder d’abord et avant tout l’ingénierie climatique ? La réponse est clairement NON. »
Le succès de la BD Le Monde sans fin constitue tout à la fois une excellente et une très mauvaise nouvelle. Pour cause : cet ouvrage est à la fois excellent et très mauvais…
L’excellent se trouve en première partie, dans laquelle le dessinateur Christophe Blain illustre avec humour et talent les propos de Jean-Marc Jancovici, mettant en lumière notre dépendance au système énergétique. Les auteurs y rappellent notamment qu’il n’y a jamais eu de transition énergétique depuis le début de l’ère industrielle : au bois s’est ajouté le charbon, puis le pétrole, le gaz, l’hydroélectricité, avant que ne débarquent le nucléaire et les énergies renouvelables.
Résultat : en multipliant les sources, nous avons démultiplié notre consommation d’énergie. Nous serions ainsi devenus des sortes d’Iron Man qui s’ignorent, avec à notre service des super pouvoirs offerts par les machines que nous avons à notre service. Ou encore des nababs entourés de centaines d’esclaves invisibles : un tracteur offre la force de travail de 600 humains, un avion équivaut à la puissance d’un million de personnes.
Pour limiter le dérèglement climatique, nous devons diminuer drastiquement notre consommation d’énergies fossiles, alors que toutes nos activités ou presque en dépendent. Et il ne s’agit pas seulement des voyages en avion : l’hôpital représenterait aussi, à lui seul, 5 % de l’empreinte carbone française.
L’ouvrage n’aborde pas les questions de partage des richesses, de services publics ou de la publicité indispensable au modèle consumériste. Selon la vision très discutable qu’il véhicule, notre niveau de vie ne dépendrait que d’un unique paramètre : notre consommation d’énergie. Si elle baisse, adieu la santé, les loisirs, les retraites, bonjour les grandes migrations, les guerres, les famines…
Il arrive cependant qu’à force d’obstination les militants finissent par arracher quelques victoires retentissantes aux pouvoirs publics.
Nous vous retraçons les dix plus belles réussites de la dernière décennie.
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La sénatrice roumaine Diana Lovanovici s’exprimant au Parlement sur les utilisations de la technologie HAARP en Turquie.
« Les imbéciles jouent comme Dieu et ils pensent qu’ils ont gagné la partie… »
« Avertissement aux psychopathes du monde : si vous avez besoin que les gens meurent, nous avons besoin que vous périssiez aussi » « … Œil pour œil »
Traduction de son message : « Il est impératif que toutes les nations, les peuples du monde, se lèvent ensemble, se réveillent du confort quotidien et de l’insouciance et comme en 1848, commencer la lutte pour la libération du joug des psychopathes, des déments qui volent notre bonheur et le beau monde dans lequel nous vivons. C’est pourquoi j’exhorte tous ceux qui veulent encore vivre dans un monde de Dieu, et non de Satan, je vous exhorte à vous lever pour lutter, à une révolte mondiale pour nous libérer tous et détruire ces ennemis, car en ce moment nous sommes en légitime défense. »
« Le bilan du tremblement de terre en Turquie est actuellement de 21043 morts et 80097 blessés »