L’un des traits caractéristiques des premières phases de la pandémie de covidés, lorsque la peur du public était omniprésente et que peu de gens voulaient prendre le risque que les chaînes d’approvisionnement ne se rompent, est que, pendant une brève période, les supermarchés américains ont ressemblé à ceux de l’URSS de la fin des années 1980 : de nombreux articles étaient en rupture de stock, et certains – notamment le papier toilette, le clorox et les denrées périssables comme le lait – ont été en rupture de stock pendant des semaines.
La coalition entend ensuite porter cette déclaration à l’échelle européenne et sensibiliser les décideurs européens. Elle souhaite également organiser, à terme, un référendum local sur le statut du fleuve Tavignanu.
Comment ça marche ? Les machines captent l’air. Elles utilisent ensuite l’électricité pour le refroidir, jusqu’à ce qu’il se condense en eau. Les appareils de l’entreprise fonctionnent à des températures allant jusqu’à 50°C, et avec une humidité faible, jusqu’à 8 %.
« Les catastrophes naturelles dépeignent le paysage de la fin du monde. »
Recharger les nappes phréatiques, stopper le gaspillage des villes, arroser avec des eaux usées, dessaler l'eau de mer, cesser de puiser en profondeur, pratiquer la rétention d'eau pour les cultures, fermer les centrales nucléaires, etc, les solutions ne manquent pas !
Les températures ont toujours varié, le CO² n'est pas un poison, les données environnementales sont maigres et leur période courte, d'où les "records" fréquents, les ours polaires prospèrent.
La seconde partie de cette publication concerne la justice. Thomas Renz met en garde contre le raz-de-marée de poursuites judiciaires à venir...
Un article de Pierre Lassalle qui remet de l'ordre dans la notion de liberté. Vous pouvez l'agrémenter de cette nouvelle, du même auteur. Fictive, elle n'en est pas moins d'un réalisme considérable.